Fatima (2ème partie)

Au petit matin, je suis réveillé par ma femme, qui rentre de sa soirée entre filles. Elle s’allonge nue à côté de moi.
-Je suis frigorifiée !
-Oui, je sens ça ! Alors, ça s’est bien passé ?
-Ouais ! On a bien rigolé ! On est allées en boite puis on est rentrées vers deux heures avec Nathalie.
-Et les autres ?
-J’en sais rien ! On a fini la nuit toutes les deux !
-Hum ! Comment ça se fait que tu aies froid ? Ça devait être chaud pourtant !
-Oui, on a un peu fricoté, mais c’est après que j’ai eu froid, en rentrant toute seule pour venir te rejoindre ce matin ! J’ai apporté le petit-déj’. Mais je veux bien que tu me réchauffes en fait !
-Viens là ma Chérie !
Charline vient se blottir contre moi, en me tournant le dos, ses fesses contre mon bassin. Je la prends dans mes bras et mes mains viennent enserrer ses seins. Nous restons comme ça, sans bouger ni rien dire une bonne dizaine de minutes et, au moment où je crois que ma femme s’est endormie, elle se met à frétiller son merveilleux cul contre moi, pour me chauffer. Il ne m’en faut pas plus pour réagir. J’aime tellement faire l’amour à ma femme, que je me mets presque aussitôt à bander. Et c’est sans même changer de position que je fais glisser ma queue dans le puit d’amour de ma compagne. Je constate qu’elle est bien chaude et même très excitée, car son vagin est vraiment bien lubrifié. C’est donc sans difficulté que ma verge entre jusqu’au fond d’elle, en butée contre le col de l’utérus. Par de longs gestes de mon bassin, je fais aller et venir ma queue dans sa chatte pendant de longues minutes, pendant que mes mains malaxent ses deux seins. Et c’est dans cette position que nous atteignons l’orgasme simultanément, sans artifice, comme deux amoureux que nous sommes. Nous finissons par nous endormir, ma queue encore dans le corps de ma femme.
Quand nous nous réveillons, le soleil est bien monté et éclaire fortement notre chambre.
-Ca va, mon Roi ?
-Très bien, et toi ?
-Tu m’étonnes ! Je me sens en pleine forme ! Je vais prendre une bonne douche !
-D’acc’ ! Je vais traîner un peu dans mon lit !
Je prends mon téléphone, puis je me rappelle que Charline a apporté un petit-déjeuner. Je me lève donc et vais préparer un bon thé vert au citron et gingembre. Je récupère les viennoiseries qu’elle avait rapportées et je dispose le tout sur la table de la terrasse. Je rejoins enfin Charline dans la salle de bain. Pendant qu’elle se coiffe, je prends également ma douche et une fois prêts, nous allons sur la terrasse pour notre petit-déj’ en amoureux. Nous portons tous les deux pour simple vêtement notre peignoir.
-Je suis allé chez ta mère, hier soir.
-Ah, tu as réussi à réparer sa connexion ?
-Oui, ça a été.
-Cool.
-Tu sais, ta mère était différente, hier soir !
-Comment ça ?
-Elle portait une robe plus courte que d’habitude et ses cheveux étaient détachés.
-Ah ouais ?
-Oui, oui !
-Et elle t’a dit quoi ?
-Elle m’a dit que tu lui avais parlé de notre relation. C’est vrai ?
-Ben oui, je n’ai pas de secret pour ma mère.
-Tu lui as dit aussi qu’on avait des partenaires occasionnels et qu’on s’en parlait avant ?
-Oui, aussi !
-Et elle a dit quoi ?
-Elle a été surprise, voir même un peu choquée au départ. Mais je lui ai expliqué que cela nous rendait heureux tous les deux d’être comme ça et elle a accepté.
-Rien d’autre ?
-Genre quoi ?
-Je ne sais pas, du genre : est-ce que je peux me faire baiser par Luke ?
-Euh, non, ça, non !
-Et si ça avait été le cas ?
-J’aurais éclaté de rire !
-Pourquoi ?
-Parce que ma mère ne ferait pas ça !
-Pourquoi ?
-Parce que c’est pas dans ses principes !
-D’accord ! Mais imagine un seul instant qu’elle ait changé un peu et qu’elle ait envie de découvrir ce qui te rend heureuse avec moi !
- …
-Je dis ça, je dis rien ! Mais c’est juste que son comportement hier m’a paru un peu bizarre !
-Tu veux dire que ma mère t’a fait des avances ?
-Pas directement ! Mais sa tenue, ses cheveux et son comportement n’ont pas du tout été ceux qu’elle a habituellement !
-Mais est-ce qu’elle t’a demandé de coucher avec elle ?
-Ah non, pas du tout ! Il n’y a même pas eu de propos équivoque ou qui puisse y faire penser. C’est juste que j’ai trouvé bizarre que ta mère s’assoit en tailleur face à moi qui étais par-terre et, du coup, qui pouvais voir sa culotte entre ses jambes. C’est tout !
-Oui, c’est pas elle, ça !
-Bon, imagine que je ne me suis pas fait tant d’imagination que ça, tu en penses quoi ?
-Pourquoi ma mère ferait ça ?
-Je ne sais pas, peut-être qu’elle est en manque de sexe ou autre chose, j’en sais rien, en fait !
-Bon, je vais voir ça avec elle !
-Euh, non, je ne crois pas que ce serait une bonne idée. Imagine qu’elle ait envie, mais qu’elle se dise ensuite que c’est débile comme idée. Imagine qu’elle soit en manque de sexe ! Simplement ça ! Moi, ce que j’en dis, c’est que je veux bien rendre service !
-Tu ferais l’amour avec ma mère ? Je croyais que tu ne l’aimais pas !
-Pour la première fois aujourd’hui, on a pris le temps de discuter comme deux adultes, comme une cliente et son dépanneur. Le seul truc qui déconnait, c’était le comportement de ta mère. On aurait dit une femme en chaleur prête à se faire détrousser par un plombier !
-Dis que ma mère est une salope !
-Mais non, elle n’est pas comme ça, je le sais bien ! Mais avoue que ce qu’elle a fait, c’était plutôt bizarre, non ?
-Oui, effectivement. Mais maintenant, je me demande si elle n’a pas fait ça pour te tester, sachant ce que je lui ai raconté sur notre façon de vivre notre amour.
-Tu veux dire qu’elle voulait voir si j’étais prêt à la baiser, sans même t’en parler ?
-Oui, pourquoi pas ! Elle n’a pas confiance en toi, de toute évidence !
-La garce !
-Dis-donc, c’est ma mère, je te rappelle !
-Pardon !
-Mais on pourrait lui donner une bonne leçon, non ?
-Tu penses à quoi ?
-Quand tu y retourneras, tu le feras !
-Quoi ?
-Tu baiseras avec elle !
-Mais c’est ta mère ?
-Eh ben, justement ! Je te demande de lui rendre ce service ! Elle est en manque de sexe, donne lui en !
-Tu crois ? Elle ne va pas se fâcher et me faire passer pour un salaud ?
-On verra bien ! Et si elle essaie, je serai là pour lui dire que j’étais bien au courant et que je t’ai donné le feu vert !
-D’accord.
Nous débarrassons notre petit-déj’ et nous installons ensuite sur le canapé. Charline s’installe confortablement, les pieds reposés sur l’accoudoir et la tête sur ma cuisse. La télé diffuse un reportage sur Madagascar et nous nous laissons bercés par les magnifiques paysages et les explications du reporter.
-Eh, me dit Charline alors qu’une jeune femme est interviewée, elle est canon, la minette, tu trouves pas ?
-Oui, effectivement !
Il s’agissait d’une jeune femme aux mensurations de mannequin. Une superbe poitrine à l’air, au maintien parfait, des cheveux crépus très épais et un visage très doux. Elle porte pour tout vêtement un paréo aux couleurs locales.
-Je crois que j’aimerais bien avoir une relation sexuelle avec une femme comme elle !
-D’accord !
-Pas toi ?
-Si, bien sûr ! Si elle me dit oui … et que tu es d’accord … je fonce, bien sûr !
-Et ta queue ? Elle dit quoi, là ? dit-elle en se relevant et en ouvrant mon peignoir pour voir l’état de ma verge.
-Tiens donc ! Tu ne réagis pas à cette beauté ?
-Ben, non, pas spécialement !
-Tu vas voir ! Charline prend alors mon sexe dans sa main et commence à me masturber. De temps en temps, elle passe sa langue sur le gland et elle finit par prendre mon pieu entièrement dans sa bouche. Elle me fait alors une pipe qui me fait décoller sans difficulté. Une fois bien tendu, elle me regarde et me dit :
-Tu ne crois quand même pas que je vais gâcher une si belle queue bien bandée en prenant ton sperme dans ma bouche ! Non, je veux que tu me baises bien fort ! Pas comme cette nuit ! Je veux du cul, du sale ! Je veux que tu me défonces le cul ! Et pas dans dix minutes !
Aussitôt, je positionne ma femme à genoux sur le canapé et je m’occupe de son anus. Il faut le détendre au mieux pour bien le défoncer ensuite. Je le lèche donc longuement, en insérant ma langue dans son conduit anal le plus loin possible. Puis, sans perdre de temps, pour parachever mon œuvre, j’introduis un puis deux doigts et je lime quelques instants. Une fois le sphincter bien détendu, je place mon gland à l’entrée et je pousse un coup sec. Charline pousse un petit cri, suivi d’un long râle.
-Je te fais mal ?
-Non, vas-y chéri, défonce-moi !
Aussitôt, j’attrape les hanches de Charline et je pousse ma queue tout au fond de son cul. Je ressors ensuite puis entre de nouveau fort et à fond dans son cul. Plusieurs fois comme ça, avec brutalité. Dans le même temps, ma femme attrape son clito avec sa main droite et commence à le triturer tout aussi violemment que ma queue entre et sort de son anus. Très rapidement, Charline se met à hurler de plaisir. Je sens son orgasme monter dans les contractions anales qui se fond de plus en plus fortes et rapprochées. Enfin, ma femme explose dans un orgasme délirant, sa chatte dégoulinante de cyprine, ses jambes tremblantes. Sous la pression, ma queue finit pas céder également et j’expulse trois violents jets de sperme dans ses intestins puis encore deux ou trois plus faibles, avant de sortir de son cul. Nous nous écroulons en même temps sur le canapé, repus et heureux.