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Mon ex

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Lue : 9397 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 21/05/2012

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Je sors de chez moi à 18 heures pour aller faire mon jogging quotidien, laissant à mon mari la garde de nos deux enfants. Il fait chaud se soir. J’ai revêtu mon petit short noir et mon débardeur rose flash. Il m’est indispensable de faire cette petite pause de 2 heures, je deviendrai folle si je la ratais.

Allez c’est parti, je pose les écouteurs de mon baladeur sur mes oreilles (Rammstein, quoi de mieux pour se motiver ?). Je commence ma course sur la piste cyclable, le jour est en train de tomber. Je suis habituer à mon parcours mais pour une fois j’ai envie de changer. Je me dirige donc vers un quartier que je ne connais pas. Il y a pas mal d’immeubles en construction et au bout du chemin en terre, un peu plus loin, une petite forêt. « Sympas comme coin » me dis-je. Je ne me concentre plus sur mes foulées, je ne regarde plus ou je vais et d’un coup, c’est la chute, j’ai une douleur assez violente dans la jambe : un cycliste viens de me rentrer dedans !

Je ne l’ai même pas vu arriver et avec la musique à fond, pas entendu non plus. Dans ma chute, je l’ai entrainé avec moi et ayant perdu mes écouteurs je l’entends jurer. Je lui fais gentiment remarqué qu’il ne pouvait pas ne pas me voir et qu’il ferait bien d’installé une lumière à son vélo.

Quand d’un coup, il se jette sur moi : « Natacha ?! C’est toi ? Je n’y crois pas ! Oh lala j’espère que tu n’as rien de grave ! Excuse-moi vraiment ! Je ne sais pas comment … » la suite je ne la suis pas trop car je lève les yeux et reconnais l’homme qui me parle : « Jérémy ? Ce n’est pas vrai ?! Mais qu’est-ce que tu fais là ? Non ne t’inquiète pas ma jambe n’a rien ! » Ce n’est pas vrai ! Qui pourrait croire une chose pareille ? Le mec qui est en train de me secouer n’est autre que mon ex ! Mon premier grand amour, nous ne nous sommes plus depuis notre dernière année de lycée. Mon sang ne fais qu’un tour, j’ai l’impression que je vais m’évanouir tellement l’émotion est grande ! Un plaisir intense de le voir là en chair et en os, plus beau que jamais !

Notre histoire avais fini assez brutalement et nous ne nous étions jamais revu ! Il a beaucoup changé physiquement, il est grand (très grand) cheveux court et blond, de grands yeux verts, et son corps, apparemment sculpté comme un dieu grec ! Il se lève et m’aide à me mettre sur mes jambes et effectivement, je me sens toute petite d’un coup. « Excuse-moi, je suis arrivé trop vite, je n’ai pas eu le temps de t’éviter » me dit-il. « Non c’est moi, j’avais la tête ailleurs je ne regardais pas où j’allais. » « Bon, on va pas chipoter ! Si on ne c’était rentrer dedans on ne se serait certainement pas rendu compte que c’était nous ! Dis donc, tu n’as pas beaucoup grandit. » Me charrie-t-il. « Oui ! Et toi un peu trop »

On commence à parler de ce que nous somme devenu depuis ces 5 dernière années. J’apprends qu’il est également marié et qu’il habite la ville à côté. Il vient dans le coin pour faire son vélo et passe par la petite forêt. On s’est assis sur l’herbe qui longe le chemin puis d’un coup, il passe son bras autour de mes épaules et me chuchote à l’oreille : « Tu sais Nat, je n’ai jamais réussi à tourner la page de notre histoire, dans mes rêves tu es souvent présente et nous passons de très bon moments. » « Oui je rêve de toi aussi mais nous avons continué notre chemin, fait notre vie, j’ai des enfants et j’aime mon mari ! Cela dit j’ai toujours pensé que par apport à nous il manquait encore quelque chose… »

Quand nous étions ensemble, on se désirait énormément, mais nous n’avions jamais réussi à faire l’amour. Nous étions trop pudique pour tenter quoi que ce soit au lycée et les rare fois où nous avions dormi ensemble, nous n’étions pas entièrement déshabiller qu’il avait déjà éjaculé dans son caleçon tellement qu’on était excités et pressés.

Il me caresse délicatement le bras, nous nous regardons, il se penche sur moi et m’embrasse. J’ai désiré se moment tellement de fois dans mes rêves que je ne le rejette pas. Au contraire je lui offre ma bouche, me rapproche de lui et passe mes bras autour de son cou. « Je ne veux pas te forcer, me dit-il, je sais ce dont j’ai envie avec toi mais je ne veux pas que tu le regrette après tu peux partir si tu veux, je ne t’en voudrais pas » Je rigole intérieurement en me disant que s’il savait le nombre de fois où j’ai pensé à lui alors que je faisais l’amour à mon mari, il en rougirait surement.

Je me lève et en le prenant par la main je l’entraine vers l’immeuble en construction juste derrière vous. Nous pénétrons facilement à l’intérieur, les porte et fenêtre ne sont pas encore posé, il n’y a là que des murs, des sacs de ciment et quelques outils. « Je ne vais pas te décevoir cette fois » me dit-il en me poussant doucement dos contre un mur. On s’embrasse fougueusement, il passe ses mains sur mon corps comme un fou, comme s’il avait attendu ce moment tout sa vie. Je sens dans son short son sexe déjà bien dur. Je le désire encore plus maintenant. Je le repousse gentiment, j’enlève langoureusement mes vêtements de sport et me retrouve pied nu, en sous-vêtements devant lui et lui demande « Tu me désire toujours autant ? Je te plais toujours ? » « Tu es plus belle que jamais mon amour. »Il retire également ses vêtements et je peux enfin admirer se corps magnifiquement musclé.

Je m’approche et me met à genou devant lui pour lui retirer son caleçon et sans plus attendre je lèche ce superbe engin qui se dresse fièrement sous mes yeux. Au contact de ma langue sur sa verge chaude, il pousse un fort et long soupir qui m’encourage. Je prends alors sa queue dans ma bouche et le suce doucement pour qu’il ressente au mieux toutes les sensations et à quel point je le désire. Cela dure peut être 3 minutes, il me fait me relever, enlève activement mes sous-vêtements, me repousse contre le mur et il est maintenant à genou devant moi, sa tête entre mes jambe et ses mains sur mes fesses. Il me lèche délicatement le clito, je passe mes mains dans ses cheveux et essaye autant que je peux de rester en équilibres sur mes jambes qui son secouées de spasmes. « Hummm oui Jeremy ! Hummm ! » Il se relève, « Tu aimes ma chérie ? » « Oh oui ! Fais-moi l’amour maintenant ! J’ai envie de toi ! Je ne peux plus attendre ! »

Il se colle à moi et passe ses mains sous mes cuisses et me surélève, je n’avais jamais pensé faire l’amour comme ça ! Debout, contre un mur ! Il me pénètre doucement, je suis bien mouillée. « Ah oui » Il est tellement chaud maintenant qu’il fait des va-et-vient violents et énergiques, à mon plus grand bonheur. Je le sens jusqu’au fond de mon ventre, un plaisir intense ravage mon corps et mon esprit. Les claquements qu’émettent les chocs entre nos corps sont un bruit délicieux à mes oreilles et le souffle chaud et les plaintes que Jérémy étouffe dans mon cou m’excitent au plus haut point. Je lui demande de se coucher par terre. Il me repose alors délicatement et s’allonge sur le sol. Pas très agréable mais là on s’en fiche complètement. Je le chevauche et il me pénètre à nouveau.

Maintenant c’est moi qui donne le rythme je me relève doucement sur son sexe et redescends plus vite, remonte doucement et redescends plus vite et le plus loin possible encore et encore … Il malaxe énergiquement mes seins en gémissant « Ah oui ! Plus vite ma chérie ! Ah ! Ne t’arrête surtout pas ! Hummm » J’ondule mon bassin pour bien sentir sa queue au fond de mon vagin ! Quelles magnifiques sensations « Oh Jérémy ! C’est trop bon ! » Il s’assoit sans sortir sa verge de moi, il me couche sur le dos et place mes jambes sur ses épaules. Il me tringle sauvagement et je sens son sexe se tendre de plus en plus en moi alors sachant qu’il va éjaculer, je me laisse allé et le rejoins dans son bonheur : « Oui bébé ! Oui vas-y à fond ! Oh ! Oh ! » Et dans un cri nous atteignons le 7eme ciel ! Quelle extase !

Nous nous sourions et nous embrassons comme les deux ados que nous étions. Après ce petit épisode, nous avons décidé de nous revoir en secret tous les soirs au moment où nous sommes censés faire notre sport quotidien. Mais cette fois dans un hôtel, les matelas seront plus confortables que ce sol en béton.
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Histoire de Natacha

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