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Mathilde_3

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 17/02/2024

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Il y as des journées qui n’en finissent pas, pour Mathilde cette journée en était une,. Départ au travail le matin , grève des transport, faire le trajet jusqu’au travail dans un bus bondé, et arriver limite en retard , essoufflée,
Prise de service sur sa chaine de production, bien sur avec la grève il manque une ou deux personnes, elle se met donc à les remplacer , puis un automat qui tombe en panne , bref la galère , enfin vers midi , tous le monde est là , la maintenance a réussi à réparer l’automat, la production peut reprendre, et Mathilde peut après avoir allègrement sauter le repas, aller prendre un café.

Moment de calme , elle consulte son téléphone , un SMS de Lydia

Jean Denis a confirmé il passe en fin d’après midi , Si tu veux je te le présente ….

Mathilde

Heu oui si vous voulez , venez boire un verre à la maison, de toute façons c est moi qui ai ta garde robe…….

Lydia

Ok tu vas prendre sérieux ma vieille, 18H30 cela ta vas .

Mathilde songeuse

Heu oui c est bon je serai rentré j espère car avec la gréve …

Et ces heures, ces minutes qui n’avançaient pas , finalement en milieu d’après midi Mathilde demanda à voir son supérieur et demanda à partir plus tôt.

Pas de problème Mathilde , vous avez très bien gérer le coup aujourd’hui , vous pouvez partir , d’autre part j ai vu que vous avez pris très peu de congés cette année, et que vous avez pas mal de RTT en stock , si vous voulez prendre jusqu’à la fin de semaine de repos , ce n’est pas un souci, je m’occuperai de votre ligne de production.

Intérieurement Mathilde pensa , « Si je me fais démolir ce soir une journée de repos sera la bienvenue «  à cette pensée elle senti son ventre se contracter.

Elle prit ses habits son sac , salua sa ligne de production et s’en retourna , effectivement avec les gréves le retour ne fut pas aisé, et elle arriva cher elle juste vers 18 heures, le temps de prendre une douche rapide, de préparer quelques verres , un apéritif, d’ordonner tout cela dans le salon , la sonnette de son appartement résonnait, et c’était Lydia qui arrivait.

Salut ma biche, alors prête
Ben oui , faut que je m’habille encore, je ne sais pas trop quoi mettre.
Oh tu sais faut le faire simple pratique , Jean Denis est plutôt du genre direct ,
Ok on met juste nos tenues et ensuite on voie.
Elle se mire nue toute les deux pour mettre les tenues sexies qu’elle avait acheté au Caroufff.
Mathilde ne put s’empêcher de toucher les seins de Lydia , c est du combien
Du 105 C , je n’y faisais jamais attention mais je vois bien que les mecs matent maintenant.
Bon aller il faut qu’on soit prête il vas arriver.

Effectivement juste le temps de se rhabiller , la sonnette retentit.

Mathilde alla ouvrir mais se trouva surprise Jean Denis n ‘était pas seul , un autre homme aussi grand que lui aussi costaud l’accompagnait , alors qu’elle restait indécise sur le pas de la porte quant à les faire entrer ou pas jean Denis pris la parole
-C est mon cousin, Albert , il est arrivé hier du Togo je vous l’ai dit , c est sa première fois en France je ne pouvais pas le laisser seul, il ne connait rien je lui ai dis de venir.
Mathilde entendit derrière elle la voie rieuse de Lydia
-Oui super idée, bienvenue Albert.

Il ne restait donc plus qu’à faire rentrer les deux géants dans l’appartement.

Mathilde
-Si vous voulez vous assoir au salon j ai préparé un petit apéro.

Jean Denis
-On as le temps, et se tournant vers Mathilde avec un sourire de carnassier, il la plaqua vers le mur , et l’embrassa de toutes ses forces, Mathilde ne put que répondre en lui donnant sa bouche et sa langue .
Déjà ses mains passait sous son pull et montait vers ses seins.

Elle entendit Lydia rigoler et dire
-Je te l’avais dit Mathilde c’est du direct

Mathilde vis Lydia qui se faisait déjà peloter les seins par l’autre géant.

Jean Denis

-Alors les filles on veut du black , du costaud, on veut se faire démonter

Lydia provocante

-Bande de frimeurs, on vas vous montrer ce que c’est que des françaises vas falloir assurer.

Jean Denis
-Albert n’as jamais eu de française, il vas se lâcher.

Un lourd silence retomba sur la pièce, troublé par des souffles, des mouvements, Jean Denis tenait fermement Mathilde le long du mur, très directif, il l’embrassait goulument, ses mains fourrageait dans tous les sens , elle se sentait dominé par cet homme imposant physiquement, se bornant à tenir ses mains sur les épaules de ce mastodonte, déjà il lui avait sorti les seins des balconnets sans ménagement, d’une main il lui roulait un téton tout en l’embrassant, l autre main plongea dans sa culotte ,
Des mains qu’en dire non des battoirs énormes,
Elle mouillait , elle le savait elle le sentait, cela coulait entre ses jambe, ce mâle dominant qui lui imposait sa volonté, elle aimait cela, elle le savait , elle devinait en elle même cette volonté qu’elle avait de se faire dominer , déjà elle écartait les jambes pour lui laisser le passage.
D’un geste aussi élégant que sauvage , il lui descendit en même temps le shorti et le pantalon, d’une souplesse impressionnante pour un homme de cette carrure , il était à ces pieds , et lui enleva pantalon et shorti avec une dextérité peu commune, , il remonta rapidement par de petits baisers sur ses jambes , et plongea sa tête dans l’entrejambe de Mathilde, il n’eut pas à chercher , il trouva directement son bouton et l’aspira violemment.
Mathilde poussa un feulement .

La vois de Lydia se fit toute proche, ouvrant les yeux , Mathilde alors qu’elle n’avait plus de shorti ni de pantalon, vis Lydia au contraire torse nue , ses gros seins qui pendaient, Albert qui s’acharnait dessus un sein dans la bouche , un main qui pinçait l autre tétons.

Lydia
-La prépare pas trop Jean Denis, prends la vite presque à sec , je veux voir sa tronche de salope quand tu vas lui mettre. Montre lui ce qu’elle vas prendre.

Jean Denis repoussa Mathilde le long du mur, un sourire au lèvre il enleva son tee short, , dégrafa son pantalon et le fis tomber, il prit la tête de Mathilde et la força à regarder .

Cela dépassait l’entendement de Mathilde, un gland énorme circoncis en tête d’une colonne non moins énorme et épaisse, aucune idée de mensuration, mais tout en rapport avec un homme de plus de deux mètres de haut et plus de 100 kg.

Mathilde s ‘exclama

-C’est pas possible

Jean Denis
-Aller Mathilde passe tes bras autour de mon cou et serre les bien fort
Ce faisant elle sentit ses mains la prendre sous les fesses et elle se sentit soulever en l’air, ses pieds ne touchait plus terre.ses jambes faisait le grand écart autour du bassin de Jean Denis , il la cala au mur, et tout se suite elle senti son sexe qui la cherchait .

Elle ouvrit les yeux , le visage de Lydia était à quelques centimètres du sien à coté de celui de Jean Denis , celui d’Albert derrière , les mains d’Albert Malaxait dans tous les sens les gros seins de Lydia.

Lydia
-Ma petite salope de Mathilde , je t’avais bien dis que je voulais voire ta tronche quand il vas te défoncer, voir un peu tes yeux exorbités quand il vas te péter. je vais t’expliquer exactement ce qu’il vas faire. Il vas te chercher avec sa queue et il vas te trouver , déjà quand son gland vas commencer à t’ouvrir tu vas te dire c’est pas possible , c est trop gros et tu vas avoir très peur.
Ensuite il vas te décoller du mur et il vas enlever ses mains sous tes fesses et tu vas rester pendu à son cou par tes bras. Et puis tu vas commencer à fatiguer et plus tu vas fatiguer plus tu vas t empaler . T’inquiète pas pour moi je suis au première loge pour le spectacle et en plus je sens la queue d’Albert qui est du même gabarit qui commence à me chercher.

Et cela se passa ainsi, soudain elle sentit ses lèvres s’écarter, Jean Denis l’avais trouvé , très vite elle sentit un pincement , puis comme une déchirure, elle gémit

-Non c’est trop gros ,

Déjà jean Denis s’écartait du mur , Mathilde ne tenait à lui que par la force de ses bras et jambes qui s’accrochait à lui ainsi que ses mains qui la soutenait sous les fesses, et ce truc énorme qui était dans l’entrée de son centre. Et il enleva ses mains. Mathilde complètement crispé à lui se retenait de toutes ses forces pour ne pas descendre.

Elle gémissait
Non, non c’est pas possible , c’est trop gros

Lydia Haletante ,
Ma chérie j ai le même qui me trouve , fais pas ta mijaurée , de toutes façons maintenant tu vas y passer deux solutions ou tu lâche petit à petit et ça vas être long et douloureux ou tu résiste beaucoup et quand tes muscles vont lâcher tu vas t’empaler toute seule d’un coup et ce sera douloureux aussi, mais de toute façons dans un moment tu en redemandera je le sais .

Mathilde entendit un hurlement de bête, elle prit deux grosses baffes sur les joues.

Lydia lui criait au visage , ouvre les yeux , maintenant regarde, elle ouvre les yeux, le visage de Lydia à quelques centimètres du sien, les yeux révulsé, les larmes qui coulaient à flot , la voix geignante,

-Mathilde Oooo Mathilde ma chérie , regarde moi , il m’as défoncée d’un coup le Albert , il m’as tout mis , il m’as fait mal Mathilde, il m’as fait mal , mais c est bon tu peut pas savoir comme c est bon , il m’as remplie, écartelée. Je t’aime ma chérie, regarde moi regarde moi dans les yeux, je veux voir sa grosse queue te pénétrer dans tes yeux.

Mathilde réouvrir les yeux, elle vit un bonheur intense dans les yeux de son amie , Albert fiché en elle ne bougeait pas . Ses bras commençait à lui faire mal , elle savait qu’elle allait lâcher .

Lydia , Lydia geignait Mathilde
-Je vais lâcher, je vais lâcher , il est trop gros, il est trop gros, il vas me déchirer.
-Non il vas pas te déchirer, aller ma belle courage respire un grand coup.
Mu par une sensation Lydia avança une main vers le sein de Mathilde, le caressa, affirma sa prise sur le téton et le pinça de toutes ses forces.
Mathilde hurla de douleur, ce faisant elle desserra ses bras et s’empala direct jusqu’au fond de sa matrice , la sentant arriver jean Denis poussa un grand coup.
Mathilde criait , pleurait, se mit à trembler de tout son corps, bredouillas des mots inintelligibles sans suite , cacha sa tête dans le thorax de Jean Denis puis son bassin fut pris de tremblements spasmodique et tout en pleurant on l’entendit

-Oui Oui Ouiiiiii je jouis .

Ce fut le signal de la charge pour les deux hommes il se déchaînèrent Jean Denis tenant Mathilde à bras le corps , la percutait de toutes ses forces , Albert tenait les bras de Lydia et lui envoyait des staccatos foudroyants, on entendait plus que les deux femmes pleurer, crier, de plaisir, de jouissances.

Jean Denis grognant le premier, un grognement puis un autre, Albert le rejoignit , il arrivait tous les deux, il hurlèrent quasiment ensemble dans leur langues natales , c était long ils se contractaient expulsaient leur vie à l’intérieur des femmes ouvertes une fois deux fois plein de fois .

Jean Denis emmena Mathilde jusqu’au Canapé et la posa délicatement des ruisseaux de sperme suintait de sa chatte , Albert se décolla de Lydia , sa queue tomba entre ses jambes , Lydia se traina sur le canapé.

Mathilde entendit des voix d’abord, elle ouvrit les yeux, se demandant ou elle était , les deux hommes sur les fauteuils en face d’elle nus, en train de boire l’apéro tranquillement , un poids sur sa cuisse c’était la tête de Lydia roulée en chien de fusil sur le canapé , sa tête posée sur la cuisse de Mathilde . Lydia ouvrit les yeux.

Jean Denis éclata de rire un verre à la main, il trinqua avec Albert ,

-A votre santé les filles

Lydia
-Et nous on ne boit pas on as mérité non ….

Jean Denis se précipita et leur servi deux verres et ils trinquèrent tous ensemble.


Mathilde se leva demandant s’il voulait manger un bout.
Elle s’en alla jusqu’à la cuisine faire quelques toast , elle sentait avec plaisir des flots de sperme couler entre ses jambes, machinalement elle les essuya avec ses mains et les portèrent à sa bouche, hum c ‘était bon.

Alors qu’elle préparait les toasts, elle senti un souffle chaud sur son coup, c’est incroyable se dit elle je ne l’ai pas entendu arriver , Jean Denis se plaqua à elle , passant ses mains devant il lui prit les seins.
-Doucement dit elle en riant j’ai un couteau à la main je suis dangereuse.
-Je t ‘ai fait mal demanda t’il
-Ayant finis les toasts elle lui répondit en se retournant et le regardant dans les yeux et éclatant de rire.
-Oui tu m'as fait très mal , mais c’était tellement bon que je te pardonne tout .
-Tu veux avoir encore plus mal et plus de plaisir ??
Mathilde avait compris
-Tu veux mon petit cul c’est cela hein ??
-Oui quand je te vois passer dans le magasin je n’arrête pas de penser à cela, je veux te défoncer le cul.
-Je préfère le terme enculer , j aime bien ce terme donc tu veux m’enculer c’est cela dis le , et à ce moment elle se rendit compte qu’elle prenait un ascendant sur lui.
-Oui ma belle c’est cela dis t’il en bredouillant je veux t’enculer .
Malgré ta taille je n’ai pas peur je me suis déjà fait enculer et je veux bien me donner à toi toute entière parce que dans ce cas c est de cela qu’il s’agit. Mais avant il faut que cette salope de Lydia se fasse enculer , défoncer qu’elle en ai pour son grade , elle ne l’as jamais fait cela vas lui faire du bien tu crois que Albert peut faire cela . c est mon amie je l’aime , je veux qu’elle sache ce que c’est , et je veux la voir pleurnicher sous la douleur de la première fois.
-Oui j ai essayé , elle n’as pas voulu, elle as peur.
-Aujourdhui c est le jour elle vas y passer. dit Mathilde en éclatant de rire.

-He là des messes basses en cuisine dit Lydia en arrivant on as plus rien boire au salon.

-Tiens dis Mathilde, prend la bouteille de whisky , là ça vas te faire du bien .

De retour au salon , Mathilde servit une belle rasade de Whisky à tous et une plus belle à Lydia en lui disant tient cela vas te détendre.

Les deux hommes discutèrent en Togolais , Mathilde savait ce qu’il disaient et vu le sourire éclairé d’Albert .

Les toast furent vite finis , Mathilde discrètement remis une rasade de whisky à Lydia et leva son verre à la santé de tout le monde .

Albert se leva tel un félin ce qui était étonnant pour un homme aussi imposant , et tendit sa queue à Lydia , le geste n’avait aucune équivoque , et Lydia assise sur le canapé le prit en bouche, elle devait ouvrir très grand la bouche, ce qui lui faisait un regard bizarre. Mathilde passa derrière le canapé avec un regard complice à Jean Denis , elle plongea ses mains sur les seins de Lydia et commença à lui caresser. Jean Denis s’approchât et commença à lui caresser la chatte , ainsi prise de tous les cotés Lydia commençait à respirer de plus en plus fort, Albert maintenait la pression et lui enfonçait sa queue de plus en plus fort , Lydia reculant se trouva le dos coincé dans le canapé .
Jean Denis tenta le coup du ciseau doucement d’abords, un doigts dans la chatte et un doucement dans l’anus, s’aidant du sperme qui dégoulinait de sa chatte il lui lubrifiait insidieusement le petit trou . Mathilde regardait jean Denis qui lui fis signe qu’il allait tenir deux doigts , Lydia grognait essaya de se débattre un peu , mais prise comme elle était , elle se laissa faire .
Albert bandait dur maintenant , il ramonait la bouche de Lydia qui en avait des hoquets , Jean Denis lui fourrageait l’anus des ses deux doigts , Mathilde lui astiquait les seins . Mathilde tendit un tube de crème à Jean Denis qui entrepris d’en mettre sur et dans l’anus de Lydia .
Ce coup ci Lydia comprit ou il voulait en venir tous .
-Non , Non pas çà vous êtes trop gros , non j ai jamais fait je veux pas , je peux pas .
-Pour toute réponse elle prit deux baffes de Mathilde.
-Tu m’as mis des baffes salope tout à l heure pour que je me fasse défoncer , et bien cela va être à ton tour
-Non, non gémit Lydia pas mon petit cul
-Oh que si et c’est même toi qui vas réclamer tu vas voir.
Manu Militari Mathilde lui pris les jambes et les tira très fort en arrière , Lydia se trouva ainsi Ouverte le cul bien débordant du bord du canapé
-On vas t’aider tu vas voir, on vas tous t’aider et Albert vas te défoncer ton petit cul , il vas t ‘enculer. Dis le dis le Lydia dis ce qu’Albert vas te faire et elle reprit une baffe.
-On entendit Lydia qui pleurait dire , il vas m’enculer Albert.
-C est bien ma belle , c’est bien tout à l heure c est toi qui lui dira vas y , vas y encule moi .

Lydia essayait de se débattre mais Mathilde la tenait fermement trop contente de sa position de voir la grosse queue d’Albert avancer sur le petit trou de son amie, et il commença à pousser.

Respire Lydia vas y respire, Albert poussa on vit le gland rentrer , Lydia hurla , il ressorti, remis un peu de crème, et remis le gland elle hurla , il attendit, calmement.

Mathilde mentit , sachant qu’elle ne pouvais rien voir ,
-Ca y est Lydia tu l’ as il est dedans
-J’ai mal , j’ai mal ça me déchire
-C est normal , la première fois, tu vas voir cela va venir doucement doucement respire et elle l ‘embrassa à pleine bouche.
Faisant signe Jean Denis celui ci entreprit de lui caresser le clitoris , la réaction fut immédiate, Lydia murmurait des Oh Oui, OH oui et se détendit un peu.

Albert ressorti, remis un peu de crème , et retourna à l ouvrage , il alla sans doute un peu plus loin juste au bord du deuxième sphincter , Lydia hurla
C’est pas possible non c’est pas possible, vous me déchirez , bande de salaud, .
Elle pleurait , Mathilde non, non dis leur d’arrêter.
Mathilde lui caressait doucement les joues, lui faisait de bisous
-Courage Lydia, courage tu y es presque , tu es belle tu es une femme, moi aussi je l’ai fait , moi aussi j ai eu mal , mais tu vas voir après c est très bon , tu ne pourras plus t’en passer , aller fais un effort donne toi .
-Je ne peut pas j’ai trop mal
-Mais si tu peux , faut vouloir c’est tout et pour vouloir faut le dire, faut que tu le dise à Albert, aller dis le lui .

Je vais t ‘aider un peu tu te rappelle ce que tu m’as fait tout à l heure tu m’as pincer le sein cela m’as débloqué je dois te dire .

Albert ne bougeait plus , il maintenait la pression , sans l’augmenter , il se savait à un moment crucial , ne bougeant plus la douleur se calmait dans les entrailles de Lydia , elle commençait à se calmer.

Jean Denis l'observait attentivement, Mathilde derrière elle , bref elle était l objet de toutes les attentions , chacun l’encourageait . Mathilde repris.

Tu vois Lydia c est pas si terrible que cela ,

-Oui mai j’ai encore mal et il n’as pas tout mis c’est cela.
-Mathilde encore une fois lui mentis
Si il en as déjà mis pas mal , tu y es presque.
Alors qu’en fait il en restai beaucoup , mais Mathilde savait que passé un certain cap, on accepte la sodomie et qu’alors tout est plus facile.

Bon alors repris Mathilde, je vais te caresser les seins, tu aime cela n est ce pas
Oui j aime cela ,
Puis je vais te prendre les tétons et les pincer de plus en plus fort, cela vas te faire mal mais t’aider à accepter de te faire enculer. Mais il faut que tu lui dise c est toi qui doit lui donner l ordre de t’enculer tu dois le vouloir ce sera bien meilleur.

Mathilde entreprit de lui masser les seins , Lydia haletait doucement, bredouillant des j’ai peur, j’ai mal , Mathilde lui faisait des bisous dans les cheveux, en se rapprochant de ses tétons qu’elle finit par rouler entre ses doigts.

-Tu es prête Lydia , aller on vas y aller , et elle commença à lui pincer les tétons de plus en plus fort, Lydia s’arcbouta , Aller on t’écoute
On entendit à peine
-Encule moi Albert
Lydia relâcha un peu la pression sur les tétons
-Aller on as pas entendu on est 4 ici, on veut entendre ton dépucelage anal.
Lydia pris une grande respiration , elle était en sueur ,
Elle cria presque
-Putaing vas y encule moi
Mathilde lui tordis sauvagement les tétons , Lydia s’arcbouta et senti quelle s’offrait , qu’elle s’abandonnait , Albert senti le moment il ne fis pas dans le détail et l’enfonça d’un coup .

Lydia pleurait , gémissait, écartelée

Regarder regarder regarder moi, il m’as tout mis , il est dans mon petit cul , il me l’as péter , je suis enculée , ce faisant Jean Denis lui caressa le clitoris plus vigoureusement, son bassin se mis a trembler il arrêta , et ce fut comme un tremblement de terre cher Lydia ,
Non, non, non non, je jouis , je jouis, et Albert senti qu’il pouvait y aller il la bourra gentiment, et elle se mit à jouir

Elle délirait je jouis du cul c est pas possible je jouis du cul , putaing c’est bon.

Albert grogna un coup et la rempli une nouvelle fois,

Lydia , c’est bon, c’est chaud, c est bon j en veux encore .

Lydia était effondré sur le canapé, le corps animé de soubresaut , Mathilde au dessus d’elle la caressait doucement , lui faisais des bisous partout.

Tu as été belle , très belle, magnifique. le première fois c est un peu dur, mais tu vas voir tu vas apprécié de plus en plus. elle ne se rendait pas compte que Jean Denis prenait position derrière elle . quand elle senti l énorme gland de Jean Denis sur son anus elle fit Oooooo

-Regarde , regarde bien ma salope de Lydia moi aussi je vais y passer.

Lydia se releva pour regardez

Mathilde jetant ses mains en arrière se tenant les fesses à deux mains en les écartant , offrit à Jean Denis la vison de son Œillet intime.

-Vas y Jean Denis, encule moi , mais vas doucement quand même t’as un calibre.

Lydia vis aussitôt le rictus de douleurs sur le visage de Mathilde

Mathilde
-Putaing ce qu’il est gros , il me défonce . mais je sais que cela vas passer , Regarde Lydia, je lui tends mon cul , je lui donne , je veux qu’il me prenne , il vas me prendre entière, quand tu te fais enculer , tu te donne toute entière sans concession. VAs y Jean Denis encule moi .

Lydia ne put s’empêcher d’aller voir , avoir que Mathilde feulait de douleur elle vis l énorme queue de Jean Denis s’enfoncer dans son anus jusqu’à la garde.

Jean Denis s’arrêta , il ne pouvait aller plus loin, Mathilde commença à bouger son cul doucement.

Puis elle se lâcha

-Je suis toi jean Denis, je suis à toi , prend tout ce que tu veux, comme tu veux.

-Jean Denis ressorti complètement pour l’investir entièrement de nouveau.

-Putain je suis baisé, Lydia, regarde je suis enculée ,

S'en fut de trop pour Jean Denis

-T’en veux ma salope , hein dis le que t’en veux,

Oui vas y putaing mais vas y qu’est ce que t’attend , t’es un mâle ou merde?

Devant les yeux horrifié de sa copine Lydia , Mathilde tendait son cul au mâle , Lydia vit parfaitement qu’elle mettait son cul en l air , pour mieux se faire prendre.

Ce fut du délire , jean Denis la défonça Méthodiquement pendant au moins un quart d’heure, Mathilde Ahanait, geignait , l encourageait entre deux orgasmes, on l entendait crier, des
Encore, Encore

Finalement jean Denis la chopa par les hanches, se ficha en elle , en hurlant , on voyait au contraction de son corps d’athlète qu’il se vidait au fond de ses entrailles .

Mathilde criait

Oui Ouiiiii c’. est bon encore, encore .

Jean denis se dégagea , la queue flasque pendante, , Mathilde roula sur le canapé secouée de spasme .

Elle appela Lydia qui vint se lover sur elle.

Les deux femmes se serrait les unes sur les autres ,
On as été enculées on as été enculées toutes les deux par des monstres . .

Et elle remirent à rire de ces rires un peu fou qui termine une apogée de sensations.

Les garçons aussi se mirent à rire , et félicitèrent les femmes pour leur courage .

Mathilde conclut

Tout le monde a rendu tout le monde heureux .

Quelques jours plus tard , alors que Mathilde descendait ses poubelles , elle rencontre Lydia ,

-Tu marche bizarre lui dit elle en riant .
et l autre de rétorquer
-T’as pas vu comme tu descend l escalier t’es toute de travers.

Putaing on as reçu quand même ….

Je te dis pas lui raconte Lydia , Mon mari Joseph est arrivé tard dans la nuit de vendredi , une semaine sur les chantiers sans femmes il était gonflé à bloc . Cela fait des années qu’il voulais mon petit cul , t’as raison tous les hommes veulent cela , j ai fini par lui donner , ohhh je pensai juste pour lui faire plaisir . Bah en fait j ai pris un pied pas possible , t’as raison c est vraiment très bien de ce coté . Et lui il m’as vraiment foutu la frousse , il as tellement joui qu’il est tombé sur le coté comme une masse j’ai eu peur qu’il fasse un infarctus. Et en éclatant de rire .. Et il m en as remis un coup dans la cuisine au petit déjeuner .

C est promis cette semaine je ne fais rien , je me repose , je ne fais pas les courses à Carouff
Mathilde
-Moi pareille je suis défoncée , alors repos , mais viens boire le thé si tu as envie …….
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Histoire de micchel1954

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