Mon dépucelage, partie 1.

J'aimerai savoir si parmi vous certain(e)s ont vécu leur dépucelage comme moi, c'est à dire "en famille". Merci de me le dire en commentaire.
Bien qu'ayant déjà eu des copains, je n'avais jamais dépassé le stade des baisers et de les laisser me caresser la poitrine. Certains avaient essayé de s'introduire dans me petite culotte mais j'avais toujours refusé. Pourquoi ? Parce-que j'avais peur.
Mais un jour, ou plus exactement un soir, je suis devenue "une femme" comme il m'a dit.
"Il", c'est un membre proche. Je ne citerai pas son nom ni son rang familial, mais c'est quelqu'un qui est vraiment très très proche.
Ce fut à l'occasion d'un anniversaire de mariage de mes parents.
Papa avait réservé une chambre dans un hôtel à Knokke pour 2 nuits afin de fêter ça avec maman et c'était "il" qui venait loger chez nous pour nous garder ma soeur et moi.
A l'époque mes tenues étaient déjà du même style que maintenant, essentiellement des petites jupes ou robes et toujours des bas nylon ou collants (ce pourquoi maman râlait souvent car elle devait m'en acheter très régulièrement vu que je les déchirais souvent).
Bref, ce soir-là j'ai remarqué que pendant que nous regardions tous les 3, "il" ne cessait de mater ma soeur assise dans le fauteuil qui ne faisait pas attention à sa façon de se tenir et avait souvent sa jupe troussée.
J'étais un peu choquée, "il" est quand même notre ***** ****.
Je me suis rendue dans la cuisine et de là ai appelé ma soeur à qui j'ai fait la remarque de mieux se tenir.
Vers 23h ma soeur est allée se coucher, il y avait encore environ 1/4h de film et je suis restée avec "il" pour voir la fin.
J'étais assise dans le canapé avec "il" mais au moins 50 cm nous séparaient. J'ai bien senti que son regard ne cessait de se porter sur moi, que le film ne l'intéressait pas. C'était un peu malaisant, mais dans le même temps mon orgueil appréciait d'être admirée par un homme de cet âge même si il fait partie de la famille.
Le film terminé j'ai voulu aller me coucher à mon tour, mais il a insisté pour que je reste encore un peu avec lui pour parler en prétextant qu'il n'était pas fatigué.
La conversation était banale jusqu'au moment où il m'a demandé:
"il": Tu n'as jamais penser à faire du mannequinat ? Dans ce milieu on peut gagner beaucoup d'argent.
- Moi: Non, quand je vois ces filles je sais que ce n'est pas pour moi, je suis trop petite.
- "il": Toutes ne sont pas grandes, mais je les trouve un peu trop maigres, toi tu corresponds mieux aux critères des hommes et je crois que tu y aurais ta place.
Moi, un peu mal à l'aise avec cette conversation portant sur mon corps: Je ne me vois pas défiler en lingerie sur un podium avec tout ces gens me regardant, je serai trop gênée.
- "il": C'est une question d'habitude, ils regardent plus les vêtements que les mannequins.
- Moi: Peut-être.
- "il": Va voir si ta soeur dort, je préfère que notre conversation reste discrète.
Je suis allée voir, elle dormait. Mais en revenant au salon j'étais stressée, je n'avais pas trop envie de continuer à parler de ça.
J'étais à 2 m de lui quand il m'a dit: "Attends, ne bouge plus".
Un petit instant et puis il a dit: "Maintenant tourne-toi".
Je me suis tournée et quelques instants se sont passés jusqu'à ce qu'il me dise de relever ma jupe de quelques centimètres. J'ai obéi machinalement, mais à ce moment-là ma jupe qui était déjà courte devait arriver au ras de mes fesses.
- "il": Je t'assure que tu pourrais le faire, tes jambes sont merveilleuses et je crois que ton fessier n'a rien à leur envier. Tu pourrais encore lever ta jupe plus haut, jusqu'à la taille afin que je te le confirme ?".
Mon corps tremblait intérieurement, "il" me mettait mal à l'aise mais je n'avais pas envie de refuser et appréciais même tous ses compliments, faut dire que mes copains ne m'en faisaient jamais.
Ma jupe était donc troussée, laissant voir l'entièreté de mon cul.
- "il": Tiens-la comme ça et recule un peu vers moi, avec la lumière artificielle c'est difficile de juger de si loin.
J'ai donc reculé jusqu'à être à +_ 30 cm de lui.
- "il": Ah oui, tu pourrais vraiment défiler en lingerie sans aucun complexe, tu es parfaite.
- Moi: Merci.
- "il": Juste une chose, il ne faut pas que tes fesses rebondissent quand tu marches, je peux m'assurer qu'elles sont fermes ?
- Moi, totalement à l'ouest à ce moment-la: Oui.
Alors il a posé les mains sur mes fesses. D'abord il appuya dessus, mais très vite elles se sont mises à me caresser pendant qu'il émettait des compliments.
- "il": Tes fesses sont parfaites, rondes douces et fermes, j'aimerai te voir en lingerie, sans tout se tissu qui cache ton corps, cela me permettrait de te donner un véritable avis.
- Moi: Je ne vais quand même pas me déshabiller devant toi, tu es quand même mon ***** ****.
- "il": Tu sais, des femmes en petites tenues ou nues j'en ai vu énormément, c'est juste pour te dire si tu conviendrais pour le mannequinat.
Franchement je ne croyais plus à ce qu'il disait, j'avais compris qu'il voulais simplement me "voir". Mais je ne sais pas pourquoi j'ai fait ce qu'il me demandait et me suis retrouvée en petite culotte et SG devant lui.
- "il": Je ne comprends toujours pas tes complexes, tu es parfaite des pieds à la tête, approche-toi un peu plus près de moi.
Déjà que je n'étais vraiment pas loin, je me suis retrouvée à quelques centimètres face à lui qui était assis.
- "il": en plus d'être magnifique tu sens diablement bon, tu mets du parfum dans ta culotte ?
- Moi: Non.
- "il", approchant sa tête jusqu'à ce que son nez soit contre moi: L'odeur est délicieuse, si ce n'est pas du parfum alors c'est que c'est toi qui sécrète un arôme formidable de ton intérieur. Je peux m'en assurer ?
Il ne m'a pas laissé le temps de lui répondre, tout en posant sa question il a mis une main dans ma culotte et m'a caressé le minou.
J'avais fermé les yeux, je sentais bien l'humidité qui suintait de mon corps, dans le même temps je voulais m'enfuir et n'avais pas envie que ça s'arrête.
Il a dégagé sa main et a porté son doigt à sa bouche avant de me dire qu'il n'y avait pas que l'odeur qui le chavirait, le goût de ce qui avait perlé de moi était extraordinaire selon ses dires.
Je crois que j'ai dit une bêtise du genre: "tant mieux".
Il a alors porter son doigt à ma bouche et m'a dit: "tiens goûte aussi".
J'avais son doigt dans ma bouche qui voyageait sur ma langue, honnêtement je ne goûtais rien si ce n'est le tabac (il fume).
- "il", retirant son doigt: j'aimerai encore enduire mon doigt de ce délicieux liquide qui sort de toi, mais as-tu déjà couché avec tes copains ?.
- Moi: Non, je n'ai jamais voulu qu'ils me touche là.
- "il", la main déjà dans ma culotte: Je te comprends, d'autant qu'avec des jeunes de ton âge ça pourrait mal se passer, moi j'ai beaucoup d'expérience.
J'ai compris où il voulait en venir, enfin presque compris car je croyais qu'il désirait simplement me caresser.
- "il": viens, on va aller dans ta chambre au cas où ta soeur se réveillerait.
- Moi: pourquoi, que veux-tu exactement (j'étais morte de trouille!) ?
- "il": n'aie pas peur, je ne suis pas méchant et te respecterai.
Il m'a prise par la main et nous sommes allés dans ma chambre dont il a fermé la porte avec le petit verrou.
- "il": déshabille-toi entièrement et allonge-toi, j'éteins la lumière comme ça tu seras moins gênée.
Seule la lampe de la rue éclairait très faiblement ma chambre, tout en me déshabillant je le distinguais mais sans le voir exactement.
Une fois nue je me suis allongée sur mon lit, je redoutais ce que je supposais qu'il allait peut-être arriver tout en me rassurant en pensant qu'il est mon ***** **** et qu'il resterait correct.
J'ai deviné son ombre qui s'allongeait à côté de moi, puis j'ai senti sa main se poser sur mon sein. Parfois elle remontait jusqu'à mes lèvres puis redescendait jusque entre mes cuisses qu'il me demanda d'écarter. C'est lorsqu'il se colla à moi que j'ai remarqué que lui aussi s'était déshabillé et qu'il était nu.
- "moi": tu es tout nu, je ne veux pas faire l'amour avec toi, je veux qu'on arrête.
- "il": on ne va pas faire l'amour, sauf si toi qui le demandes, on va seulement se caresser et tu va voir que s'est très agréable.
Je n'ai plus rien dit, j'ai laissé faire. Il me caressait de partout, les seins, les jambes, mes fesses, mon entrejambes, jusqu'au moment où il m'a pris une main et l'a amenée à son sexe qui était bien dressé. J'ai voulu la retiré mais il l'a maintenue en me disant que il était normal que les caresses soient réciproques.
Je tenais donc son sexe bêtement pendant que lui avait un doigt très légèrement à l'intérieur de mon corps. Tout à coups il a mis sa main sur la mienne qui tenait son sexe et a appuyé dessus, dans le même temps il s'est mis à faire des mouvements.
- "il": tu vois, il te suffirait de me branler pour me donner du plaisir, ce ne serait que de me rendre la pareille car je remarque que tu aimes ce que mon doigt te fait.
C'était quand même un peu bizarre de me retrouver nue dans mon lit avec lui et que nous faisions des choses. Mais j'avoue que j'avais bon même si je transpirais très fort, qu'il me touche ne me dérangeait pas, pas plus que son corps nu contre le mien.
Jamais je n'aurai autorisé un copain me faire ça, et pourtant ce qui se passait ne me dérangeait pas, que du contraire !
Plus le temps passait et plus je me libérais, allant jusqu'à écarter les cuisses de plus en plus et poser quelques questions du genre: "il est possible de jouir sans faire l'amour ?, tu as déjà fais ça avec d'autres dans la famille ? Et avec maman ? ...".
Il me caressait toujours pendant que je le branlais quand il m'a dit: "et si toi et ta soeur venaient en vacances avec moi dans 15 jours, on pourrait s'amuser ensemble".
J'ai sursauté "ah non pas ma soeur, juste nous 2 (étais-je jalouse ???).
- "il": si tu veux, mais j'aimerai te dire autre chose.
- Moi: quoi ?
- "il": j'aime ce que tu me fais (branler), mais je déteste éjaculer dans une main.
- Moi, innocente (réellement): oui et ?
- "il": je voudrais que tu prennes ma queue en bouche.
- Moi: Comment ?
- "il": il te suffit de descendre un peu et de la prendre en bouche, ensuite tu va et viens tout en tournant ta langue autour.
Ca me dégoutait un peu, il voulait que je mette son sexe dans ma bouche, à ce moment-là je n'avais même pas compris que j'allais recevoir le jus de son plaisir.
J'ai hésité mais il a gentiment insisté et je l'ai fait.
Quand son sperme a rempli ma bouche il a tenu ma tête et m'a dit d'avaler, que j'aimerais ça, encore une fois j'ai obéi.
Dire que j'ai aimé, je ne sais pas. Mais je n'ai pas été dégoûtée.
Le matin, lorsque je me suis réveillée, j'étais seule dans mon lit. Pourtant je m'étais réveillée plusieurs fois pendant la nuit et il était là, souvent avec sa main coincée entre mes cuisses.
La deuxième nuit s'est passée quasiment de la même manière, par contre toute la journée, et chaque fois que nous étions seuls, il n'a cessé de me toucher.
Lorsque mes parents sont revenus "il" leur a fait la demande pour que je l'accompagne en vacance en prétextant que cela me ferait du bien par rapport à mes études et que de plus il n'aime pas être seul. Ils ont accepté tout de suite.
En partie 2 je vous raconterai nos vacances et comment il a fait de moi une femme.
Je l'écrirai demain matin puisque je ne commence au boulot qu'à 13h.
Votre amie de Liège,
Lucrèce