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Moi, mon épouse...et lui.

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Lue : 2168 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 20/01/2022

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Je me souviens de cette soirée, ou tu t’offrais à un inconnu.
Cela avait commencé lors d’un arrêt dans un bar musical, après trente kilomètres de route. Tu voulais absolument danser. Je te savais folle de danse, alors que je n’étais qu’un piètre danseur. A part le slow peut-être.
Pas mal de monde en ce samedi soir, une clientèle plutôt jeune. Plus au bar, que sur la piste, occupée essentiellement par des couples d’un certain âge.
Une fois assis, nous commandions un whisky coca. Quand le DJ balança un slow lent, tu me pris la main, et m’entraîna sur la piste. Je voyais les regards envieux des clients appuyés au bar, te dévisageant de la tête au pieds. Faut dire que ta tenue vestimentaire, mettait ton sublime corps en valeur. Jupe courte, chandail, escarpins de six centimètres, qui faisait ressortir ta superbe poitrine. Ta chevelure blonde tombant sur tes épaules, et tes longues jambes, façonnaient parfaitement l’ensemble. J’étais vraiment fier de te tenir dans mes bras.
Nous retournions à nôtre table boire une gorgée, en attendant la prochaine danse., Le DJ envoya un slow rock, un peu trop rapide pour moi. D’ailleurs, tu ne proposas pas de le faire. Mais je te sentais te trémousser sur ta chaise. C’est à ce moment qu’un client du bar, la trentaine, vint t’inviter. Tu me questionnas du regard, pour avoir mon aval. Bien évidemment, je n’allais pas te priver de ton plaisir.
Je vous suivais regagner la piste. Il te prit la main, posa l’autre sur ta hanche, alors que la tienne se posa sur son épaule. J’admirais ton déhanché quand il te faisait tourner, ton sourire quand tu croisais son regard.
Brutalement, la musique devint beaucoup plus douce, et le rythme tombât de plusieurs niveaux, pour atteindre un slow, lent et langoureux, que sans attendre, vous commenciez à danser. Très vite, il te prit par la taille, tandis que tes bras s’étaient enroulés autour de sa nuque, et il ne faisait aucun doute, que vos corps se frottaient mutuellement. Tu devais sûrement sentir contre ton ventre, une partie rigide de son anatomie. Tu me lançais un regard brûlant au dessus de son épaule, et je te répondis par un sourire, et un hochement de tête, qui te prouvait combien j’appréciais la scène.
Soudain, un autre client du bar, probablement un pote à ton partenaire, vint se coller derrière toi. Il frottait son bassin contre tes fesses. Il mordit ton oreille, glissa ses mains sous ton pull, caressa tes seins par dessus le soutien gorge. A lire la surprise sur son visage, je me doutais que tu n’en portais pas, car je savais combien tu aimais sentir le doux lainage, exciter tes bouts saillants. Tu penchas ta tête en arrière, à la recherche des lèvres de l’intrus qui te donnais du plaisir. Seules vos langues furent en contact. Tu ne le repoussas pas quand sa main glissa sur ton ventre, écarta ta jupe, pour glisser vers ta chatte. Après quelques fugaces caresses, l’inconnu se retira, à ta grande déception. Tu te retournas, collas ta joue à celle de ton partenaire. Je te vis sourire quand il te murmurais à l’oreille.
C’est à ce moment, que la musique s’arrêta, te laissant sur ta faim. Ton cavalier, courtois, te ramena à nôtre table, en te tenant par la taille. Il te remercia, puis se présenta.
- Je m’appelle Lucas. Vôtre femme est ravissante, monsieur, et danse très bien.
- Je sais...moi c’est Thierry, et mon épouse Valérie.
A chaque slow, Lucas t’invitait à danser. Vous vous rapprochiez de plus en plus, vos corps ne faisait qu’un, limite si vos lèvres ne se touchaient pas. Je voyais naître le désir en toi.
Vers une heure du matin, Lucas nous invitait à prendre un verre chez lui. Il habitait à quelques pâtés de maison de l’endroit ou nous nous trouvions. Nous étions déjà bien gais, et étions chez lui, autour de nouveaux cocktails de sa préparation.
Il mit un slow en musique de fond, et j’insistais pour que vous dansiez à nouveau ensemble. Du fauteuil, je suivais l’évolution, vos lèvres ne se frôlaient plus, mais se soudaient une à l’autre, vos langues se défiaient dans des baisers interminables. Les réflexes revinrent très vite, et vos corps s’accommodaient parfaitement. Il te serrait de plus en plus, t’embrassait dans le cou.
Je me suis levé pour venir me placer derrière toi, comme l’avait fait l’inconnu du bar. Tu étais prise maintenant, par deux mâles, qui te serraient de plus en plus. Deux queues rigides te pressaient, et les fesses et la chatte. Tout en me frottant contre tes reins, et en te faisant preuve de ma virilité, j’avais pris un sein dans chaque main, et te les caressais tendrement, en sentant tes bougeons durcir sous mes doigts.
Je n’avais pas encore remarqué, à cet instant, que tu embrassais Lucas à pleine bouche, et que vos langues se défiaient intimement.
Tu étais occupée à l'embrasser pendant qu'il avait une main sous ton chandail, poussant la mienne, pour te caresser les seins. Moi de mon coté, je m'affairais à glisser une main entre tes cuisses brûlantes et à retirer ton string trempé de la liqueur qui provenait de ta chatte. Tu devais être complètement en feu et j'allais directement te refroidir la fente de ma langue experte.
Effectivement, ta chatte avait le goût sucré et chaud d'un liquide abondant qui débordait même sur le fin duvet de ton pubis. J'attaquais ta chatte à grands coups de langue quand je m’aperçus du coin de l'œil que tu avais une main dans le pantalon de Lucas, entrain de fouiller après son membre. Ta main avait sorti sa queue, et elle se dressait magistralement hors de sa tanière. Elle était très bien proportionnée avec un gros gland luisant et gonflé de sang tout recouvert d'un liquide visqueux. Elle était épaisse et longue. Il était sûrement bien mieux monté que moi. Je vis ton corps s'affaisser et ta tête aller en direction de son entre jambe. Sans aucune hésitation, tu engloutis le gland dans ta bouche pulpeuse et je voyais tes doigts déjà au travail le long de ce membre viril. Puis tu sortis la bite de ta bouche en la léchant de bas en haut et en t'attardant à sucer ses énormes couilles qui t'emplissait complètement ta bouche.
C'était la première fois que je te voyais en train de sucer la queue d'un autre. Certes tu n'étais pas une enfant de cœur et tu n'en étais pas à ta première queue, mais le fait de te voir tailler une pipe là, près de moi m'excita profondément. Je te savais une experte en fellation, tu me l'avais démontré à maintes reprises dans différents endroits, au cinéma, sur une aire de repos d'une autoroute ou encore une fois dans un restaurant où tu t'étais cachée sous la nappe affairée à me sucer la queue. Tu devenais parfois une belle garce et j'adorais ça.
Tandis que ma langue allait et venait sur ton clitoris et tes lèvres intimes, j'avais enfoncé deux puis trois doigts dans ta chatte en feu qui en demandait toujours plus. Tu gémissais de plus en plus fort en avalant en cadence le membre viril de notre compagnon. J'avais enlevé mon pantalon et j'étais quasiment nu pendant que je continuais à te branler puissamment et à te mordiller le clitoris. Tu ne résistas pas longtemps à ce rythme et tu eus ton premier orgasme. Immédiatement, je te déshabillais complètement et je me plaçais derrière toi pour te pénétrer. Tu étais tellement ouverte et mouillée que je pouvais t'enfiler d'un seul coup de queue sans aucune préparation. Tu poussas un petit cri et tu te remis à sucer comme une folle la queue de notre ami qui commençait à avoir de plus en plus de mal à retenir son plaisir. Pendant que je te prenais par derrière en levrette, l'inévitable se produisit et tu reçus dans la bouche plusieurs giclées de sperme que tu avalas goulûment. Pas une goutte de la semence de ta victime ne t’avait échappé. Il eut un large sourire qui en disait long sur tes qualités de tailleuse de pipes. Cette scène m’avait bouleversé et je te labourais la chatte puissamment au point de jouir très intensément et de me vider de mon sperme dans ton ventre. C'est alors que tu poussas un profond gémissement qui prouvait la violence de ton orgasme.
Après quelques instants, non rassasiés du tout de notre envie de te rendre heureuse, nous étions toujours en parfaite érection et nous avions inversé les rôles.
Je me mis à sa place et lui à la mienne. Il te fourra brusquement sa queue dans ta chatte sans aucun avertissement. Comme elle était bien plus grosse que la mienne, tu crias sous ces sensations. Très vite le plaisir repris le dessus et tu criais maintenant en cadence de ses coups de reins puissants qui venaient te défoncer la chatte, qui n'en finissait pas de jouir. De mon côté, c'était à mon tour de me faire aspirer par ta bouche vorace qui en était à sa deuxième pipe de la soirée et qui s'activait à me vider également de mon sperme. Tu me suçais comme une folle et sentant le désir monter en moi, je te demandais d'éjaculer sur ton visage et d'étaler le foutre avec ma bite. Très vite, plusieurs vagues de jus épais vinrent s'étaler sur tes joues et ta bouche. Tu commençais à frotter ton visage sur ma queue, étalant ainsi le sperme chaud et gluant sur ton visage. J'étais au bout de l'orgasme et je vins au niveau de ton visage pour lécher les traces de sperme qui étaient encore visibles. J'adorais le goût de mon propre sperme et je me régalais.
De ton côté, tu secouais la tête de droite à gauche et tu gémissais aux coups de boutoir terribles que t'assénait ton partenaire. Tes cris étaient de plus en plus rauque et rapprochés, tu hurlas littéralement et t'effondra sur le canapé. Cet orgasme sans doute le plus violent de la soirée t'avait exténuée au point de te rendre le ventre douloureux.
Tous les trois épuisés, nous nous reposâmes une bonne heure en blaguant sur telle ou telle chose. Notre ami nous prépara un petit en cas, et nous reprîmes des forces afin de nous remettre de ce fol instant.
J'étais parti à la salle de bain pour me rafraîchir un peu et me laver également. A mon retour, je vous surpris enlacé, lui sa main entre tes cuisses, affairée à te caresser délicatement les recoins de ta chatte et toi tu avais en main son énorme sexe qui avait retrouvé toute sa virilité. Malgré la fatigue, j'eus immédiatement une orgueilleuse érection due au spectacle que j'avais sous les yeux.
Dans l’immédiat, je décidais volontairement, de ne pas participer, vous laisser entre vous, m’assis sur le fauteuil. Le spectacle auquel j’assistais, était hallucinant. Voir un autre homme jouer avec toi, le visage enfoui entre tes cuisses, m’excitait.
- Hum...quel salaud…
- Que t’arrive-t-il ma chérie ?
- Hou...hou...il est en train de brouter ma petite chatte...oh oui…
- Laisses-toi aller mon amour…régales-toi.
Je revins près de vous et je te caressais les seins en me frayant également un passage entre tes cuisses où je retrouvais notre compagnon entrain de jouer non pas avec ta chatte ou ton clitoris mais avec ton petit trou.
Il avait délicatement introduit un doigt qu'il s'était enduit d'une crème très visqueuse, cela devait être de la vaseline. Tu avais l'air de beaucoup apprécier ce qu'il te faisait car tu étais parfaitement détendue et la chair autour de ton œillet également. De mon côté je te caressais toujours les seins d'une main et de l'autre ta chatte tout en observant les caresses expertes de notre rencontre. Après de très délicates tentatives, il décida d'introduire un second doigt dans ton anus. Après quelques essais, tu commenças à apprécier cette pénétration alors inconnue. Je ne m'étais jamais aventuré à introduire plusieurs doigts à cet endroit par peur peut être de te choquer. Mais au contraire, tu étais parfaitement calme et sereine, pas du tout gênée par ce qui t'arrivait.
C'est alors qu'il me demanda de m'allonger sur le dos, et toi de t'allonger sur moi en faisant pénétrer mon membre dans ton ventre bien chaud. Tu t'appliquas délicatement à t'empaler sur ma queue et à commencer à remuer en rythme. Lui vint derrière toi et je devinas immédiatement où il voulait en venir. Il se plaçât donc derrière toi et je sentis son sexe frôler le mien, alors qu'il commençait à pointer sa queue en direction de ton petit trou. Il voulait te prendre en sandwich entre nous deux. Après quelques instants, alors que tu ne bougeais pas du tout, je sentais progressivement pénétrer en toi son énorme queue à travers la fine membrane qui sépare ta chatte du petit orifice. Tu ne ressentais très peu de douleur tant il s'y prenait avec douceur et tant il avait enduit ta rosette de vaseline. Tu ne disais toujours rien et je voyais ton visage se crisper et tes yeux se fermer. Il était arrivé au bout de ses peines et il t'avait enfilée de tout son long. Il commença alors un lent va et vient pour ne pas te brusquer, ce qui avait pour effet de provoquer également un lent mouvement de ma queue dans ta chatte très contractée. Tu étais de plus en plus détendue et des soupirs de plaisirs commencèrent à sortir de ta bouche. Puis les mouvements s'étaient progressivement accélérés et tes râles de plaisirs devenaient de plus en plus forts et parfois stridents. Il accélérait le rythme et tes râles se transformèrent en cris de jouissance quand tu atteins ton premier orgasme dans cette position. Il fut très vite suivi de deux autres très rapprochés qui correspondaient à nos orgasmes respectifs, lui dans ta cavité inexploré et moi dans ta chatte explorée depuis longtemps.
Cette fois ci, nous étions tous les trois exténués. Mais je te sentais l’envie de jouer encore. Dans un premier temps, nous décidâmes de prendre un douche. Vue l’exiguïté de la salle de bain, nous ne pouvions y aller à trois. Je passais donc en premier, vous laissant le droit de vous doucher ensemble. D’après les retombées acoustiques, je devinais de quelle partie de ton corps il devait s’occuper, quand je t’entendais gémir. J’imaginais ton clitoris tourner sur ses doigts. Malgré le bruit de l’eau, des bribes de conversations arrivaient à mes oreilles.
- Salope...t’aimes ça, hein ?
- Oh oui j’aime çà...vas-y, caresses-moi encore...fais moi jouir…
Vous ressortirent un quart d’heure plus tard. Vous étiez entièrement nus. Lucas te portait dans ses bras. Sa queue en érection était plaquée contre tes fesse. Nôtre pervers compagnon me fit un signe des paupières. Je ne comprenais pas de suite ce qu’il voulait dire, puis je lus le message. Un sourire éclaira mon visage. Je me levais, et m’approchais de vous.
Je saisis son impressionnante queue, et la dirigea vers ta chatte. Je la fis coulisser entièrement en toi. Tu poussas un gémissement langoureux, quand il se déplaça vers le canapé. Il s’y assis délicatement, la queue toujours encrée en toi. Il te fit basculer sur les genoux, te fit mettre à quatre pattes. A ce moment là, j’étais exclu de la fête. Je ne pouvais que constater. Je voyais sa bite disparaître dans l’antre chaud de ta chatte.
Tu adorais te faire prendre en levrette, et les regards que tu projetais, prouvaient que tu appréciais. Les yeux mi-clos, tu jouissais, d’abord en silence, puis plus intensément quand tu atteins l’orgasme. Soudain, il se retira, vint placer sa bite à deux centimètres de ta bouche, que tu ouvris. Je vis son sperme gicler en jet puissant, entre tes lèvres. Tu les refermas aussitôt, quand sa bite se cala dans ta bouche. Je vis tes joues se creuser, ton cou se gonfler. Tu était en train de tout avaler. Il ressortit lentement, attendit que tu lui nettoya le gland.
Tu t’allongeais sur le canapé, écartelée. Il glissa deux doigts dans ta chatte, et commença à te branler. Tu gémissais de plaisir, cambrais ton bassin pour mieux offrir ta chatte aux doigts qui la fouillait. Cette vision de ton corps se tordre sur le canapé, des gémissements de plaisir, me fit atteindre une érection sans précédent. Ton dernier orgasme traversa la pièce. Ce devait être le cinq ou sixième.
Nous nous rhabillâmes. Lucas te prit dans se bras, et tu lui offrit ta bouche, pour un tendre baiser. Nous quittâmes à regret nôtre compagnon de jeux. Dehors, le jour commençait à poindre et tu avais l'air radieuse malgré la fatigue. Nous rentrâmes chez nous pour y dormir tendrement l'un contre l'autre après avoir libéré la baby-sitter. Cette nuit nous avait encore rapprochés.
Au réveil, tu redeviens chatte, t’enroule autour de moi. Tu glisses une main sous le drap pour voir si je suis disponible. Tu te réjouis quand tu t’aperçois que je le suis. Tes douces caresses ne font qu’accentuer mon désir. Tu absorbes ma queue, comme tu l’as fait toute la nuit avec nôtre compagnon de rencontre. Tu avales tout, me garde en bouche pour une divine toilette sur toute ma longueur. Je me délecte, accepte ce massage buccal, qui m’emmène à la jouissance. Bizarrement, tu n’acceptes rien en retour, si ce n’est la demande de revivre une telle nuit.
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Histoire de Aurore34

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