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Constance ou la pièce sombre:: les bonus

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 20/11/2023

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CONSTANCE OU LA PIECE SOMBRE
LES BONUS

BONUS 1
On était devant la chambre noire. Pas celle où l'on développe les photos. Quoi qu'on aurait pu installer un coin pour développer.
--Alors, le jeu, c'est très simple...Tu as deux possibilités pour trouver la clef cachée sur moi. Si tu y arrives en deux coups, je réaliserai une de tes envies. Sinon, ce sera l'inverse.
Il fallait être vraiment bon. Un peu de stress quand même. Mais ; même si je perdais, ce serait un moment agréable.
Elle portait une jolie robe noire, fluide, mais collante en même temps, qui soulignait, comme tout ce qu'elle portait, ses charmes.
--Allez, on va faire une première tentative.
Je l'ai contournée, et je suis venue soulever sa robe. Dessous, elle avait un collant à même la peau, le lycra tendu par ses fesses. Je l'ai descendu, la mettant à nu. Le sillon entre ses fesses était tellement profond que j'imaginais bien que la clef pouvait se trouver là. J'ai posé mes mains à plat au milieu de sa croupe, et je l'ai ouverte...Bon, la clef n'était pas là. Une première possibilité qui s'évanouissait. Il fallait tenter autre chose.
Elle pouvait l'avoir glissé dans son minou, mais j'étais d'avis que c'était une hypothèse trop facile, et qui ne correspondait pas forcément à la réalité.
La veille, elle avait des bottes. Elle aurait pu y glisser quelque chose, mais aujourd'hui, elle avait des escarpins avec des talons, et la matière était totalement transparente, donc impossible.
Son échafaudage de cheveux, par contre, c'était une bonne possibilité. La clef pouvait être planquée au milieu de ses cheveux.
J'ai attrapé l'épingle large qui maintenait leur échafaudage sur son crâne et j'ai glissé les mains au milieu de la masse sombre.
J'avais gagné.
--Bon, je ferai ce qui te fera plaisir.
Cinq minutes plus tard, on était dans la pièce sombre et, respectant mon scénario, elle faisait monter et descendre ses seins, qu'elle tenait réunis autour de ma queue, bloquant et donnant des coups de langue sur mon gland quand ma queue remontait assez haut. J'avais l'impression qu'à chaque caresse supplémentaire, je devenais encore plus gros, plus épais, et le plaisir était aussi fort que j'avais pu l'imaginer. La cravate de notaire, c'était un rêve que j'avais pu avoir, mais Constance était ma première partenaire qui avait une poitrine suffisamment volumineuse pour que ce soit réalisable.
Elle a eu un petit rire.
--C'est agréable d'avoir une queue au milieu des seins, surtout quand on la sent grossir et s'allonger à chaque mouvement. C'est gratifiant, et puis une queue énorme, c'est excitant, mais aussi un bel hommage. C'est la preuve que je caresse bien.
--Tu sais ce qui me fait envie comme suite...
--On va essayer.
Elle m'a dégagé, s'est calée différemment, et a amené ma queue au cœur de son chignon. J'en rêvais depuis le début. Sensation inédite, celle d'une caresse douce autour de ma queue. Agrégés ainsi, ses cheveux, souples quand ils n'étaient pas attachés, représentaient une masse suffisamment compacte pour que ce soit une caresse efficace.
--Si tu jouis dans mes cheveux, il va falloir que je me trouve une serviette pour les essuyer après...Tu me vois finissant la journée avec du sperme dégoulinant régulièrement de mon chignon...
Elle s'est rendue compte qe c'était trop tard et que, déjà, ma semence jaillissait dans ses cheveux. Elle a ri.
--Heureusement que j'ai du linge dans la voiture. Mais c'est une sensation agréable. Il faudra recommencer.

BONUS 2
--Sympa, ce petit jeu, je ne m'en lasse pas, j'ai dit, alors qu'on se retrouvait devant la pièce.
--Tu as toujours deux chances.
--Je n'en aurai besoin que d'une.
J'ai retroussé sa jupe. Rien dessous sauf des bas stay-up. Elle avait tourné sur elle-même, me les montrant plus tôt dans la journée, et j'avais pensé que ce pouvait être un indice. Il y a dix mille jarretières différentes pour les bas stay-up. Et j'avais remarqué que le tissu était sombre et la jarretière très large.
La gauche non, la droite, oui.
--Tu sais lire les indices, tu ferais un bon détective.
Deux minutes plus tard on se calait selon le schéma que j'avais imaginé. Elle avait enlevé sa jupe, le ventre nu, mais gardé le haut. Ce n'était pas une demande de ma part, qu'elle garde le haut, mais j'avais trouvé cela excitant. Elle est venue se percher sur moi, a attrapé ma queue, et elle l'a guidé vers sa muqueuse anale. Mon gland contre ses plissements intimes, et elle m'a fait rentrer en elle d'un mouvement de ventre, m'avalant aux trois-quarts.
Elle a attrapé l'objet que je lui avais tendu. Prêt si je gagnais. J'avais acheté la veille un énorme coffret de godes en promo sur un site, parce que je voulais la voir jouer avec.
Un simple vibro, violet, avec un bouton on et off, oblong, basique, mais bien suffisant pour avoir du plaisir. Elle l'a mis en marche, et elle l'a fait glisser entre les lévres de son sexe que l'excitation commençait à dilater. Le plastique a disparu au cœur de sa chair, avec juste la base, et un peu plus, qu'elle a gardé hors d'elle, pour maintenir le vrbro et le faire aller et venir en elle.
On est parfois déçu de ce qu'un fantasme peut donner dans la réalité.
Ou pas.
C'était comme je l'avais rêvé, extrêmement excitant de voir ma queue aller et venir en elle, poussée par ses mouvements et les miens, et le gode suivre une trajectoire identique, mais pas parallèle. Je sentais sa muqueuse anale se dilater et s'ouvrir, et je voyais son sexe se dilater aussi, son intérieur visible autour du gode, ses lèvres se gorger de sang et s'épanouir le long du morceau de plastique, et ses liquides tout inonder, du gode à l'objet de plaisir.
--C'est fou, elle m'a dit, j'ai jamais fait ça avant...Qu'est-ce que c'est bon...
La sensation la plus surprenante que j'ai pu expérimenter, ça a été de me rendre compte que la peau qui séparait son anus de son vagin, pour elle comme toutes les femmes bien évidemment, était très fine, et que je pouvais sentir contre ma queue la queue artificielle. C'était excitant et sans doute pas autant pour elle que d'être remplie par deux queues, même si l'une d'entre elles n'était pas réelle, deux queues se frottant au travers d'elle. L'imagination faisait le reste.
C'est d'ailleurs pour cela qu'elle s'est mise à jouir, d'une de ces jouissances, qui disaient, à présent que je la connaissais mieux une excitation et un plaisir intenses. Et généralement, il y avait un effet de contagion, elle m'emportait dans sa jouissance, qui prenait les mêmes nuances que la sienne.

BONUS 3
--Tu as toujours deux options, je te le rappelle. Pas une de plus.
Prévoyait-elle ce qui s'est produit dans les secondes qui ont suivi? Elle m'a bien dupé, au final.
Elle avait une robe à volants, très courte. Dans la salle de travail, elle s'était assise face à moi, hyper audacieuse, la jupe était remontée naturellement, et elle avait ouvert les cuisses pour me faire voir ce qu'elle avait dessous. Pas grand chose, hormis une paire de bas. Et une absence de culotte qui lui permettait d'offrir son sexe à mon regard. Elle avait pris des risques, parce qu'il y avait du monde autour de nous. Ou pas...Il suffisait de savoir refermer les cuisses au bon moment.
Il fallait que je trouve cette fichue clef. Je ne pensais pas qu'elle se l'était fourré dans la chatte, parce que je n'avais rien aperçu, et même si elle l'enfonçait profond, la clef avait tendance à glisser et ressortir. J'ai défait son chemisier. Dessous elle avait un soutien-gorge de satin bleu. J'ai glissé mes doigts dans le sillon profond entre ses seins, mais aussi exploré les bonnets. J'avais trouvé la clef là une fois.
Il me restait une chance.
Je suis parti sur ses fesses. Elle avait déjà glissé la clef plusieurs fois dans son sillon, dont je sentais bien cette option.
Si je ne trouvais pas, pour la première fois, elle pourrait réaliser son fantasme.
J'ai glissé les doigts dans son sillon, appuyé sur ses fesses pour avoir une vue intégrale de son intimité, mais il n'y avait rien non plus.
--Tu connais l'histoire de la lettre volée ?; elle m'a demandé. Le texte d'Edgar Poe.
--Ca me dit quelque chose.
--L'idée c'est de laisser quelque chose bien en évidence, tellement en évidence qu'on ne le remarque pas. On n'a pas vraiment l'habitude de regarder autour de nous.
Je n'avais pas remarqué qu'elle gardait une main fermée. Elle l'a entrouverte et j'ai pu apercevoir la clef, nichée dans sa paume.
--Je savais que tu ne gagnerais pas toujours.
On était dans la pièce sombre quand elle a sorti d'une poche intérieure de la veste qu'elle portait en haut un objet comme je n'en avais encore jamais vu. J'ai d'abord penché que c'était un simple gode, mais je me suis rendu compte que c'était plus que ça. Il représentait effectivement une bite, de couleur ocre, une bite fine mais en même temps bien épaisse, et en bas de cette bite, il y avait une boule, qui aurait pu représenter une paire de couilles s'il y en avait eu mais qui était décalée, liée à la queue par une sorte de languette.
--C'est un objet que j'ai découvert il y a peu de temps. Tu vas voir, c'est magique.
Ca l'était, effectivement. Elle l'a amené contre son ventre et elle a glissé la boule, qui en fait servait de socle dans sa chatte. Ca permettait de stabiliser la queue. J'ai pensé un instant que c'était hasardeux, mais j'ai compris dans les minutes qui ont suivi que la boule devait être conçue pour s'adapter à toutes les chattes quelles qu'elles soient et assurait un parfait ancrage pour le pénis artificiel. Le collatéral, c’était que, alors qu'avec un gode ceinture classique, la queue de plastique reposait contre les lèvres et le gland clitoridien, procurant du plaisir à chaque mouvement, le plus intime soit-il, le socle était directement dans le sexe, et je concevais bien, à défaut de pouvoir l'essayer, que le plaisir était encore plus fort dans les profondeurs de la muqueuse.
J'en ai eu la confirmation, et l'application concrète, quand elle m'a dit:
--Masturbe-moi comme tu masturberais un garçon.
Je suis venu sur elle, un peu hésitant, avec peu de confiance en moi. J'avais bien compris qu'elle voulait que je lui donne du plaisir. J'ai encerclé sa queue factice comme j'aurais pris la mienne quand je voulais jouir seul. Elle a eu un lèger frémissement, alors même que j'avais à peine touché la queue, qui a été un bon indicateur. J'ai entame une caresse très lente, une manière de prendre mes marques. Le résultat, sur elle, a été au-delà de mes espérances. Cela faisait maintenant deux mois que notre relation s'était développée, épanouie, qui faisait qu'on était très souvent ensemble, hors d'ici, même si la pièce sombre restait un de nos points de focalisation par l'attirance trouble qu'elle exerçait sur nous. Il y avait quelque chose, une atmosphère qui nous tenait ici, quelque chose qui flottait dans l'air, la présence des couples qui étaient passés par ici, comme d'autres nous succéderaient, c'était une évidence. Mais je ne l'avais jamais vue éprouver un plaisir aussi fort, quelque chose de plus intense, de plus total. En un sens c'était normal dans la mesure où le bloc de plastique en elle caressait l'intégralité de l'intérieur de son sexe, et pas seulement une zone limitée. Il y a d'abord eu un simple jet de mouille qui est sorti, dans le coin gauche, en bas de sa chatte, et puis ça s'est mis à déborder de partout. Un Niagara de mouille, que la présence du socle en elle n'empêchait pas de mouiller. C'était troublant de la masturber comme un homme, alors même qu'elle mouillait comme une fille, et ce qui a été troublant aussi, ça a été de la voir jouir si fort, Elle s'est mise à crier, mais on avait testé, inquiets, une autre fois, et constaté que les parois avaient été insonorisées. Et en criant, le corps secoué de spasmes, elle a craché des jets crémeux, liés chez elle à une jouissance très forte.
Le gode restait planté en elle, et je dois dire qu'à ce moment, j'ai eu un dessin très précis, une anticipation de ce qui allait m'arriver dans les minutes qui suivaient.
Elle a souri, parce qu'une fois encore, dans cette conjonction qui était la notre, elle a lu dans mes pensées.
--Tu t'es déjà fait enculer ?, elle m'a demandé.
--Je n'ai eu de relations qu'avec des filles, je lui ai répondu.
--Tu n'as pas besoin d'un homme pour te faire enculer, tu ne crois pas, elle a dit, en désignant le membre de plastique.
--Je n'ai été qu'avec des filles trop sages, j'ai répondu.
--Heureusement que tu m'as trouvé sur ta route.
L'opportunité m'excitait terriblement, elle l'a bien remarqué.
--Petit cochon, tu en as envie, hein. Je ne t'ai jamais vu aussi gros ni aussi dur.
Et c'était vrai, quand elle m'a défait, et descendu mon caleçon, ma queue est venue se coller contre mon ventre, et j'étais gorgé de sang. Ce qui me plaisait ce n'était pas tellement de me faire sodomiser proprement dit, mais que les rôles soient échangés. D'habitude, c'était moi qui venais me loger en elle.
Si je n'avais eu qu'une seule raison de rester avec elle, mais j'en avais plein d'autres, c'était ça...Qu'elle me propose de partir sur des chemins que je n'avais jamais empruntés.
--Si ça te plaît, on recommencera. Je sais que les hommes n'aiment rien plus que de jouir par le cul. C'est, contrairement à ce qu'ils pensent, leur partie la plus sensible, et pas la queue.
Elle a extirpé d'une autre poche un tube de crème.
--C'est de la lidocaïne, pour pas que tu aies mal quand je vais te sodomiser. Après quand tu seras habitué, tu n'auras plus mal. Ca rentrera tout seul. Ton anus sera souple. Mais je vais déjà l'assouplir autrement. Et te faire découvrir le plaisir.
Elle m'a poussé en arrière. J'ai basculé sur le dos sur le lit. En même temps qu'elle masturbait ma queue dans un mouvement lent, elle est venue coller sa langue sur ma muqueuse anale. C'était sûr, pas beaucoup de filles auraient fait ça.
Je lui avais déjà fait des analingus, elle en avait eu énormément de plaisir, mais j'avais le sentiment que pour un homme c'était plus fort.
Dès les premières caresses, souples et habiles, de la langue, le plaisir a été très fort. Je n'ai pas pu m'empêcher de gémir. Elle avait raison. Une langue sur sa muqueuse anale, c'était très fort, et je savais d'ores et déjà que, si elle devait me demander à l'avenir si je préférais qu'elle vienne sur ma queue ou sur ma zone anale, le choix serait vite fait.
Elle m'a travaillé un moment, et j'ai effectivement senti que je m'assouplissais, que je m'ouvrais. Avec une idée fixe en tête, qu'elle me prenne, et me fasse découvrir un plaisir encore plus fort.
Elle a déposé une noisette de la pommade au bout de son doigt, et elle est passée sur ma muqueuse. Deux secondes plus tard, avec un sourire de bonheur, elle est venue appuyer la tête du gode contre moi. Je n'ai rien senti, aucune douleur, quand la queue a commencé à rentrer en moi, aucune douleur, la lidocaïne sans doute, mais alors qu'elle glissait en moi, le plaisir du frottement du membre postiche contre mes chairs intimes a été par contre une réelle source de plaisir, et d'un plaisir intense.
Je comprenais bien que ce n'était pas la première fois qu'elle prenait un homme ainsi et qu'elle aimait ça. Sa chatte était dilatée, et on voyait maintenant, ce qui n'avait pas été le cas au début, une grande partie du socle en elle. Elle a avancé aussi loin qu'elle le pouvait, S'arrêtant lorsqu'elle a été bloquée.
Elle s'est figée. Poussant un soupir. Dans le processus, et parce que le plaisir avait été plus fort par mon cul, ma queue avait largement dégonflé.
--C'est toujours la même chose. C'est tellement intense par le cul que vous débandez...On va arranger ça.
Elle a tendu la main vers ma queue, et elle m'a masturbé doucement. Alors même que ma queue retrouvait très rapidement sa splendeur, elle s'est mise à bouger lentement en moi. Il y a eu une sorte de moment particulier où les deux plaisirs, celui de la main qui me caressait, et de la queue en plastique qui bougeait en moi se sont équilibrés.
--Ca va être de plus en plus fort dans les minutes qui vont suivre, elle m'a prévenu.
Je n'avais encore rien vu. Elle s'est mise à bouger en moi, et j'ai vite perdu le contrôle, gémissant de plaisir. Tout ce que j'avais vécu avant avait été bon, mais sans doute pas autant que ça, et je savais que, dans les jours et les semaines qui suivraient, non seulement je lui demanderais de me sodomiser encore, mais sans doute que je trouverais un moyen de prendre du plaisir tout seul, avec un gode. C'était...Du plaisir à l'état pur.
Mais pour elle aussi c'était du plaisir. Je ne savais pas ce qui la séduisait le plus, si c'était l'idée d'enculer un homme, le plaisir, parce que, même si elle n'avait pas une vraie queue, elle se prenait du plaisir en retour, de plein fouet.
J'ai senti un orgasme monter. Un orgasme très différent de ceux que j'avais pu ressentir jusqu'alors. D'abord parce que son point de départ était localisé dans une autre partie de mon corps qu'à l'accoutumée. Clairement autour de ma zone anale...Je n'ai rien fait pour le retenir, et j'ai été surpris, alors qu'il montait en moi et y explosait, qu'il puisse être aussi puissant. J'ai crié en jouissant. Surpris que mon sperme ne jaillisse pas...Je n'ai compris que plus tard que c'était logique.
Ca a été un moment très particulier. Elle a continué à me fouiller, me donnant l'impression d'aller de plus en plus loin dans mes chairs. Elle a crié :
--Putain, je suis entrain de jouir...
S'interrompant un instant, la queue artificielle plantée en moi, tendue devant moi, encore plus belle à ce moment, lâchant une sorte de cri rauque. Si elle avait eu une vraie queue, elle aurait craché du sperme en moi, et c'est ce qui me manquait sans doute. Mais c'était déjà bien comme ça.
Elle s'est remise à me besogner, avec plus d'intensité, et j'ai joui à nouveau, enchaînant plusieurs orgasmes comme ça ne m'était jamais arrivé...Elle s'est penché sur moi et a attrapé ma queue, me masturbant vivement. Après avoir dégonflé, j'étais resté bien dur et j'ai eu un orgasme, cette fois localisé autour de ma queue, d'une rare puissance, en harmonie avec mes orgasmes précédents, crachant des litres de sperme, comme s'il y avait eu une réserve secrète en moi, qui attendait de se libérer.
Elle a fait glisser la queue artificielle hors de moi. J'aurais voulu qu'elle me baise encore.
--Tu as goûté un nouveau plaisir, elle m'a dit, et je suis convaincue que tu as envie d'y revenir. On a le temps. L'éternité est pour nous.





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Histoire de JamesB

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