ACCUEIL > Exhibition > Récit : mon bon copain

mon bon copain

+54

Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 15/03/2024

Découvrez les filles coquines près de chez vous :

Lorsque j’avais pris des notes sur l’histoire d’une copine, « l’ex bourgeoise », peut être 5 ans avant que je ne la publie, avec un très bon copain du même genre que « le copain privilégié », je me suis sentie d’humeur coquine, célibataire, lui aussi était venu nous rejoindre en province, il était très souvent chez nous.

Mais en revenant du boulot, je ne me mettais pas en nuisette, je restais en robe ou en jupe comme c’était le cas pour ce que je vais raconter, jupe avec bas auto fixant et string dessous, il venait pour me mater, ce qui ne me dérangeait pas, mais je voulais aussi des soirées tranquilles avec mon mari, alors j’ai fait un deal avec lui, il ne vient qu’une fois par semaine et je reste la soirée dans cette tenue, sinon je me mets en jogging.

Me demandant pardon, argumentant qu’il est seul et ne se rendait pas compte qu’il pouvait déranger, je le rassure en disant que c’est pour notre intimité, car malgré tout, c’est un très bon copain, toujours prêt à nous rendre service, je vois son air triste et sa gène, et je le rassure en lui disant, quand tu travailleras avec mon mari, bien sûr, tu mangeras toujours avec nous et regarderas la télé aussi.

J’aurais mieux fais de ne rien dire, car peut-être la semaine suivante, mon mari entreprend des longs travaux forestiers, il mange avec lui le midi et avec nous le soir, mais le lendemain soir, il s’en va, j’en demande la raison à mon mari qui ne sait pas, je comprends la raison, je le rattrape lorsqu’il allait démarrer, je lui dis de rester, disant que c’est quand il vient sans raison, mais pas quand il travaille, le repas, c’est le minimum.

À savoir que ne travaillant qu’en intérim, il était souvent dispos et fauché, ne voulant pas d’argent de nous, on l’aidait de plusieurs façons possibles, ce qui fait que ces mois de printemps, il était chez nous tous les soirs, ironisant, il me demande si j’étais sur de le vouloir, parce que le jogging ne me va pas.

T’inquiètes pas, lui dis-je, j’ai promis, répondant a sa plaisanterie, le lendemain, j’arrive en ayant une jupe très courte, jupe que j’avais mise dans la voiture, mais pas au boulot comme je voulais lui faire croire, à chaque fois, je rentrais avec une tenue plus sexy que d’ordinaire.

Au fils des jours, la complicité entre nous s’accentuait, mon mari faisait celui qui ne savait pas, je ne suis pas télé, je regarde avec lui le 1er film, ensuite, je vais à l’ordi consulter des dossiers et en même temps, discuter avec un ami virtuel sur MSN à l’époque, sa dernière année.

Avec cet ami virtuel, je discute de sujet, non « dévoilable » à certains amis qui m’entourent, ce soir-là, je lui explique la situation de ce copain et notre deal, à cette époque, je n’avais pas encore mon bureau et la maison était en travaux, la configuration est la même que celle que je décris dans « neveu voyeur » 3 ans auparavant.

C’est-à-dire, sur une table ronde, dos au mur, la télé à ma gauche et face à moi le canapé ou se trouve sur la gauche mon mari et sur la droite le copain, à côté du canapé, un halogène allumé pour ne pas regarder la télé dans le noir, l’ami virtuel à qui j’avais raconté l’anecdote du neveu voyeur me dit (écrit), vous n’aimeriez pas l’allumer aussi, je dis non, il insiste.

Puis le temps étant passé, l’heure de partir pour le copain qui reste jusqu’au 2eme film, mon mari reste encore un peu et je discute toujours avec l’ami virtuel, on manigance notre coup pour le copain, donc nappe glissante et réglage de l’halogène pour éclairer plus le dessous de table, mon mari, pas dupe me dit, fatigue le pas trop, on a du boulot en ce moment, je règle l’halogène pour qu’il éclaire un peu le dessous de table sans en avoir l’air, je change la nappe ronde et met une rectangulaire pour la positionner.

Le soir, après le premier film, je vais à l’ordi et je tourne la nappe de façon à ce qu’elle n’empêche pas la vue dessous la table, en même temps, j'écris ce que je fais et l’ami virtuel me guide, sachant que j’adore obéir, le copain voyait mes cuisses du canapé, le lendemain, je devais être sans string, le surlendemain jambes écartées et le copain sans me le faire savoir, avait compris que je faisais ça pour lui.

La semaine suivante, comme il me faisait aller de plus en plus loin, le copain ignorant l’ami virtuel, me demander de continuer, mon mari allant aux toilettes au moins une fois a la PUB, le copain me fais signe de venir vers lui, il insiste et l’ami virtuel à qui j’écris ce qui se passe me dit d’y aller aussi, mais le temps des questions et réponses passe et mon mari revient.

Le lendemain, un samedi midi, j’explique au copain que je ne pourrais pas être en tenue de bureau, que je me mettais en robe de chambre, l’ami virtuel me dira ce que je dois faire, insistant plusieurs fois en disant, « sur, tu le feras, tu m’écouteras », je fais oui, cet ami alterne vouvoiement et tutoiement suivant la discussion, vouvoiement quand on discute et tutoiement quand on joue.

Il faut savoir que dans les années 2000, des amis très calés en informatique, dépannaient mon ordi à distance après acceptation grâce à un petit programme, et il m’avait mis mes dossiers perso sous protection, ce qui fait que de loin, il me suffisait d’accepter et celui-ci me demandant l’accès, cliquait là où il fallait à une rapidité qui me dépassait.

J’avais 3 cessions utilisateurs, famille, boulot et coquine, j’avais aussi un copain sur Paris, qui lui était fan de petits trains, des Jouefs, de son ordi, il conduisait ses locomotives avec un petit boîtier relier à son ordi.

Deux ans avant mon ami virtuel, j’en ai eu d’autres et l’un d’eux a eu l’idée de piloter un gode à distance, je ne pouvais demander à personne ce genre d’installation, sauf mon mari, qui m’a bricolé ça pour que ça fonctionne sur la télécommande d’un gode, ce qui fait que, visage caché, je faisais des cam, celui à plusieurs centaines de km pilotait mon gode.

Sur Paris, on faisait des rencontres, mais en province, moins de choix, moins de coquins, plus de kilomètres, ce qui fait que les cam étaient une alternative pour mon peu de temps libre, surtout que cela était un complément, j’avais d’autres pratiques réelles.

Le soir arrive et quant au 1er film, mon mari va aux toilettes, il me murmure, lève toi, je m’exécute et devant lui, il me demande plusieurs fois d’ouvrir ma robe de chambre où je dis non, comme j’entends la chasse d’eau, je retourne me rasseoir, le copain me dit (par signe), « tu remonteras plus haut ta robe de chambre ».

Au 2 eme film, quand je suis devant mon ordi, l’ami virtuel n’est pas là, comme souvent le samedi, peu après le début du film, le copain me fait le signe, j’ouvre le bas du peignoir, et lui dévoile mes cuisses, le sexe n’est pas visible, car l’halogène n’est pas un phare.

Le dimanche, en peignoir toujours, l’ami virtuel est là, je lui fais part de la demande de la veille et il me dit de le faire, l’ami virtuel, s’il me lisait maintenant, il serait fou, il avait un pouvoir sur moi, j’adorais lui obéir, quand ton mari va aux toilettes, va devant ton copain et fait ce qu’il te demande, je refuse et il me dit, ça ne sert à rien que je te demande quelque chose si tu ne le fais pas.

Je vais pour répondre, mais il se met sur absent, j’argumente mon refus, pas de réponse malgré que je me doute qu’il me lit, je reste 3 mn sans écrire et j’écris, bon, je vais le faire, pas de réponse, il me fait la tête 3 soirs de suite.
Puis il finit par reprendre contact avec un petit chantage au gode, il me dira plus tard qu’entre temps, il s’était renseigné sur le contrôle à distance de l’ordi, il savait que je ne faisais plus de cam, il me demande de ressortir cam et boîtier de contrôle par ordi, dont je lui avais parlé.

L’idée m’excite, je m’exécute et le lendemain soir, avant le 1er film, à sa demande, je lui montre en cam que je m’insère mes boules vibrantes, ensuite, devant le 1er film, j’ai des petits sursauts que je justifie en me déplaçant sur le canapé.

Le film finit, devant mon ordi, l’ami attendait mon retour, je lui parle des sursauts eu, combien de sursaut me demande-t-il, je lui indique, il m’en envoie un autre et je lui indique aussitôt, ainsi, il est rassuré que je les ai bien en moi.

À la PUB, mon mari se lève, je le signale à l’ami, et là, il m’écrit, aller va y, j’écris, il est debout et discute avec le copain, voilà, il part, j’y vais, l’ami avais raison, si je ne fais pas ses volontés, il ne sert à rien, il n’y a plus de jeu possible, il me connaît mieux que n’importe qui sur le sujet coquin, je me lève et je me plante devant le copain.

Il comprend aussitôt que je suis là pour lui, les boules vivre doucement, l’ami imagine la situation et me vibre pour accompagner l’excitation ressentie devant le copain, qui me murmure, ouvre vite, je m’exécute, le copain n’en revient pas, il n’en perd pas une miette, ma peur n’est pas d’être vue, mais je sens une grande humidité m’envahir, je crains d’inonder le sol, je sens couler entre mes cuisses, ce que je craignais arrive.

Mon mari revient et je vais aux toilettes à mon tour, en revenant j’indique à l’ami ce qui s’est passé, et quand le copain part, il me fait un clin d’œil, je suis gênée, le lendemain soir, après le repas, quand mon mari est encore dehors, le copain me dit, le programme télé est beaucoup plus intéressant chez vous, tu vas recommencer tout à l’heure mais mets toi comme hier, en peignoir, je veux te revoir nue, qu’est ce que tu es belle et bien foutue.

Le soir arrive, j’informe l’ami virtuel sur ce que le copain m’a dit, rien que d’écrire cela, je mouille à nouveau, d’imaginer que je vais me remontrer nue au copain, je mouille encore plus, mon mari sait tout et comme il est joueur, il discute avec le copain, l’empêchant de me mater sous la table où j’ai tout fait pour, l’ami virtuel m’écrit, touche toi, je lui mens en disant que je le fais, alors que c’est faux.

L’ami virtuel me bombarde de questions, ce que ça me fait, ce que le copain fait ou son attitude, je réponds qu’il m’est difficile d’écrire rapidement d’une seule main, cet ami est cultivé, ce n’est pas un bourrin, il est intelligent et je me dis, que ses questions lui servent à savoir si je fais ce que j’écris, le copain en face répond à mon mari et mate entre chaque question qu’il lui pose.

Mon mari se lève, je le signale à l’ami qui ne me fait pas mettre les boules, disant d’aller me montrer et de le laisser faire, je ne réponds pas, le temps est compté, dés que la porte des toilettes s’ouvre, je me lève et je vais devant le copain qui sachant aussi que le temps est court, me murmure, « ouvre », je m’exécute, il attrape le bas du peignoir et me fait signe de me tourner, j’obéi, et d’une petit tape sur une fesse, il me dit de retourner m’asseoir, il avait entendu la chasse d’eau.

Mon mari revient en me faisant un sourire avant de quitter le couloir, je suis encore plus excité, je reprends l’écriture à l’ami en lui racontant tout, que j’aimerais être a sa place m’écrit il, devant moi j’ai l’écran d’ordi qui cache ma tête à mon mari et un peu au copain, pour le voir, je dois me pencher légèrement a droite, le copain me fais signe d’écarter les jambes en écartant son index et majeur, je m’exécute aussitôt, tombant même le bas de mon peignoir sur la chaise.

Le même jeu dure encore la semaine et un samedi, un film est au cinéma, ce copain là et le copain privilégié de mon histoire sont ceux qui m’ont toujours accompagné dans mes sorties de ce genre, mon mari n’aime ni le théâtre ni les mêmes films que moi, et comme il ne veut pas que je sorte seule, pas par jalousie, mais par sécurité, ces copains là m’accompagnaient toujours, même si la sortie ne les intéressait pas.

Ce samedi, je dis à mon mari que je vais au cinéma, même si je pouvais y aller avec des copines, argumentant de laisser reposer le copain et lui par la même occasion, taquin, mon mari dit, « tu crois qu’avec toi, il va se reposer, il a plutôt envie de faire un scrabble ou une belote », le copain dit, « va de rétro ….. », je préfère sa compagnie, que tes jeux de bancale.

C’est dans la voiture qu’on a commencé a discuté des derniers événements, ne sachant par où commencer, il me dit, « j’ai compris Annie, tu as envie d’être soumise à quelqu’un, tu m’as choisis parce que tu sais que jamais, je ne te ferais de mal et que tu peux avoir toute confiance en moi », en plus d’avoir raison, il avait tout compris, sauf le fait qu’il devait peut-être cela à mon ami virtuel, chose que je ne lui ai jamais dit.

Il me dit vouloir me voir entièrement nue, voir tout, excitée, sachant mon mari parti au cross, je lui de faire demi-tour, à l’époque notre dépendance n’était pas habitable, c’était un bordel où on avait posé des affaires qu’on n’osait pas jeter, il y avait une table et chaises qui étaient propres, car j’y avais déjà emmené un compagnon de jeu coquin, c’était donc propre.

Autant le copain privilégié était maître de lui, autant celui-ci était plus fougueux, et mon envie à ce moment-là, était juste de l’exhibe, rien de plus, assis toi là dis-je, je lui attache les mains dans le dos et à la chaise, il me dit qu’il n’aurait rien fait que je ne désire, je préfère ainsi dis-je, maintenant, je vais faire tout ce que tu as envie, ordonne et j’obéis.

Déshabille toi, me dit-il, soit plus précis, dis-je à mon tour, et là, il me fait mettre nue en citant chaque vêtement à retirer, retire ta jupe, plus sensuelle, voilà, retire lentement tes boutons de chemisier, tourne toi, penche toi en avant, humm, retourne toi, retire ton soutif, wouah super, pendant que je me déshabille, je le fixe dans les yeux, il voit mon état et je vois le sien, même s’il est plus à regarder autre chose.

Une fois nue complètement et après m’avoir fait tourner plusieurs fois sur moi-même, penchée en avant, monte sur la table dit-il, j’ouvre une vieille armoire ou un bulgomme et draps s’y trouvaient pour la même raison, j’installe ça sur la table, tu avais tout prévue, je vois dit-il, je réponds oui alors que ça a déjà servi.

Sur la table, il me demande de me toucher, non fais je, il insiste et je m’exécute façon pour faire plaisir, il commence en disant, voila, caresse tes cuisses, descend tes mains, remonte les par l’intérieur, recommence », ce genre de chose seule à la maison est sans effet, mais devant un regard lubrique, l’effet est radical, si bien que quand il me dit de frôler mon sexe à plusieurs reprise, au moment ou il me demande de me masturber, je cède sans hésitation.

Je ne suis plus qu’une cocotte-minute sous le gaz avec la soupape de sécurité bouchée, j’ai une de ces hontes devant ce copain, mais comme toujours, la honte excite encore plus, je jouis sous ses yeux comme une vraie salope, il fait durer le plaisir en me soutenant, me faisant reprendre le chemin d’un autre orgasme, une fois ce dernier consommé, je m’affale sur la table en essayant de reprendre mon souffle.

Mes pieds sont prés du bord de table, pleine vue sur mon sexe, il sautille de dessus la chaise pour approcher et m’embrasse une jambe, je laisse faire, c’est le minimum, une fois mes esprits revenus, honteuse, mais repue, je le regarde en disant, « que vas-tu penser de moi, déçu », il répond, « déçu, tu rigoles, tu es encore mieux que ce que je pensais et la barre était déjà très haute, tu es une vraie femme avec des désirs que tu assouvis ».

En le détachant et me rhabillant, je dis, « zut et toi », il me raconte quelque chose de bizarre mais je n’insiste pas, peut être avait il baisé ce matin et ça ne me regardait pas, il va déplacer sa voiture que j’avais dit de mettre derrière un hangar pour la mettre bien en vue devant la maison, puis après avoir enfilé un pantalon, nous allons nous promener dans les bois, comme nous le faisons depuis toujours, main dans la main ou bras dessous, comme des amants, les baisers en moins.

Quand mon mari revient, j’étais en train de faire des gâteaux, j’avais mis un short pour rester dans la maison et une chemise nouée devant, nombril à l’air, que le copain me mate, c’est un secret pour aucun de nous trois, mon mari plaisante toujours en disant, mais mets autre chose, je suis sûr qu’il te mate, je réponds que j’espère bien, et copain de dire, « si je disais non, je serais un menteur doublé d’un con ».

Le soir, il me mate comme à chaque fois et je dis, demain pareil, repos ou loisir, le boulot attendra, personne ne viendra le prendre en notre absence, nous sommes au premier film et je l’autorise à me caresser les jambes, je suis assise sur le côté, penchée vers mon mari et mes pieds coté copain.

Mon mari, affalé sur le côté du canapé, moi affalée sur lui qui me tient dans son bras, quand le film finit, avant que je me lève, mon mari me dit, en me tenant, « tu ne peux pas laisser tes dossiers à la con et rester devant la télé comme nous à te vider la tête, oublier le boulot, tient, pas de boulot pour nous demain, et pas de boulot pour toi le soir.

Le copain lui donne raison, il préfère me toucher les jambes que mater ce qu’il a déjà vu et reverra, je m’allonge un peu plus en disant au copain, « tu es de son côté, et ben tien, j’allonge mes jambes, ça t’apprendra », il m’a caressé les jambes jusqu'à la fin, les retirant quand mon mari ou lui allait aux toilettes, mon mari aux toilettes, j’ouvrais le haut du peignoir, il était sérieux, il ne touchait pas.

Le dimanche on a eu des visites qui sont parti tard, en semaine, spectacle furtif pendant que mon mari aux toilettes et le samedi, je sors à nouveau, mon mari aussi de son côté, mais comme il part avant, on reste et on retourne dans la dépendance, comme la semaine d’avant, je l’attache et fais mon strip-tease guidé, une fois sur la table il me demande de mettre mes pieds sur ses épaules afin de voir de plus prés, je suis attaché dit-il, tu ne risques rien.

Il guide aussi ma masturbation, mais au bout de 2 minutes, je lui dis, « attend » je me relève et prend un gode dans un carton, cette dépendance est équipé et ne sert qu’à des coquineries à tous les deux, lorsqu’on a de la visite, personne ne vient jusqu'à là, je lui dis, ne fait pas l’étonné, tu sais que toute femme en a, il sourit, je reprends ma position et je me fais vibrer.

Il guide chacun de mes gestes, il m’encourage à jouir, de me laisser aller, au moment de jouir, j’agrippe ses épaules avec mes talons, pour lui montrer de plus prés encore, le gode complètement enfoncé, je crie mon orgasme, car avec lui, je n’ai plus rien à cacher, et là, il écarte ses jambes et prend appui par terre, pour avancer sa bouche et il m’aspire le clito.

Bien évidemment, je hurle de plaisir en disant encore, je ne tiens plus le gode, mes mains cramponnent la table, mes jambes l’attirent encore plus, jusqu'à ce que ma chatte soit bien appuyée sur sa bouche, l’orgasme passe, mais un autre se prépare, le copain me bouffe complètement, je soulève mon fessier pour me presser sur sa bouche, et me revoilà partie dans un deuxième orgasme aussi violent.

Ce dernier orgasme me met à plat, il y a orgasme et orgasme, je m’écroule sur la table, j’ai l’air d’avoir fait plusieurs 100 m d’affilés, le copain aussi a le souffle coupé, il reprend sa respiration également, c’est lui le premier qui s'en remet et attend encore un peu que je respire mieux, penaud, il me dit, « pardon Annie, je n’ai pas pu résister tellement je voyais que tu en avais envie ».

Comment en vouloir à quelqu’un qui nous a fait autant de bien, ne pouvant encore parler, je fais un signe voulant dire que ce n’est pas grave, que c’est pour ça que je l’attachais, lorsque je suis apte à tenir debout, je me lève et le détache, puis je m’assoie sur sa chaise, j’ai voulu lui rendre la pareille, mais je le sens gêné, tu as déjà donné dis-je, voyant mon ignorance, étonné, il me dit, « il (mon mari) ne t’a rien dit », je fais quoi et c’est là qu’il sollicite mon silence.

Le ciel me tombe sur la tête, il m’avoue avoir un cancer et n’a plus d’érection suffisante pour pénétrer une femme, quand je pense que je l’avais écarté pour être seule avec mon mari, je n’en veux pas à mon mari au contraire, il a respecté le copain, après m’être habillée, je vais à la maison me rincer et nous sortons discuter de tout ce qui arrive, du bon et du mauvais.

Je savais ce copain vicieux, mais je n’imaginais pas à quel point, je ne rentrerais pas dans les détails, je me suis entièrement donné à lui, il avait deviné par expérience mes penchants de femme docile sexuellement et prête à tous les caprices d’un homme, de son côté, il nous avait menti, il n’était pas guéri, mais en instance de complication fatale.

Il m’a faites tripoter par d’autres hommes, dans un sex-shop, avec la complicité du patron, sous une robe avec rien dessous, les clients pouvaient acheter un string qu’il vendait 5 fois plus cher et pouvait me le mettre, pareil pour une soutif, bien sur, en le mettant leur main se baladaient, le copain n’était pas un gringalet, je savais que je ne risquais rien j’avais un masque sur le visage afin de ne pas être reconnue car je regardais avant qu’ils me voient, les clients qui rentraient.

Ceux que le patron connaissait se voyaient proposer un string ou soutif pour venir me le mettre, les clients venaient voir, le copain me découvrait une jambe, ou un début de sein, et il retournait voir le patron presque en courant, revenant avec le dessous pour me le mettre.

Je n’ai pas souvenir d’avoir eu des malpropres, tous étaient respectueux et bien sûr profitaient pour tripoter, mais tel était le but, le jeu durait presque une heure, on s’était basé sur 3 vicieux, mais le patron poussait pour un quatrième, c’est moi qui disais oui ou non, je disais oui bien sûr, ceux que j’avais eu étaient sympa, tout comme le patron.

Quand ils me mettaient le string, ils le remontaient bien haut, sachant qu’ils me frottaient le clito, ce jour la, ce quatrième, un homme de la cinquantaine, plus jeune que ceux eu jusqu'à maintenant, il avait bien vu que cela me faisait de l’effet, le copain toujours prêt à intervenir, il attend un geste de ma part, mais je lui fais savoir d’un regard, que j’ai une envie, il dit au type, voila, vous avez gagné, vous avez mis madame dans un état catastrophique, alors je vous conseille de continuer afin de la soulager du mieux possible.

Il regarde le copain, car le patron les avait bien prévenus de ce qu’il pouvait faire et ne pas faire, il me regarde, il regarde à nouveau le copain qui lui dit, « oui vous avez bien entendu, allez, ne la laissez pas dans cet état », le type comprenant qu’on est sérieux, s’active en me caressant le clito, en le pinçant, le faisant rouler entre ses doigts, le copain me tient derrière moi, je commence à lui inonder les doigts.

Il se met debout, car accroupi, il n’est pas à sa main, il me regarde dans les yeux à travers le masque, et passant sa main dans le string, il me pénètre d’un doigt et je gémis aussitôt, l’homme quitte mes yeux et regarde mon petit décolleté, il me regarde, regarde mon décolleté, me regarde encore, j’ai compris ce qu’il veut, je lui dis « oui faites », il déboutonne ma robe et fait jaillir mes seins.

Le copain lui dit, « tu te démerdes bien apparemment, continu », l’homme regarde mes seins et me regarde, je lui attrape la tête pour qu’il se fasse plaisir, il m’embrasse les seins, suce les bouts, le plaisir monte et j’explose, le copain met sa main devant ma bouche pour atténuer mon cri de jouissance.

Une fois remise, l’homme, en sueur aussi demande au copain s’il peut reprendre le string tout trempé en m’en payant un autre, le copain me regarde, mais je lui dis de me le défaire, cadeau, qu’il l’a bien mérité, c’est du string jetable, bas de gamme, il dit au copain qu’il a une femme en or, que j’ai un corps superbe et nous remerciant, il s’apprête à partir, je lui dis, « attendez ».

Je suis très surprise de la correction de ces hommes, vicieux certes, mais nous ne sommes pas dans une église, je propose au type une branlette si on trouve des capotes, le copain en avait en prévision me dira-t-il, le copain reste là où nous sommes, et nous allons plus à l’arrière pour que je le purge, adossé contre un rayon, robe ouverte devant lui, non visible derrière, je lui fais remplir le caoutchouc.

Après les au revoir et remerciement, nous partons, le soir à la télé le copain me caressait les jambes au 1er film et au 2eme, je retournais dialoguer avec l’ami virtuel, nous retournions au sex-shop, le patron était content, ça gonflait son chiffre d’affaires, on me laissait souvent les strings et soutifs, je les lavais et je les redonnais au patron sous condition qu’il défalque le prix du string ou soutif au client, ce qui lui revenait au même.

Les dessous étaient de qualité médiocre, et on avait eu une proposition de me voir avec un déshabillé sexy, j’ai dit au copain, « non", mais s’il va dans telle boutique, prendre un des 3 modèles indiqué, un dédommagement au patron et ça ira, il lui répète cela et il dit ok, le samedi, on arrive.

Le patron nous reparle de ça et il téléphone au client, celui-ci ne voulait pas dépenser du fric inutilement, se retrouver avec le déshabillé sur les bras, sur le chemin, il passe à la boutique en question et ils arrivent à 2, l’un a la soixantaine et l’autre, la quarantaine, le patron dit, non, car ce n’est pas ce qui a été convenu et le copain me demande mon avis.

Je lui dis ok, car c’est vrai que le modèle est de qualité, et que comme je le récupère à la fin, ils remercient le copain qui leur dit que c’est moi qui ai accepté, le copain dit que ma prestation est gratuite, que pour le fun et le plaisir, et qu’il n’est là que comme garant de ma sécurité.

En déballant le déshabillé, il y a aussi des bas qu’on ne met qu’avec un porte-jarretelles, voyant mon étonnement le vieux me dit que celui-ci est dedans, le copain me dit d’aller dans le fond et sur la droite du magasin, il reste un peu avec les 2 types pour donner des consignes sûrement, ils me rejoignent, le patron qui a été prévoyant à force, il bloque l’accès avec des panneaux assemblés ou est écrit, fermée pour travaux.

Je vais pour me déshabiller devant eux, je n’ai qu’une robe et nue dessous, se retournant vers le copain, il lui demande s’ils peuvent me déshabiller et vêtir, il répond de me demander, j’accepte, des types qui se sont cotisés pour m’offrir ce déshabillé mérite mon respect, ce qui est marrant encore, c’est leur comportement, il discute de moi entre eux, comme si j’étais un objet, puis d’un coup, j’existe.

Ils retirent ma robe, la fermeture dans le dos puis me l’enlèvent par le haut, là, je suis l’objet, l’un fait, « ho putain regarde comme elle est belle, ho ses seins » et l’autre à son tour, « la chute de reins et les fesses, elle est superbe », ensuite, je redeviens une femme, « ho pardon madame, c’est la surprise, vous êtes tellement belle ».

Après avoir fait le tour plusieurs fois, ils commencent à me mettre le déshabillé, le plus jeune fait beaucoup plus contact et le plus vieux lui fait la remontrance, je dis, laissez, il a raison, il faut bien défroisser, je n’ai pas eu besoin de le dire 2 fois, le fin voile aux niveaux des seins et des fesses n’avait aucun pli.

Le déshabillé était transparent, avec une dentelle sur les tétons et un petit triangle au sexe, le copain vers les planches me matait me faire tripoter, me voir frissonner lui procurait un plaisir que je ne pouvais imaginer m’avait-il dit.

Pour me tripoter, les 2 prés de moi ne se privaient pas, pour notre plus grand plaisir à tous, j’ai toujours adoré me donner, je leur dis, « dites donc vous n’avez pas fini votre corvée », ils me regardent étonnés, les bas dis-je, après un ho pardon, l’un après l’autre, chacun prend une jambe et enfile le bas qu’ils lissent aussi plusieurs fois avant de me mettre le porte-jarretelles et de les fixer.

Une fois prête, je me tourne vers le copain pour qu’il me donne son avis, demandant s’ils ont bien choisis et bien travailler, il répond, « même en ayant mal travaillé, tu es quand même sublime », le plus vieux dit, « madame, vous sublimez le vêtement », vous êtes gentils, dis-je, alors en achetant ce déshabillé, ce qu’il contient vous appartient entièrement, ils regardent le copain qui leur dit, « ce que femme veut ».

Ils me regardent et l’un dit, « tout, on peut tout faire » et le copain hoche la tête », dans la seconde, leurs mains s’affairent, les seins sont malaxés, mon clito est caressé, puis un doigt s’insère dans ma chatte, je commence à gémir, le copain approche et me regarde, cela m’excite encore plus, le plus vieux passe derrière et se colle à moi en m’agrippant les seins et me pinçant les tétons.

Le plaisir m’envahit, je gémis, je vois le copain à plusieurs reprises faire un signe à celui derrière moi, signe que je ne comprends qu’après, quant à mon oreille, j’entends, « tu es une cochonne », je ne réponds pas, il repose la question en insistant, excitée, je dis, « ho oui encore », le copain qui avait deviné, leur avait dit que j’aimais les mots crus.

Rassurés par mon comportement, ils continuent tous les 2 de me traiter, je les encourage, j’agrippe les épaules du plus jeune qui me doigte, il me demande s’il peut me mettre nue, je réponds que je suis entièrement à leur disposition, le déshabillé est retiré et ils échangent de place, nous sommes dans le rayon cuir et BDSM, le plus vieux attrape un tabouret aux pieds chromés et rembourrage de l’assise simili cuir noir pour essayer des bottes ou chaussures aux talons interminables.

Il m’assoit et le plus jeune, accroupie, un genou en l’air pour poser sa main et ma tête dessus, il me tient en arrière en me tripotant les seins, et aussitôt le vieux me suce, je gémis bruyamment, celui qui s’occupe de mes seins me couvre la bouche de sa main pour ne pas que j’hurle, à travers mon masque, il me fixe les yeux qui se ferment plus qu’ils ne sont ouvert et reprend les insultes, insultes de plus en plus hard en voyant comment celle-ci m’excite.

Je vois aussi le copain qui me regarde, mon dieu me dis-je, que va-t-il penser de moi en voyant la salope que je suis, moi qui avec les copains ai toujours joué les femmes modèles (enfin presque), là, il voit exactement celle que je suis, j’ai peur de décevoir, mais je suis tellement excitée, mon suceur me bouffe comme un crevard, je jouis en moins d’une minute.

Celui qui me tripote me regardait les yeux, il fait, « regarde, regarde, elle jouit, elle jouit », je commençais à crier, mais il met sa main sur ma bouche en disant, « vas-y ma belle lâche toi, c’est bon ma salope, tu aimes ça qu’on te bouffe la chatte », le suceur lui ne lâchait rien, il faisait durer mon orgasme qui en appelait un suivant.

Mais manquant de souffle, il arrête ce qu’il fait, à mon grand désespoir, ils échangent de place, mais comme j’ai l’habitude de voir dans la plupart des cas, les hommes ne mettent pas leur bouche là où un autre a mis la sienne, le plus vieux me malaxe les seins et l’autre m’appuie sur le ventre et me doigte, il lâche mon ventre et un doigt vient aussi me titiller le clito.

Le plus vieux me traite encore plus que l’autre qui me doigte de plus en plus vite, je halète, je respire fort, je gémis puis arrive le moment où j’explose, je crie, le copain qui faisait le guet leur dit de me faire taire, il y avait du monde, j’ai une main sur la bouche et je me tortille pendant que je suis toujours doigté.

Les clients qui ont entendu mon crie qu’ils ont reconnus, sont venu voir, le copain leur a dit, il y avait une urgence, mais c’est fini, déçu ils sont repartis, après un petit peu de repos, j’ai masturbe le plus vieux et l’autre a eu une cravate de notaire, quel dommage de gaspiller ces sexes, j’aurais préféré sentir leur sperme en moi, mais avec le VIH, même la capote ne me rassure pas, j’ai comme convenu gardé le déshabillé et après les avoir remercié, nous sommes parti.

Il y a eu 2 autres rendez-vous du même genre, mais avec un seul participant, au suivant le patron nous a dit que les 2 hommes ne regrettaient pas leur achat, les fois où on venait et qu’il n’y avait pas de déshabillé à essayer, j’ai eu des essais de godes, ou je repartais avec, pour la petite anecdote, quelques années après, je suis revenu avec 2 autres femmes, dont celle de l’histoire « mari volage et cocu ».

Le patron de la boutique avait contacté le copain pour quelque chose qu’il voulait me faire la surprise, il faut savoir qu’à cette époque, je n’avais un salaire de 2 fois le SMIC d’aujourd’hui (2024), alors je ne m’habillais pas en Prada, pensant que j’allais dans une boutique de lingerie, je m’étonne de rentrer dans une boutique ou une robe fait presque la moitié de mon salaire, la boutique me semblait fermée, mais nous sommes rentrés et le panneau fermé était remis sur la porte.

À quelle sauce va-t-on me manger, j’allais mettre mon masque, mais le copain me dit qu’il n’y a pas besoin, j’avais une confiance aveugle au copain, un homme bien sûr, lui et la patronne de la boutique nous reçoivent comme des princes, à chaque question que je veux poser, le copain me dit d’attendre.

J’essaie plusieurs robes du soir où je sentais la qualité du tissu, je me dis que je suis en train de faire le mannequin, car je défile devant les 2 hommes et la femme, j’étais étonné que les chaussures soient à ma taille, en une heure, j’avais essayé 6 mois de salaire, des robes du soir fendues ou le copain me demande une démarche sexy, allumeuse, je me dis, lui, il va me tripoter et là, je suis en train de choisir mon lot.

Une bonne heure après, ou je cherchais encore la perversité à venir, l’homme me demande laquelle je préfère de toutes celles essayées, de tous les 4, personne n’a le même choix, je re essai celles qu’on a retenue et finalement le client est roi et retient celle qu’il a choisi, à cette époque, je commençais les repas d’affaires et les soirées commerciales, je me disais qu’avec cette robe, je vais foutre le feu aux tentures.

Je m’voyais déjà, en haut de l’affiche, mais cette fois là, la suite a été dans ce sens, la robe, fendue jusqu’au string, décolleté plongeant en V, je défile avec bas et sans bas, à chaque fois, que j’arrive devant eux, pour faire honneur au copain, qui est toujours a me complimenter, j’allume au maximum l’homme, il a toujours un mot gentils, je répond, il a de l’humour, je lui en sert aussi, et finalement, il me dit, madame, j’ai grand plaisir à dire à votre ami que j’ai passé un très agréable après midi en votre compagnie.

Et nous repartons avec la robe et la lingerie allant avec, ainsi que les chaussures à ma taille, chose que d’ailleurs, que je ne comprenais pas, dans ma tête, je me dis que j’ai loupé des passages d’un livre, plusieurs pages même, je dis au copain, me serais je endormie pendant toute la partie pornographique.

Approchant de la voiture, il me dit, monte, je vais t’expliquer, le copain connaît mon expérience d’escorte girl, à l’époque des vaches maigres où je sortais tout juste de la fin de « mes débuts professionnels », je ne suis plus aussi réfractaire sexuellement qu’à cette époque, mais je ne suis pas prise à la gorge financièrement non plus.

il n’y avait pas de contrainte, je gardais tout quelle que soit ma réponse, la demande de cet homme, passer une soirée avec lui, comme si j’étais une amie sans aucune obligation autre, le copain se porte garant qu’il n’y a pas de ligne écrite en tout petit dans le contrat, ce qui fait que j’ai accepté, avant la soirée, j’ai mis des bijoux qu’il avait apporté, rien que les écrins valaient plus qu’un bijou d’histoire d’or.

J’ai passé une agréable soirée, rencontré des gens et n’ai rien eu de sexuel, les compliments qu’il me faisait pleuvaient, il me serrait contre lui, me matait dans le décolleté, chose que faisaient aussi ceux qui nous regardaient, j’ai dansé avec d’autres aussi, 2 en ont profités et j’ai dû leur dire qu’ils étaient sur la ligne blanche et risquaient un retrait de point, en d’autres circonstances, j’aurais laissé faire, mais je ne pouvais pas laisser plus qu’a mon accompagnateur.

Ce type m’avait vu sortir du sex-shop et avait cuisiné le patron pour avoir un rendez-vous pour choisir cette robe du soir, le patron lui avait dit, elle est belle et très cultivée, cette soirée huppée ne m’a rien apporté sexuellement, mais elle a énormément été bénéfique au copain, non pas en argent, mais en droit d’entrée, dans un lieu dédié au BDSM de haute qualité et en toute sécurité sanitaire.

Le copain avait ses entrées à volonté et un jour, il m’y a emmené comme soumise, je passe sur tous les orgasmes en tout genre et toutes les façons que je les ai eues, et c’est grâce à cela qu’il m’est arrivé l’histoire suivante.
54 vote(s)


Histoire de annizette

Vous avez aimé ce récit érotique ? Tweeter

Nous luttons contre le plagiat afin de protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette histoire est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être copiée ou imprimée.

© Copyright : Nos histoires sont protégées par la loi. Un grand nombre d'écrivains nous ont donné l'exclusivité totale.


Commentaires du récit : mon bon copain

Le 07/04/2024 - 01:46 par alexandre8819
bonjour tu racontes très bien je serai ravi d'être ton complices bises

Pour poster un commentaire ou faire un signalement, merci de vous inscrire ! Inscription rapide


Histoire précèdente <<<
>>> Histoire suivante



Retour en haut de la page

Libertinage et masturbation de jolies libertines en webcams totalement gratuites :