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01 Lorenna, la

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 15/03/2024

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Nous nous étions retrouvés au restaurant, une petite brasserie où viennent surtout des employés de bureau. Il faisait beau, presque trop chaud. elle portait une jupe colorée à motifs vintage, un caraco noir à fines bretelles, ses jambes étaient nues. Elle est attirante, elle a le sex-appeal des femmes qui ont confiance en elles. Nous nous sommes installés sur la terrasse ombragée. A une table voisine, un homme est plongé dans son portable. Le genre commercial, chemisette et cravate dénouée. J’ai mis un certain temps avant de remarquer les coups d’œil rapides qu'il jetait en direction de ma compagne. je le voyais dans le reflet de la vitrine.

Déjà 10 ans que je partage mes nuits avec Lorenna. Ce qui avait commencé presque comme une aventure sans lendemain s'est transformé en une histoire passionnelle. Le désir mutuel ne nous a jamais quitté. À cinquante ans passés, nous nous réjouissons toujours de la fraîcheur de nos échanges et de la vigueur de nos étreintes. Peut-être parce que c'est une femme libre, indépendante, et autonome, ma manière d'avoir envie d'elle a progressivement évolué. Sa sensualité, son sex-appeal, son corps souple bâtit pour l'amour m'inspire des idées qu'elle qualifiait d'abord d’insolites.

Cela a commencé lorsque nous avons croisé accidentellement un de ses ex. Ma curiosité m'a poussé à la questionner sur leur intimité, et ses réponses ont provoqué une vraie délectation. Je voulais savoir comment ils faisaient l'amour. Comment il la faisait jouir. Les lieux et les circonstances dans lesquels elle avait pris du plaisir. Ma soif de détails lui parut incongrue, mais comme cela stimulait mon ardeur, elle s'en accommodat joyeusement. En fait, Elle a le même fantasme miroir, voir son homme avec une autre femme, devant elle ! Lorsqu'elle s'est confié, Je me sentais compris ! Complice ! Je pouvais en parler librement. Un bémol : madame n’est pas prête à passer à l’acte et vivre ses fantasmes à elle, mais ouverte à l’idée de vivre les miens (en clair :être partagée, elle, ou plutôt se partager). Mais peu importe, je n’y voyais que du bien : « Elle me comprend ! »

J’aime savoir qu'elle plaît, que d’autres hommes la désirent. Elle en joue parfois, toujours avec délicatesse. Nous préparons notre passage à l'acte en envisageant des scenarii, excitants et effrayants à la fois. J'attire donc son attention sur l'homme qu'elle a déjà du remarquer. Il est brun, grand, et on devine une pilosité du torse qui ne la laisse pas indifférente. Il était à ma gauche, légèrement en retrait. Une position presque idéale pour regarder ses jambes à loisir. Elle n’a pas cherché à en faire trop, mais subtilement, elle me faisait du pied, croisait, décroisait ses jambes afin qu’il maintienne son attention, et continue à la regarder discrètement. Nous sentions très complices à ce moment. J'ai pris sa main, je lui ai dit que je la trouvais belle, désirable, que j'avais envie d'elle. Que les regards étrangers me rendaient fier et heureux d’être a ses cotés.

C'est lorsqu'elle à voulu attraper son paquet de cigarette dans son sac posé à ses pieds, que je remarquais qu'elle lui offrait un point de vue immanquable sur son décolleté. Assez pour qu'il puisse apercevoir ses seins lourds qui se balançaient librement lorsqu'elle se penchait. Je n'osais pas imaginer que c’était volontaire, mais son caraco baillait amplement. J'en profitais aussi. Elle répéta la manœuvre. Je guettais les réactions de l'homme dans le reflet de la vitrine. J'adore ses seins, les palper car ils tiennent parfaitement dans mes mains, Ils sont denses, fermes, avec les aréoles larges et brunes, parfaitement dessinées et légèrement dissymétriques. J'aime les presser doucement et lécher ses tétons, les sucer, les aspirer pour qu'ils pointent. Aussi troublante que puisse être cette idée, j'essayais de me comporter le plus naturellement et amoureusement que possible. Mon assiette terminée, mes mains étaient sous la table, mais n'atteignant que ses genoux. Elle s’enfonça dans son siège, je pouvais alors caresser ses creux poplités et effleurer l’intérieur de ses cuisses. J'aime le contact de sa peau. J'aime lui faire deviner mes envies en l'effleurant, en la caressant.

Mes pensées commençaient à vagabonder, mais je n'osais lui demander d'aller aux toilettes retirer sa culotte. Elle aurait été étonnée par mon impudence, cependant, si je lui avais dit ce que je soupçonnais de l'homme qui l'observait, se serait elle exécutée? Ne serait-il pas en train de prendre des photos avec son portable? J'aurais été subjugué par son audace. La terrasse commençait à se vider et n’était animée que par les serveuses qui s'affairaient à débarrasser. Je n'aurais pas souhaité qu'elle se montre trop provocante préférant laisser planer un doux parfum d’équivoque qui se mélangeait à la fumée de sa cigarette. Pourtant, je frissonnais à tout changement de position sur sa chaise fait chavirer mon imagination. Est-ce que sa jupe remonte vers le haut de ses cuisses? Est-elle en train de s'exhiber à ce voyageur de commerce qui n'en demandait pas tant? Peut être n'a-t-il rien remarqué? Elle me dit qu'elle surprend son regard régulièrement mais toujours de manière furtive, et qu'il se réfugie sur son écran lorsque cela se produit. Pourtant, elle aimerait voir un signe. Un signe discret mais tangible d'une éventuelle excitation. C'est lorsqu'elle a parlé de manifestation palpable que nous avons éclaté de rire.

Pour mettre un peu de piquant, et en guise d’épilogue, je suis allé payer l'addition au comptoir, la laissant seule à la table pendant quelques minutes. Je l'imaginait entre en phase de séduction passive. Je supposais aussi qu'il pourrait profiter de l'occasion. Après le café, nous quittons la table, elle a croisé son regard, lui a souris simplement. en quittant la terrasse. C'est moi qui me suis retourné pour voir ce qu'il faisait.

A partir de là, j’ai imaginé qu’il nous suivait, à bonne distance, afin de regarder ses hanches se balancer pendant que nous marchions. Sans nous hâter, nous avançons, devinant sa présence derrière nous, vérifiant qu’il est toujours sur nos pas. Nous nous dirigeons vers des rues moins fréquentées . Là, une impasse déserte, quelques pas, une porte cochère, nous nous y engouffrons. Je la colle contre le mur et l’embrasse goulûment , je colle mon bassin contre le sien afin qu’elle sente bien mon désir, Le bruit des pas de l’inconnu qui s’approche nous fait palpiter encore plus. Il est là, nous l’ignorons, du moins nous faisons semblant. Il ne dit pas un mot et c'est tant mieux, Il se tient là à l’entrée pendant que ma main remonte le long de ses cuisses. je remonte lentement sa jupe, caresse le tissu de sa culotte qui laisse deviner ses lèvres déjà humides.

Elle le regarde, fait un geste de la main afin qu’il comprenne qu’il ne doit pas s’approcher plus, qu’il ne doit pas nous interrompre, pas encore! Elle a remarqué la bosse de son pantalon qui ne laisse aucun doute sur son état d’excitation. Il met sa main dans sa poche à fin de se caresser et de soulager cette tension qui brûle dans son bas-ventre. Je ne me préoccupe pas de lui, juste de ma partenaire, je caresse son sexe lentement, puis je me mets à genou devant elle, remonte sa jupe, et me délecte de son sexe. Alors elle commande à l’homme de s’approcher, de se placer juste à portée de main. Elle aime deviner la fermeté de son sexe a travers le tissus. Elle le devine, lentement, défait les boutons de son pantalon, y plonge sa main afin de sentir mieux son membre en érection à travers son caleçon. Il n’a pas le droit de la toucher, de l’embrasser, c’est une chose que nous avons convenu en avançant, le repoussera si besoin. Mais elle est libre de poser sa main sur son sexe. Elle le caresse doucement et cela l’excite. Elle flatte cette hampe dressée, J’aime jouer avec ma langue le long de son clitoris, la faire vibrer en explorant ses lèvres, j'aime me sentir prisonnier de ses cuisses puissantes. Elle presse mon visage contre son entre jambe à fin que je puisse me régaler son plaisir. Pendant ce temps le pantalon de l’inconnu a glissé sur ses chevilles et elle caresse lentement son sexe. il est chaud, tendu, ferme et cela plaît à ma partenaire. Je me relève et l'invite à se retourner pour qu’elle soit face au mur, je relève sa jupe au dessus de ses fesses, décale ses dessous afin de la pénétrer. Elle gémit doucement, contenant son plaisir, l’homme se masturbe à coté d'elle. Elle prend plaisir à le regarder pendant que je frotte mon sexe sur le sien avant de m'introduire.

Mais soudain, un bruit dan la ruelle. L'homme remonte son pantalon et disparaît aussitôt. Elle baisse sa jupe, et ramasse son sac laissé là. Je me tourne vers l'interphone, faisant mine de chercher où sonner. Des pas s'approchent, une vielle femme s'appuyant sur une canne apparaît. Elle semble surprise de nous voir là. Elle s'adresse à ma compagne : « Bonjour, vous cherchez quelqu'un ? »

(à suivre...)
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