Noëla (3ème partie)

-Noë, je t’en supplie, arrête !

Elle releva la tête et me regarda droit dans les yeux.
-Seulement si tu me promets de venir me voir demain, je ne travaille pas.

-D’accord, je viens chez toi pour discuter de tout ça, mais arrête, je t’en supplie !

Elle se releva complètement, réajusta sa tenue et s’en alla après m’avoir embrassé sur la bouche.

J’étais comme un con, la queue bandée à l’air, assis dans le canapé. Je décidais d’aller prendre une douche pour me calmer un peu. Mais la sensation éprouvée par sa bouche sur la queue était tellement bonne que, une fois dans la salle de bain, je fus obligé de me masturber pour me détendre. Je ne tardai pas à éjaculer à grands jets de sperme.

Le lendemain matin, Charline partit au taf un peu avant moi. Je m’attardais un peu puis partit à mon tour. Une fois au bureau, je n’arrêtais pas de penser à ce qui était arrivé la veille. Les sensations étaient folles, l’acte était fou, ma belle-fille devait être folle aussi et je l’étais encore plus à en vouloir, tout au fond de moi, encore plus. J’hésitais encore à me rendre chez Noë, mais plus l’heure avançait, plus j’étais indécis.

Finalement, l’heure arriva. Je me levai de mon fauteuil, annonça à mon collègue que je devais aller faire une course et partis chez ma belle-fille. Sans m’en rendre compte, je pris un véhicule de service et je filai chez elle.

Arrivé devant sa porte, je n’eus pas le temps d’hésiter. Noëla ouvrit la porte avec un grand sourire aux lèvres. Elle avait gagné et elle le savait.

-Sky ! Tu es le roi ! et elle me fit entrer dans son appartement.

-Noë, écoute, tu sais très bien que je ne peux pas te faire d’avances… S’il se passe quelque chose entre nous, je veux pouvoir prétendre que je n’y suis pour rien. C’est quand même ta mère. Je te semble peut-être vieux jeu, mais c’est comme ça… Je suis comme ça. Tu me veux ? Prends-moi comme je suis. Tu peux venir à la maison quand tu veux… Et entreprendre ce que tu veux. Tant que tu ne me demandes pas d’assumer ! Je sais, c’est lâche de ma part, mais c’est comme ça !

-D’accord Sky ! Ça me va très bien ! Et tu verras que tu ne pourras pas me résister !

-Ça, c’est certain ! Tu sais très bien que tu me fais craquer !

-Oui, je sais bien. D’ailleurs, l’autre nuit, ça a été trop fort, n’est-ce pas ? Tu n’as pas pu résister, hein ? Tu sais que je n’ai rien senti ! Mais j’étais tellement heureuse de constater que j’avais du sperme dans mon string ! Je savais que c’était toi et j’en ai été plus qu’heureuse ! Tu as aimé mon petit trou ?

-Ah, je me demandais si tu avais remarqué !

-Bien sûr ! Et je me suis caressée en rentrant chez moi. J’ai léché mes doigts qui sentait ton foutre !

-T’es un peu dégueu quand même !!

-Tu restes boire quelque chose ? Tu es venu simplement pour discuter de toute façon !

-Tu as du jus de fruit ?

-Bien sûr ! Mets-toi à l’aise et installe-toi dans le canapé !

-D’accord !

Nous bûmes un jus de fruit tout en évoquant divers sujets d’actualité, puis je repartis au travail.

Le dimanche suivant, Charline m’annonça qu’elle souhaitait aller à une cérémonie traditionnelle. J’allais donc passer une journée seul, à bricoler deux trois trucs que j’avais en attente depuis quelque temps et me vautrer dans le canapé pour mater quelques vidéos. Ma femme partit donc vers sept heures et, après un petit déjeuner devant des vidéos de moto, je m’apprêtais à commencer le bricolage quand l’interphone sonna.

-Bonjour, qui est-ce ?

-Salut Dady Sky !

-Ah Noë, vas-y, entre !

Ma belle-fille arriva avec une boite dans les mains. Elle était magnifique, comme toujours ! Elle portait une robe rouge qui lui arrivait à mi-cuisses, avec des petites bretelles en chaînettes, serrée à la taille, mais relativement ample sur le buste. Sa magnifique poitrine, que j’estimais depuis quelques mois à un bon 90C, semblait libre de tout soutien-gorge, mais elle se tenait merveilleusement bien.

Elle était chaussée de très beaux escarpins noirs, dont les talons semblaient culminer à un bon dix centimètres, ce qui la rendait aussi grande que moi.

-Salut mon beau-père adoré ! Elle vint m’embrasser en passant son bras gauche par-dessus mes épaules et en me serrant très fort. Comme elle tenait encore la boite dans sa main droite, je lui rendis son accolade sans sourciller, ce qui me permit de ressentir sa poitrine ferme contre mon torse. Cette sensation était très agréable. Ses bisous s’éternisaient et se firent de plus en plus près de ma bouche, sans toutefois s’y poser entièrement.

-Je t’ai apporté un petit-déj’ ! Elle ouvrit la boite et dévoila quelques pâtisseries que nous partageâmes avec un bon café. Nous étions assis dans le canapé, des vidéos de musique défilaient sur l’écran pendant que nous parlions de sa jeunesse, depuis mon arrivée. Elle me redisait combien j’avais été un bon père pour elle et qu’elle était heureuse d’avoir reçu une très bonne éducation. Elle était assise à ma gauche, légèrement tournée vers moi, ce qui avait fait remonter sa robe et dévoilait ses cuisses très attirantes. Je n’arrivais pas à voir la couleur de son sous-vêtement et je me mis à soupçonner qu’elle n’en avait pas.

Noë se leva d’un seul coup et annonça qu’elle allait débarrasser et tout en se positionnant devant moi et en me tournant le dos, elle se pencha en avant pour prendre ce qui était sur la table basse. J’avais une magnifique vue sur ses fesses qui ne laissaient rien voir d’un possible string sous sa robe.

-Mets-toi à l’aise, Sky, on va regarder un film ! J’ai envie de regarder une fois de plus Avatar !

-Bonne idée, mais on va s’endormir à force de le revoir ! Je le connais par cœur !!

Je mis donc le film qui se trouvait dans ma vidéothèque et m’installais en posant mes jambes sur la table basse.

Noë vint me rejoindre quelques instants plus tard et elle s’installa à ma gauche, sa robe ayant repris une position normale.

Très vite, je me sentis engourdi et mes paupières commençaient à être lourdes. Le film était intéressant, mais comme il n’avait plus de secret pour moi, je m’ennuyais presque. Je finis par fermer les yeux, car je me sentais très bien, mais je n’avais pas envie de dormir. Pas avec l’objet de mes fantasmes à mes côtés.

Je n’eus pas longtemps à attendre. Elle posa d’abord sa tête sur mon épaule, puis je sentis une main se poser sur mon torse. Sa main gauche descendait doucement sur mon ventre, puis remontait sur mon torse et à chaque fois, elle descendait un peu plus bas. Finalement, elle passa au niveau de mon sexe, sans s’y attarder, mais déclenchant chez moi un début d’érection. Au tour suivant, sa main se posa sur ma verge qui commençais à augmenter sensiblement et elle s’en est certainement rendu compte, car elle ne remonta pas aussi haut que les fois précédentes et elle revint dessus pour finalement ne plus retirer sa main.

Tout en gardant sa main sur mon sexe qui commençait à grossir, elle s’allongea de tout son long et vint poser sa tête juste à côté de sa main.

Plus rien ne bougeait car le film entrait dans une phase d’action intense, mais je n’étais plus du tout intéressé par celui-ci, mais plutôt par ce qui devait se passer dans la tête de ma belle-fille. En tout cas, elle ne bougeait plus depuis un bon moment.

Je pouvais à loisir détailler ce corps qui m’avait tant fait rêver jusque là. Ses formes généreuses étaient un peu similaires à celle de sa mère, mais sa jeunesse lui donnait une aura très tentatrice. Sa bretelle de robe était détendue et je pouvais la bouger sans difficulté. Je posais alors ma main gauche sur son bras gauche et commença à le parcourir du coude jusqu’à l’épaule. Une fois sur l’épaule, au moment de redescendre, je faisais en sorte de faire glisser la bretelle un peu et je pu me rendre compte qu’il serait facile de la faire descendre jusqu’à son coude. Mais je ne voulais pas précipiter les choses. Je posais alors ma main gauche sur sa hanche. Je restais ainsi quelques instants, puis commençais à descendre vers sa cuisse. Comme elle était allongée sur le côté, je pouvais caresser sa cuisse jusqu’au genou sans problème, ce que je fis une première fois sans insister. Je remontais jusqu’à sa taille, car je voulais sentir la présence ou non d’un string. Je pus ainsi monter assez haut pour comprendre qu’elle n’avait pas de sous-vêtement.

Je repris alors ma descente sur sa cuisse, par-dessus le tissu léger de la robe, jusqu’à trouver la peau nue et je remontais alors en tirant un peu le vêtement. Au bout de trois aller-retours, sa robe était remontée au-delà de ses cuisses et je pouvais enfin vérifier qu’elle ne portait pas de string. J’avais une vue magnifique sur son pubis, complètement épilé. Son mont de vénus était légèrement rebondi et il m’attirait vivement.

Je sentis alors la main de ma belle-fille se mettre à bouger et elle entamait un véritable massage en bonne et due forme.

Elle se tourna alors pour être face à mon bassin et, alors qu’elle dégrafait mon jeans, elle me dévoila son cul magnifique. Je ne pus m’empêcher d’y poser ma main, tandis qu’elle sortait ma verge de son carcan.
Au moment où je sentis sa bouche entourer mon gland, ma main s’inséra entre ses fesses. Il n’y avait plus de retenue. Nous nous lâchions et donnions libre court à nos fantasmes, du moins, c’était le cas pour moi et il me semblait bien qu’il en était de même pour ma belle-fille.

Tandis qu’elle me pompait divinement, j’en profitais pour caresser sa fente et titiller son clitoris. Je le sentais bien durci sous mes doigts et elle mouillait abondamment. Quel plaisir de lui mettre un doigt sans effort dans sa chatte dégoulinante.

J’ai alors ressorti mon doigt de son intimité et l’ai posé sur son petit trou. En écartant ses fesses, je le voyais qui frétillait, qui semblait vouloir s’ouvrir et ses fesses se sont soulevées quand mon index s’est positionné juste à l’entrée de son anus. Elle voulait que je la pénètre par là aussi.
Je n’eus aucun mal à le faire entrer dans son trou. Je pense qu’elle n’est plus vierge par là non plus ! Mais quel plaisir ressenti à ce moment-là !

De son côté, elle était très active aussi. Elle me suçait activement. Sa bouche prenait ma queue toute entière, jusqu’à la garde et elle ne semblait pas faire d’effort pour cela ! Quelle sensation de subir une gorge profonde de la bouche de ma belle-fille ! Noë était une chienne avide de sexe, je le comprenais maintenant !

Je lui mettais maintenant deux doigts dans son fondement et elle gesticulait en émettant des petits feulements de chienne en chaleur. Elle semblait adorer le traitement que je lui infligeais et elle finit par jouir en râlant comme jamais je ne l’avais entendu faire. Sa chatte dégoulinait tandis qu’elle se tordait dans tous les sens. Cette vue finit par avoir raison de ma résistance et je finis par jouir dans sa bouche, alors que ma bite était tout au fond de sa gorge.

Elle reçut la totalité de ma semence et avala tout sans rien dire. Une fois le dernier jet absorbé, elle releva la tête et entreprit de me lécher la queue comme pour la nettoyer. Une fois fini, elle se releva et me regarda droit dans les yeux.