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Naïma, une cop-coquine - Ma vie 3

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Lue : 7478 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 14/09/2009

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Naïma venait de m'offrir ma première fellation. J'avais l'esprit ailleurs, transporté par ces douces sensations que je venais de ressentir. Mais la soirée n'en était qu'à ses débuts. Enfin, d'après ce qui était prévu, mais Naïma était parfois imprévisible et rien ne me certifiait qu'elle n'allait pas partir pour une raison ou pour une autre.

Alors que j'avais refermé mon pantalon et revêtu ma chemise, Naïma délaissait son soutien-gorge pour ne se recouvrir que de son blazer. Juste deux boutons maintenaient ce vêtement fermé malgré la pression de sa poitrine qui donnait l'impression de vouloir retrouver sa liberté

Pour reprendre nos esprits, je proposai à mon invitée de m'attendre sur le balcon pendant que je lui préparerai une boisson rafraîchissante. Je la rejoignis ensuite avec deux verres. Elle se trouvait collée au rebord du balcon pour profiter de la vue plongeante de 7 étages sur la rue et l'animation parisienne. Son derrière, légèrement tendu, se dessinait sur le tissu de sa jupe. A mon tour, je me suis collé à elle. Mon bassin posé sur ses fesses, j'ai commencé à la remercier pour la gâterie délicieusement offerte, par une salve de léchouilles et de baisers dans son cou. Mon érection avait à peine faibli et je me frottais à ses fesses. Me libérant les mains des boissons, je commençai une longue séance de caresses. Je me baladais de ses cuisses à son cou, de ses fesses à ses épaules, de son ventre à l'échancrure de son blazer.

C'était si excitant d'avoir ainsi droit de me délecter de son corps alors que nous risquions d'être surpris ou observé par tant de vis à vis. Vive les grandes villes. Je libéra sa poitrine et la laissa prendre un peu l'air. Ses seins étaient là, malaxés de mes caresses, comme si mes mains étaient leur protection fasse à ces 7 étages de liberté. Malgré leur taille honorable, les seins de Naïma n'avaient vraiment pas besoin de cette protection. Loin d'être attirés vers la chute, ils pointaient bien en avant, comme pour saluer le vis à vis. De ma main gauche, je pelotai son sein gauche alors qu'en me déplaçant d'un pas, ma main droite s'immisça à malaxer son cul en en profitant pour relever sa jupe jusqu'à ce qu'il me soit possible d'accéder à la douceur de sa peau. Ma queue était toute raide. J'ai alors relevé totalement sa jupe, et me suis collé à ses fesses. Mes mains flattant ses tétons devenus tous durs, j'activais mes hanches pour frotter, à travers le pantalon, mon pénis le long de sa raie postérieure.

Je me souviens, ces sensations étaient géniales, les émotions géantes et les sentiments s'affolaient. Naïma est une amie coquine, mais j'avais quand même envie de lui dire : « je t'aime ». Le sexe est sournois et aime s'amuser avec les sentiments, au point de faire dire des mots si importants alors qu'ils ne représentent pas le vrai.

Rapidement, je libéra mon instrument qui n'avait encore jamais prit autant de plaisir qu'à ce jour pour me branler littéralement entre ses fesses. Ma main droite vînt alors s'occuper de son entre jambe. C'était tout chaud et une certaine humidité semblait régner dans les parages, ce qui me confirma qu'elle appréciait notre situation. Mais je n'étais qu'à chatouiller un bout de tissus et ses cuisses, là ou la peau est la plus douce. Mon index, lui, était plus aventureux que les autres. Il força, l'élastique de son string et s'en alla découvrir son ses lèvres inférieures. Sans en forcer l'entrée, sa mouille se présenta à mon index. La douceur des caresses étaient alors décuplée au possible. Les mouvements, facilités par ses sécrétions lubrifiantes ne mettaient aucun frein à mes intentions d'aller fouiller un peu plus en profondeur l'intimité de Naïma. J'avais trop envie de recouvrir mon pénis de son plaisir féminin, mais les craintes de MST bloquent vite ce genre de pensées. Pourtant, je m'imaginais le phallus recouvert de cette semence, à glisser délicatement et tendrement entre ses fesses plutôt que rigoureusement avec les frottements de nos peaux sèches. Mais bon, j'allais pas non plus me plaindre. Pour une fois, j'étais, moi, oui moi, en train de vivre les scènes érotiques que tant de films m'avaient fait fantasmer. Et ces rêves ne s'étaient pas trompés, c'est vraiment bon à vivre !

Soudain, Naïma se retourna, et s'assit sur le rebord du balcon. Le sourire coquin au visage, elle ne disait mot. Elle s'exprimait par le regard. Ses yeux me demandaient : « Tu aimes ? ». « Moi, j'en veux plus » qu'ils ne tardaient pas à rajouter. Et le geste suivi. Lentement, ses jambes s'écartèrent et s'ouvrirent, libérant peu à peu sa caverne des désirs dont le dernier rempart était son string. Mes mains étaient posées sur ses genoux, comme pour l'aider dans son mouvement d'ouverture. Les siennes, s'emparèrent des miennes pour les forcer à monter rapidement prodiguer des caresses à son minou, mais en fait, elle s'aida de mes mains pour retirer le dernier bout de tissu qui me séparait de sa caverne au bonheur. Les premières caresses étaient douces, mais j'en avais déjà plein la main droite et deux doigts s'immiscèrent dans cette cavité inconnue. C'était tout bizarre à l'intérieur. Je n'avais jamais réussi à m'imaginer comment pouvait être un vagin, et là, je découvrais ce long tunnel menant dans une vaste grotte ou les doigts avaient de quoi se perdre. Mais que faire ? J'avais bien entendu parlé de ce fameux point G, mais à quoi ressemblait-t-il ? Où le trouver ? Et surtout, comment savoir si je l'ai trouvé ou non ? Dans un premier temps, mes doigts parcouraient toutes les parois internes qui étaient à leur portée. Vers l'arrière, c'est fermé rapidement, la continuation du tunnel, tout droit, ça semble butter. Peut-être est-ce justement là, tout au bout, la ou la verge est sensée butter lors du coït ? Vers l'avant, la grotte s'élargit et permet aux doigts de se plier et tâter d'autres parties intimes. Quelques mouvements dans les parages m'indiquèrent que point G ou non, Naïma n'était pas insensible à ces caresses. Je pris alors l'initiative de partager mes caresses entre une telle palpation interne et des mouvements de va-et-vient dans son tunnel, imitant les aller-retour d'un membre excité en pleine action.

Pendant ce temps, ma main gauche, plutôt que de s'occuper de ses cuisses, avait préféré partir pour des caresses pectorales. Tandis qu'elle malaxait et parcourait le sein droit de Naïma, ma bouche était en train de bouffer son sein gauche. J'étais partagé entre les caresses des lèvres et les léchouilles de la langue, surtout autour du mamelon. C'était étonnant de voir comment le mamelon semblait beaucoup plus intéresser ma langue que le reste de la poitrine. C'était à croire que n'importe quelle poitrine pouvait offrir du plaisir à un homme. Mais ça, je n'en eût la certitude que bien plus tard. Naïma, elle, se laissait faire. Le buste tendu, les mains en arrière, ses yeux se fermaient parfois de plaisir. Puis, elle s'agrippa à ma tignasse pour m'imposer un long et langoureux baiser. Nos langues s'emmêlèrent, mais ce baiser fut brutalement coupé. D'une pression autoritaire, mon visage fût « invité » à faire connaissance avec son entre jambe. Le message était clair, d'autant qu'elle ne s'en cachât point.
Naïma : « Dis, t'as pas l'impression d'oublier mon clito là ? »

Je ne pu répondre. M'ayant collé le visage à sa chatte, je n'avais plus qu'à sortir ma langue pour répondre de la jalousie de son clitoris. Ce petit bouton caché derrière ses lèvres n'attendait qu'un peu d'attention. Encore une nouveauté pour moi, goûter aux délices intimes féminins. Je titillais alors son clito et découvrit aussi cet étranger goût de plaisir que je trouve aujourd'hui encore indéfinissable. Ma main s’affairait toujours à honorer sa cavité alors que ma langue redoublait de vitesse dans ses rotations autour de son bouton. Plus j'accélérais de la langue, plus ma main s'activait au fond de son intimité. Puis, je relâchais la pression, pour reprendre un peu mon souffle et éviter une crampe de la mâchoire. Je reprenais ensuite la vitesse qui semblait faire monter un je ne sais quoi qui s'exprimait par la façon dont Naïma respirer plus rapidement et de se cambrer plus encore. Ma bitee n'en pouvait plus, dure de chez dure, je sentais tant de pression tirer sur sa peau, j'avais l'impression que ça allait exploser. Hmmmm, je pensais alors combien je pourrais me sentir bien en remplaçant mes doigts par mon pénis. Mes pensées virevoltaient rien que de m'imaginer en elle, mais je fût coupé dans mon élan. D'un coup, mes doigts devaient comme prisonniers, puis relâchés, puis re-prisonniers. Naïma lâchât un râle qui m'en disait tant sur son état. En direct-live, je vivais une scène sexy de jouissance au féminin, et rien de plus gratifiant que de s'en savoir à l'origine. Ses muscles se détendirent et elle finit par se coucher totalement sur le rebord du balcon. Je monta la rejoindre et m'allonger près d'elle, ma main droite, courant le long de son corps pour profiter sans arrêter de ses courbes si douces. Nos têtes, à la limite du rebord, étaient subtilement arrosées de légers courants d'air qui donnaient cette impression d'être dans un monde de rêves.

Quelle bonne idée ai-je pu avoir de lui proposer de passer sur le balcon. C'est vrai que le contraste entre la fraîcheur des filets de vent et la chaleur qui nous liait procure des sensations plus qu'agréables.

Le temps d'aller remplir les verres que nous venions de siffler si rapidement, que Naïma était redescendue du rebord du balcon et était en train de refermer son blazer. A mon grand regret, sa jupe pendait dans sa position normale. Le rêve était comme finit.
Naïma : « Dis, on pourrait presque monter sur le toît d'ici ! T'as déjà fait ? »
Menoh : « Ohh que oui je l'ai déjà fait. Attends 2 secondes »

Je m'empressa dès lors à aller chercher une planche que j'utilisais à chaque montée pour éviter qu'il n'y ait de la casse parmi les tuiles. Nous nous sommes assis, nos verres à la main, à contempler Paris vu d'en haut. Tous ces toîts se succèdent comme pour ne jamais s'arrêter. La Tour Eiffel était éclairée et l'observatoire de Meudon encore visible malgré la nuit tombante. On était bien, assis sur le toit, Naïma entre mes jambes. Je l’enlaçais de mes bras tout en respirant cet air de liberté qui se joint aux partenaires après chaque séance de plaisirs mutuels.
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