Moi, étudiante

Je vais vous raconter une aventure qui s'est déroulée alors que je n'étais pas encore en couple avec Libertin, j'étais encore étudiante mais déjà plus vierge grâce à mon grand-père.

Vous connaissez mon attirance pour les hommes âgés (ils compensent souvent leur manque de performances physique par leurs techniques), mais à cette époque je ne l'avais pas encore réalisé. Attention, il m'arrive de temps en temps de baiser avec un gars de mon âge et de prendre du plaisir également.

Le jour, où s'est passé ce que je vais vous raconter, je ne m'attendais pas à une telle aventure.

C'était en fin d'année scolaire et je venais de réussir ma 5ème secondaire, Sylvain mon copain de l'époque m'a demandé si je pouvais passer la nuit avec lui.

Sylvain: - Téléphone à tes parents et dis-leur que tu dors chez Valérie (une amie à moi qui me couvrait souvent), j'ai un ami qui me prête sa piaule.

J'ai téléphoné et mon père a accepté car il était content de mes résultats.

Sans être vraiment amoureuse, j'aimais beaucoup Sylvain. Il était un amant agréable sans être un étalon. D'ailleurs je prenais beaucoup plus de plaisir avec mon grand-père qui était et est toujours, avec Libertin, le meilleur de mes partenaires.

Nous sommes donc allés chez "son ami", il avait la clé de l'appartement qui se situe en plein centre de Liège.

Ce qui m'a semblé bizarre, c'est l'ameublement. C'était assez vieillot et seules des photos de jeunes femmes nues décoraient le salon et la chambre.

Avec Sylvain nous avons flirté puis sommes allés dans la chambre pour faire l'amour. Comme souvent il est "venu" assez rapidement, me laissant sur ma faim. Je lui avais déjà fait la remarque et ce soir-là j'ai réitéré.
Sylvain s'est excusé, me disant que je l'excitait trop et qu'il n'arrivait pas à se retenir.
Nous en avons parlé et je lui ai avoué que je couchais parfois avec un homme plus âgé (sans préciser qu'il s'agissait de mon grand-père), alors il m'a dit:
- Si tu veux je peux téléphoner à mon pote à qui appartient l'appart', il sera d'accord de se joindre à nous.

Moi: - Comment tu le sais ?
Sylvain: - J'ai déjà ramené des filles ici alors qu'il était là, d'ailleurs c'est lui qui me le demande parfois.

Je suis restée interdite, Sylvain m'étonnait.

Il n'a pas attendu ma réponse et a téléphoné à "son ami" qui a répondu qu'il serait là dans 10 minutes.

Pourquoi je mets des guillemets à "son ami" ? Vous allez le comprendre.

Nous étions tous les 2 nus sur le divan quand j'ai entendu du bruit dans le hall, c'était "son ami".
30 secondes plus tard c'est le prof de religion qui est apparu !

Mon prof ! Monsieur D.. ! Je n'aurais jamais cru que cet homme si discret à l'école soit un coquin qui aime sexuellement les jeunes ! Nous, à l'école, on le surnomme Le dinosaure. Son apparence nous fais souvent nous demander si il ne devrait pas être pensionné depuis longtemps. J'ai su qu'il "n'"avait que 64 ans, mais franchement on lui en aurait donné 10 de plus.

A mon air ébahi il s'est mis à rire puis m'a dit:
- Tiens, voilà une de mes élèves préférées, pas la plus studieuse mais la plus agréable à regarder. Je prends toujours beaucoup de plaisir à regarder tes belles jambes ou à me pencher discrètement au-dessus de tes épaules pour plonger mon regard dans tes décolletés, mais te voir ici et nue, prête à assouvir mes désirs, je bande déjà, regarde.
Et aussi vite il s'est déshabillé, m'exhibant un sexe raide et d'une belle promesse sexuelle.
Il nous a demandé de l'attendre quelques instants et est allé se laver l'objet.
Pendant ce temps Sylvain me masturbait et m'a expliqué que plusieurs filles de l'école venaient parfois, même sans lui.
Quand monsieur D.. est revenu il ne bandait plus, mais il s'est mis devant moi et m'a dit d'un ton directif:
- Prends ma bite, branle-moi et suce-moi !
Je l'avais à peine en mains qu'elle a repris vigueur.
Ma langue est allée à la rencontre de son gland que je léchais avidement, parfois je l'insérais un peu dans son prépuce (mon grand-père adore ça). Sylvain se branlait en nous regardant, je me suis demandée si cela finirait au lit avec monsieur D.. seul ou si Sylvain se joindrait à nous.
Monsieur D.. a pris ma tête dans ses mains et a engouffrer tout son sexe dans ma bouche, j'ai failli dégobiller. Il allait et venait en parlant. J'ai retenu une de ses phrases que je vous cite textuellement:
- Quelle génération de petites putes vous faites, il y a vingt ans je n'aurais jamais cru ça possible !

A suivre

Lucrèce la petite pute (selon monsieur D.. et beaucoup d'autres.

PS: Quel dommage ce peu de commentaires, je ne sais pas combien me lise.