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Mes deux amants

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Lue : 6003 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 05/11/2012

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Sa queue était du pain béni pour mon sexe. Il m’avait aussi enculée comme j'aime, doucement en entrant la première fois, puis à fond ensuite. Son pubis contre mes fesses me donnait envie qu'il aille plus loin dans mes boyaux. Il a compensé en me branlant la chatte. Décidément Jacques est un champion.

Huit jours plus tard j'étais prête pour encore une fois me faire sodomiser. Il me tardait même : rare sont ceux qui font cette chose naturelle d'enculer une fille qui ne demande que ça. Surprise, quand j'entre chez lui, c'est son copain Marc qui accueille. Il m'embrasse comme une copine, sur les joues. Jacques n'a rien dit à notre copain. Je suis quitte pour une déception.

Pas tant que ça : Jacques demande à Marc de se joindre à nous. J'entre dans le séjour. Jacques vient s'asseoir près de moi, ignorant de la suite. Je me colle à lui pendant que notre hôte va prendre une douche. J'arrive à prendre la bite en touchant le pantalon. Surpris de mon attaque Marc accepte, presque à contre cœur. Allez résister à une fille qui veut se donner.

Sa langue ne fait pas attendre la mienne. Il commence à bander. Satisfaite j'arrive à sortir sa queue avec difficulté tellement il est tendu. Je me penche vers lui, le prend en bouche. Son goût envahi le palais. Mes lèvres le tiennent bien, ma bouche coulisse sur sa bite. La langue lèche le gland lentement. J'arrête avant qu'il gicle.

Il se penche vers moi pour m'embrasser longuement, tellement que notre camarade a le temps de venir nous voir. Il n'est vêtu qu'un d'un léger peignoir de bain ouvert sur la pine bien droite. Ainsi j'ai en vue directe deux bites d'hommes, même si celle de Jacques est moins grosse que celle de Marc.

Mon idée folle doit arriver : ils me font envie tous les deux. Je reprends la fellation, attrape la bite de l'autre dans la main. Jacques tend son pubis vers moi, quand je découvre le gland luisant dans la pénombre. Le prépuce navigue de haut en bas, au gré de ma main. Les couilles de Marc dans la main n'échappent pas aux caresses précises. J'arrive difficilement, mais j'arrive, à glisser une main entre les cuisses pour atteindre l'objet de ma convoitise : son cul.

Obligée d'ouvrir mes jambes, je me laisse baiser par Jacques. Son souffle montre le plaisir qu'il prend, pas le mien caché encore, malgré les spasmes de mon con. C'est la moitié du bonheur : une bite dans le sexe, l'autre dans la bouche.

Je ne sais trop comment j'ai réussi à ne pas les faire jouir, alors que je ne me suis pas gênée pour avoir plusieurs orgasmes consécutifs. Je les laisse pour aller aux toilettes faire un petit pipi. Quand je reviens, ils sont toujours là, Marc sur le divan, Jacques assis à ses côtés. Chacun se touche la queue en regardant l'autre pine dans la main. Je ne sais pas s'ils m'attendent ou s'ils ne vont pas tarder à branler l'autre queue. J'aimerais bien voir un homme masturber un autre, les voir jaillir sous la caresse d'un autre mâle, comme ils aiment me voir avec une copine. Dommage, ils ne font qu'entretenir leurs excitations.

A ma place, à nouveau, cette fois entre les deux : je reprends la première queue venue. Celle de Marc qui m'attire à cause de sa grosseur. Jacques me donne aussi la sienne. Ils bandent fortement. Jacques se lève pour me la donner à lécher. Je le suce lentement, comme je sais qu'il aime. La queue de Marc entre mes doigts subit les va-et-vient. Lui aussi commence à gémir.

J'arrive à me mettre sur les genoux de Marc, je glisse sa queue dans le con. Il ouvre mes lèvres d'en bas. Mes chairs s'écartent lentement, au rythme de ses mouvements. Que de délices jamais égalés envahissent le ventre. Il bouge, je rends les mouvements, je jouis encore et encore.

Jacques oublie la main qui le branlait. Il se glisse derrière moi, sa langue à l'affût. Je la sens entre mes fesses, cherchant le petit trou. Mars les écarte en facilitant ainsi la pénétration d'une langue dans l'anus. Je pars en un éclair. J'en veux encore plus fort. Je le proclame bien haut : baisez moi à deux.

C'est le cri du cœur ou du ventre, je ne sais en tous cas j'ai besoin de deux queux dans le ventre.

C'est Marc qui me fait coucher sur le tapis. Il vient sur moi me baiser encore une fois. Sa queue entre encore et encore, il me fait du bien. Jacques aussi veut sa part. Il arrive à nous tourner Marc et moi. Je suis baisée en étant dessus. Jacques vient lentement sur moi sans peser. Je le sens chercher avec son mandrin la clef de mon cul. Il entre facilement. Immédiatement je sens la présence des deux pines. Un accord semble se faire entre les bites ; une entre quand l'autre est sur le point de sortir. Mon bassin suit les mouvements d'avance et de recul. Mes cris de bonheur doivent emplir le salon. Même si des voisins entendent, je n'en ai rien à cirer. Je sens les deux jets de sperme dans mon corps. Ils me font encore jouir. Ce n'est pas possible que je sois salope à ce point.

Ils finissent de jouir, comme moi. Ils se retirent lentement. Je peux enfin prendre la queue celui qui m'enculait. Ma main la secoue à peine avant que je la prenne dans la bouche. Peut être jaloux Marc demande de le branler. Il est encore un peu mou, j'arrive à le faire redresser comme la queue de Jacques. Ma langue fait des merveilles pour le faire encore bander. Je reste assise en tailleur sur le tapis : deux mains viennent me branler. Je les laisse faire quand une se diriger vers l'anus. Ils me branlent à deux, je les branle et les suce ensemble. Enfin ils bandent encore : une merveille d'avoir deux bites à ma disposition.

J'ai encore envie d'eux à la fois. Cette fois je me mets la queue de Jacques, la moins grosse dans le vagin. C'est moi qui dirige celle de Marc sur l'anus. Il me la met à fond : je sens son pubis, ses mains me prennent par les hanches. Au début il m'a fait un peu mal, sa grosseur explique cela. Les queues se croisent dans le ventre : c'est bon je ne peux que jouir deux ou trois fois. Mes spasmes font ressortir encore leurs bites.

Je préfère largement ces baises à trois avec deux hommes que ces parties où je me trouve coincées entre deux ou trois corps non identifiés avec des fois une fille au milieu. Non que je crache sur les filles.

Tout halas se termine. Tant pis si je n'ai pas assez joui. Je me branle devant eux, ranimant leur désir. Ils se masturbent aussi en me regardant. J'ai gagné ainsi une autre pénétration. Le bonheur.
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Histoire de fabrissa

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