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Moi cocu par mon fils?

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 4 - Histoire postée le 03/02/2023

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Cocu par mon fils?
Mon premier ménage
Le début de l’histoire se situe dans les années 70 alors que je termine mes études de géodésiens1 à l’école d’ingénieurs. En parallèle, Marinka finit les siennes à la chaire de mathématique.
Nous avons sollicité de faire un diplôme commun. « L’utilisation des dernières avancées en mathématiques appliquées au service de la photogrammétrie.» Notre projet est accepté du bout des lèvres, mais nous avons avancé de bons arguments, notamment que le résultat doit se situer au niveau d’une thèse.
Nous avons prévu de remplacer le système très dense de relevés, principalement basé sur des approximations linéaires par une méthode digitale toute nouvelle qui est utilisée pour la recherche de nouveaux filons d’or et de diamant en Afrique du Sud nécessitant une densité nettement moins dense.
Un mois avant la fin, dans un grand stress, pour nous détendre, on a joué à papa maman sans prendre de précaution. Le résultat des courses, c’est qu’elle est tombée enceinte. Nous n’avions pas prévu de nous marier avant la fin, mais grossesse oblige, on a passé devant le pétabosson2.
Ayant passé notre diplôme avec les félicitations du jury. Suite aux félicitations du jury, nous ne sommes pas passés par la case du stage, mais nous avons fondé tout de suite notre bureau de géodésiens. Nous avons un énorme marché avec la construction des autoroutes qui nécessitaient de nombreux relevés à meilleures échelles que les 1:25 000ᵉ
Jean mon fils est un très beau bébé qui grandit en taille, mais un peu moins en sagesse. Nous vivons sur un petit nuage pendant une dizaine d’années, jusqu’à ce qu’un mathématicien, ayant inventé le fils à couper le beurre en été, docteur en mathématique, se mette à séduire ma Marinka. Elle me fait comprendre que sa vie, c’est les mathématiques, même si l’intermède géodésie lui a bien plu. Elle me déclare qu’elle a reçu une demande de la Nasa pour rejoindre l’équipe des mathématiciens et qu’elle ne veut pas rater cette occasion. Suite un divorce à l’amiable3, elle me laisse même Jean en cadeau. La justice n’a rien voulu entendre parler de pension alimentaire pour l’enfant, estimant le fait que j’aie la puissance paternelle sur l’enfant est un dédommagement suffisant. J’ai appris par la suite qu’elle gagne environs trois fois plus que moi, qui gagnes déjà bien ma vie.
Mon second ménage
Je ne me suis vite rendu compte que de tenir seul un bureau de géomètres, même avec un apprenti, je n’allais pas avoir suffisamment de temps pour Jean. C’est au cours d’une foire à Munich que j’ai rencontré Heidi, belle jeune femme, qui parlait couramment le français.. Elle venait de quitter un type infréquentable. Le courant a tout de suite passé entre nous. Deux mois plus tard, j’étais à nouveau marié. Je dois dire qu’Heidi s’est occupé de mon fils de manière exemplaire. Soutien scolaire inclus. En plus du ménage, il lui arrivait de même mettre la main à la pâte au bureau dans les périodes de surchauffe. Elle n’a pas établi la preuve que la conjoncture de Tekoutov n’est pas correcte, mais elle est très efficace.
Une fois la prime adolescence passée, entre Jean et Heidi se crée une complicité très forte et j’ai parfois l’impression d’être de trop. Ils sont tout le temps à se bécoter à se caresser.. Je sais que Heidi est très tactile. Cela me fait plaisir de voir une telle entente, c’est pas toujours le cas entre la belle mère et le beau fils. Après le gymnase, il a voulu faire les langues anciennes. En troisième année, la lecture et compréhension des hiéroglyphes ne lui posaient plus de problème, il s’attaquait aux Mayas. En fin de semestre, je lui ai proposé pendant la fermeture d’été du bureau, qu’on ait tous ensemble au Mexique. Quoi de mieux que d’aller sur place ?
En vacances.
Une des premières choses qui l’intéressaient, c’était le contact avec les descendants des anciens Mayas, pour voir ses connaissances de la langue pouvaient encore s’enrichir, il recherchait le contact avec les gens les plus simples, ceux qui n’avaient pas été trop polué par l’espagnol. Pendant quinze jours, il nous a carrément abandonné, vivant la vie simple de ces paysans du Chiapas. Après. Il nous a fait la démonstration de son « stage » en lisant pratiquement sans problème les histoires inscrites dans la pierre. Heidi était complètement sous le charme de son érudition.
Je trouve qu’elle pousse un peu loin l’amour beau-filial. Cependant, je m’empêche de réagir, car la nuit, j’en profite bien, je ne l’ai jamais vue aussi chaude, une vraie braise sur pattes. Elle va même parfois au devant de mes fantasmes.

J’ai reçu une invitation que m’a transmise ma secrétaire qui passe tous les jours pour relever le courrier ; elle concerne un nouveau modèle de restituteur photogrammétrique basé sur nos recherches d’alors.

Je revois Marinka
Je suis invité d’honneur, en référence à notre travail de diplôme qui avait traversé l’Atlantique, presque 18 ans plus tard. Évidement, je n’allais pas refuser cet honneur et je laisse mes deux amours continuer leurs vacances en leur promettant de bientôt revenir. Je suis surpris d’y retrouver Marinka et son mari, le mathématicien. Il me semble à prime abord que ce n’est plus le ciel serein qui gouverne ce couple.
Je la prends en particulier et lui demande qu’est-ce qui se passe, que j’ai l’impression qu’elle n’est pas trop heureuse,
— C’est de me revoir qui te met le bourdon ?
— Non, au contraire, cela me fait du bien. Mais c’est Marvick, j’ai l’impression que l’amour entre nous est mort. Il ne pense plus qu’à ces équations en physique quantique. Il a trouvé une autre maîtresse, le domaine quantique. J’ai l’impression que je n’existe plus. Juste bonne à faire la lessive et repasser ses cravates.
— À ce point ?
— J’ai envie de tout plaquer et de revenir en Suisse. Je n’aurai pas dû te quitter.
— Je dois t’annoncer que je me suis aussi marié et que j’aime beaucoup ma nouvelle femme. Enfin nouvelle, cela fait bientôt dix ans qu’on est ensemble.
Cependant d’événements en événements, avec une cérémonie de Docteur Honoris Causa, le séjour perdure une semaine et je continue mes conversations avec Marinka qui se fait de plus en plus aguichante et un léger flirt évolue en un flirt plus poussé. Malgré mon mariage, cela me fait du bien de la retrouver, cela me donne un coup de jeune. Le dernier soir, elle joue son va-tout et essaye de me prendre dans ses filets. Vu que Marvik est reparti vers ses chères équations, elle m’invite dans sa chambre et me reçoit vêtue que d’un peignoir avec un sceau de champagne américain. Je n’ai su résister, Si l’esprit reste fort, la chair est malgré tout bien faible et la curiosité de voir comment sest l’évolution intime d’une femme après une dizaine d’années font que je succombe à ses assauts
Alors que nous nous embrassons à langues que veux-tu, elle en profite pour s’occuper de ma braguette et sortir le coupable de mon excitation.
— Cela fait drôle de le retoucher après tant d’années.
De mon côté, perdu pour perdu, malgré les remords qui malgré tout sourdes, je me laisse aller à caresser sa poitrine que je dégage. Elle m’a affirmé qu’elle n’a plus eu d’autres enfants et je vois sa poitrine vraiment très ferme. Solide comme un roc. C’est un plaisir de les caresser et je sens que je glisse vers l’adultère sans aucun frein. Il faut dire qu’Heidi est à plus de 1000 km.
Marinka se permet quelque chose quêlle ne m’avait jamais fait, bien que je l’ai souvent désiré, elle prend mon sexe en bouche et commence à le sucer avec délicatesse. Je ne peux m’empêcher de lui demander si c’est Marvick qui l’a convaincue de pratiquer la pipe.
— Non, je ne l’ai jamais sucé, mais c’est le plaisir de te revoir et je ne sais pourquoi j’en ai eu envie. Peut-être pour rattraper le temps perdu.
— Je te rappelle que c’est quand même toi qui m’a quitté.
— Je sais, ce fut comme qui dirait une erreur de jeunesse.
Elle reprend avec application son pompage n’oubliant pas d’essayer de creuser le méat de la pointe de sa langue. C’est vraiment trop fort et je n’arrive pas à freiner l’excitation d’un coup je lâche tout ce qui était en réserve depuis que je suis ici. Surprise, elle ne peut qu’avaler un deuxième souper.
D’un coup la magie des retrouvailles se dissipent et je n’ai plus envie de continuer. Elle essaye bien en ouvrant son peignoir, de m’offrir quelque chose à lécher également, mais post coït, je n’en ai pas spécialement envie.
Je remballe mes affaires et la remercie de son attention.
— Je suis un peu fatigué et excuse-moi si on ne continue pas, mais demain est une longue journée.
— Tu ne veux pas que je t’accompagne, cela me ferait plaisir de revoir mon fils, ce qu’il est devenu depuis ces nombreuses années.
— Je ne suis pas sûr que cela lui fasse très plaisir. Tu ne t’en es pas trop occupée depuis une dizaine d’année, une carte de vœux à ses anniversaires et idem à Noël, en plus je n’ai pas envie de mettre de l’eau dans le gaz dans ma famille. J’aime beaucoup Heidi et notre petit intermède ne doit pas interférer avec elle. C’était peut-être une erreur ce que nous avons fait.
— Comme on dit, essayé pas pu.
— Si tu veux, je peux essayer de leur téléphoner pour voir la température, mais moi, je ne suis pas chaud, d’autant plus que je ne sais si tu sauras te tenir pour ne pas mettre en danger mon ménage.
— Comme tu veux.
Au téléphone, je suis surpris d’entendre mon fils tout enchanter de voir une fois sa génitrice, car son souvenir est assez flou. Il me dit qu’il lui a pardonné de l’avoir littéralement abandonné, car il a trouvé mieux comme mère.
— Les dés sont jetés aléa jacta es

La fin des vacances
On prend l’avion direct pour Cancùn et là, le car en direction de Mérida. C’est la joie de retrouver ma petite famille, mais le plus sympa, c’est l’attitude de Jean, enchanté de retrouver sa génitrice. Il a maintenant deux femmes à s’occuper et qui s’occupe de lui, il est aux anges.
Mais avant que l’on reparte, on fait le point,
— Marinka, quels sont tes projets, nous on rentre en Suisse pour continuer à faire tourner le bureau.
— Tu n’as pas besoin d’une mathématicienne je suppose.
— Non pas vraiment, mais tu pourrais t’approcher de l’Ecole Polytechnique, Fédérale, après ton passage à la NASA, cela doit être du gâteau pour trouver une place prestigieuse.
— Accepterais-tu d’héberger provisoirement une pauvre mathématicienne sans point de chute, le temps que je me retourne.
Jean :
— Dis-oui papa. Je veux rattraper le temps perdu. Surtout qu’elle a travaillé un certain temps au chiffre4. On pourrait travailler ensemble.




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Histoire de Balista

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Commentaires du récit : Moi cocu par mon fils?

Le 11/02/2023 - 14:45 par Balista
Je ne sais ce qu'ils attendent pour publier.
Le 07/02/2023 - 08:52 par Balista
Elle est en lecture par la direction.
Le 05/02/2023 - 13:29 par OlgaT
J'attends avec impatience la suite!
Le 05/02/2023 - 10:48 par valeriane
Pas mal une suite peut-etre ?

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