Noëla (6ème partie)

Aussitôt la porte refermée, Noë m’enlaça et mit sa langue dans ma bouche. Puis elle s’écarta et alla faire le tour de l’appartement.
-Qu’est-ce que tu fais ?
-Je vérifie que tout est bien fermé !
Elle revint vers moi, retira sa robe et son soutien-gorge et commença à défaire ma ceinture. elle retira mes habits puis s’agenouilla devant moi en me faisant m’asseoir dans le canapé. Tout en me regardant droit dans les yeux, elle prit ma queue dans sa bouche et me fit une fellation très torride. Elle ne me quittait pas des yeux et elle s’appliquait à me donner du plaisir avec sa bouche, sa langue et ses mains. Elle faisait tourner sa langue autour de mon gland alors qu’elle avait la plus grande partie de ma queue dans sa bouche. Jamais sa mère ne m’avait fait ce truc, mais c’était une sensation terriblement excitante. Avec ses mains, elle caressait mes couilles qu’elle léchait de temps en temps et mes fesses. Elle se mit alors à caresser mon anus avec un doigt tout en continuant de me sucer. De temps en temps, elle prenait son doigt en bouche pour le mouiller puis elle le remettait sur mon anus. Elle commença à pousser pour m’introduire son doigt et dès que ça coinçait un peu, elle le ressortait pour le mettre dans a bouche ou le lécher avant de l’introduire de nouveau dans mon fondement. A chaque passage, il entrait un peu plus dans mon cul et la sensation était divine. Une fois son doigt entré entièrement, elle recommença avec un deuxième doigt. Ce fût un peu douloureux au départ, mais très vite la sensation de chaleur que cela me procurait devint un régal. Si bien que je finis par sentir monter l’orgasme.
-Je vais venir !
Noëla me garda dans sa bouche tout en faisant des va-et-vient dans mon anus et je ne pus pas me retenir plus longtemps. J’éjaculais alors qu’elle enfonçait ma queue tout au fond de sa gorge, en ouvrant en grand sa bouche, comme pour y faire entrer aussi mes couilles. La sensation était phénoménale et l’orgasme qui me prit fût terrible. Elle me suça la queue jusqu’à ce que le dernier jet de sperme s’écrase au fond de son gosier, puis elle me lécha comme pour nettoyer mon sexe. Une fois cela fait, elle s’installa à côté de moi, la jupe complètement relevée et le string visiblement bien mouillé.
Je pris ma maîtresse par la main et la conduisis dans la chambre d’amis. Là, je la poussais sur le lit et la fit s’allonger sur le ventre. Je pris la jupe et le string au niveau de la taille et fit descendre les deux vêtements en même temps jusqu’aux pieds et les jeta au sol. Je vins ensuite me positionner au-dessus d’elle et lui embrassais les fesses en les malaxant. Puis, je les écartais et vint poser un bisou sur son anus. Elle frissonna et poussa un long soupir de soulagement. Alors ma langue entra en action. Je la faisais aller et venir sur son petit trou doucement, d’avant en arrière, puis je la faisais entrer un peu dans son antre, avant de recommencer la lécher sa raie toute entière, jusqu’à sa vulve et même son clitoris. Noë poussait des petits cris à chaque passage de ma langue sur son clitoris et sur son anus. Une fois son anus bien humide, je décidais de le pénétrer. Je me redressais donc et vint positionner ma queue juste à l’entrée de sa vulve détrempée. Je poussais alors un grand coup et alla taper contre le col de son utérus, puis je la limais tranquillement en la faisant gémir de plaisir. Dans le même temps, je positionnais mon index sur sa rondelle et je poussais, le faisant ainsi entrer jusqu’à la première phalange. Je le fis ressortir et récupéra sa mouille autour de sa vulve pour l’étaler copieusement sur son anus et je refis rentrer mon index entièrement dans son petit trou. Je commençais à la limer avec mon doigt au même rythme mais inversé qu’avec ma queue dans sa chatte. Ses gémissements commencèrent à augmenter.
Tout en gardant le même rythme avec ma queue, je me mis à faire tourner mon index à l’intérieur de son conduit anal et je finis par appuyer un peu plus sur la paroi qui séparait le colon du vagin. Elle recommença à émettre des petits cris à chaque fois que ma queue touchait mon doigt à travers la paroi. J’introduisis alors aussi mon majeur dans son anus et je faisais glisser les deux doigts contre la paroi, en sens inverse de ma queue. Enfin, pour parachever mon affaire, avec ma deuxième main, je vins triturer son clitoris.
Il ne fallut que quelques secondes de ce traitement pour faire monter Noëla au septième ciel. Elle émit d’abord un feulement rauque, puis un « ah » assez strident pour finir par lâcher un « Je jouiiiiiiis » avec une voix extra-ordinairement grave avant de se mettre à trembler de tout son corps.
Je me suis même fait une petite frayeur quand j’ai vu ses yeux se révulser quelques secondes quand j’éjaculais au fond de son vagin. Elle s’est mise à baver et sangloter en même temps, puis elle éclata d’un fou-rire incroyable.
Au bout d’une trentaine de secondes, elle se calma et s’écroula sur son lit à plat ventre.
J’attendis encore une bonne minute avant d’entendre le son de sa voix.
-PU-TAIN ! Tu es un Dieu ! Comment tu fais ça ? Je croyais pas que c’était possible de jouir comme ça ! J’ai pris un pied incroyable !
-Tu as vraiment aimé ?
-Ah là là ! Oui ! Oui !Oui ! J’en peux plus ! Tu m’as ruinée ! Mais quel putain d’orgasme !
-Je t’avoue que moi aussi, j’ai éprouvé un putain d’orgasme ! J’ai adoré te faire tout ça ! Mais je suis tellement content que tu aies aimé ce que je t’ai fait ! Je ne veux pas aller trop loin alors j’essaie d’être attentif aux réactions de ton corps et j’ai bien compris que tu aimes la sodomie. Et figure-toi que ça tombe bien, parce que j’adore ça aussi !
Elle ne répondit rien, parce qu’elle s’était tout simplement endormie. Je venais de finir de parler que son ronflement se fit entendre. Je m’écartais alors d’elle et tandis qu’elle était toujours allongée sur le ventre, je me mis à admirer son cul d’abord, puis l’intégralité de son corps.
Même dans cette position, elle était tout simplement divine. Ses fesses généreuses avec sa petite culotte de cheval étaient offertes à ma vue, sa vulve dégoulinante de mon sperme était encore grande ouverte et aurait pu accueillir ma queue sans rechigner. Ses seins, aplatis par le poids du corps sur le matelas, débordaient de chaque côté d’elle. Ses cheveux mi-longs et ondulés noirs lui retombaient sur le visage. J’étais amoureux de la gamine de 23 ans.
Ma queue avait de nouveau envie de jouer avec son corps, mais je voulais garder le plaisir de l’enculer en pleine conscience. Je la tournais alors sur le côté en positionnant son visage sur le bord du lit. Je vins me positionner sur le côté du lit et après m’être masturbé quelques instant et avoir redonné une bonne tonicité à ma bite, je vins la placer devant sa bouche. Cela ne la fit même pas réagir tellement elle était épuisée. J’insistais pour faire entrer ma queue dans sa bouche et une fois à l’intérieur, je me mis à baiser sa bouche de salope. Pendant que j’astiquais sa mâchoire, j’introduisis un doigt dans sa chatte et un autre dans son anus. Chaque orifice accueillait sans difficulté ce que je mettais dedans tellement elle était détendue et dilatée. Le spectacle était très excitant et je ne tardais pas à décharger une rasade de sperme entre ses dents, puis, je sortis de sa bouche et éjaculais le reste sur son visage. Le tableau était merveilleux à voir. Je déposais alors un bisou sur la bouche de ma belle-fille et en profitais pour lécher le sperme qui s’y trouvait. Le goût de sa salive ajouté à celui de ma semence était très agréable. Je fis de même avec sa chatte. Je ramassais ce qui s’écoulait de son vagin en un grand coup de langue et je fus submergé par une décharge électrique. Le goût de mon sperme avec celui de sa cyprine faisaient un mélange divin ! J’en reprenais une petite dose tellement c’était bon.
Repu, je m’allongeais à côté de ma petite Princesse et ne tardais pas à m’endormir.
Quand je me réveillais, j’avais la main droite de Noëla qui tenait ma queue et mes couilles. Elle me regardait avec tendresse et un sourire illumina son visage quand elle me vit me réveiller.
-Bonjour Sky ! Comment te sens-tu ce matin ?
-Ça va bien, ma puce, et Toi ?
-Je meurs de faim !
-Allons déjeuner alors !
-Je vais prendre une douche avant !
-Pas de soucis ! J’irai après toi !
-Tu peux venir aussi en même temps que moi, si ça te dit !
-Pourquoi pas !
Nous voici donc tous les deux dans la salle de bain.
-Tu t’es régalé après que je me suis endormie, hier soir !
-Pourquoi tu dis ça ?
-Je ne me rappelle pas avoir avalé ton sperme et pourtant, j’en avais plein le visage ce matin !
-C’est possible que je t’ai un peu aspergée pendant ton sommeil !
-Tes un beau salop, quand même !
-Tu es fâchée ?
-Noooon ! J’adore ça !
-Ah, mais tu es une grosse cochonne, toi, en fait !!
-Tu trouves que je suis grosse ?
-Ah non ! Tu es juste parfaite ! J’adore tes formes !
-J’ai des trop grosses cuisses ! Ça me fait une culotte de cheval énorme, je trouve !
En disant cela, elle passait sous la douche.
-Ben écoute, sincèrement, je trouve que tes jambes sont comme tout le reste ! Très appétissant, super sexy ! Tu es très bandante ! Tous les mecs veulent te baiser je suis sûr !
-C’est justement ça qui cloche ! Ils veulent me baiser, mais y’a jamais de sensualité, de complicité, d’amour, de respect ! Et j’en ai marre !
-C’est vrai que ça doit pas facile quand même ! Je te plains ! Mais heureusement, je suis là pour redresser la situation !
-C’est bien vrai, ça !
-Bon, ma belle, il faut que j’aille bosser et ta mère va rentrer cet après-midi ! Tu rentres chez toi où tu fais autre chose ?
-Je ne sais pas encore ! Je reprends le boulot lundi, j’ai encore du bon temps devant moi!Mais, ça va plus être pareil ! Je vais m’ennuyer et surtout, je vais attendre avec impatience ta prochaine visite !
-Tu sais aussi où je travaille, tu peux venir me voir des fois !
-Oui, tout comme toi !
Je partais au taf l’esprit léger et les couilles vidées ! Cela faisait longtemps que ça ne m’était pas arrivé.
Le soir, je retrouvais ma tendre épouse. Elle m’embrassa passionnément quand j’arrivais à la maison, mais rien ne changea pour le reste. J’ai essayé de la draguer un peu, mais son stage l’avait épuisée et elle s’endormit très vite.
Je mis longtemps à m’endormir, car j’avais les images de ces deux jours passés avec ma belle-fille. Je revoyais son cul, ses seins et je ressentais sa bouche sur ma queue ! Je finis par m’endormir avec une érection très évocatrice !