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Une virée en dériveur

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 17/02/2024

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Je m'appelle Célia, et suis mariée à Mario depuis quinze jours. Nous entamons nos derniers jours de nôtre lune miel sur la côte d'Azur.
Cette nuit là, Mario m'avait promis de me baiser comme jamais, dans tous les trous, dans toutes les positions. Non seulement il n'a pas assuré, mais il a était incapable de me faire jouir. Même pas la moindre étincelle. Une chose était sûre, je n'allais pas terminer ma lune de miel dans cette état de déception, et comptais bien me rattraper à la sieste. Je pris une bonne douche, et décidais d'aller promener sur le quai.
Je m'assied à la terrasse d'un bar, commande un café.
Deux jeunes garçons, certainement des potes en vacance, déjeunaient à la table à côté. Ils avaient loué une embarcation pour aller faire une virée en mer. Mais à les entendre parler de prendre le large, d'évasion, de liberté en fait, me fit réfléchir.
A vingt cinq ans, mon corps était si parfait, respirait la santé, que rien que le fait de me déplacer, j'attirais tous les regards des hommes, comme aussi ceux des femmes.
Je lisais leur jalousie quand ils me voyaient passer dans mon maillot deux pièces, qui mettait en valeur de façon érotique, mon sublime corps.
Les deux jeunes garçons du bar, à qui je demandais si je pouvais les accompagner, ne savaient plus ou poser leurs yeux.
Sur mes seins peur-être dont la forme arrondie se voyait parfaitement dans le décolleté très ouvert, et qui semblait tenir le soutien-gorge haut perché, plutôt que ce dernier ne les soutenait. Ils étaient fiers d'embarquer une jeune et superbe femme, fraîchement mariée dans leur dériveur, un “Zef” rond et confortable.
Au large de la plage bondée, les deux garçons s’enhardirent, la présence de la superbe fille que j'étais n’étant rien de moins qu’un appel violent à l’amour. Ils tentèrent le coup de m’embrasser à tour de rôle, et peu farouche, je me laissais faire. D'autant que la nuit de baise promise par mon mari, et avortée, était présente dans ma tête, et m'excitait
Le vent était faible, et l'embarcation bien stable supportait la faible houle.
Puis un des garçons s'approchait, caressait ma poitrine et tentait de dégrafer le haut de mon maillot. Je me reculais légèrement, mais à force d'insister, et flattée de l'effet que je leur faisais, je passais mes mains dans le dos, pour le dégrafer d'un geste érotique, dévoilant ainsi ma voluptueuse poitrine.
Les seins nus n'existaient pas à l'époque sur la plage, et la vue de mon corps dénudé laissait les garçons pantelant, les yeux écarquillés. Un bateau qui croisait faillit nous percuter, tant le barreur fut saisi par le spectacle de ma sculpturale beauté au seins nus, haut et bien fermes.
Ensuite, les garçons caressèrent ma poitrine à tour de rôle, puis les deux en même temps. Je me laissais aller, avide du bonheur que j'apportais aux garçons, avec ce contact presque innocent. Une délicieuse douleur durcissait mes seins.
Ils me réclamaient d'ôter mon bas de maillot, ce que je refusais, puis devant leur déception, décidais de l'enlever. L'apparition de ma chatte parfaitement épilée, et de mes fesses blanches de la trace du maillot, les excitait follement.
Je tenais mes jambes serrées, mais suite à leur insistance, acceptais de les écarter, dévoilant ainsi ma fente, et l'espace rose de ma chatte.
Je finis par m'allonger en travers du bateau, offerte au soleil, à la brise, et au regard des garçons, qui me dévoraient des yeux, ce qui me touchait intimement, et faisait monter en moi une trouble excitation, mouillant mon sexe.
Finalement l’un des garçons ne put se contrôler d’avantage et sortit sa bite qui tendait son maillot. Il commença à se branler devant moi, excité par mes formes généreuses.
Son pote suivit le mouvement, et bientôt je les vis tous les deux au dessus de moi. Je trouvais leur membre assez imposant. J’emprisonnais leur queue, décalottais le gland, pour le recouvrir aussitôt, dans des mouvement de plus en plus rapides.
Le premier céda, et jouit, éjaculant en longues giclées de sperme qui allaient jusqu’à la naissance de ma fente, et mon nombril.
Il se rassit, reprenait la barre, momentanément apaisé. Je me retournais vers son pote, repoussais sa main, me mis à le caresser.
Je refusais mes seins à la bite que j’agitais lentement. Le garçons se retint, tandis que l’autre observait extasié, ma douce main aller et venir sur le gland, alors que mes seins se balancer en cadence. Il se mit à les caresser par derrière, et en faire rouler les bouts, tandis que je continuais à branler son copain.
Le bateau tanguait dans tous les sens, mais c’était leur dernier souci.
Celui que je branlais saisit ma main, pour l’écarter doucement, et approchait son pieu glissant et toujours aussi tendu, vers mon visage.
Il me faisait comprendre clairement, ce qu’il voulait. Mais en tant que jeune mariée, avais-je le droit d’aller jusque là, mais l’envie était trop forte.
J’approchais mes lèvres, embrassais le gland décalotté devant moi. J’enroulais ma langue sur la peau ainsi découverte, et le happais délicatement au fond de ma bouche.
Je commençais à le sucer par de lents mouvements de va et vient, prenant soins de ne pas l’écorcher avec mes dents, malgré le tangage et le roulis. Seules mes lèvres étaient en contact. Il sentit le plaisir monter en lui, me prit le visage dans les mains, pour bien voir ma réaction, quand il éjaculerait dans ma bouche
Le sperme jaillit, puissamment et, docilement, je m’en emplis le palais et l’intérieur des joues, pour l’avaler au fur à mesure de ses coups de reins. Le jeune garçon se retira, et embrassa mes lèvres humides avant de s’asseoir, satisfait à son tour.
Je repris ma place allongée entre les deux garçons, jambes entièrement écartées.
Ils entreprirent alors de me faire jouir. Tandis que l’un m’embrassait, l’autre se plaçait entre mes jambes. Je sentais leurs mains parcourir mon corps, caresser mes seins, ma chatte, mon petit bouton que l’un d’eux avait prit soins d’extraire de son capuchon, s’y attardait dessus, et l’exciter d’un doigt. Soudain, je sentis le plaisir monter en moi, et me tordis en longs spasmes, dans un orgasme terrible.
Il reprirent leurs caresses, et me firent encore jouir à deux reprises, aussi intensément et longuement que la première. Les lèvres ouvertes, les paupières mi-close, je haletais et suffoquais sous la montée du plaisir
Les orgasme successifs me laissaient encore insatisfaite, et n’aspirais pas au repos, contrairement à mes partenaires. Je me tournais vers eux, cherchais leur queue, pour assouvir mon désir. Ils étaient à nouveau eux-même, excités, et m’offrirent une belle érection. Je pris une bite dans chaque main, et entrepris de les caresser en même temps. Je regardais avec gourmandise cette double virilité, qui emplissait la paume de mes mains, et me rendait l’hommage du désir masculin, et de ma propre beauté qui le provoquait. J’aimais à voir ces glands gonflés, et ma main recouvrir la peau luisante et tendre du prépuce, tout glissant de leurs émissions.
Finalement, n’y tenant plus je me mis à quatre pattes au dessus du banc central et du puits de dérive, tendant ma croupe et ma chatte ouverte à celui qui en voudrait. L’un des garçons s’agenouilla derrière moi et introduisit sans peine sa queue dans ma fente offerte et humide. J’eus un soupir d’extase de plaisir quand je sentis la bite me pénétrer et s’actionner dans des mouvements de va-et-vient jusqu’au fond de mes entrailles.
Le garçon, sûr de lui, fit durer le plaisir, et entreprit une longue et lente pénétration, savourant la possession de mon corps de jeune mariée. L’autre se plaça à genoux devant moi et présenta sa queue à la hauteur de mon visage que je redressais pour la saisir avec délectation entre mes lèvres.
Il s’enfonça en moi jusqu’aux couilles, et me laissa agir ensuite au mieux de sa propre jouissance égoïste. Je le suçais jusqu’à provoquer une seconde éjaculation et recevoir les jets de sa semence chaude au fond de ma bouche, en même temps que celui qui me possédait me saisit les hanches et dans un long gémissement se vida dans ma chatte.
Envahie de sperme des deux côtés à la fois, je me laissais aller à un orgasme puissant, diffus, qui me portait à la crête d’un plaisir léger et insaisissable comme du champagne.
L’un d’eux s’écroula, se mit sur le dos, la bite dressée vers le mât du voilier. Je me penchais, le pris en bouche. Puis, sans le quitter du regard, je le chevauchais, m’y empalais dessus. Je me plaquais sur son torse, lui pris les lèvres dans un fougueux baiser.
Dans cette position, ma croupe cambrée était totalement offerte à l’autre garçon, devenu un instant voyeur. Il saisit l’opportunité qui se présentai à lui. Il s’approcha, taquina mon petit trou de son gland humide.
Petit à petit, je sentais mon œillet se dilater sous la pression de sa queue. Lentement, il me pénétra, avec respect, se doutant que c’était ma première sodomie, et ma première double pénétration. Les deux garçons étaient en train de se sublimer, et mon plaisir était à son comble. Je sentais leur queue s’affronter contre mes fines parois intimes.
Je ne pouvais retenir mes cris, quand j’atteins un terrible orgasme. Puis, l’apothéose. Des jets puissant de leur semence déferlaient dans mes deux orifices, me provoquant une deuxième jouissance, et ce en moins de deux minutes.
Épuisés, satisfaits, ils remirent leur maillot, tandis que je plongeais dans l’eau pour me rafraîchir, mais surtout pour effacer les traces du plaisir que ces garçons m’avaient procuraient.
Ils reprirent le contrôle du bateau pour regagner le quai, eux d’un air triomphant, et moi celui d’une femme sure d’elle et de son pouvoir de séduction sur les hommes.
Arrivée à quai, je repris ma place à la terrasse du bar, les deux garçons, la leur.
Mon mari m'y rejoint.
- Mais...ou étais-tu...je me suis tapé les valises...tout seul.
- Tu sais quoi...cette nuit, je me suis branlé la chatte, et doigté mon clitoris...toute seule.
J'entendais à la table à côté, les rires de mes deux amant d'un jour. Ils planchaient sur une autre virée pour demain...merde...


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Commentaires du récit : Une virée en dériveur

Le 11/04/2024 - 01:36 par alexandre8819
tu es géniale tu sais quoi a force de lire tes histoires je n'ai pas pu résister à l'envie de me masturber et de jouir pour toi dommage que tu ne sois pas là ? alexandre8819@yahoo.fr je suis ton homme

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