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Annie et moi

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 18/09/2023

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ANNIE ET MOI

C'est parce que son copain et moi nous travaillions ensemble mais que nous avions des horaires décalés certains jours, ce qui n'était pas toujours le cas, que j'ai pu passer chez elle, comme elle m'y avait invité.
J'étais à mon appart, il était trois heures de l'après-midi quand le téléphone a sonné. Vous, les plus jeunes, vous n'imaginez certainement pas qu'en cette année 1987, que j'évoque, en écrivant ces lignes, il n'y avait pas de téléphone portable, mais des téléphones fixes, accrochés à une ligne, branchés sur une prise, et qu'on décrochait.
J'ai aussitôt reconnu sa voix, et je me suis demandé comment elle avait eu mon téléphone. Mais il y avait peut-être des questions à ne pas se poser. J'ai aussitôt reconnu sa voix, un timbre unique, comme pour chacun d'entre nous, qui était à l'image de toute sa personne, quelque chose qui m'avait frappé de plein fouet. Quelque chose de suave, de séduisant, d'excitant...
--Salut, je pense que tu reconnais ma voix. C'est Annie. Tu n'as pas oublié, je pense, enfin j'espère, ma proposition.
Je ne risquais pas de l'oublier, en effet. Quand nous nous étions séparés, le vendredi, au soir, tard dans la soirée, elle m'avait soufflé :
--J'ai envie de te revoir et qu'on fasse l'amour. Je suis ici tous les après-midis, je travaille le matin et dans la soirée. Tu peux passer quand tu veux, je t'ouvrirai.
Je n'avais pas été vraiment surpris, au vu de ce qui s'était passé pendant la soirée.
On était mardi, et depuis, j'y pensais constamment. J'avais déjà connu pas mal de filles, à 24 ans, et chacune d'entre elles, indubitablement, était unique. Annie l'était totalement. Elle était une réelle beauté. On m'avait dit un jour qu'on est toujours beau à vingt ans. C'est sans doute vrai, mais elle avait en elle une réelle sensualité, qui rendait chacun de ses gestes, de ses mouvements, infiniment sensuel. Il y avait aussi en elle une réelle intelligence, un regard sur les gens et les choses teinté d'ironie qui me plaisait énormément. En bref, elle avait su me séduire. Et sans aucun doute la séduction avait été réciproque.
--Je suis entrain de me branler. J'avais un caleçon et un slip, et j'ai enlevé le caleçon et le slip, pour juste garder mon haut, un cache-coeur. J'ai la chatte entrouverte parce que je suis très excitée, bien mouillée aussi, parce que je mouille beaucoup, et j'ai deux doigts dans la chatte, ils vont et viennent...Mais je les remplacerais bien par ma queue bien dure. La tienne peut-être. Si tu passais ? Je te l'ai proposé et je t'attends.
J'imaginais parfaitement la scène. Le pouvoir d'évocation de son récit, de sa voix.
--Je t'attends...Tu crois que tu peux venir ?
Il fallait un quart d'heure pour la rejoindre. Bien sûr je pensais à sa proposition, mais parfois, on a des envies qu'on ne réalise pas. Son appel donnait de la chair à mon envie, et je me suis dit que malgré mes hésitations, je POUVAIS la rejoindre.
--Je viens, j'ai répondu.
J'ai senti à l'autre bout du fil une détente et une réelle joie.
--Tu verras, ça sera bien. Je t'attends.
Elle a raccroché. Je n'avais pas grand chose à faire. J'ai passé un blouson et j'ai quitté mon appartement.J'avais déjà effectué le trajet le vendredi soir donc je savais exactement quoi faire. Un bus à prendre, puis un changement pour une direction transversale, descendre du bus, marcher trois cent mètres pour arriver au petit immeuble où elle était installée depuis un an.
Tout en avançant vers l'arrêt de bus, puis en attendant celui-ci, je suis revenu en arrière.
J'avais eu le bac très tôt et j'avais fait pas mal d'études, deux licences, deux maîtrises, économie, droit, des formations courtes, avant de comprendre que ce qui me faisait envie, au final, c'était d'entrer dans la vie active, de connaître une vraie existence, pas d'accumuler les connaissances en étant coupé de la réalité. Et effectivement, ainsi, j'avais vraiment l'impression de vivre.
Cela faisait six mois que je travaillais dans la nuit à un centre de tri. A cette époque lointaine, le courrier papier était encore à foison, et il y avait de quoi faire. On était une quinzaine, dans le centre de cette banlieue d'une grande ville. Tous jeunes, avec des passés différents, et représentant, en microcosme,une France Black Blanc Beur, comme on disait à l'époque, qui, si elle ne pouvait pas exister sur un plan plus large, était bien réelle dans les salles du centre de tri. Ce qui nous rapprochait, sans aucun doute, c'était la tâche, qui impliquait un réel effort pour ne pas se tromper, et préparer le travail des facteurs, mais aussi assurer, et on avait tous une conscience professionnelle, un service efficace, sans bavures, et l'énergie que cela demandait, moins physique sans doute que psychique. On finissait nos heures lessivés. Ca créait une unité entre nous, tout comme les moments de convivialité que nous partagions, le petit déjeuner pris ensemble avant de démarrer, le café et les viennoiseries que nous amenions à tour de rôle. Et puis il y avait aussi en fin de parcours, parce que nous terminions toujours avant le temps qui nous était alloué, le moment qui marquait l'heure de la débauche. Dans les deux sens du terme. J'étais le dernier qui était arrivé dans l'équipe, et je n'ai jamais vraiment su depuis quand cette tradition existait. Sans doute depuis que les deux filles étaient présentes. On m'avait laissé entendre qu'elles étaient là depuis un an. Elles étaient toutes les deux des îles, et il fallait bien reconnaître qu'elles étaient, l'une comme l'autre, magnifiques. Elles se ressemblaient, d'ailleurs, même si elles n'avaient pas de lien de parenté, Un visage rond, des pommettes hautes, des yeux immenses, et une bouche très charnue. Grandes, elles avaient l'une comme l'autre un corps sculptural, elles auraient voulu le dissimuler, elles en auraient été bien incapables. Il était vrai aussi que pour trier un courrier qui était sale, couvert de poussière et d'encre, un métier pénible, on s’habillait dans des tenues confortables, et que les survêtements qu'elles portaient soulignaient plutôt que de masquer des formes exacerbées.
Et il y avait donc cette tradition de finir la journée avec un moment de sexe qu'elles initiaient, toujours différent. Je me souvenais bien de la première fois...Mais aussi des autres...J'avais vu Marie celle qui se faisait toujours des balayages avec de la couleur, s'approcher du gars qui était près de moi. Elle avait ouvert sa veste de survêtement. Dessous, elle portait un T-shirt distendu par une poitrine volumineuse, et le fait qu'on puisse lire nettement contre le tissu le dessin de ses aréoles, et le renflement des tétons qui, même au repos semblaient déjà en érection disaient qu'elle ne portait pas de soutien-gorge. Il y a eu ce mouvement, qui, je crois bien, a fixé et figé pas mal de monde, où, la première, elle a relevé son T-shirt, faisant jaillir à l'air libre des seins volumineux, mais charnus et fermes. Elle s'est penchée sur le gars avec un petit rire, consciente de ses atouts, elle a tiré sa queue de son pantalon, et elle est venue l'envelopper de ses seins, la faisant disparaître.
Est-ce parce que je venais d'intégrer l'équipe, une sorte de cadeau d'arrivée, en tout cas sa copine, Ambre, est venue se positionner au-dessus de moi. Elle, sous sa veste de survêtement avait juste une brassière, le ventre nu. Elle était tout près de moi, suffisamment proche pour que je perçoive à la fois l'odeur de son parfum, une odeur d'orchidée, et la chaleur de son corps. Elle a remonté la brassière pour exhiber des seins du même volume mais plus allongés. Tout ce qu'il fallait en tout cas, il n'y avait aucun doute, pour envelopper une queue qu'elle a découverte toute raide. Le contraire aurait été étonnant.
Aucune fille ne m'avait encore fait de cravate de notaire, et, dès les premières secondes, le plaisir a été immense. Une chair très douce qui m'a enveloppé, puis caressé, dans des mouvements fluides. Je devais me retenir pour ne pas jouir. Ma voisine a dégagé la queue du gars pour venir caresser son gland dilaté avec son téton. Le sperme est sorti en grands jets, qui sont venus marquer ses seins mais aussi son visage de traits blancs. Elle est partie vers un autre gars. Certains avaient déjà sorti leur instrument et se masturbaient en regardant.
Ma partenaire de quelques instants, tout en me gardant entre ses seins, a dégagé le premier tiers de ma queue et elle a penché son visage dessus pour venir me frotter de sa langue. Je n'ai pas pu tenir très longtemps. Et mon plaisir a sans doute été encore plus fort de voir le sperme lui maculer le visage et les cheveux, ce qui a paru la réjouir.
En se redressant, elle m'a dit :
--Bienvenue chez nous.
Un bienvenue qui sous-entendait encore pas mal de moments de plaisir potentiels. Ce qui a été le cas. On avait des moments extraordinaires avec les deux filles.
C'est dans ce contexte que j'ai fait connaissance de JC. Il était aussi grand que moi, blond et maigre. On a sympathisé au fil des discussions, On allait parfois boire un coup après le boulot.
C'est comme ça qu'il a fini par m'inviter chez lui et que j'ai fait la connaissance d'Annie.
Il m'avait bien dit qu'il avait une copine, mais je ne m'attendais pas à ce qu'elle soit...Tout ce qu'elle était...
Le bus est arrivé, je suis monté à l'intérieur. Il était quasiment vide en ce milieu d'après-midi. Je me suis calé sur une banquette. L'occasion de repenser à ce même mouvement, mais dans un bus plus garni, en début de soirée. 18 heures. A cette heure-là, certains soirs, j'étais déjà couché, mais c'était une manière de briser la routine, et de s'accorder un moment de détente.
Je suis descendu à l'arrêt suivant, j'ai marché jusqu'à l'autre arrêt, transversal. Le bus a été là tout de suite. Il m'a arrêté à juste quelques mètres de l'immeuble où le couple habitait.
J'ai souvent essayé par la suite d'analyser ce que j'ai pu ressentir dans les premières minutes. Ca a été très banal au début. J'ai sonné en bas, ils ont débloqué la porte, j'ai monté les marches larges pour arriver à leur étage. Ils avaient ouvert la porte de leur appartement, et ils m'attendaient sur le palier. Un accueil chaleureux. JC m'a tendu la main, elle aussi.
Je ne m'attendais pas, c'est certain, à avoir devant moi une fille aussi...flamboyante. Elle dégageait quelque chose de très fort, qui ne tenait pas uniquement à sa beauté...C'était bien la première fois, sans aucun doute, que j'avais face à moi quelqu'un qui me troublait autant. Les deux filles qui travaillaient avec nous étaient l'incarnation de la sexualité. Quand on les voyait, on pensait inévitablement au sexe, elles aussi, on en avait la preuve tous les jours. Elle, c'était à la fois semblable et différent. Il y avait en elle quelque chose de subtil, qui l'amenait à une autre dimension.
Dès les premières secondes, ce regard plein d'ironie, et ce corps sublime, mais aussi ce contact qui s'est établi entre nous, une alchimie qui a été évidente pour elle comme pour moi, qui a fait qu'on est restés un peu plus longtemps en contact, sa main accrochée à la mienne, et le fait qu'elle ait décidé de m'embrasser sur les joues, nos corps rentrant eux aussi en contact, le poids de son corps contre le mien. Le poids de ses seins, sa chaleur.
On a enchaîné. J'ai glissé dans l'appartement, meublé sommairement, celui d'un jeune couple qui n'avait pas trop d'argent mais qui se débrouillait. Il y avait un grand divan vert amande, pas neuf mais encore resplendissant, et dans le coin un frigo qui avait le même profil, qu'il a été ouvrir. Il était garni de bouteilles.
--Je comptais faire des pina colada ce soir. Ca te dit ?
--Très bien.
Annie, c'était son prénom, était debout, elle allumait une cigarette. L'occasion pour moi de la mater tous sous ses angles. De capturer une multiplicité de détails qui tous me plaisaient. Elle avait un très joli visage, des traits fins, et une réelle harmonie. Ca lui faisait un ravissant profil. Un autre détail d'accroche, c'était sa chevelure, noire, très épaisse et longue, qu'elle avait réuni en un chignon très haut sur le sommet de son crane, avec un balayage de quelques mèches fuschia. On avait envie, et j'avais envie d'enlever les épingles qui avaient figé la coiffure pour la laisser s'épanouir sur ses épaules. S'était-elle habillée pour la rencontre, pour la soirée, ou pour la journée, sans se changer ? Elle portait ce qu'on n'appelait pas à l'époque un crop top, un T-shirt qui laissait à nu un ventre impeccable, et soulignait une poitrine lourde, des seins bien gonflés mais aussi bien galbés qui tendaient le tissu, à même la peau, sans soutien-gorge, et on voyait tout. La forme de ses seins, le dessin des aréoles, des tétons...Elle avait, plus bas, une jupe noire, courte, fendue qui plus est des deux côtés, tendue par des fesses pleines et rebondies, avec des cuissardes grises. Des jambes interminables, mais, pour autant que je pouvais en voir, bien galbées. Je me suis dit que JC avait de la chance, en était-il conscient, d'avoir trouvé une fille comme elle, très attirante, mais qui savait aussi manier l'humour, l'ironie, et avait une culture énorme comme j'ai pu le constater par la suite.
JC est revenu avec les pina colada, et on s'est calés, lui et elle sur le divan, tandis que je me posais face à eux dans l'un des deux fauteuils assortis au vert amande.
C'était un de ces moments informels, où on se détend, dans une soirée, après des moments difficiles dans la semaine, en éprouvant un certain plaisir dans la conversation, et dans une relation qui éprouve le rapport que l'on peut avoir aux gens. Une amitié naissante, marquée, ou plus...
Je sentais son regard sur moi, qui ne me quittait pas, et qui disait, ou alors je ne comprenais rien, son intérêt.
Et puis la séduction s'est très rapidement mise en place.
Sa jupe était aussi courte qu'ouverte, et bien sûr, elle avait remonté quand elle s'était calée sur le divan. Elle a, petit à petit, et je ne l'ai pas compris immédiatement, ouvert ses jambes, un compas naturel qui m'a amené devant le fait accompli : Il est arrivé un moment où j'avais en face de moi la vision du triangle blanc, tout simple, d'un slip qui était tendu à craquer par son sexe. Le tissu s'enfonçait très nettement dans sa fente, la marquant bien en son centre. Et c'était troublant au possible.
La discussion continuait, et j'étais bien évidemment troublé par cette vision. Comme l'aurait été sans aucun doute tout homme.
Ce n'était que le début.
Il y a eu ce moment où on a sonné à la porte. Annie a jeté un œil à sa montre.
--Ca doit être Ginette, notre voisine. Elle est âgée et on lui fait ses courses. Tu t'en occupes ?
JC est passé dans la cuisine, revenu avec un cabas et il est passé dans l'entrée.
Annie avait son regard rivé au mien. Elle a souri, et elle a soulevé son T-shirt pour me montrer ses seins. Ce que promettait le T-shirt, leur nudité le tenait. Pendant que son compagnon discutait avec Ginette, celle-ci, et c'était une évidence pour les personnes âgées, semblait avoir le besoin de s'exprimer, ça laissait un peu de temps. Elle a attrapé un de ses seins, en coupe, et elle l'a remonté pour venir passer la pointe de sa langue sur un téton. Il était déjà, me semblait-il, un peu dur, il a durci encore plus. Quand elle l'a lâché, il avait pris un tiers de longueur en plus et il luisait de salive.
--Et si tu léchais l'autre ?
La conversation continuait, mais c'était prendre un risque. Comme elle a vu que j'hésitais, elle s'est redressée, et elle a franchi l'espace, très court, qui nous séparait. Je me suis retrouvé avec un sein sous le nez, et un téton qui n'attendait qu'une caresse buccale. Je n'ai pas pu résister, et, l'oreille dans l'entrée, j'ai fait différemment d'elle, prenant le téton entre mes dents et le mordillant doucement. Elle a gémi. J'ai senti que le téton s'allongeait.
Ca a été très vite. Le silence. La porte qui se referme. Elle a reculé en arrière, s'est laissée tomber sur le divan en même temps qu'elle descendait le T-shirt sur ses seins. J'ai pu constater, dans les minutes qui ont suivi, qu'effectivement ses tétons étaient en érection, et que l'érection se maintenait, tendant nettement plus le coton du T-shirt.
Il y a eu un second épisode. Il y en a toujours un. Une partie de moi était avec eux, dans la conversation, l'autre était collée au corps d'Annie. Ses seins gonflés, son ventre nu, le slip blanc tendu par son sexe, ses jambes longues gainées de cuir.
--Tu mets la quiche au four? On va quand même manger...Il y a aussi la tarte aux pommes à réchauffer...C'est du fait maison.
JC a disparu dans la cuisine. Elle ne pouvait pas ne pas en profiter. Elle s'est soulevée, venant chercher sous sa robe l'élastique de son slip, pour le descendre. J'ai suivi le trajet le long de ses jambes, ses cuisses, le cuir. Le slip est arrivé à ses chevilles. Elle a dégagé une jambe, le slip est resté accroché à l'autre cheville cuissardée. Un mouvement de jambe, et le slip a atterri sur mes genoux. Je l'ai récupéré. C'était une simple culotte, enveloppante. J'ai étiré le tissu. Il y avait de larges tâches sombres, de mouille, sur le devant, et au niveau de l’entrejambe. Dans un réflexe typiquement masculin, j'ai porté le tissu à mes narines, ce qu'elle attendait peut-être, et respiré son odeur intime.
Quand j'ai relevé les yeux, elle m'offrait son sexe nu. A cette époque, il n'était pas coutume de s'épiler, et je pouvais voir un buisson brun, assorti à ses cheveux, qui prenait son pubis, et juste en dessous, l'ouverture de son sexe, marquée par l'excitation, suffisamment en tout cas pour distinguer un intérieur rose, mais aussi deux lèvres sorties d'elle, et qui me semblaient s'étaler, gorgées de sang. On avait peu de temps, alors il n'y a eu que deux gestes. Le premier, le mien, a été de glisser le slip dans la poche intérieure de mon blouson. Il était encore humide quand je suis parti, de retour chez moi, je me suis branlé, jouissant rapidement, trop vite, le nez enfoui dans la culotte, continuant à me frotter tellement j'avais été troublé durant toute la soirée, et remué par cette marque de féminité intime que j'avais dans la main. J'avais joui encore une fois, avant de me sentir un peu apaisé, en profitant aussi énormément dans les jours qui avaient suivi. Je n'avais d'ailleurs pas pensé à lui rapporter.
Et elle avait eu un autre geste. Une sorte d'apex dans la soirée. Un geste très intime, et qui disait une manière de s'offrir. Jambes ouvertes, elle a glissé ses deux index dans son sexe, et elle s'est étirée, me donnant à voir un intérieur tout rose. Je ne saurai pas dire combien de temps ça a duré, quelques secondes dans le temps réel, une éternité dans la fascination. La seule certitude que j'ai pu avoir, c'est qu'elle a largement eu le temps de s'ouvrir, et moi de la voir. Quand JC est revenu, elle a retiré ses doigts de son intimité, mais celle-ci était un peu plus ouverte.
On est passés autour de la table. Une soirée plaisante, enjouée, et qui l'aurait été même s'il n'y avait pas eu ce rapprochement, qui pendant le repas s'est concrétisé par le frottement du cuir de la cuissarde contre ma jambe. Une jambe souple, qui tournait. Au dessert, il y a eu l'apogée avant la séparation, elle a appuyé son pied contre mon pantalon, frottant doucement. J'aurais sans doute joui si la situation ne m'avait pas mis mal à l'aise.
On a glissé à nouveau sur le divan et le fauteuil pour le café. J'ai eu droit à nouveau à son intimité. JC est parti quelques instants, sa bière pendant le repas, elle a attrapé un carnet posé sur le table, avec un stylo.
--Donne-moi ton numéro, je t'appellerai quand je serai libre, et tu passeras me voir.
Je lui ai dicté. Elle a arraché la feuille du carnet et elle l'a fourrée entre ses seins.
Quand on s'est séparés, elle m'a embrassée comme à l'arrivée, mais elle a rajouté un geste furtif, que JC n'a pas vu, attrapant ma main et l’entraînant pour quelques secondes contre son sexe dont j'ai senti le renflement, l'ouverture, l'humidité. Elle avait des arguments imparables.
Je m'étais demandé si elle avait VRAIMENT envie de me revoir, ou si elle voulait juste m'allumer. Après tout, elle était avec quelqu'un. Et puis il y a eu ce coup de fil, et je suis revenu en bas de l'immeuble, partagé entre le désir et l'émotion. C'était qu'elle me plaisait énormément.
J'ai appuyé sur la sonnette, elle a débloqué la porte d'entrée. Deux étages, j'ai couru plutôt que marché. Elle m'attendait sur le pas de la porte, dans une tenue qui correspondait à ce qu'elle m'avait annoncé. Un caraco qui enveloppait sa poitrine, c'était son seul vêtement. Elle était nue à partir de la taille, offerte à mon regard. Elle m'a laissé la mater en souriant, consciente de mon trouble. Sa toison brune, bien fournie, et son sexe dont l'état disait clairement qu'elle s'était bien caressée. Elle était bien dilatée, son intérieur visible, et sa mouille avait déposé une pellicule luisante sur ses chairs, sur un grand cercle. Elle tirait sur une cigarette. Je me suis approché, et nos bouches se sont accrochées. Elle avait un goût de tabac mentholé, et ça a tout de suite été un baiser profond, lèvres jointes et langues se frottant frénétiquement. Ce qui est venu dans les secondes qui ont suivi a finalement donné l'atmosphère, le ton du long moment de sexe conséquent et de ceux qui se sont déroulés dans les semaines et les mois après. Quelque chose de fort, d'intense, d'original et d'unique. Pendant qu'on s'embrassait, et que j'éprouvais le plaisir de sentir son corps contre le mien, elle est venue, de ses mains habiles, chercher ma queue dans mon pantalon. J'étais très dur, j'avais passé quatre jours à ne penser qu'à elle, à fantasmer sur elle, à me souvenir de ce qu'elle m'avait donné à voir...Je pensais qu'elle voulait juste me caresser, en fait, elle voulait se donner du plaisir avec ma queue. J'ai, dans les secondes qui ont suivi, été assailli par des sensations fortes. Le relief de ses lèvres, l'ouverture de son sexe, contre mon gland mais aussi sans qu'elle me fasse rentrer, la partie de ses muqueuses quelques millimètres au-delà de ses lèvres, et puis, là où ses lèvres prenaient naissance, un gland clitoridien dont l'épaisseur autant que la longueur m'ont surpris. Elle a centré mon gland dessus, et s'est mise à se frotter. J'ai bien réalisé qu'elle voulait précipiter sa jouissance. Me le confirmant, elle m'a dit :
--Ca fait deux heures que je m'excite...J'ai besoin de me soulager. On redémarrera à zéro.
Et effectivement, elle a laissé échapper un long gémissement, s'est tendue, a crié, et a joui, crachant des jets de liquide qui m'ont arrosé. Elle a lâché une série de gémissements, avant de se détendre. J'étais très excité, mais je n'ai pas joui.
Elle s'est accrochée à moi. Reprenant ses forces, elle m'a finalement dit :
--Viens. J'ai envie qu'on passe un bon moment ensemble. Je veux que chaque minute soit remplie. Comme mon ventre.
Elle m'a entraîné vers le canapé vert amande. Elle s'est laissée tomber dessus, se cambrant, tendant son ventre vers moi. Je pouvais voir sa chatte parfaitement, et j'ai laissé mon regard glisser dessus. Elle m'était totalement offerte. J'aimais, j'aime toujours d'ailleurs, les toisons luxuriantes, bien fournies, épaisses, j'étais servi avec elle. Juste en dessous, il y avait son sexe, que l'excitation et les caresses qu'elle s'était prodiguées avaient dilaté...Ses lèvres étaient sorties d'elle, étendues devant son sexe, longues mais aussi épaisses...J'ai plongé sur elle, avide, en attaquant justement par ses lèvres. J'ai commencé par une caresse qu'elle n'attendait peut-être pas, pivotant mon visage pour venir prendre une lèvre entre les miennes...J'avais envie de la surprendre, d'être à la hauteur de ce qu'elle pouvait faire elle, ce que je pressentais, quelque chose d'imaginatif et original. J'ai refermé mes lèvres sur la sienne, je les ai fait glisser dessus, peau douce, lèvre épaisse, goût de ses sécrétions car ses lèvres étaient trempées par les jus qui coulaient d'elle. J'ai répété ma caresse, un rien surpris de lui donner du plaisir, le sentant dans sa réaction, les frémissements de son corps, ses gémissements...J'ai tiré sur une lèvre, puis sur l'autre, comme si je voulais l'allonger, et sans doute que ma caresse les allongeait.
--C'est bon, tu te débrouilles bien, elle a soupiré quand je l'ai lâchée momentanément.
Ses jus, leur saveur unique, avaient rempli ma gorge.
--Continue de me caresser...Je savais que ce serait bien avec toi.
J'ai plongé sur sa fente, venant la fouiller de la langue. Elle s'était ouverte encore plus, et je pouvais caresser assez loin ses muqueuses intimes. Si jamais j'avais pu douter qu'elles soient sensibles, ses gémissements me le confirmaient. J'avais toujours ma queue à nu, et je suis venu dessus, un mouvement de va-et-vient de ma verge dilatée, pour apaiser la tension qui était en moi. Je ne voulais pas jouir, pas encore. J'aimais cette fusion entre elle et moi, dans le plaisir. Elle avait su sentir que ça collerait bien entre nous, sans se tromper.
J'étais à genoux. Elle m'a dit :
--Monte sur le divan, J'ai envie de voir ta queue et d'en profiter.
Je m'y suis laissé glisser. Elle s'est penchée sur moi. Je n'ai pas pu m'empêcher de lui demander :
--Celle de JC ne te suffit pas ?
--J'aime énormément le sexe depuis que je suis en âge de savoir ce que c'est. C'est un plaisir dont je ne suis absolument pas capable de me passer. C'est bon, fort, et à chaque fois différent. C'est une drogue. Et me limiter à une seule personne....J'ai envie de plein d'expériences différentes...Et puis...Quand je t'ai vu, j'ai su immédiatement que ça pouvait coller entre nous...Je ne me suis pas trompée, hein ?, elle a ajouté, en se penchant sur ma queue aussi dilatée que son sexe, pour venir donner des coups de langue dessus.
Elle était avide et habile, et le plaisir m'a saisi et emporté. C'était clair, des moments de sexe, elle avait du en avoir déjà pas mal pour être aussi expérimentée. Elle a bien tourné sur mon gland, venant planter sa langue dans mon méat, avant de descendre sur mes couilles...Sa langue sur cette zone c'était...Divinement bon...La première fois qu'une fille me faisait ça. Je devais me retenir pour ne pas exploser. Je ruisselais comme une fontaine. Elle est remontée me boire, et redescendue.
Elle a fini par se redresser,
--J'ai envie que tu me fouilles bien avec ta queue. Tu te sens capable de faire ça ?
Elle m'a examiné, et, sans que je réponde, elle a semblé convaincue que c'était possible. Elle a avancé vers un buffet contre le mur, me donnant l'occasion d'admirer sa croupe haute et bien épaisse, coupée en deux par un sillon profond. Le temps qu'elle s'est figée devant le buffet, pour ouvrir le tiroir et en sortir une boite de préservatifs, j'ai aperçu, niché entre ses cuisses, visible parce qu'elle avait les jambes légèrement écartées, le renflement de sa vulve, lèvres sorties, auxquelles étaient accrochés des filaments de ses liquides intimes. Elle est revenue jusqu'à moi avec la boite, a sorti un préservatif qu'elle a dépiauté, et elle a fait glisser le latex le long de ma queue. Elle s'est calée sur mes genoux, jambes très largement écartées, m'offrant ainsi totalement son ventre, le sexe dilaté et suppurant et les plissements de son anus. Il y avait sur son visage une expression radieuse. Comme si le sexe,, et j'en étais convaincue, était sa plus grande source de plaisir. Il était vrai que le plaisir, la jouissance, c'était quelque chose de très fort. Bien malheureux, sans le savoir, ceux qui s'en privaient.
Elle s'était, d'instinct ou d'habitude, parfaitement calée. Elle a attrapé ma queue, et elle s'est mise à se caresser avec. Les yeux mi-clos, en plein trip...Et me donnant aussi des sensations fortes, en me faisant percevoir, sensation intacte malgré le latex, le dessin de son sexe, ses reliefs et ses creux, les jets liquides chauds qui coulaient d'elle, et arrosaient ma queue, mais aussi, plus bas, le relief de sa muqueuse anale, les plissements gravés dans sa chair. Je devais me retenir pour ne pas jouir, mais elle n'était pas mieux. En plein trip. C'était impressionnant de voir comme elle planait. Le sexe était une drogue pour elle, c'était une évidence.
Elle a parlé d'une voix lointaine, comme si elle était ailleurs, et c'était bien le cas.
--Tu veux que je te parle de ma sexualité... ? J'ai compris très tôt à quel point le sexe pouvait être, plus que bon, divin. Même les enfants se donnent du plaisir, tu sais. Et j'ai très vite joué à des jeux sexuels avec les garçons, mais aussi les filles. Tout m'attirait, tout me plaisait.
Et puis je suis arrivé au moment où j'avais envie qu'un garçon me pénètre, et un garçon avait très envie de me pénétrer aussi. J'avais tellement peur de tomber enceinte, même avec pilule et préservatif, que je lui ai proposé une alternative. Passer par mes fesses. Je savais que je ne risquais pas d'avoir un gosse, et ça me rassurait. Je m'étais préparée avant qu'il ne me rende visite. Je m'étais mis du gel acheté dans une pharmacie. Il n'a pas refusé ma proposition. Tous les garçons aiment sodomiser les filles, et si on leur donne le choix, je crois que tous préféreront la prendre comme il m'a pris.
Ce que par contre je n'avais pas anticipé, c'était le plaisir que j'allais éprouver. Le sien était évident, mais je n'avais pas imaginé le mien. J'y ai longuement réfléchi par la suite, j'ai saisi sans doute l'étroitesse du conduit, le fait que les chairs soient resserrées et puis aussi la caresse de la muqueuse anale, qui me donnait une sensation délicate, comme si j'étais au cœur de pétales de fleurs.
--Retiens-toi de jouir, elle m'a dit, j'ai envie que tu me caresses longtemps.
Et sans aucun doute, on a tenu longtemps, bloqués sur ce plaisir fort. Elle s'était calée, une main sur ses tétons qu'elle tordait, l'autre accrochée à son sexe, deux doigts réunis qui allaient et venaient dans sa muqueuse vaginale, précipitant l'ouverture de celle-ci, jusqu'à la béance, et le jaillissement de liquides épais.
Sa jouissance a été au croisement entre ce moment hors normes, très fort, et sa personnalité, si spéciale, riche, originale. Elle s'est mise à jouir, secouée par des spasmes, et crachant des jets de jouissance. S'arrosant et m'arrosant. Des jets copieux, crémeux et parfumés. La voir jouir, la sentir jouir, et qu'elle m'éjacule ainsi dessus, ça a précipité ma jouissance, et j'ai joui et éjaculé comme je n'avais sans doute encore jamais joui et éjaculé.
On est restés immobiles, alors que la journée s'obscurcissait, aux prises avec le plaisir qui s'éternisait sur nous, mais aussi l'étrange sensation qu'il existait une harmonie entre nous. L'envie d'être ensemble, pour encore énormément de sexe, comme le biais d'un rapprochement, même si on avait l'évidence que la proximité allait au-delà du sexe seul.
Totalement accros, à la fois à l'autre, et au sexe, on s'est revus quand on pouvait. Elle m'appelait et je passais. On s'est mis aussi à se voir, parfois très rapidement, en extérieur, parcs, parkings. Quelque chose de fou, avec parfois du sexe qui durait dix minutes. Mais qui était d'une rare intensité.
Et l'évidence qu'on était vraiment faits pour être ensemble. Alors même qu'elle connaissait son copain depuis toujours et qu'ils avaient toujours pensé qu'ils seraient ensemble jusqu'à la fin de leur vie.
Elle m'appelait plusieurs fois par jour. Il y avait les moments où on pouvait se voir, et ceux où on parlait de tout de rien. Dans une complicité renouvelée et sans failles.
Jusqu'au jour où le silence et le vide ont remplacé les appels et les rencontres.
Une journée, encore une autre...J'ai imaginé le pire.
Je me suis résolu à me rendre en bas de l'immeuble. Les volets étaient fermés et les deux noms avaient disparu de la boite aux lettres.
L'absence, le vide, les doutes, l'angoisse. Et finalement la résignation.
Six mois se sont passés
Jusqu'à ce qu'on sonne et que j'aille ouvrir.
Je n'en ai pas cru mes yeux. Devant moi, il y avait Annie. Que je n'avais jamais espéré revoir.
--Je suis revenue. Pour toi. Je suis libre.
Elle est entrée. J'ai poussé la porte. Elle n'est jamais repartie.







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Histoire de JamesB

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Commentaires du récit : Annie et moi

Le 19/09/2023 - 22:52 par OlgaT
Un très beau récit!

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