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Mon fils Chéri

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 17/05/2023

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Bonjour, je m’appelle Aissata. J’ai 42 ans. Je suis brune aux yeux marron, 1,68m pour 54kg. Je suis assez fine de taille et mes seins font du 90B. Je suis une petite beurette d’origine Marocaine. Divorcée, je vis avec mon fils de 19 ans, Mike, qui vient à la maison une semaine sur deux.
Sur le plan sexuel c’est le calme plat. Depuis mon divorce, ma libido est tombée à zéro, et bien que j’aie été très accroc au sexe dans ma jeunesse (à la sodomie surtout) cela ne me manque pas. Maintenant que nous avons rompus, je n’ai plus aucune envie. Cela fait maintenant 2 ans que plus personne ne m’a touchée, et même en solitaire, mes orgasmes s’espacent et deviennent de plus en plus rare. Je préfère me concentrer sur l’éducation de mon fiston, lorsque j’ai la chance de l’avoir. C’est ma fierté, ma raison de vivre. Je ne lui refuse rien. Aussi lorsqu’il m’a demandé s’il pouvait faire venir Ibrahim, un copain à lui, pour le week-end, j’ai accepté volontiers, pour lui faire plaisir. Comme mon appart est petit, je lui ai proposé ma chambre et j’irai dormir sur le canapé, mais mon fils m’a dit que ce n’était pas la peine, il dormirait sur un matelas gonflable dans sa chambre.
Le vendredi soir venu, j’ai découvert Ibrahim, un jeune garçon très mignon, très poli et bien élevé. Ils avaient l’air très complices tous les deux et Mike m’a expliqué que c’est son binôme en FAC depuis le début de l’année, qu’ils forment une bonne équipe, et qu’ensemble ils ont les meilleures notes aux TP de la classe. J’étais contente de voir Mike aussi joyeux. Il faut dire que mon divorce l’a beaucoup affecté et que forcément c’est plus compliqué pour lui maintenant, comme tous les enfants dans son cas.
Après le repas, les garçons sont allés s’installer dans leur chambre. J’ai invité Ibrahim à prendre une douche s’il le souhaitait, et c’est en allant lui apporter une serviette que je les ai surpris, dans la salle de bain. J’avais à peine entrouvert la porte qu’un bruit m’a alerté, un bruit de succion. Ils étaient là, tous les deux entièrement nus. Ibrahim à genoux devant Mike, en train de lui lécher la queue. J’étais totalement surprise, incapable de bouger. Je n’avais jamais vu Mike nu depuis son adolescence. Son sexe était énorme ! Il tenait ça de son père. Comme moi avec mon ex-mari, Ibrahim avait du mal à la faire rentrer dans sa bouche, mais il s’appliquait à le limer, lentement, en essayant de lui donner un maximum de plaisir. Je ne pouvais détourner mon regard du sexe de mon fils. Il était devenu un homme. Je m’en rendais brusquement compte, et il était beau, sublime, tellement que d’autres hommes en tombaient à ses genoux. J’étais comme hypnotisée. Sans que je m’en aperçoive, le désir s’était réveillé en moi. Mes jambes tremblaient, mes mains étaient moites et surtout ma culotte était inondée. Elle qui était restée toute sèche depuis si longtemps, était maintenant complètement trempée de mon désir. La scène dura longtemps, jusqu’à ce que Mike éjacule sur le visage de Ibrahim, qui était complètement recouvert de sperme. Ibrahim lui se masturba alors frénétiquement, et en quelques vas et viens, délivra sa semence sur mon beau tapis de bain ! Ils éclatèrent de rire. C’est à ce moment que je sortis de ma torpeur et referma la porte tout doucement.
Je ne pus fermer l’œil cette nuit-là, pour deux raisons. La première parce que j’entendais les gémissements sortir de la chambre des garçons. Le seconde, parce que je m’imaginais ce qu’ils étaient en train de faire, et que cela m’excitait au plus haut point. Je revoyais sans cesse l’image de l’énorme sexe de mon petit chérubin, et je rêvais qu’il s’en servait pour me donner du plaisir. J’avais honte de ce phantasme, mais je ne pouvais m’en empêcher. Ma libido c’était brusquement réveillée, et c’est comme si en une nuit je devais rattraper les deux dernières années. Je me suis masturbée toute la nuit, sans aucune retenue et en me donnant des orgasmes à chaque fois que j’entendais un des deux garçons gémir de plaisir. Finalement, lorsque les bruits de la chambre voisine s’arrêtèrent, je m’endormis en rêvant des deux beaux jeunes hommes que j’avais entraperçus dans ma salle de bain, décider d’en tirer moi aussi du plaisir.
Le lendemain matin, mon plan était minutieusement préparé. Comme je l’avais deviné, les garçons faisaient la grasse matinée. Vu la nuit de folie qu’ils avaient passée, ce n’était pas surprenant. J’ai donc eu le temps de prendre ma douche, d’enfiler me plus beaux sous-vêtements que je cachais sous mon peignoir et de leur préparer un somptueux petit déjeuner. Je disposais le tout sur un grand plateau et rentrais dans la chambre de Mike. Ils étaient endormis, complètement nus, dans les bras l’un de l’autre. L’image ne me laissa pas insensible et je sentis de nouveau le désir rentrer en moi, mais je repris mes esprits. Pour mener mon plan à bout, je devais garder la tête froide, car les premiers instants seraient décisifs. Je pris une grande inspiration et d’une voix forte je dis : « Debout les garçons, c’est l’heure de se lever ! Je vous ai apporté le petit déjeuner ! »
Ibrahim ouvrit les yeux le premier, émergea lentement et sourit à la vue des mets qui embaumaient la pièce. Mike mis plus de temps à se réveiller, ce qui me laissa le loisir de voir son sexe se gonfler petit à petit, car comme je m’y attendais, la matinée faisait son effet à mes deux étalons !
Je m’approchais de Mike et le secoua l’épaule comme j’avais l’habitude de la faire quand il était petit : « Aller, debout mon ange, c’est l’heure ». Ibrahim lui, se leva, et toujours aussi nu, alla vers le plateau. Je pus le voir de dos et admirer ses belles fesses qui attiraient tant mon fiston. Soudain Mike se rendit compte de sa nudité et de la situation. Il se redressa brusquement et tira la couette sur lui pour cacher son sexe gonflé : « Mais Maman, qu’est-ce que tu fais là ? » puis il hésita : « Ce n’est pas ce que tu crois » dit-il en faisant les gros yeux à Ibrahim pour qu’il s’habille. Je lui répondis : « Aller, fait pas l’idiot. Je ne suis pas débile. Je sais bien ce qui se passe entre vous. Je vous ai entendu toute la nuit ! »
Il y eu un grand silence en Ibrahim se sentit soudain gêné de sa nudité, essayant maladroitement de cacher sa nudité.
« Ne vous inquiétez pas, leur dis-je d’un ton rassurant. Cela ne me gêne pas du tout. Je n’en dirais mot à personne si c’est cela qui vous gêne. » Je sentis la tension redescendre. « Mais je veux ma part moi aussi. Il y a un prix à payer pour garder le secret ! leur dis-je en souriant. Je m’approchais de mon fils, et en même temps fit signe à Ibrahim de venir s’assoir sur le lit à côté de moi. Il s’exécuta d’un air honteux. J’entrouvris la couette et découvrit de nouveau le joli membre bien dressé de mon fils comme je m’y attendais. Avec un grand sourire, j’empoignais de chacune de mes mains leurs sexes bien rigides, et commençais à les branler sous leurs yeux abasourdis. Mike réagit le premier « M’enfin Maman, qu’est-ce que tu fais ? » « Tu n’aimes pas ça mon chéri ? » Il répliqua maladroitement « Euh si, mais tu es ma Maman ! » « Tu aimes te faire sucer et les trous du cul bien serrés n’est-ce pas ? Eh ben moi je suce super bien et j’ai un petit trou tout fin ! Alors autant en profiter ensemble. N’est-ce pas mon petit Ibrahim, qu’est-ce que t’en dit ? » Sans attendre la réponse d’Ibrahim, qui visiblement prenait un grand plaisir à mes caresses, je me relevais, faisais glisser ma robe de chambre en dévoilant mes petits dessous sexys. Ils me regardèrent tous les deux, les yeux ébahis. Alors je m’agenouillai, devant eux et repris leurs bites toutes chaudes dans mes mains en avançant ma bouche. Je léchai d’abord le gland d’Ibrahim, car je savais qu’il aurait moins d’appréhension que mon fils, et je poussai un soupir de satisfaction en le goûtant « Hum, moi aussi j’ai droit à mon petit déjeuner, dis-je en riant. Puis ce fut le tour de celui de Mike. Quel plaisir de l’avoir enfin en bouche. Je l’avais rêvé toute la nuit. Il était enfin là, totalement à moi, entièrement son mon emprise. Incapable de réagir malgré sa révulsion face à cet inceste. Il faut dire que j’y mettais tout mon savoir-faire pour le lécher et lui donner un maximum de plaisir. Comme je le regardais, il ferma les yeux, pour se concentrer sur son plaisir. Mais je tenais à le provoquer : « Alors, elle suce bien ta Maman ? ». Il restait sans réagir, choqué. « Attends, tu n’as encore rien vu. ». Je me levais et retourna vers le plateau repas, en marchant sensuellement. Je sentais leur regard se poser sur moi. Je prenais le flacon d’huile de massage que j’avais caché sur le plateau : « Alors comme cela vous aimez vous enculer ! Vous allez me montrer comment vous faites. Tournez-vous ! » Ibrahim, qui était visiblement le plus passif des deux s’exécuta immédiatement. Mike hésita et bredouilla en me regardant : « mais Maman », mais je l’interrompais : « Aller, exécution ». Il se mit lui aussi à genoux devant le lit et me montra son postérieur. J’étais très amusée de les voir tous les deux ainsi, et terriblement excitée. Je décidai d’enlever ma culotte qui était déjà bien trempée. Je mis un peu d’huile de massage dans ma main et commença par le petit trou d’Ibrahim. Ce coquin se laissa faire sans broncher. Il me facilita la tâche en écartant ses fesses de ses mains. J’introduisis mes doigts emplis d’huile pour bien inonder son cul, puis pour le remercier, je caressai tendrement ses couilles et sa queue. Vint le tour de Mike. Il continua de me demander : « Mais qu’est-ce que tu fais Maman ? »
Ce fut sa seule forme de protestation. Il ne dit plus rien lorsque mes doigts emplis d’huile entrèrent dans son cul pour le limer, pendant que je lui procurais de tendres caresses sur son sexe avec mon autre main. Sentant que mon fiston allait vers le chemin de l’orgasme, je décidais de m’arrêter et de passer à la phase suivante : « Alors, on commence par qui ? Qui encule l’autre le premier ? ». Les deux garçons se regardèrent interloqués. « Bon, On ne va pas y passer la journée, je vais décider moi-même, alors : Mike, tu t’assois sur le bord du lit. Ibrahim, lève-toi. Je le pris par la main, et le fit s’assoir sur Mike, qui présenta machinalement sa queue à l’orifice d’Ibrahim. Je m’accroupi immédiatement devant eux. Je ne voulais pour rien au monde louper le spectacle de la grosse queue de mon fils rentrer dans le cul de son copain. Je ne fus pas déçue. J’étais si fière de lui. Ils s’accouplèrent ainsi devant moi sans aucune retenue. Je me mis debout, dégrafai mon soutien-gorge pour être à mon tour entièrement nue, et sans aucune retenue j’approchais mon sexe de la tête de Ibrahim pour me masturber devant lui. Je pris mon pied et senti un puissant orgasme monter en moi. Je n’avais pas ressenti un tel plaisir depuis si longtemps. Mais je ne comptais pas m’arrêter là. Une fois satisfaite, je pris le flacon d’huile, me retourna en présentant mes fesses au visage de Ibrahim, puis devant ses yeux je préparais à mon tour mon petit trou à la sodomie ! Heureusement mon fiston était endurant. Il prenait son pied à enculer son copain et ne comptait pas s’arrêter de sitôt. Toujours retournée, je vins m’assoir sur Ibrahim, pris sa queue toujours dressée entre mes mains, et la présenta à l’entrée de mon petit trou. J’avais fait exprès de commencer par lui, car son sexe était beaucoup plus petit que celui de mon fils. Après tant d’année d’abstinence, mon anus s’était refermé, et je voulais aussi garder le meilleur pour la fin. Malgré la taille réduite, je senti un peu de douleur lorsque le gland, puis tout le reste, rentra dans mon rectum, mais après quelques vas et viens je m’habituais et je sentis de nouveau les bonnes sensations m’envahir. C’était un pur bonheur. Je retrouvai tout ce qui m’avait manqué. Comment ai-je pu tenir si longtemps sans me faire enculer ! Quel plaisir, quelle joie. Malheureusement le petit Ibrahim n’était pas aussi endurant que mon fiston, ou peut être que mon petit trou était trop étroit pour lui, si bien qu’il éjacula rapidement en moi. Je senti ses giclées puissantes inonder mon rectum, et cela me repella les nombreuses fois où cela m’était arrivé. Je fus envahie de bonheur et ma main me donna un nouvel orgasme en frottant frénétiquement mon clito. Je criai « Stop, on tourne !  C’est maintenant à toi Ibrahim d’enculer Mike ! » Comme je m’y attendais, Ibrahim n’était plus en mesure d’un tel acte, du moins pour le moment. Je dis « qu’à cela ne tienne, je vais te sucer, le temps que tu rebandes et c’est Mike qui va m’enculer ! ». Avant qu’aucun des deux ne réagissent, je pris la place d’Ibrahim et plaqua la bite de mon fils à l’entrée de mon cul. Bien que déjà dilatée par la queue de Ibrahim, c’était une tout autre histoire ! Il me fallut m’y reprendre à plusieurs fois avant d’engloutir ne serait-ce que le gland. Mais une fois le plus gros rentré, le reste passa sans soucis. De nouveau je savourai pleinement ma victoire. Je me faisais enculer par mon propre fils. Je n’avais aucun remord, au contraire, j’en prenais un malin plaisir. C’était pour moi une revanche sur la vie qui ne m’avait pas épargnée. Mon fils était devenu un homme, bien bâti, et il me faisait jouir. Quel pied ! J’étais si fière de lui.
J’en avais oublié le Ibrahim, qui se fit rappeler à moi en présentant sa bite toute molle devant ma bouche. Comme je l’avais promis, je lui fis une fellation comme je sais les faire, et il ne tarda pas à redevenir dur ! Je lui dis : « Vas-y mon grand, tu peux y aller maintenant, tu es prêt. Fais ta besogne. »
On se coucha Mike et moi sur le côté. Il me prenait en cuillère, si bien qu’Ibrahim pu se placer derrière lui et commencer à l’enculer. Comme je l’avais deviné, cela l’excita un peu plus et ses coups de queue devinrent plus violents ! Jusqu’à maintenant, il s’était retenu, intimidé parce que j’étais sa mère, mais avec une queue dans son cul, il était excité comme un démon. Au rythme d’Ibrahim il me défonçait comme un étalon. J’étais aux anges. J’aurai voulu que ce moment dure pour toujours. Je savourais chacune de ses précieuses secondes qui étaient de purs moments de bonheur, car je savais que c’était un tournant dans ma vie, et dans celle de mon fils aussi. Ce fut Ibrahim qui atteint l’orgasme le premier. Je ne fus pas surprise, car c’était le moins endurant de mes deux amants. Il n’en était pas moins bête car il me présenta immédiatement son sexe encore tout englué de sperme pour que je le nettoie avec ma langue, ce que je fis avec délice, car il y avait tellement longtemps que je n’avais plus goûté du sperme que je ne voulais pas en rate une seule goute. Mike avait maintenant le champ libre pour prendre plus d’amplitude et me donner des coups de reins plus puissants. Il ne s’en priva pas, à mon plus grand bonheur. Nous étions tous les deux excités comme des puces, prêt à jouir, et je n’attendais que son signal pour m’envoyer au septième ciel en triturant mon bouton gonflé de plaisir. J’aimais jouir en même temps que mon homme, et avec mon ex j’avais pris cette habitude que d’instinct, je venais de retrouver. Mais mon Mike était endurant, un vrai taureau ! La bite d’Ibrahim était devenue molle dans ma bouche depuis bien longtemps, alors je décidai de l’encourager et de le provoquer pour l’exciter encore un peu plus et faire venir son orgasme : « Allez, vas-y mon Grand, fais-toi plaisir. Tu peux éjaculer quand tu veux dans le cul de Maman. Remplie-moi de sperme, je n’attends que ça. » « Putain, ta mère c’est une cochonne, rajouta Ibrahim ». Je saisi l’occasion « Oh que oui, j’aime une bonne bite bien dure dans mon cul ! Y a rien de mieux pour me faire jouir, car je suis une grosse salope et j’aime ça ! » Mes mots crus eurent leur effet, car immédiatement Mike se raidit et se crispa en gémissant lourdement. C’était le signal que j’attendais et avant même que la première giclée sorte de son sexe, je me triturai frénétiquement le clito. Le plaisir fut immédiat et intense, comme un électrochoc qui me parcourait tout le corps. Mes cris devaient résonner dans toute la pièce, car Ibrahim en recula. C’était le top. Je sentais en même temps les giclées de Mike, qui se vidait les couilles dans mon cul. Mon Dieu que c’était beau ! Il en avait des litres et des litres ! Je sentais mon ventre se gonfler et le sperme couler de mon orifice sur mes cuisses. Mike n’eut même pas la force de se retirer. Il s’affala sur moi, enroula son bras autour de ma taille, et touchant pour la première fois mes seins. Je lui caressais les fesses avec tendresse en lui prononçant de mots doux : « C’est bien mon fils, je suis heureuse de t’avoir donné autant de bonheur. C’est tout ce qu’une mère peut souhaiter à son fils. Je suis fière de toi. » Finalement Mike reprit ses esprits et se retira. Je sentis alors le liquide couler à flot de mon orifice, et j’en éprouvais de la fierté. J’étais sincère. Outre le fabuleux orgasme que je venais d’éprouver, j’étais heureuse d’avoir amené mon fils jusqu’à la jouissance. Je savais qu’il avait apprécié. Même s’il n’avait rien dit, ses petits baisers sur mon épaule était suffisants pour comprendre.
Je me levai « Aller les garçons, après tant d’efforts vous devez avoir faim. Servez-vous et reprenez des forces, pendant que je vais prendre une douche. »
La journée passa tranquillement. Les garçons partirent faire du sport dehors, avec d’autres copains. Ils revinrent vers 13h pour le repas, durant lequel nous parlâmes de tout et de rien. Le ton était léger, joyeux. Bien qu’il n’y eu aucune allusion à nos ébats du matin, les garçons étaient beaucoup plus détendus que la veille. Il y avait maintenant une vraie complicité entre nous et cela me faisait plaisir. Mike me laissait de petits regards en me souriant et en rougissant. Il était adorable. Au fur et à mesure que la journée passait je le voyais de plus en plus triste. J’étais habituée à son blues de fin de week-end, juste avant de partir en pension pour la semaine, mais là c’était plus que d’habitude. Au moment du départ, il me glissa simplement « A bientôt Maman, j’ai hâte de revenir te voir dans 15 jours. » Je pris sa tête dans mes mains et au lieu de lui faire un chaste baisé sur le front comme d’habitude, je le pris en pleine bouche et lui roula une pelle devant Ibrahim tout étonné. « Ah bientôt mon Petit. A moi aussi tu vas me manquer, mais 2 semaines ça passe vite, et quand tu reviendras je te réserverai de belles surprises, tu verras… ».
Je lui fis un clin d’œil coquin qui en disait long sur mes intentions. Je m’étais avancée car je n’avais encore aucune idée de ce que j’allais lui faire, mais j’avais 2 semaines pour y penser et beaucoup d’imagination…
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Histoire de Malefices

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Commentaires du récit : Mon fils Chéri

Le 26/05/2023 - 11:15 par Malefices
Merci pour le commentaire. Content que cela plaise. Je ne suis pas aussi prolifique en histoires que vous. J'écris pendant mon temps libre, et je n'en ai pas beaucoup. Je vais bien entendu réfléchir à une suite, pleine de rebondissements et de surprises, mais il faudra attendre un peu.
Le 20/05/2023 - 16:36 par valeriane
Ouah, j'adore, une suite s'impose, il me tarde de voir le fils dévorer le clito, et fouiller la chatte de sa maman avec sa langue et de lui planter sa bite dans le vagin pour la faire jouir. Hum, je m'y vois déjà.

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