ACCUEIL > Lesbiennes > Récit : Mathlide_2

Mathlide_2

+14

Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 3 - Histoire postée le 06/02/2024

Découvrez les filles coquines près de chez vous :

Après avoir redécouvert le plaisir du sexe lors d’un voyage en Tunisie , complété par une livraison de tapis à son domicile par deux tunisiens bien dévoués à son égard qui lui avait fait grand plaisir,

La vie reprit son cours normal , oh pas tout à fait normal pour Mathilde beaucoup de choses avaient changées , comme de regarder plus attentivement le rayon lingerie au Carouff du coin, comme se déshabiller devant le miroir , se regarder , voir avec déplaisir qu'elle était plutôt du genre légèrement enveloppée, mais finalement de se dire que même si elle ne ressemblait pas à une poupée de magazine , et bien des hommes avaient eu envie d’elle, et cela avait été un des plaisirs de sa vie.

Tiens en parlant de magazine , il faut que je pense à les rendre à ma voisine….

Et puis il y avait ces nuits, ou l’envie revenait , l’obligeant à se caresser jusqu’au plaisir , mais même si c’était bon, cela lui laissait toujours une impression de manque , de manque d’un mâle puissant qui la secoue, la domine.

-Bon aller assez tergiversé, je vais rendre les magazines à ma voisine . Sa voisine Lydia , une belle femme un peu forte aussi dans la cinquantaine, avec de très gros seins, un mari sympathique, gentil, toujours dévoué , toujours là pour aider.

Alors qu’elle s’apprêtait à sonner , il lui sembla entendre des bruits dans l’appartement , interloquée Mathilde attendit, écouta plus attentivement, elle crut d’abord à un problème de respiration , car elle entendait une respiration haletante, mais non, il ne pouvait y avoir de doute , cette respiration haletante, était celle d’une femme prenant du plaisir.

Elle crut entendre un gémissement et

-Ooooooh salaud tu me défonce , vient dans la chambre.

Fébrilement elle posa les magazines devant la porte et partit , sentant l’humidité entre ses jambes.

Bien une heure plus tard , alors qu’elle faisait la vaisselle, elle vit sortir un des vigiles de Caroufff , un black immense , presque deux mètres de haut , dans les 100 kg , de prime abord elle ne prêta pas plus attention à cela .

Dans la soirée , la sonnette de son appartement retentit.

C’était la voisine ….

Ha Mathilde tu es venue me rendre les magazines.
-Oui entre

T’aurai du sonner et rentrer on aurait bu un verre

-En bredouillant , Mathilde répondit Heu je n ai pas osé te déranger .

Lydia marqua un temps d’arrêt , rougi

Ha je comprend , nous sommes des amies n’est ce pas , des femmes qui se connaissent.

Oui , cela fais des années que l’on se connait.

Et Lydia d’expliquer
Tu sais mon mari a eu une grosse promotion et une belle augmentation de salaire, il est maintenant un chef de chantier très demandé, et donc il part souvent pour plusieurs jours ou la semaine.

Mathilde sentant l’heure des confidences arriver lui prit la main en disant.

-Je comprend Lydia , ce ne doit pas être facile seule la semaine comme cela, tu peut passer me voir quand tu eux je suis seule aussi tu le sais.

Lydia s’effondra en larme à ces mots ,
en sanglotant elle ajouta

Je n’aurai pas du, mais c’est arrivé par hasard , il y as presque un mois, je faisais mes courses à Carrouff, j’avais finis , j ‘étais seule avec mes deux sacs , il pleuvait , alors que je m’apprêtais à sortir du magasin, j’ai entendu une voix derrière moi , le vigile , le grand , le black Jean Denis, me dire.

Attendez, attendez , madame, j’ai finis mon service , je vais vous aider à porter vos sacs.

Il pleuvait à torrent on est arrivé à la maison complètement trempé, il as posé les sacs sur la table de la cuisine, mon chemisier mouillé me collait à la peau et mes seins refroidis pointait au travers, je me suis senti bizarre.

Je voulais lui offrir à boire pour le remercier.

ET puis et puis je ne sais pas ce qui s’est passé, un moment d’oubli , je ne m’excuse pas , je ne sais pas ,

Ses mains était sur mes seins et me les massait , il me titillait les tétons , je me suis laisser faire , avec douceur il m’as dit il faut enlever votre chemisier , vous aller attraper froid, il m’as aidé à l ‘enlever , il a dégrafé mon soutien gorge et je me suis trouvée dans la cuisine , mes gros seins à l air, qui pendaient , il s’est jeté dessus comme un nourrisson , me les tétait , mordait,

Il m’as dit

-Cela fait bien des fois que je vous voie faire les course , j’ai toujours admiré votre poitrine , j’ai envie de vous Lydia.

-Le reste, le reste .

Mathilde lui caressa la main doucement

-Dis moi Lydia, dis moi , cela vas te faire du bien.

-On as finis sur le canapé , je ne sais pas , je ne sais plus , j ai finie toute nue , lui aussi , c’est à ce moment que j ai vu son sexe, je me suis dit c’est pas possible , je connais celui de mon mari , mais là pas de comparaison possible , énorme, large, long, dur comme une trique.

-ET puis et puis dit Mathilde qui mouillais comme une folle, excité par l histoire.

-Je ne voulais pas aller jusque là , je me disais tu trompe ton mari qui travaille, c est pas bien,
Mais en même temps j’ai ouvert les jambes, j étais assise sur le canapé ; il était à genoux devant moi , à peine il s’est présenté , j’ai senti mes lèvres qui me tiraient tellement il est gros, écartelée j ‘étais , et puis j ai jouis tout de suite , et puis il a commencé à rentrer en moi et j ai joui encore et encore , alors qu’il ne faisait que me pénétrer pour la première fois . Après je ne sais plus , j ai pleuré, gémis jouis, encore et encore . Et puis il m’as inondé carrément en grognant.

Il m’as remercié beaucoup me disant que c’était vraiment très bien . Il s’est rhabillé, et est parti, je suis resté un bon moment nue sur le canapé , des flots de sperme s’écoulait de moi , heureusement que je suis ménopausée, je ne risque rien.

Depuis je ne peut plus m’en passer , je lui demande à quelle heure il finit , et je fais mes courses à ce moment là , et il me raccompagne, il me prend de manière de plus en plus sauvage, et j aime cela. aujourd’hui j ai même fais les courses sans culotte , et il m’as défoncé dans l entrée de l appartement c’est ce que tu as du entendre.

Mathilde lui caressa les cheveux et dit
-Ma pauvre chérie , c est une bien belle expérience , malgré ton mari et les sentiments qui t’assaille vis à vis de lui.

Lydia tourna la tête , les larmes au yeux, les visages des deux femmes se rapprochèrent , dans le silence des acquiescement, leur lèvres se joignirent. D’abord timide, juste lèvres contre lèvres, puis plus appuyée, et enfin les langues se cherchèrent et se trouvèrent.

Mathilde susurra
-Il n’y as pas de mal à se faire plaisir et à en donner. Moi aussi je veux profiter de tes gros seins .
Lydia
-Je dois avouer que parfois je regarde tes fesses.

Ce fut lent , doux et puissant , elle finir toutes les deux sur le lit, chacune mangeant l autre , se donnant du plaisir des orgasmes, comme seule les femmes savent se donner car d’instinct une femme sais ou aller pour donner du plaisir à une autre femme.

Les étreintes passée , elles n’osaient pas se regarder en face , au moment de se quitter , enfin elle se regardèrent , avec la même impulsion elle s’embrassèrent à pleine bouche . et se quittèrent en éclatant de rire.
-Nous sommes des sœurs de sex maintenant.



Quelques temps plus tard , Mathilde vis Lydia sortir de cher elle avec son sac de course, prise d’une impulsion elle se rua sur le sien et derechef pris la direction du Carouff.

Mathilde troublée, ayant déjà fais ses courses le matin , ne sachant trop quoi prendre , feignant de chercher quelque choses elle déambulait dans les rayons , pour finalement tombé sur Lydia .

O la surprise tu fais les courses, toi aussi, elle se firent une bise appuyées en bonne copine

Aller on fait les courses ensemble et on papote . de rayon en rayon elle évoluait jusqu’à passer devant la lingerie, ,

Lydia
-J aime bien cet ensemble il est aguichant à souhait dit elle en riant.
-Prend le , il n’est pas cher .
-Je ne peux pas si mon mari vois cela , il vas se poser des questions.
Mathilde aguicheuse
-Prend le il n’est pas cher et je peut le garder cher moi , comme cela tu seras tranquille, tiens je vais en prendre un aussi , ce sera marrant toutes les deux d’avoir le même.
Lydia songeuse
-Toi tu as une idée derrière la tête le Jean Denis tu voudrais bien l essayer.
-Ben oui mais c’est toi qui m’as filé le virus .
Lydia à l oreille de Mathilde
-Je veux bien sans problèmes mais je veux y être , voir ta petite tronche de salope pleurer quand il vas te défoncer.
Et elle éclatèrent de rire.

Mathilde pris des croquettes pour le chat Felix , plus de la litière avec l idée que le Jean Denis pourrait bien porter les sacs volumineux quoique peu lourd.

Comme elle avait prévu et comme Lydia était une fille organisé, à peine passé les caisse, le Jean Denis était là ,

Lydia toute souriante,
C est ma voisine et mon amie Mathilde, si tu veux bien porter ses courses aussi.

Oui , avec un sourire coquin , je veux bien lui porter les courses et même plus…

A peine arrivé le téléphone de Jean Denis se mis à sonner, il échangea quelques mots en langue étrangère et pris un visage désolé .

C’est mon cousin il arrive du Togo là juste maintenant, c est la première fois qu’il vient en France , je dois aller l’accueillir.
Les filles ensemble
Et bien nous aussi nous sommes désolées

Jean Denis
-Demain je ne travaille pas c’est Mercredi mon jour de congé , je peut éventuellement passer par là.
Lydia répondit , pas de problème à partir de 18 heures je suis là.

ET elle montent l’escalier seules.

-Passe boire le thé , suggéra Mathilde

Effectivement une demie heure plus tard elle était toutes les deux a boire le thé, Lydia avec sa lingerie
Je la dépose cher toi
On devrai les essayer dit Mathilde.

Et c ‘est comme cela qu’elle se retrouvèrent toute les deux à se regarder dans le miroir simplement vêtu de cette admirable shorti rouge brodé, transparent sur les fesses, de ces soutiens gorges balconnet assez transparent pour qu’on y voit les tétons.
Et elles tournaient et se retournaient ensemble devant le miroir .

Tu crois qu’on est baisable dis Mathilde.

Et pas qu’un peu répondit Lydia , on est dans la cinquantaine, on est un peu rembourrée , on est pas des mannequins , mais pour les grands mâles costaud , on est des proies de luxe , j ai bien vu comment le Jean Denis matait ton cul en marchant.

Ah bon dis Mathilde en ouvrant les bras.

Elle tombèrent dans les bras l une de l autre

De baisers en attouchement , Mathilde s’empara des tétons de Lydia qui commençait déjà a haleter, puis ce fut tour de Lydia , plus forte plus costaud, de s’imposer , et qui réussit à se faufiler entre les cuisses de Mathilde.
-Ma salope de Mathilde je vais te baiser, et elle fit glisser le shorti et s’empara directe du bouton de Mathilde .
-Mathilde fit un Ooooooo, tenta de se défendre , mais elle prit deux baffes sur les seins,
-Tiens ma salope qui veut me prendre mon mâle, et elle se rua de plus belle sur le clitoris de Mathilde.
Je te tiens tu es à moi Mathilde , dis le ,
-Oui Lydia je suis a toi tu es à moi vas y , baise moi
Il ne fallut pas longtemps a Lydia pour obtenir un orgasme de Mathilde , puis un deuxième .
puis elle se retrouvèrent sur le lit
Aller on se fait minou, minou
et elle se retrouveront minou contre minou à se frotter l une à l autre , elle se donnèrent plusieurs orgasme de la sorte jusque bout de souffle elles s’allongèrent l’une près de l autre.

Lydia demanda
Tu t’es déjà faite sodomiser ?
Enculer, enculer Lydia je préfère ce mot , oui cela m’est arrivé.
C’est comment ?
Faut vouloir, cela fait très mal surtout les premières fois , c’est bizarre cela fait très mal et c est très bon.
Jean denis as voulu m’enculer , je n’ai pas voulu , j ai eu peur je n’ai jamais fait.
Moi aussi je n’avais jamais fait , la première fois j ai cru que j ‘étais déchirée , mais au bout d’un moment c’était super, de toutes façons ma petite salope tu vas y passer , les hommes veulent tous ça, et de toute façons faut savoir qu’à partir du moment ou cela commence , tu vas y passer, les mecs dès qu’il ont commencer à te pointer , ils n’arrêtent pas tu y passe, mal ou pas mal faut le savoir.

Lydia
-Tu as de l expérience dis donc.
Mathilde
-Ben non , je n’avais pas eu de relations depuis le décès de mon mari soit a peu près 25 ans, j y pensai pas ou peu, et puis tu sais quand j ai gagné ce voyage en tunisie à Carouff , et bien la bas je suis tomber sur des tunisiens sympathique, et c’est comme cela que j ai redécouvert le sexe, et bien sur ils m’ont enculé . Putaing j ai eu mal au cul pendant une semaine , mais c’était bien on peut jouir par là aussi.
-Tu me fais peur.
-Le pire c est qu’on prend gout et on en redemande, dit Mathilde en éclatant de rire.

-Bon c est pas le tout , faut ranger les courses, je garde ta tenue de sport sexy en otage, je te la lave pour demain

-A demain ma salope de voisine
-Salope j aime bien quand tu m appelle salope venant de toi de nous c est pas agressif c est excitant .
-Demain je t amène Jean Denis il vas te défoncer la chatte tu vas marcher de travers une bon bout de temps.
-T inquiète je vais l’aider il vas te casser le cul tu pourra pas t’assoir pendant une semaine

ET elles éclatèrent de rire

Aller bisous Bonne Nuit.
14 vote(s)


Histoire de micchel1954

Vous avez aimé ce récit érotique ? Tweeter

Nous luttons contre le plagiat afin de protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette histoire est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être copiée ou imprimée.

© Copyright : Nos histoires sont protégées par la loi. Un grand nombre d'écrivains nous ont donné l'exclusivité totale.


Commentaires du récit : Mathlide_2

Le 09/02/2024 - 17:11 par valeriane
Une suite s'impose
Le 08/02/2024 - 18:40 par OlgaT
Excitant!
Le 08/02/2024 - 07:36 par Sexytoy86
Vite la suite avec Jean Denis voir son cousin un plan à 4 torride j espere

Pour poster un commentaire ou faire un signalement, merci de vous inscrire ! Inscription rapide


Histoire précèdente <<<
>>> Histoire suivante



Retour en haut de la page

Libertinage et masturbation de jolies libertines en webcams totalement gratuites :