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Max en stage 1

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Lue : 2007 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 20/12/2019

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Allongée dans le lit tout contre moi, ma jeune compagne, Aissata me demande : « dis-moi mon Chéri, comment ça s’est passé ta première sodomie ? »
Elle est comme ça Aissata, très jeune, mais très crue. Moi je m’appelle Max. J’ai 31 ans et depuis 6 mois je vis une étrange histoire d’amour avec cette fille que j’ai croisé par accident, dans le vrai sens du terme.
Je lui réponds : «Ok, je peux te raconter, mais c’est une longue histoire. »
_Oh oui, me dit-elle avec un grand sourire. Je veux tout savoir. Donne-moi les détails. Comment ça s’est passé, ce que tu as ressenti, tout...
_ Ok, mais tu me promets de ne pas m’interrompre, sinon on n’a pas fini.
«_Promis, me fait-elle victorieusement en me faisant une bise sur la joue.
«Voilà, tout a commencé lorsque j’étais étudiant en école de commerce. J’avais 19 ans, et nous devions faire notre premier stage de vente en entreprise, d’un mois pendant l’été. Ma Mère m’avait trouvé une place dans une petite boutique, chez une copine à elle. C’était une boutique de fringues, pour femmes riches qui habitaient le quartier. La patronne, une blonde, la quarantaine, plutôt bien foutue pour son âge, avait accepté de me prendre, mais sans me payer. « On verra à la fin du stage, s’il a réussi à faire monter mes ventes, il aura une prime, avait-elle promis. »
La boutique, située en plein centre ville n’avait pas beaucoup de clients à cette époque de l’année. Ou plutôt de clientes, devrais-je dire, car il y avait peu d’hommes. La Patronne, qui s’appelait Catherine m’avait montré les rudiments du métier : être poli, souriant, renseigner les clients, les flatter… Mais en fait, il n’y avait pas grand monde. Je passais mon temps à ranger les vêtements, compter les cartons dans l’arrière boutique pour faire l’inventaire. Comme je m’ennuyais, je reluquais Catherine de temps en temps, sans qu’elle s’en aperçoive. Elle avait une bonne poitrine, et parfois ses tétons pointaient au travers de sa petite robe d’été, que je rêvais secrètement de détrousser.
Un jour, tout a basculé. C’était pendant la pose déjeuner. Catherine était partie manger chez elle, et je restais seul à garder la boutique. Une cliente est arrivée. Elle était jeune, la trentaine, mais ce qui m’a marqué c’est qu’elle était enceinte. Son ventre me paraissait énorme, et surtout ses seins débordaient de son soutien gorge et de sa petite robe. Espérant faire une vente, je la laissais flâner dans la boutique tout en me tenant prêt à intervenir dès qu’elle aurait besoin d’un renseignement. Elle me regardait avec un regard gêné. Puis elle vint me voir et me demanda d’une petite voix : « Excusez-moi, pouvez me dire où se trouvent les toilettes du magasin ? »
J’étais à mon tour gêné, car Catherine avait été très stricte : les toilettes sont privées. On ne doit les ouvrir à aucun client. Je lui répondis : « je suis désolé, mais il n’y a pas de toilettes ici. »  Elle me regarda d’un air surpris : « Comment ça pas de toilettes ! Mais si, il doit bien y en avoir. Comment vous faites toute la journée sans toilettes ». Je lui dis alors la vérité : « si, en fait il y en a, mais elles sont privées. Je n’ai pas le droit de vous laisser y aller ». Elle me supplia : « Mais c’est pour une urgence ! Vous voyez bien, je suis enceinte. Je ne peux pas attendre !! »
Grand cœur, je répondis : « bon, ok ; je vais vous laisser y aller. Mais vous me promettez de ne rien dire à la Patronne, je ne veux pas d’histoire avec elle. 
_ Parfait, vous êtes gentil. Montrez-moi où c’est, vite…
_ Venez, c’est par là, lui dis-je en l’emmenant vers l’arrière boutique.
Elle entra derrière moi et me suivit au fond du couloir envahi par les cartons jusqu’à la porte. Et là je me rappelais que la porte était fermée à clef. « Attendez-moi là, la porte est fermée. Je vais cherchez la clef qui est dans le tiroir de caisse . 
_ Ok, mais je vous en prie, faites vite. Je ne vais plus tenir longtemps.
Je me précipitai vers la caisse, ouvre le tiroir, et là : pas de clef ! Mince, Catherine avait dû partir avec. Je réfléchissais à une solution, lorsque j’entendis un cri aigu ! Quand je rentrai dans l’arrière boutique, je découvris la femme en pleure, une grande flaque d’urine à ses pieds !
_ Regardez ce que vous avez-fait ! Me cria-t-elle furieuse. Par votre faute je me suis pissée dessus !! Comment je vais faire maintenant ?
Je bafouillais : Je suis désolé Madame. Ne vous en faites pas, je vais tout arranger.
_ Ah, oui, vous allez faire quoi ? Mes habits sont trempés. Je ne peux pas sortir comme cela.
J’essayais de la rassurer tout en prenant du papier essuie tout pour essuyer le sol : « Ne vous inquiétez pas, je vais trouver une solution. Tenez, je vais prendre vos habits, les laver, avec avec la chaleur cela va sécher tout de suite. Vous n’avez qu’à vous asseoir en attendant.
_ Attendez, je veux voir la Patronne. Tout est de votre faute, vous n’allez pas vous en tirer comme cela, me dit-elle d’un ton menaçant.
_Oh non, s’il vous plaît, ne dites rien à la Patronne. Je vous en supplie. Je ferai tout ce que vous voudrez. »
Elle se calma et réfléchit quelques instants :« Tout ce que je veux ? c’est promis ? ».
_ Oui, tout ce qui vous plaira. La client est roi, lui dis-je en espérant qu’elle sera clémente avec moi et ne dira pas un mot à Catherine.
Elle sourit malicieusement : « Très bien jeune homme, commencez par nettoyer ma pisse au sol. »
Je me mis à quatre patte, et avec l’essuie tout j’épongeais le liquide. Elle s’approcha de moi, les jambes écartées. Lorsque je levai la tête, je m’aperçus qu’elle soulevait sa robe mouillée et me montrait sa culotte trempée. Elle avait une toute petite culotte en coton, par apport à son gros ventre, et je voyais les poils pubiens en dépasser. Je restais bouche bée à regarder le spectacle offert, car je n’avais jamais vu d’aussi près une femme enceinte.
« Vous vouliez me déshabiller pour nettoyer mes vêtements me dit-elle. C’est une bonne idée. Commence par enlever mes chaussures ! »
Je lui enlevais un à un ses petits escarpins.
Elle continua : « Bien, mes pieds sont trempés, essuie-les ». Je pris un nouveau papier essuie tout, et je le passai délicatement sur chacun de ses pieds. « Non, pas comme cela, avec la langue. »
Je la regardai, incrédule et hésitant. « Allez-me dit-elle, sinon je dis tout à la Patronne. »
Je m’exécutai, lentement, avec un peu de dégoût.
J’entendis un soupir de plaisir : « bien, maintenant remonte, là où la pisse a coulé ».
Je me relevai lentement, en suivant méticuleusement les sillons laissé par l’urine.
Je sentais sa robe mouillée me coller la tête. Je continuais jusqu’à arriver à sa culotte odorante, mais là, j’étais hésitant. Je n’avais jamais été dans une telle situation et du coup je ne savais pas trop quoi faire. Je n’eus pas à réfléchir longtemps car de ses douces mains, Mathilde (c’était le prénom de ma cliente) plaqua fermement ma tête contre sa culotte. Je sentis l’odeur de sa pisse, ses poils, mais aussi une autre odeur qui à l’époque ne m’était par encore familière : celle de la mouille. Ma petite cochonne en cloque était en rut, et mouillait comme une folle de voir un beau jeune homme à ses genoux . «  Lèche, me dit-elle simplement . » Je n’avais pas le choix, je m’exécutais. Bien que cela me dégoûtait, bizarrement ça m’excitait aussi, et je bandais comme un taureau, la queue coincée dans mon jeans.
« Si tu enlevais ma culotte, ce serait peut-être mieux, non ? Et puis au moins comme cela, elle pourrait sécher ! » me dit-elle d’un ton ironique.
Elle me laissa écarter ma tête. Je pris délicatement sa culotte de mes mains de chaque côté de ses hanches, et la descendit lentement, découvrant la toison abondante qui recouvrait entièrement son sexe. Je restais quelques instants à admirer cette chatte et ce gros ventre qui s’offraient à ma vue.
« Elle te plaît ma chatte ? » me demanda-t-elle langoureusement. Regarde ce que je fais avec ! » me lança-telle avec défi. Elle se recula, écarta les bretelles de sa petite robe qui tomba immédiatement au sol par le poids de la pisse. Puis, uniquement vêtue de son soutient gorge, elle s’installa sur les piles de vêtements. Juste en face de moi, elle écarta les jambes, me laissant voir toute son intimité. Elle caressa lentement ses énormes seins, dont les tétons dépassaient maintenant de son soutien gorge. Ses auréoles étaient dilatées. On aurait cru que ses seins allaient éclater. Elle caressa son ventre, puis ses mains descendirent lentement vers sa toison. Avec deux doigts, elle écarta les lèvres de son sexe, me dévoilant l’entrée de son vagin, luisant de mouille. « Alors, ça te fait quoi de voir le minou d’une femme enceinte ? Je parie que tu n’en avais jamais vu !  Ah voir la bosse dans ton pantalon, cela te fait de l’effet ! ».
J’étais une fois de plus très gêné. « Tu peux sortir ta saucisse, tu sais, j’en ai déjà vu. Et tu seras plus à l’aise.  »
Là dessus elle dégrafa son soutien gorge, le fit glisser et mit ses mains sur sa poitrine en attendant que je lui montre ma queue. Le point de non retour était passé, je dégrafais ma braguette et descendit mon pantalon, puis sortis mon sexe de mon caleçon. Un sourire s’afficha sur le visage de Mathilde qui était impatiente de voir mon engin. Elle malaxa ses seins tout en me fixant du regard, puis porta ses mamelles à sa bouche pour se lécher les tétons. Ma queue me faisait mal tellement elle était dure. J’enlevais complètement mon pantalon et le reste de mes vêtements, puis je commençais à me caresser la queue, et l’exhibant fièrement devant ma conquête. Elle semblait apprécier le spectacle et me reluquait tout en caressant sans aucune pudeur son clitoris. Je sentais son désir monter.
« Tu ne va pas rester là à te branler comme un puceau ! Approche et montre moi si tu sais te servir de cette belle bite ! ».
Je me souvenais avoir vu un étrange paquet dans le pharmacie de la boutique, mais je n’était pas sûr si c’était des préservatifs ou pas. Je n’avais jamais osé vérifier, mais maintenant c’était l’occasion plus que jamais.
J’allais donc dans le placard et à ma grande satisfaction je découvris que j’avais raison. C’était bien des capotes. J’ignorais ce qu’elles pouvaient bien faire là, mais c’était inespéré. Lentement, devant ma partenaire, j’enfilais l’engin sur mon sexe.
Souriante, Mathilde se retourna, en m’offrant sa croupe. « Prends-moi. Enfonce moi ta queue dans la chatte ». Alors que je m’approchais, elle tendit une main dans son dos et j’y déposais mon sexe. Tout en me tournant le dos, elle fit des vas et viens avec sa main sur ma queue, puis me malaxa le couilles. C’était très doux. Elle avait une main fine, sensuelle et la vue de sa croupe offerte m’excitait. Elle rapprocha ma bite de son sexe, et écarta encore un peu plus les cuisses, ouvrant en grand sa chatte. Mon gland touchait son ouverture humide, si bien que je pu y rentrer d’un seul coup. Je plongeais dans un océan de bonheur et de douceur. Son sexe m’accueillait tout entier et je touchais le Nirvana. J’étais loin d’imaginer il y a quelques heures que j’allais baiser la chatte d’une cliente, enceinte en plus.
J’allais doucement, de peur de faire mal au bébé qui se tenait pas loin au bout de ma queue, mais Mathilde ma clama doucement : « Vas-y mon Chéri, plus fort ». Je la saisis par les hanches, et la pilonnai du mieux que je pouvais. Accélérant le rythme, ses soupirs se transformèrent en geignement, puis en cris. Encouragé par ses éclats de voix, je continuais de plus belle, jusqu’à ce qu’elle atteigne l’orgasme. Une fois son souffle repris, je sortis d’elle et elle s’allongea, épuisée. Je restais debout, la regardant chancelante, le sexe ouvert, reprendre ses esprits.
« Viens vers moi, tu as droit à une petite récompense, me dit-elle en m’attirant près d’elle ». Fier de ma prestation, je m’approchais. De la même manière que la première fois, elle attrapa ma bite, mais cette fois-ci elle l’attira vers sa bouche. Elle recouvrit mon gland de ses lèvres, et malgré le préservatif, je sentais sa langue tourner tout autour. C’était une fellation merveilleuse, qui dura longtemps. D’une main, elle me tâtait les couilles, pendant que sa bouche me limait. Son autre main était agrippée à mes fesses, qu’elle tripotait. Je sentis alors un doigt se rapprocher de mon petit trou, et en faire le tour. Elle me regarda dans les yeux, et porta son majeur dans sa bouche, d’un air provocateur. Comme je ne réagissis pas, elle fit ce qu’elle avait en tête, et pour la première fois de ma vie, je sentis un doigt étranger entrer dans mon cul. A ma grande surprise, cela me fit bander encore plus. Mathilde se rendit compte que ma bite dans sa bouche était plus dure. « Hum, me fit-elle, tu as l’air d’aimer ça ! ».
Alors elle se retourna en me présentant ses fesses, et se tortilla pour que son visage atteigne mon sexe.
«J’ai une idée, tu vas faire exactement comme moi. On va se doigter le cul tous les deux. »
J’étais un peu surpris, car c’était la première fois que je faisais ce genre de chose, mais j’obéissais.
J’humectais mon majeure, puis le tourna autour de son anus. Elle fit de même, puis me l’enfila. A mon tour, j’enfonçais mon doigts dans son cul. C’était une sensation étrange. Je la dominais, mais elle aussi. On s’inspecta le rectum mutuellement, et ce fut une véritable découverte pour moi. Un échange de sensations agréables, car elle me limait toujours la sexe de sa fine bouche. Nos doigts s’activaient de plus en plus, lorsqu’un deuxième me pénétra, sans aucune difficulté. J’observais ses mamelons ballotter aux rythmes de nos attouchements. Enfin, elle me lança : « J’en peux plus, j’ai envie de te sentir en moi. S’il te plaît, encule-moi... ».
Ça voix douce et sensuelle me fit craquer. Comment pouvais-je résister à une telle demande ? Mon problème était que je n’avais jamais pratiqué la sodomie. J’avais vu des films pornos bien sûr, mais là c’était réel. Je ne savais pas comment m’y prendre. Heureusement, Mathilde me guida tout en douceur. Elle se mit complètement sur le côté, en chien de fusil, et me présenta son cul en écartant ses belles fesses. « Trempe d’abord ta queue dans ma chatte mouillée. Le jus qui en coule servira à lubrifier mon petit trou. » Ce que je fit et je goûtais de nouveau avec plaisir à la chaleur de son sexe. Ensuite, je retirai ma queue et l’approcha de son cul, grand ouvert. Mais mon sexe ne rentra pas, car c’était trop serré, et j’avais peur de lui faire mal. De sa main, elle prit ma bite et me branla, ce qui me fit bander un peu plus. Puis elle l’enfonça elle-même dans son cul. Je sentis une énorme sur mon gland, puis soudain, plus rien. J’étais rentré ! J’étais heureux, à l’intérieur de son rectum, bien qu’un peu serré. « Ressort me demanda-t-elle ». De nouveau je sentis la pression de son sphincter lorsque je sortis. Son trou de bal restait ouvert. C’était marrant. J’avais jamais vu ça. De ses deux mains elle écarta ses fesses au maximum et ouvrit son cul. « Vas-y, recommence ».
Cette fois-ci, je rentrais beaucoup plus facilement, et je commençais de petits vas et viens. Elle poussa des soupirs à chaque fois que je m’enfonçais en elle, tout en se caressant le ventre, puis le sexe.
Je voyais sa main disparaître au fond de sa touffe de poils. Elle se masturbait frénétiquement pendant que je la sodomisais tranquillement par de petits coup de bite, de plus en plus profond. Je voulais profiter de ma première sodomie et j’y allais doucement, en appréciant chaque seconde de ce moment que j’avais tant attendu ! Cela n’était pas pour déplaire à Mathilde qui montait lentement mais sûrement vers l’orgasme.
J’étais bien dans son cul, lorsque soudain, j’entendis une voix derrière moi : « Alors comme ça on encule mes clientes dès que j’ai le dos tourné ! »
C’était Catherine ! Dans l’excitation, je l’avais complètement oubliée. Je me retirais immédiatement du cul de Mathilde et cachais mon sexe de mes mains. Je n’ai jamais eu aussi honte de ma vie ! J’étais pris la main dans le sac, si l’on peut dire ! J’aurai voulu disparaître. J’essayais de formuler des excuses, mais je bafouillais lamentablement et ne dis rien de compréhensible. Alors, à ma grande surprise, Mathilde me défendit : « Il n’y est pour rien, c’est moi qui l’ai forcé. Je lui ai demandé de m’enculer ! ».
Elle s’approcha de moi et me dévisagea de la tête au pied. Au fur et à mesure que je rougissais, un sourire se forma sur le joli visage de Catherine : « Eh bien si c’est la cliente qui demande, la cliente est roi ! Vas-y Max, reprend ta besogne, je t’en pris. Tu avais l’air de savoir t’y prendre ! Faites comme si je n’étais pas là. Moi je vais profiter du spectacle. »
Elle alla s’installer sur les cartons, en face de moi. Mathilde ne se fit pas prier. Elle était au bord de l’orgasme et avait bien l’intention de jouir avec ma bite dans le cul. Elle frotta ses fesses contre moi, et les ouvrit en grand pour me laisser renter. Je l’enfilais de nouveau, ne sachant quoi trop penser. Tout était confus. Lorsque je relevai la tête, je découvris Catherine, la robe relevée et une main dans sa culotte, l’autre sur ses seins. Elle me regardait fixement tout en se masturbant sans aucune pudeur.
« Tu aimes ce que tu vois ? me demanda-t-elle d’une voix sensuelle. »
Jamais je ne l’aurai imaginée comme cela. Ma Patronne transformée en salope en chaleur. Lentement, elle descendit son string, sans me quitter du regard. Puis elle fit tomber sa robe à bretelle, et avec une dextérité insoupçonnée, elle dégrafa son soutien gorge, libérant les deux globes fabuleux de ses seins parfaits.
L’excitation me fit redoubler de vigueur, et je pilonnais de plus en plus le cul de Mathilde, qui couinait de plus en plus fort.
Catherine se rapprocha fièrement de moi, exhibant sa féminité. Lorsqu’elle fut assez proche, elle déposa un baiser sur mes lèvres, mais avant que je ne pose une main sur elle, elle s’écarta, me regardant triomphalement. Elle se dirigea vers Mathilde, lentement, et présenta son sexe, dont le pubis était soigneusement taillé en V devant le visage de Mathilde.
Celle-ci l’accueillit à pleine bouche, la saisissant avec ses mains par les fesses. Catherine plissa des yeux de plaisir et entrepris de malaxer les seins gonflés de Mathilde. Pendant ce temps, je continuais ma sodomie, en savourant ce spectacle lesbien.
C’était une première pour moi, et cela m’excitait au plus haut point, si bien que sans même m’en rendre compte, je pilonnais de plus en plus fort le cul de Mathilde. Celle-ci se mit à crier et je redoublais de vitesse, faisant claquer mes couilles contre ses fesses. Catherine me caressa le ventre, et tout en me regardant d’un air de défi, remonta sa main jusqu’à mon torse. Là, elle me pinça les tétons comme si c’était les seins d’une fille. Jamais personne en m’avait fait ça. Des décharges électriques me parcoururent tout le corps, lorsque que soudain Mathilde atteignit l’orgasme. Il devait être violent, car elle poussait des hurlements rauques, comme une bête. Puis peu à peu, sa respiration se clama. Je me retirais délicatement de son cul, et Catherine se pencha pour admirer ma queue.
« Hum, me fit-elle, à moi d’en profiter maintenant. Allonge-toi sur le sol ! »
J’obéis. C’était ma Patronne après tout, et j’avais intérêt à ce qu’elle soit contente de moi. Couché par terre, elle s’assit à genou entre mes cuisses. Elle me branla un peu, avec une grande délicatesse. J’étais ravi de tant d’attention de la part de la femme que j’avais tant désiré en secret depuis plusieurs semaines. Elle retira le préservatif, et m’embrassa délicatement le gland. C’était merveilleux. Puis elle sortit d’on je ne sais où un autre préservatif, et me l’enfila avec une habileté qui en disait long sur son expérience sexuelle. Une fois la capote installée, elle me lança son regard pénétrant, et approcha son sexe du mien. Elle s’enfila ma queue d’une seule traite, tout en restant bien droite, et commença ses mouvements de bassin tout en se caressant les seins. J’étais aux anges !!!
De son côté, Mathilde avait récupéré. Elle marcha à quatre pattes jusqu’à ma tête, et me présenta sa chatte, qui en redemandait. Elle s’assit presque sur moi, et je ne voyais plus rien hormis son intimité remplie de poils. Je la léchais comme je pouvais, en enfonçant ma langue le plus profondément possible dans son vagin. Elle bougea son bassin de façon à amener son clitoris sur ma langue, car avec tous ses poils, je ne le trouvais pas. Elle gémit de plaisir lorsque je lui gobai son con. Catherine gémissait aussi, empalée sur ma queue. Je lui caressais les cuisses en même temps que le ventre de Mathilde. Les deux filles devaient être bouche à bouche d’après les sons que j’entendais. Nos trois corps s’emmêlaient et nous nous rapprochions tous un peu plus de l’orgasme.
Ce fut Catherine qui l’atteignit la première. Elle le cria franchement : « Je joui !! Ça y est je joui ! » tout en effectuant de petits soubresauts rapides sur ma queue. Mathilde n’en était pas loin, et je m’activais de plus belle sur son clito, maintenant que je l’avais sur le bout de la langue.
Catherine retira son vagin de ma bite, et je pensais qu’elle allait en rester là. Mais immédiatement elle la saisit dans la main et je sentis une pression sur mon gland. Puis il s’enfonça tout d’un coup alors que Catherine poussait un long gémissement. Je compris qu’elle avait rentré ma queue dans son cul. La cochonne, elle se sodomisait de sa propre initiative.
Je ne la voyais pas, mais aux bruits et aux gémissement qu’elle émettait je compris qu’elle ou Mathilde trifouillait dans sa chatte pendant que je l’enculais.
Bien que je n’en pouvais plus et que depuis longtemps, la bite serrée dans le cul de Catherine, je me retenais d’éjaculer, se fut Mathilde qui de nouveau atteignit l’orgasme, avant moi. Elle poussa ses petits cris habituels, que je connaissais maintenant, et son corps se contracta alors qu’un abondant liquide s’écoula de son sexe et vint m’arroser le visage. Je n’en pouvais plus, et à mon tour, par de grandes saccades, j’éjaculais dans le cul de Catherine. Elle sentit immédiatement mes spasmes de plaisir et m’encouragea : « Oui, vas-y mon grand, joui dans mon cul !  C’est bon de sentir ton foutre gicler à l’intérieur de moi. »
Mathilde s’était relevée et mon regard croisa enfin celui de Catherine. Je continuais de me vider en elle, en savourant ce moment intense.
Elle se releva, comme victorieuse d’une grande bataille, et retira délicatement mon préservatif sans perdre une seul goutte de sperme. Elle l’apporta en guise de trophée à Mathilde qui gisait nue sur les piles de vêtement. Catherine soupesa la capote bien remplie, et avec des gestes magistraux elle déversa tout le contenu sur le ventre de Mathilde. Celle-ci l’étala copieusement sur son gros abdomen et ses seins, sans dissimuler sa satisfaction.
Enfin, nous nous rhabillâmes chacun de son côté, les vêtements de Mathilde ayant eu le temps de sécher durant nos jeux sexuels.
Elle repartit de notre magasin on ne peut plus ravie, et ma Patronne avait l’air tout autant satisfaite.
Voilà, c’est la fin de cette histoire.”
“Et en suite, comment cela s’est passé avec Catherine jusquà la fin de ton stage? me demande Aissata.
_ Oh, ça c’est trop long pour te raconter maintenant. Je te dirai ça une autre fois.
_ Ok...Ton histoire était trop sexy. Cela m’a donné envie. Fais-moi l’amour...
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Histoire de Malefices

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Commentaires du récit : Max en stage 1

Le 11/01/2024 - 10:07 par Sexty53
Très jolie histoire

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