Nathalie et ses copines

Nathalie m’a finalement quitté. Elle m’a annoncé un jour qu’elle ne voulait plus me voir et que c’était fini entre nous. Bien que je le voyant venir depuis longtemps, ça a quand même été dur à avaler.

Avec Nathalie je pensais bien avoir trouvé la bonne. J'ai été de surcroît, plus que compréhensif avec elle. Elle m’a trompé et humilié et je lui ai pardonné pour pensais-je pouvoir la garder. Rien n’y a fait. Je ne représente plus rien pour elle.

Pourtant son aventure avec Souleymane était finie depuis quelques semaines maintenant. Il l’avait jeté, de manière assez brutale d’ailleurs. Comme il me l’avait joliment dit la première nuit, il voulait juste "se la faire parce qu’elle est trop bonne".

Aurélie quant à elle, avait avoué son escapade à sa sœur. Elle avait très peu apprécié de se faire sauter devant tous ces types sur le chantier. Ce n'était pas son truc. Elle aussi reconnaissait que Souleymane était un super amant mais ne souhaitait pas être le coup d'une fois. Toutes les deux étaient tombées amoureuses de ce puissant black qui comme elles le disaient, avait fait d'elles de vraies femmes.

Souleymane lui, continuait à me relancer pour que j'assiste à ses parties de jambes en l'air. Il avait gardé un souvenir ému de sa première nuit avec Nathalie et voulait que cela se reproduise. Il me téléphonait régulièrement avec insistance. Un jour il s'est même présenté chez moi accompagné de Marion, une magnifique jeune fille brune aux yeux noisette envoûtants. Elle aussi, totalement éprise de lui, prête à tout accepter. Décidément, ce type est réellement un séducteur hors pair. Son succès auprès des filles est vraiment insupportable.

J'étais jaloux et envieux. Je repensais à Mickaël qui m'avait dès le premier soir dit ce qu'il en était. Mais là, il faut reconnaître que Souleymane dépassait mes appréhensions les plus défaitistes. Il s'est constitué un harem de femmes toutes dévouées à lui et surtout toutes plus belles les unes que les autres. Mais quel est donc son secret ?
Cette question m’a taraudé un moment, j’aurais aimé moi aussi pouvoir donner tant de plaisir aux femmes. Pour autant, aucune de mes conquêtes ne m’avais jusque là mis semblé déçue.

Un soir, alors que j'avais le moral en berne j'ai cédé. J'ai rappelé Souleymane pour lui dire que j'acceptais sa proposition. Il en était ravi. C'était son point faible, conscient de son talent il avait fait le tour de la question et avait découvert grâce à moi de nouvelles sensations. Rien ne l'excitait plus que d'être observé pendant ses ébats.

Alors il a monté un incroyable numéro : Un de ses amis tenait une boîte black. Un dénommé Amadou dans laquelle il organisait des parties à plusieurs en dehors de son ouverture. Le plan était de faire venir des filles pendant que je resterais à mater le spectacle derrière une baie vitrée sans teint depuis le bureau. Les filles ne sauraient même pas que j'étais là.

Ainsi, Je me suis retrouvé dans cette boîte. A l'entrée Souleymane me présenta Ousmane et Abdou. Deux archétypes du mâle africain : grands, baraqués, jean baggy couvrant à peine leurs caleçons, t-shirts moulants pour bien mettre en valeur des pectoraux saillants et chaines autour du cou et aux poignets. La véritable panoplie du bad boy. Nous montâmes ensuite dans le fameux bureau à l'étage pour rejoindre Amadou, le patron.

Amadou était la copie conforme de Souleymane en plus vieux. Pas loin de quarante ans, crâne rasé comme Souleymane mais habillé plus classe avec une chemise et un pantalon à pinces. Comme Souleymane, il affichait une grande confiance en lui et comme Souleymane, il avait énormément de succès auprès de filles.
A coté de lui, se tenait Aminata. Une grande black super bien foutue. Son regard de feu me transperça tout de suite. Tout en me fixant, elle se leva et quitta le bureau. Vraiment une très belle femme : une échancrure de bassin parfaite, des mensurations de top model, pantalon blanc moulant, talons hauts et chemisier ouvert laissant deviner des merveilles cachées.
Et ses yeux ! Mon Dieu …

Souleymane et ses copains se retirèrent à leur tour.
- Profite du siège, il est très confortable, sers toi un verre, le bar est bien pourvu et amuses toi bien me dit alors Amadou avant de fermer la porte.


Me voilà donc seul. Après avoir brièvement observé les lieux je me dirige d'abord vers la fenêtre qui donne sur l'extérieur. On y voit la terrasse du bistrot ou il avait donné rendez vous aux filles. Puis, de l'autre coté, derrière le bureau, j'avance vers une baie vitrée qui elle donnait sur la salle principale avec son bar la piste et les fauteuils. J'en conclue qu'il s'agissait de la vitre sans teint dont m'avait parlé Souleymane.

Les filles sont arrivées dans le bar d'en face comme prévu. D'abord, une blonde aux yeux bleus prénommée Flavie. Une grande sauterelle dans les 25 ans cheveux maintenus par une barrette, petit top noir nu d’épaules, bretelles de soutien gorge apparentes, jupette plissée très courte et chaussures à talons ouvertes. Un beau petit lot.

Aurélie et Nathalie arrivèrent ensuite avec une autre fille, une bombasse brune dont je sus plus tard qu'elle s'appelait Julie. Toutes trois en minijupes et décolleté plutôt provocateur. Avant qu'elle ne me quitte, Nathalie ne s'habillait plus que comme cela. Elle avait compris que cela rendait fou Souleymane et que s'était plus pratique pour faire la chose rapidement. Leurs présence ici me surpris.
Les deux frangines ensemble à un rencart avec Souleymane, après ce qu'elles m'avaient dit. Je ne comprenais pas.

Il avait du se montrer très persuasif. Où alors…Bien sur ! C'était évident. Ce n'était pas seulement Souleymane. Leur liaison était réellement terminée. Mais au-delà de ça je compris qu'après avoir goutté une vigoureuse queue black, les blancs leur paressaient désormais bien fades et que la promesse de cette nouvelle expérience avec des blacks les avaient été attirées.


A la terrasse, les filles ne passaient pas inaperçues. Plusieurs types tentaient d'engager la conversation sans succès. Puis Souleymane, Amadou et Ousmane sont arrivés à leur tour avec deux autres types que ne n'avait pas vus dans le bureau tous noirs africains. Après les politesses d'usage, les quatre femmes ont suivies les hommes à l'entrée de la boîte sous les yeux éberlués des dragueurs éconduits et des autres. J'avoue que cette scène m'a beaucoup amusé. J'attendais la suite avec impatience.


Arrivés dans la salle, tout est allé très vite. Souleymane a peloté Nathalie et Ousmane s'est approché de Julie dont je compris qu'eux aussi se connaissaient déjà très bien. Quant à Amadou, il avait prévu de s'occuper personnellement de la jeune Aurélie. Il s'entraîna dans un coin sombre de la salle, à l'écart du groupe derrière les canapés. Je les ai perdus de vue mais j'imagine sans difficultés ce à quoi ils se sont occupés.

C'est alors que le spectacle commença. Ousmane et Julie s'embrasèrent passionnément. Après quelques secondes Ousmane s'assit sur un fauteuil ou il fut rejoint par Julie qui elle, prit place sur ses genoux. Confortablement installés, ils reprirent leurs embrassades. Je vis des mains noires courir sur ses longues jambes blanches avant que leurs langues ne se mélangent à nouveau.

Nathalie elle, caressa le torse d'Abdou et d'un autre type. D'abord gentiment, du bout des doigts puis descendit sur la braguette de leurs pantalons. A son rictus de sourire je devinais que ce qu'elle y trouva lui plaisait. Abdou s'agenouilla et lui agaça les jambes. Une main sur l'extérieur remontant des mollets jusqu'aux fesses, une autre sur l'intérieur navigant jusqu'en terre promise. En même temps, le deuxième type glissa une main dans ses cheveux et l'autre sur sa poitrine puis l'embrassa.

Flavie était déjà plus loin. Souleymane s'était assis sur un canapé et avait baissé pantalon et caleçon sans que je le vis. Flavie à genoux à coté avait commencé à lui faire une petite gâterie. Il fixa la pièce où je me trouvais me sachant en train de la mater. Là il prit vraiment son pied.

Les autres types qui étaient maintenant quatre s'étaient déshabillés et attendaient sagement leur tour en s'astiquant le manche. Tout se passait en même temps, je ne savais plus où donner de la tête.

Abdou qui après avoir fait glisser le string de Nathalie sur ses pieds, lui léchait la chatte tandis que son compère avait enfoui sa tête dans son soutien-gorge. Nathalie chemisier déboutonné poussait de petits cris très explicites signifiant qu'elle prenait beaucoup de plaisir à ce traitement.

Julie et Ousmane eux, pris dans leur élan avaient finis sur le sol. Je ne les distinguais plus totalement mais je devinais Ousmane en position du missionnaire sur Julie jambes écartées. Elle aussi s'exprimait par des petits bruits manifestes.

Flavie était de loin la plus salope des trois. Il fallait voir ses yeux pétiller lorsqu'après avoir avalé la première décharge de Souleymane elle se retourna et vit les quatre énormes queues blacks au garde à vous devant elle. Elle s'essuya alors la bouche et enfourna tour à tour les quatre engins. Même les mecs n'en revenaient pas ! Sa motivation fut récompensée par un torrent de sperme sur les cheveux, le visage et son petit top noir.

C'est une véritable partouze à laquelle j'assistais ! Digne des meilleurs films porno. Ce salaud de Souleymane ne m'avait pas menti sur la qualité du spectacle.

Encore vêtue de son soutien gorge, Nathalie se faisait maintenant prendre en levrette par Abdou. Pliée en deux et la bouche bien occupée à limer l'autre type. Ma petite chérie (enfin …ex) était aux anges. La performance des deux blacks n'avait rien à voir avec ce que je pouvais lui offrir. J'y étais maintenant définitivement résigné. Ce type aux épaules larges et aux bras démesurés et cet autre aux impressionnantes tablettes de chocolat qui la prennent comme des machines. Non décidément, rien à voir.


J’étais conscient, depuis que Nathalie m’avais trompée avec Souleymane mais aussi parce que ce n'est pas la première fois que j'assistais à cela, de la supériorité des hommes noirs et de l’attirance et de la convoitise qu’ils provoquaient sur les femmes blanches.

Outre la taille phénoménale de leurs attributs, la rapidité de récupération de Souleymane et ses copains me sidérait. A peine laissèrent ils le temps à Flavie de se déshabiller complètement qu'ils la prirent à cinq ensemble.

Je ne distinguais quasiment plus Flavie. Un pieu dans la chatte, un autre dans l'anus un troisième dans la bouche et un dans chaque main.

Incroyable ! Un pur gang bang ! J'en avais entendu parler mais de le voir c'est encore autre chose.

Le contraste des femmes blanches, de leur blondeur, de leur peau si claire avec ces hommes noirs à la peau d'ébène rendait la scène absolument magnifique.


C'est le moment que choisit Aurélie pour se rappeler à mon souvenir. J'entendis son orgasme depuis le bureau. Bravo Amadou ! Lui aussi était en train d’honorer sa partenaire de manière plus que convenable. Cela déclencha aussitôt ceux des autres filles.

Les hurlements conjugués des quatre femmes achevaient de donner une ambiance surréaliste. Elles étaient toutes en état d’extase.

Tout cela commençait vraiment à faire beaucoup. Bien que très excité, je repris mes esprits et décida de partir. Voir ces filles de bonne famille magnifiques se compromettre avec ces types des bas quartiers et surtout y prendre un réel plaisir me dégoûtait finalement.

Au moment où je me dirigeais vers la porte, Aminata entra. Nous tombâmes nez à nez.
- Où vas-tu comme ça chéri ? me dit-elle en me regardant doit dans les yeux.
Je restais sans voix. Je ne m’attendais pas à tomber sur elle comme ça. Il me fallu plusieurs secondes pour réagir fusillé par son regard. Je me rendais compte tout à coup qu’il ne manquait plus qu’elle dans la salle.

Elle me repoussa dans la pièce puis ferma la porte derrière elle. Elle jeta un œil sur ce qui ce passait dans la salle. Elle hocha la tête en signe de négation et j’entendis un soupir.
- Tu es là pour mater le gang bang me dit-elle avec son accent africain. Ça te fait bander ce genre de truc ?
Je lui répondis que je n'étais pas vraiment à l'aise et que j'étais sur le point de partir. Elle s'approcha alors de moi jusqu'à me coller.
- Je vois ça me dit –elle alors en posant sa main directement sur ma braguette.

J’étais vraiment scotché par son regard. Son visage si proche et son odeur si envoûtante finissaient de me conquérir.
- Moi ça m’excite terriblement me dit-elle maintenant collée à moi.
Je sentais ses seins s'aplatir contre mon torse et ses mains se balader dans mon dos. Elle m’attrapa les cheveux derrière la tête et m’embrassa fougueusement.

A suivre…