Mathilde, femme généreuse

Mathilde est veuve d'un richissime industriel. Cela fait quelques semaines qu'elle loue une suite dans un palace somptueux à Cannes. Les pourboires qu'elle laisse, font que les employés se ruent pour satisfaire le moindre de ses caprices de femme riche. La direction est à sa disposition, nuit et jour. Elle a pour compagnon un Dogue allemand très robuste, haut sur pattes. Il est deja tard, elle sonne la réception et demande qu'on lui monte une bouteille de champagne avec quelques petits amuse-gueules.

Une femme magnifique, frappe à sa porte, elle entre, coiffée d'un chignon, elle porte un chemisier blanc, avec une cravate grise, et une jupe gris foncé, très ajustée, qui lui arrive un peu plus haut que les genoux. Des chaussures avec de petits talons donnent un galbe parfait aux longues jambes de l'employée C'est La tenue que porte le personnel féminin de l'hôtel. Ses yeux noir et profond semble fusiller Mathilde, elle la salue, puis elle dépose sur une petite table le seau à champagne et les toasts, elle demande :

-Que puis-je faire pour vous madame !

Mathilde la regarde du pied à la tête, puis lui demande en souriant :

-comment vous appelez-vous ma belle enfant ?

-Gisèle, madame !

-Vous êtes mariée ?

-Oui, mon mari travaille à la réception !

-Faites-le monter !

Ici, le client est roi, donc Gisèle obéit. Mathias se présente, dans sa tenue habituelle. Il porte un pantalon noir, les chaussures noires également, une chemise blanche, avec un nœud papillon noir, pardessus le tout, un gilet orange. Il est très grand, Mathilde le dévisage longuement. Elle sort de son sac une liasse de billets, et la pose près du seau à champagne, elle dit en souriant :

-Les billets sont à vous !

Gisèle regarde la liasse qui représente le salaire de son mari et le sien d'un mois de travail. Elle se doute qu'il doit y voir une condition, elle répond :

-Pour cela, il faut tuer qui ?

Mathilde lui sourit et réplique :

-J'adore votre humour, mais, non, il ne faut tuer personne, il vous suffit de faire l'amour avec moi !

Gisèle reste coite un petit moment, elle regarde le tas de billets puis son mari, elle fait une petite moue et opine discrètement de la tête. Mathias comprend le message que lui envoie sa femme, il prend la parole :

-Nous sommes d'accord madame !

Mathilde rétorque :

-Parfait, Gisèle, déshabille-toi lentement, toi Mathias, tu te branles à travers de ton pantalon, je ne veux pas voir ta queue molle !

Comme une effeuilleuse professionnelle, Gisèle ôte un à un ses vêtements, son chemisier et sa cravate sont sur le plancher, elle tire sur le zip de sa jupe et la descend progressivement en se tortillant comme danseuse orientale. D'un geste habile, elle fait sauter l'agrafe de son soutien-gorge, et libère sa petite poitrine, qui semble bien ferme. Elle baisse sa culotte, mais Mathilde la stoppe :

-Non pas si vite ma chérie, laisse-moi découvrir petit à petit ton bas-ventre !

Gisèle remonte sa culotte puis, la descend en ondulant du bassin. Elle découvre avec des gestes très lents la fine toison qui décore la vulve. Enfin, elle est nue devant Mathilde, qui la fait tourner sur elle-même, Gisèle a un cul à faire damner un saint. Mathilde jubile, elle pousse de nombreux soupirs en regardant le corps de déesse de sa future amante. Elle se tourne vers Mathias et lui dit :

-À toi mon étalon !

Avec lenteur, ses vêtements tombent un à un sur le sol, il lui reste que le slip sur le dos. Il le baisse doucement en regardant Mathilde, il découvre sa verge qui se détend d'un coup, comme un ressort. La verge est de bon diamètre, Mathilde la regard un long moment avant d'intervenir :

-Approchez mes chéris, Mathias, donne-moi ta queue à sucer, pendant que Gisèle me bouffe la chatte !


Elle retire rapidement les voiles transparents qui cachent mal les formes de son corps, elle ne porte pas de sous-vêtements la coquine. Sa chatte est bien rasée, sa fente est encadrée, par de grandes lèvres vaginales qui pendent fortement. Elle place sous ses reins un gros coussin, elle ouvre largement les jambes, sa chatte s'ouvre, son anus boursoufflé, palpite déjà d'excitation. Le couple s'avance vers elle, Mathias lui offre son gland, que la vorace engloutie rapidement. Pendant qu'elle lui suce la bite, il lui martyrise les mamelons. Mathilde sursaute lorsque Gisèle lui aspire les grandes lèvres, et les suce voracement.

Sur son tapis allongé, le museau sur le sol, le chien regarde avec ses grands yeux le trio en agitant sa queue.

Mathilde couine de plaisir, elle suce comme une professionnelle la queue bien raide de Mathias. Le traitement qu'il subit est terrible, il se cabre et remplit la bouche de la suceuse de son sperme abondant. Il jouit si fort qu'il écrase involontairement le mamelon de Mathilde, qui sous la douleur jouit également en envoyant son jus dans la gorge de Gisèle. Gisèle ne peut qu'avaler le jus suave. Tandis que Mathilde se délecte de la substance visqueuse qui s'écoule dans sa gorge. Enfin, elle se redresse et dit :

-Je sens que l'on va bien s'amuser mes chéris !

Elle ajoute :

-Prends ta femme en levrette Mathias, vas-y mon chéri, oh, excitez-moi, excitez-moi mes chéris !


Gisèle se met sur le plancher à quatre pattes. Son mari place contre sa vulve son manche et lui enfonce jusqu'aux couilles dans le ventre. Mathilde regarde, ses yeux pétillent, elle se caresse sans détourner son regard de la verge qui agit comme un piston dans le ventre de Gisèle. Les râles de la femme l'excitent, sa chatte laisse échapper un filet continu de cyprine, le pilonnage intense fait cabrer Gisèle qui geint comme une bête blessée. C'est en hurlant qu'elle jouit. Mathilde en veut plus :

-Prends-la par le cul mon chéri, encule-la bien, hum, je suis bruyante, après moi aussi, je t'offrirai mes vieux trous à dilater, tiens, mets cet anneau sur la base de ta queue, tu tiendras plus longtemps !

Mathias, enfile l'engin sur sa queue et reprend en main sa femme. Gisèle, bien que ce ne soit pas son truc favori, elle subit la sodomie en serrant les dents. Mathilde s'approche, elle passe sa main sous le ventre de Gisèle, lui saisit le clito qui a doublé de volume, et le branle énergiquement. Gisèle est au bord de l'explosion, elle se tend comme un arc et jouit du cul comme il n'est pas possible. Mathilde lui écrase le bouton sensible pour la faire jouir encore plus fort. Gisèle s'écroule sur le plancher en haletant.



Mathilde ouvre les cuisses et invite Mathias de l'embrocher, la queue, bien que large et épaisse, navigue aisément dans la gaine. Le mâle serre les dents, il veut honorer sa généreuse amante du mieux qu'il peut. Mathilde pousse des gémissements terribles, elle se cabre et hurle de jouissance, sa large chatte expulse un flot de cyprine. Mathilde dit en s'arc-boutant fortement :

-Retire l'anneau et prends-moi le cul mon chéri !

D'un geste habile, l'anneau se retrouve sur le plancher, et sa queue plantée profondément dans le cul de la demandeuse. Mathias a l'impression que le cul de Mathilde lui aspire la queue et la suce tellement les contractions du muscle rectal sont puissantes. Il bourre comme un beau diable le fondement brulant, le rectum est puissamment pilonné par la queue infatigable de Mathias, qui se cabre et explosant de jouissance, sa semence remplit le cul de Mathilde qui agite sa croupe comme un dingue. Elle se cambre comme un pont et hurle de jouissance. Il retire son pal du cul accueillant, quelques gouttes de sperme tombent sur plancher. Mathilde incite Gisèle à nettoyer avec sa langue le mat encore tendu. Sa langue tourne sur le gland, titille le frein un court instant avant de passer sur la hampe gorgée de sang. Mathilde donne un ordre. Le dogue se lève et s'approche d'elle, sa queue bat terriblement vite. Elle le caresse un moment puis se cambre en disant :

-Prend ta friandise mon bon chien !

Le chien renifle les orifices encore bien ouverts, sa langue lape le jus qui s'échappe des trous béants. Gisèle et Mathias regardent la vieille se faire dévorer le cul et la chatte. Mathilde s'agite en grognant de plaisir, elle gicle en se cabrant. Le chien, super excité, s'acharne sur les orifices odorants. Mathilde jouit encore sous les coups de langues de son ami fidèle. Enfin, elle renvoie le chien sur son tapis. Ses yeux sont exorbités. Elle regarde Gisèle en haletant et lui demande :

Je double la mise, si tu te fais prend par mon chien, c'est un amant remarquable, tu n'oublias jamais son étreinte !

Gisèle reste muette un instant, mais l'appât du gain est très tentant. Elle regarde son mari qui fait une moue d'étonnement, il lui dit :

-C'est ton corps, mais la somme est bien rondelette, c'est à toi de décider !


Mathilde sort de son sac les billets supplémentaire promis, et les place sur la liasse près du seau à champagne. Gisèle sans hésiter dit :

-J'accepte madame !

Mathilde souriante répond :

-Tu vas jouir comme jamais, tu ne l'as fait !

Mathilde commande le chien, elle lui met sur les pattes des chaussons matelassés pour qu'il ne blesse pas sa femelle. Elle conseille Gisèle :

Il va poser ses pattes sur tes épaules ou tes seins, je te conseille je bien les maintenir !

Le chien tourne comme un fou, enfin sa patronne donne l'ordre :

-Va mon chien, prends-la !

L'animal renifle sa proie, il est agité, sa langue se cesse de passer sur les orifices de Gisèle qui n'a pas l'air très rassurée. La langue rapeuse glisse entre ses grandes lèvres, et lui fouille la chatte sans douceur. Gisèle commence à geindre, son bassin s'agite, en suivant le rythme des coups de langues de la bête en rut. Elle se tend comme un arc et en serrant fortement la main de Mathilde, elle explose. Sa cyprine gicle, le chien semble de venir fou, il s'acharne sur les orifices recouverts de jus. Mathilde lui donne un ordre, l'animal place ses pattes avant sur le torse de Gisèle et maladroitement tente de pénétrer un orifice. Les coups de reins de l'animal sont incessants. Soudain Giséle se cabre en poussant un long râle, le chien vient de lui enfoncer sa bite profondement dans la chatte. les assauts de la bête sont devastateurs, Giséle s'accroche à son amant poilu, elle agite son bassin en grognant terriblemnt fort. Elle jouit comme lui à annoncée Mathilde, c'est a dire affreusement fort, elle donne de violents coups de reins en soufflant plus fortement que le chienn.


Enfin l'animal gicle à son tour, il tente de ressortir sa bite, mais la boule enorme qui chapeaute sa bite l'en empêche. Les deux amants attendent que la boule se degonfle, Giséle semble hors sol, ses yeux sont révulsés. Mathilde dirige la bite du dogue contre l'anus de Giséle qui est prete à tout subir, tellement ses jouissances sont fortes. Elle se fait défoncer l'anus avec violence, ses râles sont monstrueux, le chien, et elle jouissent en même temps. Mathias est sidéré, il reste béat devant les assauts de l'animal qui défonce sa femme. Enfin Mathilde ordonne au dogue de rejoindre son tapis. Giséle semble anéantit. mathilde en souriant lui dit :

-Tu peux au moins remercier ton amant, en lui suçant la bite, il adore ça le cochon !

Giséle se redresse difficilement, Mathilde comme encore le chien qui s'approche. Mathilde demande à Giséle :

-Banle-le un peu avant de le sucer !

La main de Giséle s'empare de la bite de l'animal, et commence à la branler. Comme un verin la bite rouge vif sort de son etui. Giséle se penche et gobe la verge, au gout etrange, elle suce à en faire frémir l'animal. la verge se gonfle et remplit la bouche de la suceuse, qui semble aimer ce qu'elle fait. le chien s'agite en grognant, il gicle dans la bouche de Giséle qui avale la precieuse mixture. Enfin le chien rejoint sa couche.

Mathilde regarde Giséle et lui demande :

-Alors ma chérie comment c'était !

-Ouah merveilleux madame, c'est un amant exeptionnel !

Bon je vous retient pas plus longtemps, prenez votre argent est pas un mot à qui conque promis !
Je ferai encore appel à vous, pour le même prix !

Les deux ramassent leurs vêtements et s'habillent rapidement, avant de quitter la suite Giséle dit :

- j'ai decouvert d'autre plaisirs sexuels, avec vous madame, nous sommes votre disposition !


































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