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Mon fils chéri 2

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 11/09/2023

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Cela faisait maintenant 2 semaines que je m’étais faite enculée par mon fils, et j’attendais impatiemment son retour pour remettre ça. Je n’avais pas perdu mon temps. Ma libido s’était subitement réveillée et je n’arrivais pas à la calmer. Je repensais sans cesse à mon petit Mike et à tout ce qu’il me ferait à son retour. Je passais mes nuits à me masturber. J’avais ressorti mes sex-toys si longtemps enfouis au fond du placard, et tout y était passé. Je retrouvais toutes mes sensations perdues. Mes godemichets n’avaient pas chômé, et je m’étais surtout concentrée à m’élargir mon anus, pour pouvoir laisser passer plus facilement le gros calibre de mon fils. A l’inverse, je voulais garder mon vagin aussi étroit que possible pour lui donner un maximum de plaisir, du moins si j’arrivais à ce qu’il me pénètre !
Mais j’avais élaboré mon plan avec minutie, et le soir du retour de Mike était enfin arrivé. J’étais prête. Je m’étais soigneusement lavée, parfumée et habillée avec une robe fendue qui mettait en valeur ma poitrine et laissait apparaitre ma touffe poilue car je n’avais pas mis de culotte. Je m’étais aussi enfilé un plug anal, pour me préparer à être sodomisée et aussi pour exciter Mike et être claire sur mes intentions. Je ne doutais pas qu’il y jetterait des coups d’yeux furtifs et curieux. Lui qui aimait les garçons, je me demandais s’il avait déjà goûté au fruit défendu d’une fille. Il fallait être prudente, l’aguicher sans l’effrayer, le provoquer sans être vulgaire, l’exciter sans le brusquer pour que l’envie soit plus forte que sa réticence envers les femmes. Mais oserait-il résister aux demandes de sa propre mère ? Si j’y allais doucement, cela passerait.
Il arriva pile à l’heure et j’ouvris la porte avec empressement. J’essayais de me contrôler, mais mon cœur battait à 100 à l’heure, comme si c’était mon premier rendez-vous ! Je repris mes esprits. Ce n’était pas mon premier rendez-vous et je connaissais bien celui qui était derrière cette porte. Je le connaissais même mieux que personne, car c’était mon fils. Cette pensée me calma et j’ouvris la porte comme je le faisais d’habitude, et l’accueilli simplement, en souriant, mais un peu plus que les autres fois peut-être. Il était beau, j’étais ravie ! Il avait visiblement fait des efforts inhabituels : bien habillé, bien coiffé et même parfumé, ce qui de mémoire, ne lui était jamais arrivé et en disait long sur la soirée que nous allions passer. Les choses seraient finalement plus faciles que ce que je n’avais pensé. Je lui fis un chaste baisé sur le front, comme je le faisais d’habitude. Sa main vint se poser sur mon dos et descendit lentement. Elle effleura furtivement mes fesses avant de se retirer. Je ne réagis pas autrement que par un sourire, car je ne voulais pas brûler les étapes. Je me contentai de le faire rentrer. Il posa son sac et me regarda, me dévisageant de la tête aux pieds, visiblement surpris de ma tenue, qui avait fait son effet vu la bosse qui se formait dans son pantalon. Là encore, je feignis de ne rien voir, ne voulant pas précipiter les choses. Je lui dis simplement : « J’ai préparé un repas « Spécial », histoire de fêter nos retrouvailles. Passons à table. »
Il s’assit, obéissant et curieux de savoir où je voulais en venir. Le repas se passa tranquillement. Il me raconta sa semaine, ses cours, me donna des nouvelles d’Ibrahim qui passait le week-end chez ses parents. Je lui dis que j’avais apprécié sa visite la dernière fois et qu’il était le bienvenu, mais que j’étais contente aussi d’être en tête à tête avec mon fils. Au fur et à mesure que le repas avançait, je dégrafais un bouton de ma robe pour lui révéler délicatement ma poitrine généreuse recouverte d’un soutien-gorge blanc en dentelle. Ses regards étaient inévitablement attirés par mes seins, qu’il n’avait pas osé toucher il y a 2 semaines lors de nos premiers ébats. Il avait bien changé et avait dû y penser durant les deux semaines passées loin de mois. Peut-être s’était-il branlé en pensant à ma poitrine et mes autres formes généreuses, mais ce n’était qu’une supposition, ou peut être que mon fantasme. J’allais en avoir le cœur net, car le moment du dessert arriva. C’était le point culminant de la soirée, celui où tout devait basculer. Je parti à la cuisine et revins avec son dessert préféré : 2 bombes de crème chantilly.
Je les secouais devant lui, ce qui faisait ballotter mes seins qui commençaient à sortir de ma robe. Je lui donnais une bombe et avec la mienne je plaçai une noisette de chantilly sur mon doigt. Je me mis à le lécher langoureusement, puis l’enfonçai dans ma bouche de manière aguichante. Il me regarda, amusé.
Je fis une deuxième noisette, mais cette fois-ci je m’approchai de lui et lui mis le doigt dans sa bouche. Il le laicha et fit le même mouvement de sussion. Etant suffisamment proche, je vins m’assoir sur ses genoux. Je fis une troisième noisette, mais sur ma langue et je l’approchai de sa bouche. Il comprit et nous langues s’entremêlèrent. Notre baisé dura un long moment. Une main se posa sur ma hanche et l’autre sur mon genou, mais il n’osa pas la faire remonter. Alors je pris les devants. Je sortis un de mes seins de mon soutien-gorge, l’enduisis de chantilly et lui présenta à sa bouche. Cette fois il n’eut aucune hésitation. Il le goba, me mordit le mamelon et joua avec. Je sorti le deuxième sein, et il le prit en bouche sans attendre que j’y mette de la chantilly. Sa main vint saisir l’autre téton et le massa énergétiquement. J’étais aux anges. J’avais franchi la première étape. Il me restait le plus difficile, mais je comptais sur ses instincts virils. Déjà je sentais sa queue gonflée sous mes fesses. Je pris sa seconde main et la fit remonter le long de ma cuisse, jusqu’à mon abricot dénudé. Il fut surpris de sentir directement le contacte de mes poils. Mais sa main maladroite resta en superficie, ne trouvant pas le chemin de mon clito. Alors je décidais de l’aider. Je remontai ma robe jusqu’au ventre, révélant mon sexe, et versa une nouvelle noisette de chantilly juste sur mon bouton. Puis je me levai, montai sur la table et lui présentai mon sexe grand ouvert en écartant les cuisses. Il me regarda avec étonnement, et voyant mon visage rayonnant, il s’avança et sa langue vint se plaquer à l’endroit voulu. Une décharge me traversa tout le corps lorsqu’il me goba le con et qu’il le fit rouler sous sa langue délicieusement. Mon premier orgasme vint rapidement, tellement j’étais excitée. Je fis exprès de ne pas retenir mes gémissements qui se transformèrent en cris, pour lui montrer combien cet endroit était sensible et me donnait du plaisir.
Ces doigts jouèrent avec mon plug anal, mais je lui dis que l’endroit était occupé et avec mes mains je l’invitais à explorer plus largement mon sexe. Finalement ses doigts entrèrent timidement dans mon vagin qui était inondé de cyprine depuis bien longtemps. Je fis des mouvements de va et viens avec mon bassin, et il prit de lui-même le rythme et commença à me branler la chatte, d’abord doucement, puis en accélérant. Je l’encourageais verbalement : « Vas-y, plus vite, plus fort. T’es au bon endroit, fais-moi jouir ! Continue, ne t’arrête pas, plus vite…, OUIIIIIIIIIII. »
Je jouissais une nouvelle fois sous ses doigts et sous sa langue. Mon jus coula abondamment sur la table tellement le plaisir était intense, et je lui dis, : « Tu vois, tu as réussi à me faire éjaculer ! » et nous partîmes à rigoler ensemble. Notre fou rire durant un bon moment, puis je décidai de passer à autre chose : « A ton tour, lui dis-je simplement en dégrafant son pantalon. Son gros sexe jailli brusquement et vint heurter ma joue, ce qui nous fit rire de nouveau. Ne perdant pas le fil de mes pensées, je repris la bombe de chantilly et enduisis copieusement sa bite dressée vers moi. Je lui fis ensuite la plus belle des fellations que je n’avais plus faite depuis longtemps. Ayant eu déjà deux orgasmes, j’étais plus apaisée et j’en profitais pour titiller la queue de mon fils chéri, comme je l’avais fait mainte fois dans mes phantasmes de la semaine. C’était un vrai plaisir de jouer avec ce membre si gros et si dur. Je n’avais qu’une idée en tête, l’avoir au fond de moi. Là encore, la chantilly serait mon alliée. J’enduisis abondamment mes gros seins de crème et vint à califourchon sur Mike. Celui-ci tomba dans mon piège, il saisit mes deux melons et mangea la chantilly puis me lécha les seins. J’en profitais pour saisir sa queue, et lentement m’empaler dessus. J’étais tellement mouillée que sa bite rentra sans aucune difficulté, malgré l’étroitesse de mon vagin. Je le sentais bien en moi, et avant qu’il ne réagisse son membre était entièrement rentré, déformant avec délice mes tendres parois vaginales. Mike ne remarqua rien de prime abord. Trop affairé avec mes seins qui visiblement lui plaisaient. Je commençais donc à onduler du bassin, à monter et descendre sur sa tige en me donnant de bonnes sensations. Ce ne fut que lorsque ses mains descendirent sur mes fesses et qu’il toucha mon plug anal, qu’il comprit que nos deux sexes étaient l’un dans l’autre. Il eut un moment de surprise et peut être de dégoût, mais je ne lui laissais pas le temps d’y penser. Je l’embrassais à pleine bouche tout en gémissant, puis je lui dis d’une voie sensuelle : « C’est tellement bon de te sentir en moi. Continue comme ça, tu vas me faire jouir une troisième fois, et qui sait, peut-être que toi aussi avec ? » En même temps j’accélérai le rythme de mes hanches et montait progressivement dans les tours. Je sentais le plaisir m’envahir. Une jouissance que je n’avais plus connu depuis longtemps me prenait depuis mon bas ventre et explosa dans tout mon corps. Je me cambrais et broyais de mes bras mon pauvre Mike, tout surpris d’avoir provoqué un tel tsunami de plaisir en moi. Je l’embrassais langoureusement, tout en continuant à onduler sur son sexe de manière sensuelle, puis je lui dis : « Alors, est-ce que cela te fait du bien ? Tu veux que je continue ? Tu veux jouir en moi comme ça ou tu préfères mon autre orifice ? » Il me répondit : « Ce n’était pas désagréable, mais tu connais me goûts. Tu sais que je préfère passer par le petit trou, comme la semaine dernière. » Alors toujours empalée sur son membre, j’enlevais délicatement le plug de mon cul et lui présenta devant sa bouche. Il le lécha, puis réussi à le mettre entièrement dans sa bouche. Une fois bien enduit de sa salive, je le repassai sur mon fion pour bien l’humidifier, puis je sorti la bite de Mike de mon vagin, pour le présenter à l’entrée de mon anus. Cette fois-ci ce fut Mike qui prit l’initiative, en s’enfonçant en moi avec délicatesse. Il était dans un terrain connu et familier, c’était plus facile pour lui. Il m’encula donc, comme il savait si bien le faire, me procurant les douces sensations bien connues. Je me laissais aller en basculant mon dos sur la table, offrant ainsi à Mike la vue sur mon sexe écarté. Sa queue qui s’agitait dans mon cul me procurait un plaisir immense, mais j’en voulais plus. Je voulais de nouveau goûter à l’extase qu’il m’avait procuré en me pénétrant le vagin. Je saisi donc ses deux mains posées sur mes hanches pour les attirer vers ma chatte. Il me caressa superficiellement, en effleurant maladroitement mon clito. J’étais aux anges, il était adorable et tout en prenant son pied, il faisait des efforts pour me faire plaisir. Quel amour !
Cependant je décidais de l’aider une fois de plus. Je positionnais sa main droite sur mon bouton d’amour en lui imprimant des mouvements circulaires, puis je pris 2 doigts de son autre main et les introduisis aussi profond que possible dans mon vagin. J’ondulais mon bassin pour donner le rythme. Je maitrisais mon plaisir et le sien, c’était merveilleux. Nos regards se croisèrent et il lut en moi tout le plaisir que je ressentais. Ses doigts maintenant bien enfoncés touchaient sa queue dans mon rectum car je le sentais se frotter le sexe lui-même à travers mes deux orifices. C’était torride, je voulais l’embrasser pour compléter notre fusion. En m’appuyant sur ses bras, je réussi à redresser mon buste et l’attraper par le cou jusqu’à ce que nos lèvres se touchent. Ce fut le baisé le plus intime que nous ayons partagé, son sexe dans mon cul et ses doigts dans mon sexe. Je sentais l’orgasme monter en moi, un plaisir immense.
Alors je serrais mes fesses le plus possible et accélérai le rythme pour lui donner un maximum de plaisir. Je voulais que l’on jouisse ensemble, mais la puissance de mon orgasme était trop forte pour que je puisse la contrôler et j’atteins l’orgasme brusquement en poussant des hurlements. Ma cyprine coulait à flot sur ses mains et sur son sexe, le lubrifiant un peu plus. Mike en profita pour accélérer le rythme. Très vite ce fut son tour de geindre et je senti dans mon cul les jets de sperme se déverser en moi. J’ondulais lentement mes fesses pour caresser tendrement sa virilité comme j’aimais le faire à chaque fois qu’un mâle jouissait en moi. On resta dans cette position longtemps. Je le serrais dans mes bras et l’embrassais, tout en frottant tendrement mon clito contre son ventre, alors que sa bite se dégonflait, mais restait suffisamment rigide pour demeurer plantée dans mon cul. Nous échangeâmes de langoureux baisés, moi satisfaite d’avoir enfin été pénétrée par mon fils, et lui tout surpris d’y avoir pris autant de plaisir. Pas besoin de parler. Les mots étaient inutiles et nos corps parlaient d’eux-mêmes. Lorsque la tension retomba au bout de délicieuses minutes, je me levai et pris une douche, durant laquelle je me masturbai sans aucune gêne en repensant aux fougueux ébats que je venais de vivre.
A mon retour, je trouvai Mike endormi dans son lit, entièrement nu. J’admirai son corps à son insu, puis je me couchai à côté de lui, en pensant à sa surprise de découvrir sa Maman aussi nue que lui à son réveil et à la longue séance de baise qui s’en suivra…
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Histoire de Malefices

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Commentaires du récit : Mon fils chéri 2

Le 23/09/2023 - 22:29 par Malefices
Merci Valeriane. La suite arrive bientôt...
Le 23/09/2023 - 10:47 par valeriane
j'adore

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