Mon fils chéri 3

J’entretenais une relation incestueuse avec mon fils de 19 ans depuis plusieurs semaines maintenant, fière de l’avoir dépuceler et fait découvrir les joies de l’hétérosexualité qu’il ne connaissait pas, puisqu’il n’avait jamais fait l’amour qu’avec des garçons jusqu’à présent. Mais je ne voulais pas en rester là. Je voulais savoir s’il l’avait fait uniquement par amour pour moi, ou s’il était vraiment bi et aimait les femmes en général.
J’ai donc élaboré un nouveau plan pour le prochain week-end. J’ai une collègue de travail qui est bi-sexuelle aussi. Enfin elle est surtout lesbienne et aime bien une bonne queue bien dure de temps en temps. C’est ce qu’elle m’avait raconté. Elle s’était confiée à moi juste après mon divorce, du temps où j’étais déprimée. Je pensais que c’était par sympathie, mais en fait elle essayait de me draguer, pensant avoir sa chance. Alice, c’est son nom, m’avait avoué son homosexualité et qu’elle vivait en couple avec une fille plus jeune qu’elle, Natacha. Elles étaient libertines toutes les deux et aimaient partouzer avec d’autres filles et aussi des garçons, de préférence des jeunes. A l’époque ma libido était au plus bas. Je n’avais pas la tête à ça et je l’avais éconduite de manière polie. Mais l’idée a fait son chemin et quand je l’ai invitée à un souper « spécial », elle et Natacha pour samedi prochain avec mon fils, elle a affiché un grand sourire et a accepté sans hésiter. J’ai été claire sur mes attentes. Je lui ai dit que mon fils avait 19 ans et qu’il était mignon et très bien membré. J’ai pu lire de l’envie dans ses yeux. Je lui ai dit aussi qu’il était plutôt attiré par les garçons et que je comptais sur elle et Natacha pour lui faire découvrir tout ce qu’une fille peut lui apporter. Je lui glissais aussi sensuellement à l’oreille que si elle réussissait à baiser avec lui, je lui réserverai une surprise personnelle. Elle me sourit tout en me faisant un clin d’œil complice. Il faut dire qu’Alice, avec ses deux obus, son mètre soixante-dix, sa taille fine, ses jambes allongées et ses fesses bien fermes ne m’était pas indifférente. Cela faisait bien longtemps que je n’avais plus glissé ma langue sur un clito et cela m’excitait d’en avoir deux d’un coup. Je ne connaissais pas Natacha, mais d’après ce que m’avait raconté Alice, elle était cochonne à souhait !
A mon petit Mike, je lui dis simplement : « fait-toi beau, car nous avons des invités ce week-end ». Il me répondit par un « Ah ! » de déception. Je devinai qu’il était déçu de ne pas être en tête à tête avec moi, alors je rajoutai : « Ne t’inquiète pas, ce sont des invitées de marques. Tu vas les apprécier, j’en suis sûre ».
Le soir venue, je remis la même robe que j’avais utilisé pour séduire mon fiston avec la crème chantilly. Celle qui met en valeur ma grosse poitrine et qui est suffisamment fendue pour laisser entrevoir ma chatte poilue en l’absence de culotte. Mike était beau comme un camion. J’avais envie de lui sauter dessus et de le baiser immédiatement sans attendre nos convives, mais je me retenais.
La porte sonna et j’ouvris avec précipitation. Alice était là, devant moi, splendide ! Habillée de bottes en cuir noir, d’un pantalon en latex et d’un chemisier qui mettait en valeur sa longue chevelure noire. Elle avait l’air d’une femme fatale prête à fondre sur le premier mâle qu’elle verrait. Je découvris aussi Natacha, une jeune et jolie blonde, plus petite et plus ronde, avec une belle poitrine bien fournie et des fesses rebondie. Son regard timide la rendait attendrissante et encore plus désirable. Je les fis rentrer et leur présenta fièrement mon fiston, qui à ma surprise rougit devant Alice qui lui imposait son regard de braise.
Je n’avais pas préparé de repas, mais plutôt un apéritif dinatoire. Nous nous sommes donc assis tous les quatre sur les canapés et avons commencé à boire et à manger en discutant de tout et de rien. Alice me lançait des regards langoureux. Je lui répondis en écartant les jambes pour lui dévoiler mon pubis poilu. Elle me sourit et me regarda encore plus intensément. Notre petit jeu passa inaperçu de Mike et Natacha, qui étant d’un âge proche, discutaient avec entrain de leurs études à la FAC. Comme je faisais des vas-et-viens à la cuisine pour apporter les plats, Alice me rejoignis et vint se coller contre moi et me dis : « Je crois que nos deux tourtereaux sont attirés l’un vers l’autre. Laissons les seuls un moment pour voir s’ils vont réussir à briser la glace. » Disant cela, elle posa ses deux mains sur mes hanches. Je me laissais faire, et lui dit d’un air malicieux : « Mais qu’allons-nous faire en attendant ?» Elle me répondit : « Ce que nous aurions dû faire depuis si longtemps ». Ses deux mains remontèrent sur mon torse en empoignèrent fermement mes seins. Mes tétons se durcirent automatiquement et comme je ne portais pas de soutien-gorge, Alice pu les sortir de ma robe sans difficulté et les goba l’un après l’autre. Le plaisir était intense. Je n’avais plus ressenti le délicat toucher d’une femme sur mon corps depuis des années. Je réalisais à l’instant combien cette douceur féminie m’avait manqué. Je voulais aller plus loin. Je me retournais brusquement, et repoussa Alice, presque violemment d’un geste provocateur, mon regard plongé dans le sien. Puis d’un geste délicat, je fis glisser ma robe, me retrouvant aussi nue qu’un ver. Je m’assis sur le plan de travail, et écarta les jambes de manière impudique, mon sexe grand ouvert. La réaction d’Alice ne se fit pas attendre et fut celle que j’attendais. Elle plongea sa tête dans ma chatte, et me fit le plus merveilleux des cunnilingus. Cela se voyait qu’elle était habituée à la chose, car sa langue, puis ses doigts experts me firent grimper aux rideaux. Je criais de jouissance en oubliant complètement nos deux jeunes dans la salle à manger. Je m’en rendis compte qu’après, mais rien ne se passa. Ils devaient eux aussi être très occupés. Alors je basculai mes jambes derrière moi et remonta mes fesses. La merveilleuse Alice compris de nouveau très rapidement le message, et sa langue vint fouiner dans mon anus. C’était du pur bonheur. Puis un doigt, suivi bientôt d’un deuxième s’introduisirent dans mon cul et me limèrent le rectum. Sans aucune gêne, je me masturbais avec mes deux mains, en regardant Alice droit dans les yeux, jusqu’à ce que je jouisse de nouveau. Un jet de mouille gicla de mon sexe et vint se répandre sur le pantalon d’Alice. Nous partîmes d’un fou rire, puis elle prit ma tête entre ses mains, et m’embrassa avec fougue. Je lui dis alors : « Tu ne peux pas rester comme cela, enlève ton pantalon. » Elle s’exécuta avec empressement. Enleva ses bottes, puis son pantalon et enfin son string, dévoilant son sexe parfaitement épilé. J’appréciais le spectacle à sa juste valeur, car elle avait un corps magnifique. Alors elle se mit se pencha sur le plan de travail, me tournant le dos et écarta légèrement les jambes. Je me mis à genou et rampa jusqu’à ses belles fesses. A mon tour, je la fis monter au septième ciel à coup de langue sur son clito, ses lèvres, l’entrée de son vagin, sans oublier son petit trou. Je bus le jus qui coulait abondamment de sa chatte et elle me fit part de chacun de ses orgasmes par des séries de couinements qui en disaient long sur le plaisir reçu. Certainement, elle aussi avait attendu notre rencontre depuis longtemps et en profitait pleinement.
Ce n’est que lorsque nous fumes rassasiées et apaisées, que nous entrâmes discrètement dans la salle à manger. Tout était sans dessus-dessous. Nos deux anges étaient endormis dans les bras l’un de l’autre, entièrement nus. Natacha avait ses magnifiques seins recouverts du sperme de Mike. Nous sourîmes, et Alice me dit : « Comme ils sont mignons, ils ont dû bien s’amuser tous les deux. Je suis seulement un peu déçue de n’avoir pu en profiter. » Je lui répondis : « Ne t’inquiète, ils sont jeunes et vigoureux. Je suis sûre qu’ils ont suffisamment de force pour un second round. » Elle me sourit : « Tu crois ? » « Oui, il suffit de les réveiller. Je m’occupe de Natacha, et toi de mon fils ».
Je m’approchais de la ravissante Natacha, pris un peu de sperme qui coulait le long de son ventre, et avec mon doigt, je caressais délicatement le téton de l’un de ses seins, jusqu’à ce qu’elle ouvre un œil avec un sourire. Elle fut un peu surprise en me découvrant en face d’elle, mais je lui fis « Chut » avec le doigt et déposa un tendre baiser sur ses lèvres.
De son côté, Alice goba délicatement le sexe rabougris de mon fils, qui grâce à quelques succions parfaitement exécutées commença à se raidir. Mike se réveilla, et fit un sursaut en voyant qu’il se faisait sucer par Alice. Il me regarda avec inquiétude et je lui fis signe de la tête de se calmer, ce qui le rassura. Il se rassit et se laissa faire par la bouche experte de la belle brune, qui visiblement était aussi douée à sucer une queue qu’un clito !
Je fis alors de nouveau un baiser à la jeune Natacha, mais cette fois ce n’était plus un baiser chaste. Nos langues se croisèrent en s’entremêlèrent. Ma main pris fermement l’un de ses seins et pressa le mamelon, puis descendis vers son petit sexe. Ses jambes s’écartèrent automatiquement et je trouvai son minou mouillé prêt à recevoir mes caresses digitales. Je me décalais légèrement et léchais le sperme de mon fils sur son ventre, sur ses seins. Puis je gobais l’un de ses tétons à pleine bouche, comme si je voulais le manger. Sa peau était si douche, la chaire si tendre et jeune. Mes doigts s’activaient à une vitesse folle dans son vagin abondamment lubrifié alors que mon pouce roulait sur son clito. Elle ne tarda pas à jouir en poussant de petits cris timides et retenus. « Je lui glissais doucement à l’oreille : tu n’as pas à avoir honte de jouir. Ton corps est fait pour recevoir du plaisir. Lâche-toi et profites du moment présent. » Elle me serra dans ses bras et m’embrassa sur la joue, comme l’aurait fait un enfant. Je souri et profita de cet instant de répit pour voir où en était l’autre couple.
Mike était toujours dans la même position mais pas Alice. Elle avait grimpé sur la queue de mon fils et effilé dans son vagin qui faisait des vas et viens frénétiquement. Elle sautait sur lui comme une folle et y prenait visiblement énormément de plaisir. Je savourai cette vision, satisfaite de voir que Mike se comportait de manière virile, lorsque je sentis des doigts s’aventurer dans mon sexe. Natacha avait repris ses esprits et n’avait pas perdu de temps. Sa tête était enfuie entre mes gros seins alors que ces doigts fins étaient aussi habiles que ceux de sa compagne. Ma poitrine, presque aussi grosse que la sienne lui plaisait, car elle s’y attarda longuement. Léchant chacun de mes tétons, les mordant et le pinçant avec ses lèvres. Son petit jeu m’amusa et était excitant, surtout qu’elle me massait en même temps le clitoris avec une grande habileté. Mon orgasme arriva lorsqu’elle se mis à me lécher le sexe, tout en m’enfonçant ses doigts délicats dans le cul. Il faut dire que j’étais aussi très excitée par la vue d’Alice qui s’était enfoncé l’énorme queue de mon fils dans son anus. La vue de cette sodomie à quelques centimètres de moi me rendis folle et je jouissais avec une intensité rarement atteinte, qui surpris et ravit Natacha.
Alors je l’abandonnais. J’étais comme hypnotisée par l’enculage dont j’étais la témoin. Je voulais y participer, en espérant moi aussi me faire enculer par Mike. Après-tout c’était MON fils !
Je m’approchais d’eux et en me mettant dans leur rythme, une main vint caresser les fesses d’Alice, et l’autre prit les couilles de Mike. Je fis signe à Natacha de me rejoindre, et lui dit doucement : « Lèche lui le cul pendant que je lui lèche les couilles ». Elle me sourit malicieusement et fit ce que je lui demandais. Nous langues se croisèrent plusieurs fois et nous changeâmes de rôle toutes les deux. Visiblement ce jeu l’excitait tout autant que moi. Plusieurs minutes passèrent ainsi, jusqu’à ce qu’Alice se mette à hurler, comme elle l’avait fait sous ma langue. Je compris alors qu’elle était de nouveau en train de jouir, mais cette fois sous les coups de bite de mon fils dans son cul ! Mon objectif était atteint.
Alice, une fois clamée, se retira, et je fus la plus rapide. Je pris en bouche la queue de mon fils qui bandait toujours comme un taureau. Je le pompais avidement tout en le regardant. Il semblait apprécier cette attention de sa Maman. Puis je me mis à califourchon sur lui et entra son sexe dans le mien. Les sensations agréables de nos deux sexes mélangés m’envahirent. J’entamais alors à mon tour une belle chevauchée sur la bite de mon fils. Je pensais que mes deux belles lesbiennes allaient en profiter pour se faire plaisir entre elles, mais pas du tout. Alice se mis derrière moi et enfila d’une main ses doigts dans mon cul, pendant que l’autre me caressait le clito. Natacha quant à elle vint s’assoir sur la bouche de Mike, en face de moi, et pendant qu’il lui broutait le minou, elle reprit mes seins dans ses mains, et joua avec. Mes deux belles invitées avaient décidé de me remercier de cette soirée en me faisant jouir de nouveau, et avec l’aide de la bite de mon fils que je fis glisser dans mon cul, elles me donnèrent un orgasme exquis qui me fait encore frissonner aujourd’hui lorsque j’y repense…