Murielle se libére enfin 3

Au fil des jours, Luc vit pratiquement avec les deux femmes, tous les week-ends, ils les passent avec Adeline son amante, et Murielle la spectatrice. Le trio s'entend parfaitement bien. Connaissant les relations qui lient les deux femmes, Luc n'accapare pas totalement Adeline. Il passe une bonne partie de la journée dans la piscine pour laisser les femmes seules. C'est le week-end, Luc a passé la nuit avec Adeline. Le matin, il se lève en boxer, et se dirige vers la salle de bain. Il trouve Murielle, en culotte et soutien-gorge, en train de se brosser les dents devant le lavabo. Elle le voit dans le miroir, il lui sourit et l'observe. Puis, il s'avance vers elle, il lui murmure à l'oreille :

-Tu sais que tu as un beau cul Murielle, je suis sûre que tu fais bander les hommes !


Tout en se brossant, Murielle hausse les épaules. Luc l'enlace et se frotte contre elle, il la prend par les hanches et agite document son bassin contre les fesses bien rebondies de la proie qu'il convoite. Murielle cesse de se brosser les dents, pousse plusieurs soupirs. Ses yeux s'emplissent de larmes. Elle sent contre sa croupe la verge qui prend du volume. Murielle se crispe, elle se remémore ce qu'elle a vécu. Elle se retourne et pousse brutalement Luc et s'enfuit, la bouche pleine de dentifrice. Luc sursaute, il culpabilise, et rejoint Murielle qui s'est réfugiée sans la cuisine. Il s'approche d'elle, elle tremble de tous ses membres. C'est juste à ce moment-là qu'Adeline apparait. Elle fronce les sourcils et demande :

-Qu'est-ce qui se passe ici ?

Luc lui raconte ce qu'il vient de se produire. Adeline pousse un gros soupir et se met à raconter le drame qu'a subi Murielle. Luc frémit en entendant ce récit, il enlace Murielle et lui donne un gros baiser sur le front pour se faire pardonner. Enfin, Murielle peut terminer sa toilette.
La journée, c'est piscine et promenade dans la nature, les trois bras dessus bras dessous déambulent sur les chemins en riant comme des enfants. Le soir après le diner comme le lendemain, c'est dimanche donc pas de travail. Les trois prennent place devant la télé, Luc se blottit contre Adeline, le seul lien qui les unit, c'est le sexe et l'amitié. Rapidement les mains se font baladeuses, Adeline se laisse caresser la cuisse sans sourciller. Rapidement, les doigts agiles de Luc atteignent l'entrejambe, et glisse plusieurs fois sur la fente qui n'a que comme seule protection, le fin tissu de la culotte.



Les soupirs que pousse Adeline attirent l'attention de Murielle, qui tourne la tête vers le couple qui semble très occupé. Sans se soucier de la présence de Murielle, Adeline ouvre la braguette de Luc et en sort la verge encore endormit. Murielle écarquille les yeux, et regarde avec angoisse le membre mou que son amie commence à agiter. Plus elle l'agite, plus l'engin devient impressionnant. De temps en temps, Adeline jette un coup d'œil discret vers son amie, qui ne cesse de regarder le membre prendre de la grosseur. La verge atteint son plus gros volume. Adeline le décalotte, elle croise le regard de son amie et en lui souriant, donne quelques coups de langue bien ajustés sur le gland marbré. Murielle n'en croit pas ses yeux. Elle sursaute lorsque Adeline gobe le gland.


La bouche de son amie s'active sur le manche de chair, Murielle ravale sa salive. Lorsque Adeline avale la verge de Luc jusqu'aux couilles. Un filet de salive s'échappe à la commissure de ses lèvres. Elle ressort la verge de sa gorge, et commence à lécher le tour du gland, titille le frein, en faisant gémir Luc. Enfin, elle cesse d'agacer le gland, relève la tête vers Murielle, lui prend doucement la main et la pose sur la verge gorgée de sang. La main d'Adeline appuie sur celle de Murielle, pour l'obliger à saisir le membre. La main de Murielle enserre le membre chaud, elle sent dans les grosses veines apparentes le sang battre. Adeline, en ne lâchant pas la main de Murielle, commence à branler l'engin. À chaque descente des poignets, les coquines découvrent le gland violacé, qui laisse échapper quelques perles de rosées, par le méat ouvert.


Murielle ne quitte pas la verge des yeux. Elle semble fascinée par l'engin qu'elle branle avec l'aide de son amie. Adeline lui lâche la main, consciemment Murielle continue de branler la verge qui vibre dans sa main. Elle l'agite plus vite, Luc geint comme une bête. Adeline encourage son amie :

-Branle-le plus vite ma chérie !


Murielle accélère, soudain Luc se cabre en poussant un râle rauque, il envoie sur la main de Murielle un flot de sperme. Sans savoir pour quoi, elle continue de branler la queue gluante. Soudain, elle la presse fortement pour vider la hampe du jus qui s'y cache encore. Murielle lâche la bête cracheuse. Elle regarde ses doigts englués, en faisant une grimace. Adeline gobe le gland et le suce pour récupérer le jus qui le recouvre. Sa langue monte et descend sur la hampe épaisse pour la nettoyer de la semence qui la recouvre.

Doucement, Adeline caresse les couilles de Luc, les triture de plus en plus fort. Luc grimace. Soudain, elle les aspire une après l'autre, et les suce avidement. Murielle regarde sans broncher. Adeline lâche les tributs de Luc, elle retire sa culotte et sa jupe. Elle enjambe Luc et s'empale violemment sur sa queue encore raide. Son corps fait l'ascenseur sur le mat qui est planté en elle. Elle geint comme une bête malade, en s'agitant férocement. Murielle reste scotchée sur le couple emboité. Elle voit la verge puissante voyager dans le corps de son amie, jusqu'à l'explosion finale. C'est haletante qu'Adeline descend de sa monture fougueuse. Elle regarde son amie, s'assoit à côté d'elle, lui pose la main sur la cuisse et la caresse, en regardant Murielle dans les yeux, elle passe sa main sous la jupe et la plaque fortement sur l'entrejambe. Elle sourit et dit :

-Tu mouilles, tu es tout excitée hein, laisse-toi prendre par Luc, c'est un amant merveilleux, il te fera oublier la brute épaisse qui t'a fait tant de mal, reprends le dessus ma chérie, donne-toi à lui !


Murielle tremble, elle hésite, c'est vrai que ses sens sont en ébullitions, mais elle a encore devant les yeux le monstre qui l'a violé. La main agile lui caresse plusieurs fois la fente, Murielle soupire, sa culotte est trempée. Adeline se place devant elle, et habilement lui retire la culotte. La résistance de Murielle est nulle, elle agite consciemment son bassin pour faciliter la descente du tissu très humide. La jupe suit le même chemin. Le t-shirt et le soutien-gorge se retrouvent aussi sur le sol. Murielle est nue devant Luc et Adeline, elle serre les cuisses pour tenter de cacher sa fente qui ne peut retenir son jus. Luc se relève, il retire lui aussi ses vêtements, il regarde Murielle, que sait maintenant qu'elle va être à lui.


Adeline prend la main de son amie et, avec douceur, la bascule sur la petite table du salon. Le cœur de Murielle bat à se rompre dans sa poitrine, elle pousse de multiples soupirs, en ne quittant pas des yeux la verge rendue de Luc. Adeline s'agenouille et commence à dévorer la vulve de son amie. Elle avale le jus dont elle est friande, avant de faire gonfler le clito en le suçant avidement. Murielle est au bord de ma syncope, sa respiration est rapide. Adeline se relève, fait un clin d'œil à Luc et lui cède la place. Luc, sans quitter la chatte des yeux, approche sa queue vers le temple de l'amour, frotte son gland contre les lèvres juteuses, et pousse. Murielle se cabre en criant :

-Non, non, pas ça, c'est horrible !

Elle repousse Luc et serre les jambes. Adeline se penche vers elle est lui souffle doucement :


-Tu sais ma chérie, Luc n'est pas un violeur, il veut te faire jouir avec les moyens qu'il a, tu verras ce n'est pas une brute épaisse, il sait être doux, reprends-toi, laisse-toi aller !


Après plusieurs soupirs, lentement, Murielle ouvre le compas. Luc replace son engin contre la fente qui refuse tous accès. Il pousse doucement, Murielle bascule la tête sur le côté et ferme les yeux. Les grandes lèvres, écrasées par le gland, finissent par laisser le passage au visiteur. Petit à petit, le membre s'enfonce dans le ventre de Murielle qui se cabre en soufflant comme un bœuf. La progression est très lente, la gaine dilatée par le manche de chair accepte d'être d'être pénétré. Murielle s'accroche à Luc en serrant les dents. Après une progression dont on ne peut plus lente. La verge est enfin en place. Le va-et-vient est fait sans brusquerie. Adeline caresse le clito de Murielle pour que la pénétration soit plus acceptable. Progressivement la vitesse augmente, le mandrin qui coulisse dans le ventre de Murielle commence à la faire geindre. Pour Adeline, c'est gagné. Murielle s'agrippe à son amant comme une bête sur sa proie, ses râles deviennent de plus en plus bruyants.


La verge qui voyage dans son vagin, lui fait grincer les dents, elle enfonce ses ongles dans les hanches de son amant qui grimace en accélérant le rythme. Murielle commence à agiter son bassin, une chose se passe dans ses entrailles, elle se cabre, pousse un cri strident et jouit en s'agrippant à Luc. L'amant maintenant ne retient plus ses coups, il défonce Murielle qui geint de plaisir, elle re-jouit en tremblant de tous ses membres. Elle dit entre deux souffles :

-Adeline, Adeline, c'est merveilleux, je jouis comme une folle, Luc va me faire mourir !


La coquine, pour qu'elle jouisse plus intensément, lui écrase le clito. L'effet est immédiat. Murielle se tend comme un arc en grognant, elle gicle pour la première fois de sa vie. Les couilles de Luc sont trempées par la puissante giclée de cyprine. Luc, en rugissant comme un fauve, lui remplit le ventre de sa crème onctueuse. Il continue de s'acharner sur Murielle, il cherche à la faire encore jouir.