Mon voisin

Livrer mes phantasmes, décrire mes ébats, raconter les histoires érotiques qui traînent ça et là dans ma tête, vous faire plaisir, vous faire sourire,... Voilà mes objectifs en m'étant inscrite sur ce site. En littérature, on parle de "nouvelles". Si mon envie me satisfait, si vos commentaires m'émeuvent et m'échauffent, si mon plaisir est exacerbé, les nouvelles vont pleuvoir plusieurs fois par semaine, plusieurs fois par jour. Un fantasme au bureau, une envie en voiture... partageons ces bonheurs quotidiens et échauffons nos envies ensemble...

Je m'appelle Elizabeth. Je suis une éternelle timide et pourtant, j'ai découvert les plaisirs de l'exhibitionnisme, le plaisir de voir les hommes jouir en me regardant, le plaisir de voir mon homme jouir sans même que je ne le touche. J'aime sentir en moi la fontaine qui jaillit.

Je suis châtains avec des longs cheveux. Ma poitrine est ferme et bombée. Je porte des dessous sexy. Ce dimanche matin, je me réveille vers 9h30. Encore endormie, je me dirige vers la salle de bains pour enfiler mon peignoir en satin. Je descends les escaliers doucement. Mes seins bougent gracieusement au rythme de mon déhanché. Une fois dans la cuisine, je prépare le café et mon petit déjeuner. J'aperçois alors le voisin qui me regarde à travers la fenêtre. Je fais semblant de rien et veille à me mettre en valeur pour qu'il continue de me regarder. Il est beau. Il m'excite. Ses yeux bruns en amendes, son regard profond et ses petites fesses fermes m'émoustillent. Je dois le garder en haleine. Sans jamais lui avoir adressé la parole, je suis certaine qu'il pourrait me satisfaire... Mes chaussures à talon aiguilles trainent près de la cuisine. Je fais mine de trébucher dessus et décide de les enfiler. Dos à la fenêtre, je me penche pour les enfiler en prenant soin d'exposer mes jolies fesses moulées dans le peignoir. Le peignoir remonte bien entendu très haut sur mes cuisses et je fais mine de le tirer vers le bas... tout en espérant que le voisin appréciera ce spectacle. J'ai pris 10 cm avec ces talons.


Je prends mon café, je me dirige vers le miroir. De là, le voisin peut m'observer et inversement mais il ne s'est toujours pas rendu compte que c'était moi qui l'observais... Je me trouve belle, je tourne sur moi même, ouvre mon peignoir, le referme, regarde mes fesses, touche délicatement mon corps. Mes pensées sont folles : comment le faire venir à la maison...? Me savoir espionnée me chauffe. Je sens que mon bas-ventre est sans dessus-dessous. Je me dirige lentement vers la fenêtre et ouvre délicatement les rideaux. Mon voisin est toujours là, mais se cache derrière les siens. Je sirote mon café avec la grâce d'une princesse. Je vais dans le salon, dépose ma tasse de café et fais pivoter le fauteuil uni-place face à la fenêtre. Je peux alors avoir la vue sur mon jardin, mais laisse l'opportunité à mon voisin de prendre du plaisir en me regardant. J'aime m'exhiber mais j'aime aussi regarder.

J'espère qu'il s'aperçoit que je l'aie vu et qu'il comprend qu'il serait le bienvenu chez moi. Je me souviens alors que juste après mon déménagement, il m'avait gentillement glissé son numéro de téléphone dans ma boite aux lettres en me disant: "Bonjour, je suis votre voisin, si vous avez besoin de renseignements sur votre nouveau quartier, faites-moi signe". Il avait signé Sébastien et apposé son numéro de téléphone. Serait-ce l'occasion de lui demander service? Oserais-je, moi, la timide depuis 25 ans? Les plaisirs solitaires et mes doigts me satisfont mais ... une vraie, bien faite, bien dure me procurerait du plaisir. Les idées fusent, je me caresse les cuisses tout en réfléchissant au risque... Ma décision est prise. Bien que toute décidée, je me lève doucement et retrouve dans le tiroir son petit bout de papier et.... un petit gode de poche. Je sors les deux, prends mon portable. Tout en faisant vibrer le petit ustensile le long de mes seins, je découvre petit à petit mes épaules. Je me tâte et chipote à mon gsm. Le numéro est là, je le compose. Ca sonne :
"-Allo?".

Il décroche et j'entends qu'il tente de redescendre sur terre. Je sens déjà sa main qui porte l'odeur corporelle de l'homme excité. J'imagine son membre si dur qui ne demande qu'un nid pour l'accueillir...
"Bonjour, c'est Elizabeth, la voisine"
"Ah? bonjour", dit-il d'un air étonné. Je vois qu'il s'éloigne de la fenêtre... dommage!
"Je me demandais si vous pouviez m'aider: ça fait une demi heure que je suis levée et j'ai l'impression que..." . Je panique, je suis affolée, je referme mon peignoir, je m'éloigne de la fenêtre, mais qu'est ce qui m'a pris???? Je ne peux plus faire marche arrière... "j'ai l'impression que mon chauffage ne fonctionne plus. Comme je sais que vous avez des mains en or, je me demandais si vous pouviez venir jeter un coup d'œil..."

Ma voix est indécise. Pourquoi ai-je dit qu'il avait des "mains en or", c'est ridicule, je vais me prendre un râteau. Aïe!
"Ah", me répond-il, " je ne peux vous laisser dans le froid alors qu'il fait 0° dehors. Je prends ma douche et je suis à vous. Je suis là dans 20 minutes". Je laisse échapper un soupir:" Magnifique, merci beaucoup, à tout de suite".

Je remonte 4 à 4 dans la salle de bains, je me mets sous une douche hyper chaude, je sors, je me sèche, je choisis un ensemble hyper sexe et enfile mon peignoir par dessus. Je me coiffe, je fais quelques boucles dans mes cheveux. Je me maquille. Pas trop, il faut que ca reste naturel. Je redescends et me regarde à nouveau dans le miroir. J'oublie ma pudeur. Je me trouve belle.

Quand je veux retourner à la fenêtre, la sonnette retentit. Je me hâte, pieds nus dans mon ensemble affriolant, je lui ouvre. "Bonjour Sébastien". Il entre. Je vois à son visage qu'il sait que ce n'est pas le chauffage de la maison qui est déréglé mais bien mon thermomètre intérieur. Je l'invite à visiter la maison et l'installe dans le canapé. Il se prête au jeu. Je m'approche... Vêtu de son jean Armani moulant son cul et son Pull coll en V, il me fait complètement chavirer. Il est aussi troublé.

En 10 minutes, j'avais enlevé mon peignoir pour qu'il me découvre plus coquine que jamais. Je me rapproche de lui et prends le gode discrètement dans ma main. Je lui passe sur son pull. Il frémit. La suite n'est plus très longue : après quelques phrases anodines, nous sommes nus, face à la fenêtre. Ses doigts me caressent la chatte. Je suis trempée jusqu'aux os. Je murmure et halète de plaisir. Il respire fort et je sens sa queue dure du bout de mes doigts. Les préliminaires se prolongent mais mon envie est trop forte, je lui grimpe dessus à califourchon. Il me pénètre à la fois doucement et avec force. J'aime cette sensation. Mes hanches et mon bassin bougent, j'aime le sentir en moi, ma tête est en arrière, mes cheveux longs pendent, mes seins s'offrent à lui. Pendant qu'il les lèche et les presse, les mouvements de va-et-vient s'accentuent. Je frémis, je le sens, je la sens, que c'est bon... j'entends ses petits cris, il y est presque je le sens. J'adoucis la cadence. Je me lève et l'emmène avec lui. Dos à lui et appuyée sur la commode où se trouvait son numéro, il me prend par derrière. C'est bon, c'est bon, je jouis, la fontaine coule, ça sort en même temps qu'il éjacule, nos fluides se mélangent en même temps que nos cris de jouissance, je sens cette odeur et je sens ce liquide qui coule sur le carrelage. Pourquoi ai-je attendu aussi longtemps avant d'appeler mon voisin???