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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 19/06/2025
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MOI 47 ANS ET ELLE 20 ANS
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C’était un soir comme tant d’autres, mais j’avais décidé de sortir, de ne pas rester cloîtré chez moi. Le quartier était animé, la chaleur humide de la ville mêlée aux rires et aux musiques des terrasses. Je ne cherchais rien de précis, juste un peu d’air, peut-être un regard, une étincelle.
Je l’ai vue au bar d’un petit café discret, seule à une table. Elle avait ce mélange de fraîcheur et d’assurance qui te fait immédiatement lever les yeux. Vingt ans à peine, mais une présence qui en disait long. Son regard pétillait, malicieux, curieux.
Elle m’a souri, sans gêne, comme si elle avait attendu que je remarque sa présence. Je me suis approché. Pas de jeux compliqués, pas de faux-semblants.
— « Tu veux boire quelque chose ? »
— « Oui, et peut-être plus… » répondit-elle, ce sourire aux lèvres.
On a parlé, longuement, de tout et de rien, mais surtout de cette énergie entre nous qui ne demandait qu’à exploser. Quelques verres plus tard, la décision était prise : on partirait ensemble, loin de la foule, pour vivre cette nuit unique.
47 ans, mais ce soir-là, j’étais un homme sans âge. Elle, elle avait 20 ans à peine. Vingt ans et cette insolence douce dans le regard, ce feu neuf dans les gestes, cette curiosité qui ne connaît pas encore les limites.
On s’est retrouvés dans ma chambre, sans précipitation. Elle s’est installée sur le lit, les jambes croisées, un sourire presque moqueur.
— "Tu vas pas me faire un discours, j’espère."
J’ai ri. Je me suis approché, lentement. C’était elle qui avait lancé le jeu, mais je savais comment reprendre le contrôle.
Je l’ai d’abord simplement effleurée. Son cou, sa nuque, le creux derrière son oreille. Elle frissonnait comme si personne ne l’avait jamais touchée avec patience. Et peut-être que personne ne l’avait fait, pas comme ça.
Je l’ai allongée, doucement. Sa peau était tendue, jeune, douce comme de la soie fraîche. Elle respirait plus vite déjà. Je prenais mon temps. Chaque bouton défait, chaque centimètre de peau révélé, était une victoire.
Elle m’a dit :
— "J’aime comment tu me regardes. Les gars de mon âge... ils vont trop vite."
Je l’ai prise dans mes bras. Embrassée partout. J’ai exploré. Sa poitrine, son ventre, l’intérieur de ses cuisses. Elle s’ouvrait lentement, haletante, offerte. Elle se cambrait, soupirait mon prénom, me griffait le dos.
Quand je suis entré en elle, elle a murmuré “putain…”, comme si elle ne s’attendait pas à ce que ce soit aussi bon. On a bougé ensemble. Lentement d’abord, puis plus fort, plus profond. Elle me disait :
— "Continue… arrête pas… plus fort… encore."
Elle voulait tout. Et moi, je voulais lui donner tout.
On a changé de position plusieurs fois. Elle sur moi, moi derrière elle, puis face à face, ses jambes sur mes épaules. Chaque fois qu’elle criait, c’était une vague. À la fin, elle tremblait. Littéralement. Son corps entier était secoué. Elle riait nerveusement.
— "Je savais pas que je pouvais jouir comme ça."
Je l’ai gardée dans mes bras. Elle s’est endormie contre moi, nue, la tête sur mon torse.
Le soleil pointait à peine quand elle ouvrit un œil, un sourire malicieux aux lèvres. Elle glissa doucement ses doigts le long de mon torse, puis, sans prévenir, descendit encore plus bas, taquine.
— « Tu sais, je pourrais rester toute la journée à te faire tourner en bourrique… » murmura-t-elle, sa voix douce mais pleine de promesses.
Je la regardai avec un sourire complice. Pas besoin d’invitation plus claire. Elle se redressa, s’agenouilla sur moi, et posa un baiser chaud et espiègle sur mon cou.
Elle adorait jouer, me défier un peu, profiter de cette différence d’âge qui rendait chaque moment encore plus délicieux.
Entre éclats de rire étouffés et caresses audacieuses, elle me guida dans un jeu de séduction tendre et piquant. Chaque touche était une invitation, chaque regard un défi.
On se laissa aller à ce plaisir coquin, mêlant douceur et fougue, jusqu’à ce que le lit se transforme en un terrain de jeu parfait.
Quand enfin on s’arrêta, essoufflés et complices, elle me lança un dernier clin d’œil :
— « Alors, t’as tenu le choc, vieux charmeur ? »
Je ne pus que rire, heureux d’avoir rencontré cette jeune fille espiègle, capable de réveiller en moi un désir à la fois tendre et sauvage.
Et moi ? Je me suis juste dit : à 47 ans, je n’ai jamais été aussi vivant.
Je l’ai vue au bar d’un petit café discret, seule à une table. Elle avait ce mélange de fraîcheur et d’assurance qui te fait immédiatement lever les yeux. Vingt ans à peine, mais une présence qui en disait long. Son regard pétillait, malicieux, curieux.
Elle m’a souri, sans gêne, comme si elle avait attendu que je remarque sa présence. Je me suis approché. Pas de jeux compliqués, pas de faux-semblants.
— « Tu veux boire quelque chose ? »
— « Oui, et peut-être plus… » répondit-elle, ce sourire aux lèvres.
On a parlé, longuement, de tout et de rien, mais surtout de cette énergie entre nous qui ne demandait qu’à exploser. Quelques verres plus tard, la décision était prise : on partirait ensemble, loin de la foule, pour vivre cette nuit unique.
47 ans, mais ce soir-là, j’étais un homme sans âge. Elle, elle avait 20 ans à peine. Vingt ans et cette insolence douce dans le regard, ce feu neuf dans les gestes, cette curiosité qui ne connaît pas encore les limites.
On s’est retrouvés dans ma chambre, sans précipitation. Elle s’est installée sur le lit, les jambes croisées, un sourire presque moqueur.
— "Tu vas pas me faire un discours, j’espère."
J’ai ri. Je me suis approché, lentement. C’était elle qui avait lancé le jeu, mais je savais comment reprendre le contrôle.
Je l’ai d’abord simplement effleurée. Son cou, sa nuque, le creux derrière son oreille. Elle frissonnait comme si personne ne l’avait jamais touchée avec patience. Et peut-être que personne ne l’avait fait, pas comme ça.
Je l’ai allongée, doucement. Sa peau était tendue, jeune, douce comme de la soie fraîche. Elle respirait plus vite déjà. Je prenais mon temps. Chaque bouton défait, chaque centimètre de peau révélé, était une victoire.
Elle m’a dit :
— "J’aime comment tu me regardes. Les gars de mon âge... ils vont trop vite."
Je l’ai prise dans mes bras. Embrassée partout. J’ai exploré. Sa poitrine, son ventre, l’intérieur de ses cuisses. Elle s’ouvrait lentement, haletante, offerte. Elle se cambrait, soupirait mon prénom, me griffait le dos.
Quand je suis entré en elle, elle a murmuré “putain…”, comme si elle ne s’attendait pas à ce que ce soit aussi bon. On a bougé ensemble. Lentement d’abord, puis plus fort, plus profond. Elle me disait :
— "Continue… arrête pas… plus fort… encore."
Elle voulait tout. Et moi, je voulais lui donner tout.
On a changé de position plusieurs fois. Elle sur moi, moi derrière elle, puis face à face, ses jambes sur mes épaules. Chaque fois qu’elle criait, c’était une vague. À la fin, elle tremblait. Littéralement. Son corps entier était secoué. Elle riait nerveusement.
— "Je savais pas que je pouvais jouir comme ça."
Je l’ai gardée dans mes bras. Elle s’est endormie contre moi, nue, la tête sur mon torse.
Le soleil pointait à peine quand elle ouvrit un œil, un sourire malicieux aux lèvres. Elle glissa doucement ses doigts le long de mon torse, puis, sans prévenir, descendit encore plus bas, taquine.
— « Tu sais, je pourrais rester toute la journée à te faire tourner en bourrique… » murmura-t-elle, sa voix douce mais pleine de promesses.
Je la regardai avec un sourire complice. Pas besoin d’invitation plus claire. Elle se redressa, s’agenouilla sur moi, et posa un baiser chaud et espiègle sur mon cou.
Elle adorait jouer, me défier un peu, profiter de cette différence d’âge qui rendait chaque moment encore plus délicieux.
Entre éclats de rire étouffés et caresses audacieuses, elle me guida dans un jeu de séduction tendre et piquant. Chaque touche était une invitation, chaque regard un défi.
On se laissa aller à ce plaisir coquin, mêlant douceur et fougue, jusqu’à ce que le lit se transforme en un terrain de jeu parfait.
Quand enfin on s’arrêta, essoufflés et complices, elle me lança un dernier clin d’œil :
— « Alors, t’as tenu le choc, vieux charmeur ? »
Je ne pus que rire, heureux d’avoir rencontré cette jeune fille espiègle, capable de réveiller en moi un désir à la fois tendre et sauvage.
Et moi ? Je me suis juste dit : à 47 ans, je n’ai jamais été aussi vivant.
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Commentaires du récit : MOI 47 ANS ET ELLE 20 ANS
Le 19/06/2025 - 14:30 par Kristof41
Belle histoire
Belle histoire
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