Mon premier adultère de femme mariée

Je viens par ce récit, vous raconter l’histoire de mon premier adultère.
Bien évidemment, Cyril, mon mari ne s’est jamais douté de quoi que ce soit.
Jusqu’à aujourd’hui, il me croit toujours être une femme fidèle, au petit soins de son mari chéri...et ça m’arrange.
Un soir, donc, alors que mon mari n’était pas rentré du bureau, je m’étais installée sur le canapé, pour regarder les infos, quand mon téléphone sonne.
C’est Sarah, ma meilleure copine qui s’inquiète de ne pas avoir de mes nouvelles. Elle me propose d’aller rejoindre un groupe d’amis, pour le week-end. Je lui dis que j’allais en parler à Cyril, que je la rappelais.
Je sais que mon mari n’est jamais partant pour ce genre de sortie, mais à force d’insister, il donna son accord. Hors de question de me laisser y aller seule, étant très jaloux.
Lorsque j’ai rencontré mon mari, j’avais dix sept ans et lui vingt et un.
La liste de ses ex était bien longue, alors que pour moi, il était ma première expérience sexuelle. Nous nous sommes mariés quand j’ai atteint vingt et un
ans et nous sommes allés habiter ensemble dans l’appartement qu’il a loué. A ce moment-là, j’étais à la fac pour mes études et j’avoue avoir rencontré beaucoup de lycéens, dont certains ne restaient indifférent à mes charmes. J’ai eu plusieurs occasions de tromper mon mari, mais je ne l’ai jamais fait.
Après deux années de mariage, la routine commençait déjà à se faire sentir, et me demander si mon mari n’avait pas une maîtresse. Après enquête...non. En cette troisième année de mariage, Cyril et moi avons décidés d’adhérer à la proposition de ma sœur, et sommes partis rejoindre un groupe d’amis pour quelques jours de vacances.
Les parents d’une copine nous ont autorisés à planter nos tentes sur un terrain près d’un lac, entouré de sable fin.
Pour la soirée, j’ai ms un petit short court, un t-shirt. Pas de soutien-gorge.
Nous nous sommes réunis autour d’un feu, à chanter, à boire, raconter des blagues grivoises, bref, à bien rigoler.
Le dîner et un peu bruyant, mais l’ambiance était bonne, et surtout arrosée.
Je voyais mon mari avec un groupe de jeunes, et me demandais s’il allait tenir le coup.
La nuit est tombée, la fraîcheur aussi. J’aperçois ma sœur Sylvie, en grande discutions avec un nommé Hugo. Il lui propose son pull tout en lui frottant légèrement les épaules pour la réchauffer. Je la sens frissonner.
Hugo sent immédiatement son trouble, et tente de lui prendre la main, mais elle l’écarte, et réintègre le groupe qui reprenait la direction des tentes.
Je la rejoins, lui demande si ça va. Elle me dit « Tu sais toi».
Oui je savais...savais qu’elle avait eue une aventure d’une nuit avec un pote de travail, lors d’un séminaire, il y a un an. Elle avait tellement culpabilisé d’avoir pris du plaisir avec un autre homme, qu’elle s’était juré de ne plus céder à nouveau à la tentation.
Vers trois heures du matin, tout le monde est parti se coucher, y compris mon mari qui avait mal à la tête. Quant à moi, je suis resté près du feu, avec Ludovic un pote à lui. On a discuté de tout et n’importe quoi. Puis, vers trois heures trente, j’ai commencé à ressentir la fraîcheur , mais n’avez pas vraiment envie d’aller me coucher.
Ludovic m’a alors proposé de ramener nos duvets, et continuer nôtre discussion près du feu. Je suis allé à ma tente, pris mon duvet, et me suis assuré que mon mari dormait.
En rejoignant Ludovic, , il me proposa d’attacher nos deux duvets ensemble. On s’est ensuite emmitouflés dans la couche emménagée. J’étais allongée sur le côté et Ludovic était collé à moi, sa main sur ma cuisse. Je sentais son souffle sur ma nuque. C’était la première fois qu’un autre homme que mon mari me touchait et ça me faisait tout drôle. Ludovic me caressait délicatement la cuisse de sa main chaude. Mon cœur battait de plus en plus fort.
Je ne pus m’empêcher de penser à l’aventure de ma sœur, qui avait regretté, tandis que moi, .j’avais envie qu’il aile plus loin, mais je n’osais pas, ou ne savais comment le lui dire.
Puis, à un moment, je me suis retournée sur le dos et on s’est regardé, en se faisant un petit sourire. Je sentais que ma petite culotte était toute mouillée d’excitation. Ludovic a alors compris qu’il pouvait aller plus loin. Il continua à me caresser les jambes, passa sa main entre mes cuisses pour atteindre mon short qu’il s’empressa de déboutonner, le baisser lentement le long de mes jambes.
Je sentais ses mains sur mes cuisses, remonter jusqu’à ma petite culotte humide. J’étais de plus en plus excitée, et mouillais aussi de plus en plus. Ça ne m’est jamais arrivé avec mon mari!
Ludovic retira ensuite mon t-shirt, libérant mes seins qui, en attente derrière le fin tissus, pointaient durement. Pendant qu’il les embrassait et les suçait, j’essayais péniblement de déboutonner son jeans. Faut dire que le duvet n’est pas très pratique pour ce genre de manœuvres, mais enfin j’y arrive avec son aide. Il s’allongea sur le dos et je n’avais plus qu’une envie, voir son sexe.
J’enlevais maladroitement son caleçon, et le voilà enfin qui m’apparaît, énorme, dressé et bien dur. Je n’ai pu m’empêcher de m’extasier devant cette queue, en poussant un «Ouah». Pour être plus claire, je m’apprêtais à faire à Ludovic, ce que j’ai toujours refusé à mon mari.
Je pensais à ma sœur, qui faisait la fête sous une tente. Elle m’a vu rejoindre Ludovic au coin du feu. Se doutait-elle de ce que j’allais faire...et fis
Pendant que je le branlais, Ludovic retire enfin ma petite culotte vraiment mouillée maintenant. Il enfonça un, puis deux doigts dans ma chatte, tandis qu’un autre excitait mon clitoris.
Je pousse alors quelques petits gémissements, faisant attention de ne pas faire trop de bruit pour ne pas réveiller les autres, surtout mon mari. Mais c’était tellement difficile, Ludovic me procurait énormément de plaisir.
Il décida ensuite, de se positionner en soixante neuf. J’étais prise de panique, car je n’ai jamais fait de fellation à mon mari.
J’étais encore novice à ce niveau. Le comble, c’est que j’en avais très envie.
Tout ce que j’espérais, c’était d’être à la hauteur ! J’ai commencé par lui lécher le gland délicatement décalotté, puis très vite, je me suis lâchée en enfonçant sa bite dans ma bouche. Ludovic, quant à lui, me bouffait la chatte délicieusement. Je pouvais sentir sa langue aller profondément dans ma fente, alors que ses doigts titillaient mon petit bouton. Un régal. Nous étions tellement excités qu’on ne se rendait pas compte que nos gémissement risquaient d'alerter le groupe.
Soudain, Ludovic m’annonça qu’il allait jouir. J’ai alors cerclé ses cuisses à l’aide de me bras, et laissais faire. J’ai subitement senti déferler des giclés de sperme dans la bouche, que j’ai un instant gardé sous ma langue, avant de tout avaler.
J’avais toujours sa queue en bouche, quand un groupe passa près de nous, et se jeta dans le lac. Parmi eux, ma sœur.
Bien emmitouflés dans nos duvet, ils ne nous ont pas vus.
Malgré les souillures de sperme, Ludovic me pris tendrement les lèvres. Soudain, il s’éjecte du duvet, m’entraînant avec lui. Il me saisit les hanches, me fit mettre à quatre pattes. Je me doutais qu’il voulait me prendre en levrette, ce que je savais pas, c’est quel trou. Ce fut la chatte, tellement mouillée, qu’il n’eut aucune peine à me pénétrer. Je sentais cette bite vibrer en moi, m’apportant un plaisir jamais atteint à ce jour. Il sortait, rentrait, frottait sa queue contre mon clitoris, amorçant un orgasme qui s’annonçait terrible...et il le fut. Puis il se retire, taquine mon petit trou. Je m’avance, il croit que je veux fuir, n’insiste pas.
« Vas-y..encules -moi...je suis vierge de ce côté...prend ma virginité…
Pour une première sodomie, Ludovic va doucement, au point de ne ressentir aucune douleur, mais plutôt du plaisir. Et ce plaisir va crescendo, au point d’atteindre un deuxième orgasme, plus puissant que le premier.
Ma chatte, mon petit trou et ma bouche, étaient souillés de sperme. C’était quelque chose de nouveau pour moi, mais j’adorais ça.
Je me suis essuyé avec ma petite culotte et nous avons repris notre discussion comme si de rien n’était. Mais très vite, nous ne pouvions nous empêcher de repenser à ce qui venait de se passer entre nous.
Ludovic se mit à rebander, il était à nouveau très excité, tout comme moi d’ailleurs. Nous réintégrons le duvet, et me suis mise sur le ventre.
Ludovic était au dessus de moi. Il commença par frotter doucement son gland contre ma chatte. Il passait indifféremment de ma chatte à mon petit trou, pour enfin finir dans ma bouche. Le final rêvé, la jouissance totale.
Je n’ai jamais ressenti autant de plaisir avec mon mari, autant d'orgasmes en une seule nuit. On a fait l’amour jusqu’à six heures du matin.
Ce fut une expérience incroyable, et cette nuit restera pour moi, inoubliable, même, si je l’avoue, regrette d’avoir trompé mon mari.