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Noëla (2nde partie)

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 23/01/2023

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-Sky, tu me rends folle !
-Noë, on ne peut pas faire ça !
J’avais tellement envie de la déshabiller et de la posséder à cet instant que je ne sais pas comment j’ai réussi à me dégager et à foncer dans la salle de bain.
Je refermai la porte à clé, me déshabilla et me mis sous la douche. Une fois mes esprits retrouvés, je filai dans la chambre retrouver ma femme qui dormait à poings fermés.
Mais je n’arrivais pas à dormir. Au milieu de la nuit, je me relevais pour aller boire un verre d’eau. Quand je passais dans le salon, je vis Noë qui dormait profondément. Sa respiration était régulière et conforme avec un vrai sommeil reposant. Je m’accroupis à côté du canapé et, au bénéfice de la lumière des lumières de la rue qui passait par la fenêtre, je pus avoir une vue magnifique sur ses cuisses dénudées, car sa jupe était remontée jusqu’en haut de ses jambes. Mais comme elle les tenait serrées l’une contre l’autre, je ne pouvais pas voir sa petite chatte. Je passais néanmoins ma main sur sa cuisse la plus accessible, du genou jusqu’à la naissance de ses fesses. Je voulais qu’elle bouge un peu, qu’elle se tourne pourquoi pas. Et c’est exactement ce qu’elle fit. Elle se retourna complètement et m’offrait ses fesses qui étaient maintenant bien disponibles, car sa jupe était remontée encore. J’avais une vue imprenable sur ses fesses, séparées par le petit morceau de dentelle de son string blanc. J’avais envie de toucher ce cadeau irrésistible. Je posais alors ma main sur ses fesses que je caressais tout doucement, sans trop appuyer. Je ne voulais pas la réveiller, mais je voulais aussi voir si elle se laisserait faire. Je glissais le long de ce bout de string, tout doucement. Elle écarta alors sa jambe droite, et j’avais le champ libre pour atteindre sa chatte. Son string était aussi suffisamment détendu pour que je puisse passer un doigt sous le tissu. Je soulevais alors l’élastique en dentelle pour le poser sur la fesse. Je pouvais ainsi voir sa vulve et son anus qui m’étaient offerts par ma petite salope de belle-fille. Je passais mon doigt sur sa fente et très vite je sentis qu’elle commençait à être chaude, puis humide. Je léchais alors mon index pour le couvrir de salive et je le posais sur son anus. Tout doucement, je faisais des petits ronds sur sa rondelle et au bout d’un petit
moment, je dus remettre de la salive pour faciliter le glissement. Je m’approchais donc et déposa un filet de bave sur sa raie, juste au dessus de son anus. Je posais alors de nouveau mon doigt et commença à pousser fébrilement. Je fus surpris de constater que mon doigt entrait sans difficulté dans son anus. Je le fis pénétrer jusqu’à la première phalange puis ressortis pour qu’il soit bien mouillé par la salive présente autour de son anus. Je repoussais alors vers l’intérieur de son cul et mon doigt entra jusqu’à la deuxième phalange. J’étais en train d’enculer ma belle-fille qui dormait. Elle devait être certainement en train de faire un rêve érotique pour ne pas se réveiller malgré le traitement que je lui infligeais. J’étais très excité et ma queue était prête à exploser. Je crachais dans ma main droite et recouvris ma queue de ma salive puis je présentais mon gland juste au niveau de son anus. Je poussais alors un peu et ma queue la pénétra sans difficulté. Très vite je me retrouvais dans le cul de Noëla. Je ne voulais pas la éveiller, alors je ressortis aussitôt et je me masturbais en posant mon gland juste sur son anus. Le plaisir était très intense, certainement à cause de l’interdit de l’inceste et au danger que la présence de ma femme dans la chambre à l’étage représentaient. Je sentais le plaisir monter et au moment où l’orgasme arrivais, je pénétrais de nouveau son anus. J’éjaculais alors dans son cul en essayant de faire le moins de mouvement possible.
Une fois le dernier jet de mon nectar déposé au fond de ses entrailles, je ressortis de son cul doucement. Je replaçais son string et rebaissais un peu sa jupe avant de retourner me coucher. J’étais plus que satisfait.
J’avais enculé ma belle-fille et j’avais joui en elle, sans même qu’elle ne s’en rende compte. J’étais pressé de voir sa tête au réveil.
Mais quand je me levai pour le petit-déjeuner, elle était déjà partie. Elle ne m’appela pas et je me demandais si elle s’était aperçu de ce que je lui avait fait. Allait-elle m’en vouloir ? Allait-elle me dénoncer ?
Il se passa quand même plusieurs jours avant que Noëla ne revienne à la maison. C’était un jour de pluie et elle était avec sa fille.
Ma femme s’occupa de sa petite fille pendant toute la journée tandis que nous regardions la télé, Noë et moi, assis sagement dans le canapé. Elle ne me parla même pas de l’épisode nuiteux.
Le soir venu, après le dîner, nous nous réinstallâmes une fois de plus devant la télé, pour regarder un film.
Et très vite, ma femme alla se coucher.
Je me retrouvais seul avec ma belle-fille et nous nous regardâmes un petit moment. Sans rien dire, elle vint s’allonger et poser sa tête sur ma cuisse droite. Je ne bougeai pas mais posai ma main sur son épaule.
Son bras gauche était allongé contre ma cuisse et sa main droite était posée sur ma cuisse, juste devant son visage. Elle faisait glisser sa main sur ma cuisse, de son visage jusqu’à mon genou, doucement, puis elle remontait. Moi, je ne bougeais pas. Je ne voulais pas être celui par qui cela devait arriver. J’en mourrais d’envie, mais cela m’était impossible de faire le premier geste.
À un moment, je sentis sa tête se soulever et sa main venir se positionner juste en dessous. Elle tourna son visage vers moi et semblait perdue.
-Noë, tu sais ce que j’en pense. Je ne voulais pas avouer ce que j’avais fait, pas tout de suite en tout cas.
Elle se mit alors à sangloter.
-Sky, je t’en supplie, laisse-moi faire ! J’en ai besoin ! Je veux savoir ce que c’est que d’être traitée comme une princesse pendant le sexe. On m’a toujours utilisée, on m’a violée, on m’a traitée comme une chienne, mais jamais personne n’a été gentil avec moi au lit ! Je n’ai plus confiance en personne, il n’y a que toi qui peux me rendre heureuse !
-Noë !
-Ose me dire que tu n’as pas envie ?
-Non, je ne peux pas, évidemment !
-Ben alors !
-Ta mère ! Jamais je ne la trahirai ! J e l’aime plus que tout au monde !
-Alors s’il le faut, je lui parlerai ! Je suis décidée ! C’est vital pour moi !
-Tu sais très bien ce qu’elle dira ! Et tu es prête à perdre ta mère pour ton cul ?
-C’est pas pour mon cul, ni pour ta queue ! C’est pour mon bien être, pour ma santé mentale et physique !
-Tu n’exagères pas un peu, là ?
-Mais enfin, tu ne comprends pas ? J’en ai besoin pour avancer ! Pour retrouver espoir ! Je veux croire qu’il existe un mec normal dans le monde ! Et je sais qu’avec toi, Sky, je peux retrouver cet espoir !
-Mon Dieu ! Tu te rends compte de ce que tu dis ?
-Oui, et je suis sincère ! Je t’aime vraiment ! Autant qu’un père, mais différemment ! Je suis folle de toi depuis longtemps, mais je n’ai jamais osé franchir le pas ! Je me disais que j’étais folle d’avoir envie de toi ! Mais après tous ces échecs, je veux me laisser aller et je veux me libérer !
En disant cela, elle s’était relevée, mais dans le même temps, elle avait posé sa main au niveau de mon sexe.
-Je veux que tu me fasses jouir comme personne ne le fera jamais !
Elle détacha ma ceinture, dégrafa le bouton de mon jeans et descendit la fermeture éclair en un seul geste.
Avant que j’aie pu protester, elle faisait sortir ma queue du caleçon et déposait un bisou sur le gland pas encore complètement dur. Je tentais de l’écarter en repoussant sa tête, mais elle insistait et finit par ouvrir la bouche. Je sentis alors ses lèvres entourer le gland devenu très tendu et s’enfoncer autour de ma verge qui devint tellement dure que j’avais l’impression qu’elle allait exploser.
-Noë, je t’en supplie, arrête !
Elle releva la tête et me regarda droit dans les yeux.
-Seulement si tu me promets de venir me voir demain, je ne travaille pas.
-D’accord, je viens chez toi pour discuter de tout ça, mais arrête, je t’en supplie !
Elle se releva complètement, réajusta sa tenue et s’en alla après m’avoir embrassé sur la bouche.
J’étais comme un con, la queue bandée à l’air, assis dans le canapé. Je décidais d’aller prendre une douche pour me calmer un peu. Mais la sensation éprouvée par sa bouche sur la queue était tellement bonne que, une fois dans la salle de bain, je fus obligé de me masturber pour me détendre. Je ne tardai pas à éjaculer à grands jets de sperme.
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