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Naturisme... et plus si affinités !

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Lue : 1645 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 14/03/2020

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Bonjour, c’est Anna.

Je vais vous raconter une aventure qui est arrivée à Ber deux ans avant de me connaitre. A l’époque, il vivait avec Marie-Christine, une assistante dentaire qui n’était pas frileuse du côté du cul, mais qui n’avait pas encore expérimenté les fantaisies sexuelles. Après un appel de Julie, une ancienne amie d’études à elle, Ber a demandé des précisions sur cette amie. De fil en aiguille, Marie-Christine a fini par admettre qu’elle avait eu des attirances pour Julie mais n’avait jamais osé aller plus loin qu’un fantasme. Ber lui a suggéré régulièrement de passer à l’acte, et encore mieux, à trois, et finalement elle a cédé. Lors d’un appel suivant de Julie, Marie-Christine lui a proposé de venir passer quelques jours de vacances à Marseille et elle a accepté.

Je vais essayer de me mettre dans la peau de Julie pour vous raconter ce que Ber m’a rapporté de ce séjour.

Préambule

Bonjour, je m’appelle Julie et j’ai 28 ans. Je suis assistante dentaire et j’habite Digne. Je suis assez petite et menue, avec peu de poitrine, et je suis rousse.

Quand on n’est pas super à l'aise pour faire du topless à la plage, faire tomber le haut relève de l’exploit. Et pourtant, j'ai expérimenté bien plus que ça ce printemps, je vous raconte tout.

La première question qu'on se pose, c'est comment on en arrive à faire du naturisme ? Moi j'ai été élevée dans une famille assez pudibonde, je n'ai jamais vu mes parents nus, et même avec ma grande sœur on ne se déshabillait pas l’une devant l’autre, c'est vous dire d'où je pars.

Puis fin mai, une amie d’études dentaires avec qui j'ai gardé le contact et qui habite à Marseille m’a invitée à passer un week-end chez elle en juin. Quelques jours près de la mer, plutôt une bonne idée quand on a bossé toute une année dans un cabinet.

Dans la conversation, Marie-Christine m'a prévenue:
- Tu sais, là où on va dans les Calanques, c’est naturiste. Ça te gêne pas?

Je suis devenue livide. Je m'imaginais avec Marie-Christine et son mec Bernard, tous à poil en train de gambader dans les rochers et c'était totalement inconcevable sur le moment. Mais je n'ai pas répondu tout de suite, ça demandait réflexion. Le lendemain, épuisée par le boulot, je l’ai rappelée et j'ai répondu en me forçant à paraître enthousiaste:
- Non, non, c’est bon!

J'aurais voulu hurler que ça me terrorisait, mais après tout, on verrait sur place. Et pourquoi pas ne pas faire n'importe quoi, tant que je ne suis plus dans ce bureau.

Puis j'ai un peu mis ça de côté dans ma tête, jusqu'à quelques jours avant le départ où je me suis souvenue que j'avais osé dire oui à cette proposition improbable. Mais nous n'en avions plus parlé avec Marie-Christine.


Vendredi 10 juin 1983.

Une fois arrivée sur place le soir, visite de la maison, premier apéro. J'avais presque complètement zappé l’histoire du naturisme. C'est Bernard qui remet le sujet sur la table, entre deux tranches de saucisson et un pastis:
- Alors, tu es partante pour faire un tour sur notre petit coin naturiste? Il parait que tu n’as jamais essayé…

Je reste digne, et ne voulant pas me dégonfler, je m’entends répondre:
- Non, jamais, mais ça doit pas être si dingue que ça.

Marie-Christine répond simplement:
- Bravo, demain ce sera l’occasion pour toi d’essayer. Tu vas voir: au début, ça fait un peu bizarre, mais au bout de deux minutes on s'en rend plus compte.
- Mouais, je suis sceptique.


Samedi 11 juin 1983.

Ce matin nous partons dans Les Calanques, qui sont à une demi-heure de leur maison. Nous longeons toutes les plages de la Corniche, fréquentées par les touristes, et elles sont très chargées. On est seulement en mai et ça semble déjà irrespirable.

Arrivés à Luminy, Bernard se gare, puis nous descendons un sentier long mais pas trop accidenté. Pas d’inquiétude pour mes chevilles. Quand soudain, le choc...
Sugiton, une crique magnifique de rochers, pas de sable, mais tout de même beaucoup de gens, et tous en maillot. Nous continuons, et au détour d’un éperon rocheux, un décor paradisiaque, une grande dalle bien plate au bord de l’eau. Et seulement une vingtaine de personnes, toutes entièrement nues. Rien à voir avec la crique bondée d’à côté.

Un peu gênée de voir tant de sexes exposés, je fais l’effort de rester naturelle et je focalise mon attention sur le décor pendant que mes amis disent bonjour à des habitués du coin. Je pense avoir répété dix fois la phrase "mais c'est sublime” pendant l’approche.

Nous nous installons près d'un rocher, à quelques mètres de l’eau. Marie-Christine est la première à se déshabiller, naturellement, rapidement, comme pour montrer l’exemple. Elle a le même âge que moi et le porte bien elle aussi, avec sa crinière brune et ses petits seins qui diffèrent des miens par leurs tétons très pointus.

Elle fait tout pour bien me démontrer que ça n'a pas d'importance. Bernard se déshabille aussi, et se tourne tout de suite vers l'eau, peut-être pour me ménager:
- Je vous laisse entre filles!

On voit bien qu’il fait du sport, car avec un an de plus que nous, il a une silhouette svelte et ses fesses ont l’air bien fermes.

Il m'aura fallu au final quelques secondes pour me décider à suivre moi-même le mouvement, après une grande respiration. Je me retrouve donc à poil, assise sur ma serviette, mais finalement heureuse d'avoir osé. Marie-Christine me dit en souriant:
- Bienvenue au club!

Assez vite la sensation d'être nue me procure un sentiment de liberté qui surpasse la notion de gêne. Evidement, quand Marie-Christine me propose d’aller à l’eau, je mets un peu de temps à me lever, les trois mètres qui m'éloignent du bord me semblant gigantesques, un moment terrible où je suis obligée de me montrer nue, face à tous.
Mais au final, je me rends compte que tout le monde s'en fiche. Personne ne vous regarde, les gens discutent, jouent avec leurs enfants, font trempette, lisent, exactement comme sur une plage classique.

Nous voilà dans l'eau, entièrement nues. Les sensations sont encore plus fortes, l'eau se balade partout autour de vous, jusqu'à des zones généralement plutôt couvertes, et c'est agréable, vraiment. Ça crée un rapport différent au lieu, à l'eau, et à la nature en général. Je comprendre du coup un peu mieux le mot “Naturisme".
Puis je retourne sur la dalle, beaucoup plus détendue et je n'ai pas peur de rester debout pour me sécher. Tout le monde peut me voir, et alors?

Marie-Christine qui me suit, me fait remarquer qu'elle n'a aucune trace de bronzage parce qu'elle vient plusieurs fois par semaine, et je note enfin son épilation totale qui tranche avec mon triangle de poils fauves que je taille court mais qui est complet.

De même pour Bernard qui nous rejoint à son tour et qui n’a qu’un petit filet de poils sur son pubis. Je me surprends à regarder un peu trop son équipement et je détourne vite les yeux. Il faut dire que ses cloches sont bien volumineuses et que le battant est bien plus gros et long au repos que les rares que j’ai connus jusqu’à maintenant, même quand ils étaient en forme.

Je finis par ne plus me gêner de porter mon regard vers les autres personnes autour de nous et constate que beaucoup sont épilées entièrement, surtout les femmes.

Le soir, Marie-Christine est la première à aller prendre sa douche et elle ressort à poil. Pendant que ber prend la suite, elle me propose de continuer à m’habituer à la nudité en restant à poil à la maison, et à ma grande surprise, j’accepte spontanément. Comme Ber en a fait de même, je n’ai que peu d’hésitations à ressortir moi-même entièrement nue de la salle de bains. Pendant le repas, la discussion vient sur nos pilosités, et finalement Marie-Christine me convainc de la laisser me réduire la touffe. Elle insiste pour le faire sur-le-champ et m’entraine à la salle de bains où je la laisse opérer. je lui demande de me laisser un ticket de métro, mais quand elle a fini, je m’aperçois qu’elle a tout enlevé. En me regardant ans la glace, vu ma corpulence j’ai l’impression d’être une gamine pré-pubère. Mais c’est assez mignon, bien que ça me gêne un peu que ma fente soit entièrement découverte. Ma nouvelle coupe a l’air de plaire à Bernard car je surprends du coin de l’œil un début d’érection quand nous revenons de la salle de bains.


Dimanche 12 juin 1983.

Cette fois, ils m’emmènent à la Calanque de l’Escu, et c’est un chemin beaucoup plus escarpé. La crique est déserte, comme ils me l’avaient annoncé. Comme il n’y a que nous et que je me sens maintenant en totale confiance avec ma nudité, sans aucune pression, je me déshabille rapidement et n’hésite pas à évoluer devant mes amis en plein soleil. On fait même une photo-souvenir pour laquelle je préfère tout de même être de dos.

C’est l’insistance du soleil qui est le point de départ de la suite. Alors que je me tourne sur le ventre, Marie-Christine me propose de me passer l’huile solaire dans le dos. J’accepte son aide et elle commence à m’enduire les épaules en massant bien. C’est vraiment bon et je m’abandonne à ses mains.

Ses doigts qui descendent ensuite le long de mon dos pour arriver sur mes reins. Elle passe directement plus bas pour s’occuper de mes jambes, puis revient sur mes fesses. Je ferme les yeux et me laisse aller.

Quand son massage me fait lâcher un soupir d’aise, ses caresses deviennent de plus en plus précises, allant franchement dans ma raie. Je comprends où ça peut nous mener, mais étrangement je me surprends à en avoir envie, bien que ce soit la première fois où je fais ça en plein air, et en plus avec une femme. Devant ma passivité, elle s’attarde un instant sur mon anus avant d’aller explorer ma fente. C’est bon…

Au bout d’un moment, j’ouvre les yeux et vois Bernard qui tient en main sa bite en pleine érection. Il s’approche de mon visage et je vois en gros plan cette queue impressionnante.

Marie-Christine me branle un moment, puis Bernard vient prendre sa place et me fait mettre à quatre pattes. Je sens le gland se poser contre ma fente, bien humide maintenant. Je pousse un peu pour lui montrer qu’il peut y aller, et il me pénètre en douceur. Je me sens remplie par ce membre énorme qui commence à s’activer.

Quand je jouis, il se retire et je retombe sur le côté. Je regarde cette bite qui bande toujours à fond et je me demande comment j’ai pu recevoir un tel calibre. Marie-Christine prend le relais pour se faire aussi prendre en levrette et je les regarde en me caressant le clito. Ils se déplacent vers moi, et quand elle écarte mes cuisses pour y plonger sa tête, je la laisse faire. C’est une chose que je n’avais jamais imaginée faire un jour, à trois, avec une femme, avec mon amie. Et là, je sens les ondes de sa jouissance sur mon clito.

Bernard se retire et elle vient s’assoir contre moi pour me prendre dans ses bras et m’embrasser sur la bouche. Bernard se rapproche, toujours en pleine érection et c’est Marie-Christine qui l’empoigne pour le branler un peu avant de l’emboucher. Je suis fascinée par ce spectacle surréaliste si près de mon visage. Elle le fait coulisser quelque temps entre ses lèvres, puis le ressort et me le propose par un regard. J’envoie timidement la main jusqu’à cette tige dont j’arrive à peine à faire le tour et je fais quelques allers-retours. Puis je me lance à faire ce que je n’ai jamais fait à aucun garçon. Je pose quelques baiser sur la tige puis sur le gland où je sens le goût intime de mon amie mélangé au mien et à celui de Bernard. Enfin, je me décide à gober le gland et à le sucer en suivant les conseil de Marie-Christine.

Quand il éjacule, j’ai un haut-le cœur et je recrache presque tout, mais ils me disent que c’est normal la première fois. Je retourne à la mer pour nettoyer le sperme sur mes seins.

Après le pique-nique, nous remettons ça, et en fin d’après-midi, il est temps de rentrer pour que je reprenne la route des Alpes. Mais je compte revenir bien vite les voir.

Et vous, vous avez déjà essayé le naturisme (et le reste)?

"Julie"
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Histoire de Hannapurna

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