Mes déménageurs

Je me présente: Camilia, 19 ans, 90C bien rempli, brune, yeux verts, bref...

Ce jour là, j'emménageais enfin dans mon nouvel appartement, et les déménageurs étaient déjà sur place quand je suis arrivée. Ils étaient deux, un beau brun plutôt baraqué, et l'autre blond, un peu plus grand. Lorsque le brun me demanda où ils devaient mettre l'armoire, cela me sorti de ma rêverie, et je me surpris à les imaginer nus.
-Euh, dans le coin là-bas, ça sera parfait!

Ils déplaçaient tous les meubles avec une rapidité impressionnante et je leur proposai un verre de citronnade pour les rafraîchir.
-Cela serait très aimable à vous!

Je me dirigeai vers la cuisine (déjà meublée) et servis trois verres, mais lorsque que je revint, j'entendis les deux gars parler entre eux, et je compris qu'ils parlaient de moi donc je restai derrière la porte pour écouter. Je ne perçu que quelques bribes de conversation:
-(...) carrément sexy?
-Si, (...) pour ne pas bander..
-(...) sa jupe.
-Si seulement on pouvait (...) dans sa chatte qui doit (...).
-Ouai.. Mais ne nous attirons pas d'ennuis avec elle, on risque (...).

Je choisi ce moment pour entrer dans la pièce, ils se turent immédiatement.
-Voilà votre citronnade.

Je surpris le blond plongeant ses yeux dans mon décolleté, et je senti leurs regards sur mon cul quand je parti déposer le plateau dans la cuisine. Ils m'avaient excitée à parler de moi comme ça, et après tout je ne dirai pas non à deux déménageurs, sexy par la même occasion! Le seul hic étant que ça allait être à moi de faire tout le boulot, car même si ils en avaient envie tous les deux, ils avaient décider de ne pas me chauffer par peur de représailles. Je décidai donc de passer par la salle de bain, dans laquelle je me postai devant le miroir et me changeai: j'optai pour une jupe noire plutôt courte et très moulante mettant en valeur mon cul, et un haut légèrement transparent, très décolleté (je tirai dessus pour le faire plonger encore plus), pas de soutien gorge. Je vérifiai ma tête et attacha mes cheveux en queue de cheval, on ne sait jamais... Je sorti de là et décidai d'aller chauffer et exciter ces deux beaux déménageurs.

Lorsque je revint dans la pièce qui serait plus tard le salon, je m'installai sur l'accoudoir du canapé encore non placé et donc au milieu de la pièce, et regardai le travail des jeunes hommes. Ces derniers échangeaient sans arrêt des regards, comme pour se dire que j'étais vraiment, vraiment bandante.

Ils arrivèrent vers moi, ou plutôt vers le canapé car ils devaient le déplacer, et je senti que je devais passer à l'action. L'un deux me demanda avec une voix trahissant son excitation si je pouvais mes décaler. En descendant de l'accoudoir, je fis en sorte que cela soulève ma jupe, et je vis bien qu'ils avaient du mal à ne pas y plonger leurs regards, ils se concentrèrent sur le canapé et je décidai, comme je n'avais qu'à tendre la main pour attraper l'entrejambe du blond, de le faire. Je posai ma main sur son pantalon et les deux échangèrent un sourire. Je malaxais sa bite par dessus son pantalon et je sentais cette dernière se raidir rapidement. Je commençai à déboutonner son pantalon, et à la sortir de sa prison, sa queue était raide comme un bâton, et je masturbais mon déménageur avec grand plaisir, que je sentais partagé. En effet ce dernier gémissait de temps en temps, et s'était désormais assis sur le canapé. Je descendis totalement son jean et enleva son caleçon pour entamer une pipe du diable, je léchai d'abord le gland du bout de la langue, puis ouvrai la bouche et suça cette magnifique bite qui depuis maintenant une heure ne demandais que ça. Tout en massant ses boules, je pris sa queue entière dans la bouche et fit un clin d'oeil à l'autre déménageur, qui s'était déshabillé et vint vers moi afin que je le suce aussi, je pris l'une puis l'autre, parfois les deux, et mes déménageurs râlaient de plaisir sous mes pipes. Le brun décida au bout d'une dizaine de minutes que c'était mon tour, et me pris par la taille pour me jeter sur le canapé. Il commença par passer sa main sous ma jupe puis ils l'enleva totalement. Le blond s'attaqua à mes seins, et le brun à ma chatte maintenant trempée, ils me déshabillèrent en deux secondes et le brun passa sa langue sur mon clitoris ce qui, comme j'étais déjà excitée au plus haut point, m'arracha un gémissement. Il recommença, et lorsque qu'il eu bien goûter mon sexe, il rentra d'abord un, puis deux doigts dans ma chatte qui s'ouvrit largement. Il me doigta alors à fond tandis que sa langue jouait avec son clitoris qui avait doublé de volume, c'était délicieux, je sentais la chaleur me monter dans le corps, vous savez cette sensation de frissons mais... chaleureux, je criais presque.
-Oh putain ouai...comment tu t'appelles??
Il me répondit entre deux lapements de langue.
-David.
-AAH!!

Je gémissais de plaisir, ce fameux David me faisais un bien fou pendant que le blond dont je ne connaissait pas encore le prénom me maintenait en place et me malaxait les seins tout en promenant sa bite sur mon visage. David se décida à présenter la sienne à l'entrée de ma chatte, qui ne demandais que ça. Il se redressa après avoir mordillé mon clitoris une dernière fois, et rentra en moi doucement, puis une fois sa bite au fond de moi, commença ses va-et-viens dont le rythme accélérais en même temps que mon plaisir augmentais, je sentais l'orgasme venir, je sentais la chaleur m'envahir et mon corps se tordre de plaisir sous les coups de David, qui baisait comme un Dieu. Pendant ce temps le blond m'avait de nouveau présenté sa bite afin que je la suce encore, chose que j'adorais. Mais j'étais maintenant en plein orgasme et sucer une bite tout en criant de plaisir sous la jouissance n'était pas facile, donc elle allait attendre que je me calme.
-Oh ouaiiii putain David... HUUUMM..

Je me tordais dans tous les sens, ça faisait un bien fou!
Je sentais que le blond avait envie de rentrer en moi lui aussi, donc je me retournai afin de me retrouver à quatre pattes et de manière à ce qu'il me prenne en levrette, ce qu'il ne se fit pas prier. Il me pénétra d'un coup et, surprise, je poussai un cri.
-AAH!! Oh bordel t'es un bon toi aussi, ton prénom? Aaaaaaah!!
-Julien, t'es bonne putain, t'as une bonne chatte.

En parlant d'elle... Je n'en pouvais plus, j'enchaînais orgasme sur orgasme sans m'arrêter. Ce petit plan à trois dura bien une heure ou deux, puis David et Julien finirent le déménagement et je leur offrit un dernière pipe avant qu'ils partent.

La prochaine fois, je saurait à qui demander pour déplacer mes meubles...