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Mes déboires conjugaux

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 17/02/2023

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[Comment c’est arrivé.]

Nous sommes partis avec un couple d’amis vers les mers du sud, c’est le temps des vacances. Josette, ma femme, Alfred et Daphné nos témoins de mariage. Josette est une belle femme noiraude, très sportive, beaucoup plus que moi qui suis, je dois l’avouer plutôt pantouflard, quant à Daphné, si elle n’est pas ce que j’appellerai belle, elle a un charme fou, une rousse resplendissante et ses phéromones ne me laisse pas insensible. Alfred, est l’intellectuel du groupe, mais également très sportif, il est un varappeur excellent.
Souvent, il me tire dans ses expéditions, qui me sortent un peu de mes rêveries de cul. Il a essayé également d’intéresser Josette, peine perdue, cependant, elle aime bien faire de longues trottes dans des zones assez escarpées, sans que cela soit de la grimpe.
C’est dans les dolomites que l’«accident» est arrivé, alors qu’ils avaient projeté un long trip Alfred et ma femme se sont trouvés bloqués par le mauvais temps qui ne leur a pas laissé le temps de rentrer. J’ai eu le détail beaucoup plus tard.
Nous de notre côté, avec Daphné, on ne dépassa pas le stade d’une pizza prise ensemble, suivi de la visite d’une cave. Il y avait un barrage que je n’arrivais pas à franchir, malgré mon envie de la baiser.
Le lendemain, dans l’après-midi, nos deux trekkeurs sont de retour. Sans que rien ne laisse à voir une attitude louche.
Le surlendemain, Josette ayant apprécié ma «galanterie» que j’appellerai ma retenue, m’invite à faire une promenade avec elle, en prenant nos affaires de bain, il y a un joli lac à visiter à une heure de marche.
En marchant, elle m’explique qu’elle veut se venger d’Alfred et de Josette qui nous ont fait cocu. Il le lui a dit, car contrairement à nous, ils se disent tout. Nous trouvons un endroit discret et soudain elle m’interpelle :
— Si on se baignait à poil.
— C’est pas moi qui vais te contredire, commençant à être assez excité par la situation.

Nous nous débarrassons de nos fringues et admirons la plastique de l’autre. Je ne l’avais jamais vue en petite tenue, là, c’est encore mieux. Je ne peux résister à l’appel des sens et je la prends dans mes bras et l’ambrasse dans le coup tout en laissant mes mains explorer son corps, Tout est bon, il n’y a rien à jeter. Mes narines frémissent à l’appel de ses phéromones.
De son côté elle m’a pris la queue entre des doigts et s’assure que c’est bon pour le service. Plutôt que de m’arrêter à sa bouche, c’est ses seins qui m’attirent comme des aimants et je commence à les sucer, lécher, j’adore la jonction de son bras avec le tronc, où le parfum est très dense. De son côté, le me manipule énergiquement la trique, Je n’avertis que je ne suis pas très endurant et que si elle continue Je vais me lâcher.
— J’espère bien, comme cela le deuxième round sera que meilleure et sans transition, elle me prend la bite dans sa bouche et la lèche.
— Je t’aurai averti, tu avales ?
— Normalement pas, mais là tu peux y aller, la nouveauté, le décor, la sensation de faire cocu Alfred comme il me l’a fait, me libère en quelque sorte.
Sur ces bonnes paroles, je lui propose de lui reluire également son minou, chose qu’elle me dit apprécié, Alfred ne se lançant jamais dans de telles aventures. Je me dégage de sa bouche délicieuse.
Pour ça, il faut que je sois concentré, je vais venir entre tes jambes pour te déguster. Elle se couche sur le dos et fait la grenouille. J’ai tout à disposition, Je passe d’abord mon nez pour me gaver de son parfum, je suis à deux pas de me polluer, puis je descends ma bouche vers son sexe qui perle beaucoup. Avec ma langue que je promène de long en large pour essuyer ce débordement en fait, je ne fais qu’empirer les choses, sa respiration est assez saccagée. Brusquement elle se tend et jouit fortement. Moi, je reste sur ma tige, presque douloureuse.
— A mon tour, c’était trop bon.
Elle s’applique à me faire rendre les armes, ce qui ne tarde pas, lors de sa jouissance, j’ai failli partir à mon tour. Comme annoncé, elle me boit jusqu’à la dernière goutte.
À peine remise de ce délicieux intermède, elle me tend la main et me dit :
— Viens, maintenant à l’eau et après une courte course elle plonge dans l’eau qui n’est pas excessivement chaude pour ne pas dire froide.
À mon tour d’avancer, mais très précautionneusement vu la température et même quand elle est nettement plus chaude, à moins que ce soit à température de soute.
— Allez viens.
Je prends mon courage à deux mains et me plonge. Brrrrr c’est froid, mais rapidement le choc premier passé, elle se révèle pas si froide que cela. Mon Rigattonni a bien rétréci sous l’effet du choc thermique. Curieuse elle plonge la main et m’attrape la bite,
— Ho ! Maintenant elle est toute petite. Elle est toute mignonne, on dirait celle d’un enfant.
— Toi qui étais une des meilleures en physique, tu devrais te souvenir qu’avec la température les corps changent de dimensions.
— Attends, on va faire mentir la physique, me dit-elle en me prenant par les sentiments qui à ce moment se situent en dessous de la ceinture.
Son traitement s’avère très efficace, contente de son résultat elle me provoque en me proposant une course de natation.
— Là c’est triché, avec la quille que j’ai va me freiner.
Finalement on fait environs une centaine de mètres, que je perds largement, ne désirant pas faire un effort violent actuellement.
— Je vois que tu n’es pas intéressé par la compétition en natation.
— Actuellement j’ai plutôt envie de faire de la compétition de gym à deux dos.
— Bon, j’ai compris. On sors.
Là, après nous être bien essuyé, le fond de l’air est quand même pas tropical, ni même subtropical, on commence à nous peloter, caresser et très naturellement je me retrouve entre ses jambes, la lippe en avant, j’avais gardé un souvenir lumineux de sa source de plaisir. Elle monte vite sur un petit nuage qui se transforme en nimbocumulus et quand l’orage éclate, après une série de poussées violentes, je lui arrose l’incendie.
— Merveilleux, j’aime quand il y a de longs préliminaires et qu’on me lèche la figue.
— De ma part, tu pourras toujours compter. J’adore ton odeur de rousse.
— C’est vrai que je sens ?
— Non, tu ne sens pas, tu embaumes.
— C’est ce que me disait Alfred avant notre mariage, maintenant il trouve que je sens seulement. À l’occasion on va remettre cela quand j’aurai envie d’un bon léchage.
On s’est rhabillé et on est rentré et arrivé vers les 16 heures environs, surpris, je vois Alfred sortir de notre chambre.
— Je pense que nous ne sommes pas les seuls à avoir mis un coup de couteau dans le contrat de mariage.
Je rentre dans la chambre et je vois ma femme qui est au lit, à cette heure.
— Coucou chérie
Je l’embrasse sur les lèvres qu’elle tente de soustraire à mon affection. Sa bouche a une odeur qui n’est pas celle de Colgate me rappelle plutôt celle quand je me branle de dépit alors qu’elle est trop fatiguée.
Et le lendemain
On s’est endormi, les deux avouant être fatigués, moi par la promenade et elle avec les restes de son escapade du jour précédant.
Après un petit déjeuner, Alfred tout de suite commence à me charrier sur la promenade puis chacun se disperse selon ses goûts. Alfred et Josette ayant décidé de faire une partie d’échecs, je me retrouve avec Daphné qui a envie de faire un tour en ville et si je peux l’accompagner.
— Volontiers.
En déambulant, elle m’apprend qu’elle a informé son mari qu’elle a pris sa revanche et que dans l’art du cuni, il est largement perdant. Pour le reste, c’est match nulle.
— Aïe, je n’ai rien avoué à Josette, mais je peux t’assurer qu’ils n’ont pas enfilé des perles quand on était pas là, je lui ai fait la bise avant d’aller dormir et ce n’était pas colgate qu’elle sentait, mais le sperme.
— Au moins ils n’ont pas perdu leur temps.
— C’est vrai, mais cela me fait quand même quelque chose. C’est la première fois que je me trouve dans cette situation.
— Somme toute, tu es amené à l’échangisme, sans le vouloir vraiment.
— Je ne dirai pas que c’est très agréable, je sens comme un point assez désagréable au niveau du ventre alors que je devrais être enchanté de l’après midi que nous avons passée ensemble.
— Cela fait toujours cela, mais on s’y habitue et après on a toutes les excuses pour justifier nos excès.
En rentrant Josette me prend par le bras :
— Viens, il faut qu’on discute.
— C’est une bonne idée, car j’ai deux trois choses sur le coeur.
— Allons dans notre chambre, on sera plus tranquille
On a fait comme elle désirait.
— On ne va pas se le cacher plus longtemps, on s’est fait mutuellement cocu !
— C’est pas moi qui ai commencé à ce que je sache.
— Je sais, mais cela s’est fait dans des circonstances particulières.
— Et tu comptes recommencer ?
— C’est là où je voulais en venir. Je t’aime toujours autant, mais maintenant que j’y ai goûté, je sens comme un besoin de refaire cette expérience.
— Et alors ? Fais-je, curieux de voir le développement.
— J’aimerais avoir ta permission de renouveler l’expérience de temps en temps sans avoir un sentiment profond de culpabilité.
— Qu’est-ce que tu entends par de temps en temps ?
— Disons dans un premier temps, un après midi tous les quinze jours.
— Tu n’as pas l’impression que si je te donne mon accord, les rendez-vous galants perdraient le sel de l’adultère ?
— Peut-être, moi de mon côté, je ne te ferais pas de reproche si tu prends du bon temps parfois de ton côté.
— Je réfléchis, parce qu’avec Daphné, j’ai eu beaucoup de plaisir, je crois que je l’ai dans la peau. Maintenant, si tu m’expliquais ce qui t’a fait tombé dans l’adultère, parce que je présume que c’était la première fois ?

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Histoire de Balista

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Commentaires du récit : Mes déboires conjugaux

Le 18/02/2023 - 16:37 par Jacques du Canada
Choisir la transparence après les événements n’a pas la même saveur que de discuter du futur possible événement. La sensation d’être trahi est même s’il y a volonté est moins évidente. Le couple a maintenant une épée de Damocles sur son avenir.
Le 18/02/2023 - 07:40 par OlgaT
Ce couple à eu raison de choisir la transparence et de se dire les choses

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