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Mathile et son jeune amant.

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 27/11/2023

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Loïc abandonne, c'est études, il ne poursuivait pas ses études, ce sont les études qui le poursuivaient. Il trouve rapidement un emploi, pour une boulangerie, il livre le pain. Pendant sa tournée, très souriant, il a toujours un mot gentil pour sa clientèle, généralement féminine, au fil des jours, elles trouvent ce jeune homme sympathique, et blaguent avec lui.
Ce jeune adulte, sait toujours trouver les mots flatteurs pour ses clientes. Un jour, en fin de tournée, il flashe sur Mathilde, une nouvelle cliente. Cette femme mûre le trouble tellement qu'il est sans voix devant elle. Mais Le jour suivant, les deux échangent quelques mots. Plus les jours passent, plus les deux bavardent de plus en plus longtemps. Maintenant devant elle, Loïc prend plus d'assurance, il sait trouver les mots qui la font rire. Peu à peu, Mathilde éprouve un sentiment plus fort que de la sympathie, et cela la stresse horriblement. Chaque matin, elle attend l'arrivée de la camionnette du boulanger avec impatience, lorsqu'elle l'aperçoit, son estomac se noue, son cœur se met à battre très fort dans sa poitrine.


Lorsqu'il lui rend la monnaie, sûrement volontairement, il lui frôle la main. Mathilde frémit, elle déglutit fortement, ses yeux pétillent, elle est si troublée qu'elle tremble en rangeant sa monnaie. Quelque chose de terrible se passe en elle. Loïc admire cette femme dont il est éperdument amoureux, il lui sourit comme un enfant qui regarde sa maman tendrement. Mathilde ressent en elle une attirance incompréhensible pour ce jeune homme. Un jour, Loïc prend son courage à deux mains et lui avoue qu'il l'aime, elle n'y croit pas trop. Un jour, elle l'invite à boire un café, pendant de longues minutes, il lui tient ma main, la caresse, donne d'innombrables baisers dessus. Mais avant de se séparer, il l'enlace et lui donne un baiser sur les lèvres, Mathilde sursaute, mais ne refuse pas le baiser, les langues se cherchent, se nouent, le baiser dure un long moment. Mathilde de ressaisit en dit en béguant :

-Oh comme j'ai honte, j'aime mon mari, ouh la, la, c'est une chose qui ne doit plus se reproduire Loïc !


Un peu déçu, Loïc sort de la maison et redémarre. Depuis cet instant, Mathilde passe des nuits sans sommeil, des jours de stressent. Sa vie devient un enfer. Chaque jour, il la salue en lui donnant un baiser qui dérape souvent jusqu'à la commissure des lèvres. Elle est tellement troublée, que c'est avec les yeux pleins de larmes, qu'elle en parle à son mari. Jean est un homme bon, il adore sa femme, il l'écoute avec attention, l'enlace, l'embrasse et lui dit :

- Mais toi, tu l'aimes ?


Mathilde répond en éclatant en sanglot :

-Je deviens folle Jean, je crois que oui ou cela y ressemble !


Jean croit recevoir un coup de poignard, il dit avec la gorge nouée :

-Mais il pourrait être ton fils, tu le réalises ça ma chérie, tu as soixante-cinq ans !


C'est en reniflant fortement qu'elle dit :

-Oui, je le sais, mais depuis quelque temps, il me rend folle, que dois-je faire Jean, regarde dans quel état je suis !


Elle tend ses mains, elles sont tremblantes. Jean, en bon mari, tente comme il peut de lui, faire entendre raison, et dit :

-Demain, c'est moi qui sors chercher le pain, tu verras tout s'arrangera, je te remercie pour ta franchise mon amour !


Jean attend la camionnette, elle arrive. Loïc stoppe à sa hauteur, les deux hommes se saluent, Jean poliment demande à Loïc de rentrer pour discuter avec lui. Loïc accepte et suit Jean. Il l'emmêne au salon ou Mathilde y est, elle serre les poings, elle regarde Loïc, ses yeux sont rouges. C'est jean qui entame la conversation :


-Mathilde, m'a tout raconté, et cela est un vrai dilemme, vous vous aimez, je le conçois, mais moi, dans tout ça, qu'est-ce que je deviens, je vous laisse, je vais faire un tour, pour que vous preniez une décision, je vous assure que le la respecterai, si vraiment vous vous aimez, je m'effacerai bien que cela me sera douloureux, je pense que vous serez raisonnables !


Jean sort, de la maison, mais passe derrière, il entre discrètement par la porte qui donne sur le jardin et approche à pas feutrés vers la pièce dans laquelle se trouvent les deux amoureux. Il se place dans un recoin ou il peut tout voir sans être vu. Loïc se laisse tomber sur le canapé près de son amour. Les deux se regardent longuement, ils se cherchent les mains, les pressent fortement. Loïc lui dit en là, se blottissant contre elle :


-Mathilde, tu es entrée en moi par un coup de foudre, je ne remercierai jamais le ciel pour cela, je suis dingue de toi, je veux que tu sois à moi !


Mathilde regarde Loïc, elle est tendue comme un arc, elle répond :

-Mais tu es fou Loïc, je ne peux être à toi, j'aime mon mari, autant que toi, et cette situation, me rend folle !


Loïc l'enlace, il l'embrasse fougueusement, Mathilde ne repousse pas son amoureux, plus il la désir, plus elle est fébrile. La main du jeunot se pose sur sa cuisse, et lentement passe sous la jupe. Mathilde se cabre et saisit la main baladeuse en disant :

-Sois raisonnable, mon chéri !



Loïc sursaute et lui répond :

-Tu m'as appelé mon chéri, donc tu m'aimes, ne résiste pas à notre amour, il est si fort !


Mathilde éclate en sanglots, Loïc cherche ses lèvres, l'embrasse, en la basculant sur le canapé. Jean a les yeux écarquillés, ravale sa salive en observant le couple. Sa main glisse sur sa cuisse jusqu'à l'aine, il sent sous ses doigts le tissu de la culotte. En lui caressant le ventre, sa jupe remonte en découvrant ses cuisses magnifiques. En ne quittant pas ses lèvres, il plaque sa main sur l'entrejambe et le caresse de base en haut de nombreuses fois. Mathilde geint doucement. Elle voudrait repousser Loïc, mais une voix intérieure l'en empêche. Sa culotte s'humidifie de plus en plus. Jean serre les dents pour ne pas intervenir. Loïc se redresse et se place face à Mathilde, il lui retrousse complètement la jupe et lui saisit la culotte. Habilement, il la fait descendre le long des jambes de la femme qu'il convoite. Mathilde n'a même pas la force de résister. Lentement sa vulve apparaît, sa fente suinte. La culotte est à mi-jambes. Loïc, impatient, lui donne de nombreux baisers sur l'abricot trop mûr. Mathilde se cambre en décollant ses fesses du canapé, elle ouvre, les jambes à moitiés, la culotte empêche de les ouvrir plus. Inconsciemment, elle agite son bassin pour aider à la descente du tissu.


Jean ne quitte pas des yeux les deux amants, une érection commence à déformer son pantalon. Sa femme chérie, devenue infidèle, se livre à son amant, sans savoir qu'il les observe. Enfin la culotte est sur le sol, Loïc se redresse et ouvre le corsage et dégrafe le soutien-gorge. Mathilde est entièrement nue devant son amant, qui s'agenouille face à elle. Machinalement, Mathilde ouvre les jambes et ferme les yeux. Pas très consciente de ce qu'elle fait, elle se cambre en décollant ses fesses du canapé. Loïc plaque sa bouche sur la vulve, qui ne cesse de sécréter de la cyprine. Le jeune amant aspire le jus suave et l'avale. Mathilde gémit de plaisir, la langue de son amant, s'enfonce profondément dans son temple. Mathilde défaille, elle agite doucement son bassin en divaguant :


-Oh mon chéri, comme c'est bon, tu me fais mourir, oh mon Dieu, je suis une catin, Jean, Jean, pardonne-moi mon chéri !


Le membre de Jean devient raide, tout en regardant sa femme se faire dévorer la vulve, il la sort de son pantalon et la branle pour calmer l'affut de sang qui gonfle la hampe. Sa femme se tortille, elle gémit, jusqu'à ce qu'elle jouisse. Jean reconnait que sa femme est une bonne jouisseuse. Il envie son jeune amant, mais n'intervient pas, il veut en voir plus. Sa verge est douloureuse. Loïc, lui gobe le clitoris et se met à le sucer avec une telle sauvagerie que Mathilde hurle de plaisir. La coquine Jouit une seconde fois en se cambrant davantage. Loïc baisse son pantalon, le jeune amant bande terriblement. Il place son engin contre la vulve détrempée et l'enfonce aisément dans le conduit gorgé de cyprine. Mathilde s'accroche à Loïc en geignant fortement. Les coups de bélier qu'il donne, la font hurler de plaisir. Mathilde est très expressive pendant l'acte d'amour. La vitesse de pénétration augmente, Mathilde et au bord de la syncope. Elle pousse un cri presque inhumain en jouissant. Le jeunot continue de la défoncer en grognant comme une bête. Il se raidit et envoie dans le ventre de son amour, sa crème onctueuse. Les deux amants restent soudés encore un bon moment sans bouger.



































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Histoire de lounabelle

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