Noëla (4ème partie)

Elle reçut la totalité de ma semence et avala tout sans rien dire. Une fois le dernier jet absorbé, elle releva la tête et entreprit de me lécher la queue comme pour la nettoyer. Une fois fini, elle se releva et me regarda droit dans les yeux.
-Merci Sky ! J’en avais vraiment envie ! Cela faisait trop longtemps que je rêvais de ça !
-J’en ai rêvé bien des fois aussi, rassure-toi !
-Pourquoi tu ne m’en as jamais parlé ?
-Parce que j’aime ta mère et que je ne veux pas lui faire de mal ! Mais toi, pourquoi as-tu attendu tout ce temps ?
-Parce que j’avais peur de ta réaction ! J’avais peur que tu ne me rejettes ou que tu dises tout à maman !
-Ça ne risque pas ! Tu es aussi belle que délicieuse suceuse !
-Et tu n’as pas tout vu ! Je peux te faire des trucs que tu n’imagines même pas je suis sûre !
-D’accord, j’attends de voir !
-Mais ce que je veux surtout, c’est que tu me fasses jouir comme tu fais jouir maman ! J’ai envie de connaître le vrai plaisir, celui qui est intense dans la douceur, dans la force, dans l’amour !
-Je vais essayer de faire de mon mieux !
-Qu’est-ce que maman ne te fais pas ?
-La seule chose qu’elle ne me fait plus, c’est me sucer ! Et j’avoue que tu le fais mieux qu’elle ne l’a jamais fait !
-C’est vrai ? Tu as aimé ?
-Vrai de vrai ! Avec ta bouche, tu peux me faire faire ce que tu veux ! Tant que tu me fais ça, je suis à tes ordres, petite chienne !
-J’adore quand tu me traites comme ça !
-T’inquiète, tu vas être ma salope ! Maintenant, tu feras tout ce que je te dirai de faire ! Sinon, tu n’auras jamais ce que tu attends de moi !
-Je n’avais pas vu ça comme ça, mais pourquoi pas ! Par quoi on commence ?
-Ben je vais aller travailler pour commencer, on verra par la suite !
-Tu me laisses comme ça ?
-Oui et je t’interdis de te masturber en mon absence !
-Mais tu n’en sauras rien !
-Je le verrai bien si tu m’as menti ! Et si tu me mens, tu n’obtiendras pas ton merveilleux orgasme ! Salut ma Princesse !
Elle ne répondit rien et je partis après l’avoir embrassée sur la bouche tout en lui mettant une main sur les fesses.
Cela faisait deux jours que j’étais allé chez Noëla et je dois avouer que j’avais vraiment envie d’y retourner ! Mais comme je voulais aussi qu’elle soit à l’origine de chaque fait, je laissais passer le temps.
Mais elle ne tarda pas à se manifester !
Elle appelait sa mère tous les jours depuis quelque temps et cela amusait beaucoup cette dernière. Cela la changeait et elle aimait bien discuter avec sa fille. J’écoutais avec attention ce qui se disait entre elles et j’espérais surtout obtenir des infos sur sa prochaine visite.
C’est comme ça qu’un soir je sus exactement quel jour elle allait passer à l’action. En effet, sa mère lui annonça qu’elle devait partir deux jours pour une formation au sein de son entreprise et cela allait se faire le jeudi et le vendredi suivant. Il me restait donc deux jours pour préparer au mieux la petite surprise que je lui réservais.
Le jeudi arriva et Noë m’appela au travail pour me demander si on pouvait se voir le soir. Je lui répondis que je finirai certainement très tard et qu’il valait mieux remettre ça à une autre fois.
Elle raccrocha avec de la peine dans la voix et en me disant qu’elle m’attendrait s’il le fallait.
Je lui proposais donc de passer à la maison et de m’y attendre, sachant qu’elle avait un double des clés.
Mais j’avais un autre plan. Je connaissais ma belle-fille et je savais que, quand elle est en vacances, comme en ce moment, elle aime bien faire une petite sieste, surtout quand elle sait qu’elle va veiller tard le soir même. Je posais donc mon après-midi et décidais d’aller lui rendre une petite visite. Il faut dire que j’avais moi aussi le double de ses clés.
A deux heures de l’après-midi, j’allais donc chez elle. Je me garais dans une autre rue et je finissais à pieds. Arrivé devant la porte de son appartement, j’écoutais discrètement en collant mon oreille à sa porte et, comme je n’entendais rien, j’ouvris la porte avec mon double et j’entrais.
Il n’y avait effectivement aucun bruit. Je retirais mes chaussures et je me dirigeais vers sa chambre. Elle était bien en train de dormir.
Complètement nue, le drap écarté sans doute à cause de la chaleur, elle était dans les bras de Morphée. Allongée sur le dos, son bras droit sous sa tête tournée vers la gauche, tout prêt du bord du lit, le bras gauche posé sur le côté, elle avait sa jambe droite allongée et la gauche repliée avec le genou sur le côté. J’avais une magnifique vue sur sa chatte dépourvue de tout poil. Ses grandes lèvres étaient légèrement écartées et dévoilaient deux petites lèvres très attirantes et légèrement humides. Soit elle venait de se masturber, soit elle faisait un rêve érotique.
Je m’approchais doucement de son lit, à sa gauche et je pouvais entendre sa respiration. Elle était très apaisée, j’espère parce qu’elle avait atteint son but de m’avoir dans son lit.
Elle était tout simplement majestueuse dans la tenue d’Eve. Son corps était parfait. Ses formes étaient vraiment celles que j’affectionne tout particulièrement. Un soupçon de bourrelets à la taille, des fesses charnues et des seins pleins, des hanches pour bien s’accrocher et une petite culotte de cheval pour claquer les cuisses dans certaines positions. Elle me faisait bander très dur rien que de la regarder. Je me positionnais donc juste à côté du lit et posais ma main sur sa cuisse. D’abord en l’effleurant tout juste, puis en appuyant très légèrement. Je caressais l’intérieur de sa cuisse repliée juste au niveau du pli de l’aine, là où la peau est la plus douce et fine. Puis
je remontais vers ses lèvres intimes. Je passais mon index entre les grandes lèvres. Aussitôt, de la cyprine se déposa sur mon doigt et je n’eus aucun mal à glisser sur son clitoris. Je procédais lentement, pour ne pas brusquer son réveil, que je ne souhaitais pas du tout. Je voulais profiter d’elle encore une fois. Très vite, son clitoris sortit de son étui et sa chatte s’ouvrit. Je ne pouvais pas voir si elle s’était réveillée ou si elle dormait encore, mais sa respiration s’était un peu accélérée et sa chatte commençait sérieusement à dégouliner. Elle était très clitoridienne, visiblement.
Je sortis alors ma queue qui était déjà bien bandée et je me masturbais tout en titillant son clitoris. Puis j’approchais mon sexe de sa bouche entrouverte. Je passais le gland sur ses lèvres mais cela ne lui fit pas ouvrir la bouche. Je recalotais alors mon gland, posais ma queue avec la peau sur ses lèvres et tout en tirant sur le prépuce, je poussais ma bite dans sa bouche. Sans difficulté, ses lèvres s’écartèrent. Ma queue n’eut alors aucune difficulté pour entrer dans sa cavité buccale. Mais je ne la fis pas entrer complètement. Seul le gland était entre ses lèvres et je continuais ma masturbation. Dans cette situation, je ne tardais pas à ressentir l’orgasme monter et au moment où le sperme montait dans le canal de l’uretère, je poussais un tout petit peu pour faire entrer un peu plus ma queue. J’éjaculais alors dans sa bouche, pour mon plus grand bonheur. Elle se réveilla, mais ne sursauta pas. Et alors qu’elle allait s’écarter pour se dégager de ma queue, elle se révisa et, tout en avalant mon sperme, elle engouffra ma verge plus au fond de sa gorge. et me suça de plus belle. Avec ce traitement, je ne tardais pas à bander de nouveau. Noë se remit à genoux sur son matelas et me déshabilla complètement puis m’attira dans son lit.
Nous nous allongeâmes l’un contre l’autre et je la serrais dans mes bras. Elle passa une jambe par-dessus les miennes et vint saisir ma queue avec sa main droite et la dirigea vers sa vulve. Je n’eus aucun mal à la pénétrer. Nous fîmes l’amour langoureusement de longues minutes dans cette position, puis je la repoussais sur son dos et je continuais de la baiser tendrement dans la position du missionnaire. Je voulais lui faire l’amour avec toute la tendresse qu’elle méritait, d’autant que, dans les textes, je venais de la baiser sans son consentement pendant qu’elle dormait. Alors je voulais qu’elle sache mon amour pour elle, qu’elle découvre le sexe dans une phase douce et tendre. Pendant que je bougeais en elle, je m’efforçais d’être le plus doux et tendre possible, je lui disais des mots d’amour et je lui rappelais combien elle était
belle.
Très vite, le plaisir est monté et nous eurent notre premier orgasme simultané.