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Noëla (9ème partie)

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 15/02/2023

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Le vendredi matin, Charline m’annonça qu’elle devait passer la journée et la soirée avec sa mère car il y avait une cérémonie dans son village. Elle devait donc y passer la nuit de samedi à dimanche et elle rentrerait dans l’après-midi. Je pense qu’elle me donnait ainsi le feu vert pour passer le week-end avec sa fille.
C’est ainsi que le samedi matin, je pris quelques affaires et j’allais chez Noë. Je ne lui avais rien dit et elle fût agréablement surprise quand elle me vit.
-Salut Daddy-Sky !
-Salut Chérie ! Comment vas-tu ce matin ?
-Ça va ! Ça va même très bien depuis que je vois que tu es là ! Même si ça fait tout drôle de savoir ce qu’on va faire et que maman est d’accord avec ça !
-C’est vrai, mais n’en parlons plus ! Pour le moment, on va prendre le petit-déj’ ensembles et on verra ce qu’on fera ensuite !
-Très bonne idée, je meurs de faim !
J’entrais donc dans son appartement qui était très bien rangé. Je retirais ma veste et m’assis dans le canapé. Je regardais ma maîtresse qui préparait le café dans la cuisine et je la trouvais merveilleusement belle. Elle n’était pas coiffée, mais ses cheveux n’étaient pas en bordel pour autant, elle les avait attachés en une queue haute. Elle portait un peignoir rouge vif et des claquettes toutes simples. Quand Noë passa devant moi, je l’attrapais et la fis s’asseoir sur mes genoux. Nous nous embrassâmes avec passion et, en la serrant dans mes bras, j’attrapais un de ses magnifiques seins. Elle poussa un grand soupir et me pris le visage entre ses deux mains. Je glissais alors ma main sous son peignoir et je posais ma main sur la peau douce de sein. Aussitôt, je sentis le téton se durcir et je le pris entre deux doigts pour le titiller un peu plus. Nous restâmes ainsi quelques minutes puis elle se releva d’un coup sec.
-Décris-moi ! me lança-t-elle en retirant son peignoir. Elle apparut alors entièrement nue devant moi.
Elle était tellement belle, avec sa peau marron clair, ses petits yeux noisette qui me fixaient avec passion, ses seins volumineux, mais tellement fermes et bien tenus, ses hanches harmonieuses, ses cuisses larges mais gracieuses et ses fesses sexy. Je lui énumérais ses qualités physiques en la faisant tourner sur elle-même.
Elle me prit alors dans ses bras.
-Tu vois, personne ne m’a jamais dit ça comme ça. Oh, bien sûr qu’on m’a dit que j’étais belle, que j’ai de belles formes ou que j’ai un cul d’enfer, mais jamais avec des mots gentils comme tu viens de le faire !
-Ce sont tous des cons !
Elle prit alors ma ceinture et la décrocha, ouvrit mon jeans et le baissa en même temps que mon caleçon. Aussitôt, ma queue apparut, pas encore bandée, mais déjà un peu dure.
Noë la prit dans ses mains et la porta aussitôt à sa bouche. Je regardais alors ses lèvres venir entourer mon gland, sa langue vint le mouiller en glissant sur toute sa surface, et enfin, sa bouche s’ouvrit et elle absorba mon bâton entièrement, jusqu’au fond de sa gorge. Elle me suça ainsi de longues minutes, en caressant mes fesses et mes bourses. Elle écartait mes fesses par moment et glissait un doigt entre, jusqu’à mon anus, qu’elle caressait doucement. Puis, elle se mit à appuyer un peu plus fort sur ma rosette quelques instants.
-Tu aimes ? me demanda-t-elle
-Oui, j’adore ça, continue !
-Tu veux plus ?
-Bien sûr !
Elle mit son doigt dans sa bouche, le lécha quelques instants en me regardant droit dans les yeux, puis repris mon sexe dans sa bouche pendant qu’elle reposa son doigt sur mon petit trou. Elle poussa alors dessus et elle le fit entrer dans mon canal anal de quelques centimètres. Ce n’était pas la première fois qu’on me faisait ce petit plaisir, car ma femme et moi le faisions régulièrement, j’en étais friand. Mais le fait que c’était ma belle-fille qui me donnait ce petit plaisir était divin ! Elle reprit son doigt dans sa bouche pour le remouiller et je vis qu’il était plein de bave quand elle le repositionna devant mon anus. Cette fois-ci, elle le fit entrer d’un seul coup, entièrement dans mon cul et commença à me limer le colon, tout en me suçant la bite avec dextérité. Je sentais monter le plaisir et lui annonçais que si elle continuait comme ça, j’allais inonder sa bouche de sperme. Elle continua de plus belle et enfonça ma queue tout au fond e ma gorge, me faisant une putain de gorge profonde que même sa mère ne m’avait jamais fait. Je sentais sa glotte sur la base de mon gland et la sensation était purement exquise. Son doigt dans mon anus était en plus en train de titiller ma prostate et ce que je ressentais devenait tout simplement indescriptible. Le plaisir monta encore d’un cran et je sentis mon corps partir dans les hautes sphères quand le sperme monta dans le canal de l’urètre. j’explosais alors dans la bouche de ma petite catin de belle-fille, en poussant un râle rauque qui sortit du fond de mon ventre. Plusieurs jets de sperme s’écrasèrent dans sa gorge et comme ma queue était tout au fond de celle-ci, Noë n’eut aucun mal à tout avaler car le liquide entrait directement dans son gosier. Elle continua de me sucer encore quelques minutes, comme pour nettoyer ma queue ou simplement pour profiter des dernières gouttes de mon liquide de jouissance.
Je tombais alors à la renverse sur le canapé, les bras ballants. Je n’en pouvais plus, je me sentais vidé tellement la jouissance avait été intense.
Noë s’installa alors à côté de moi, après avoir posé le plateau contenant nos deux cafés et des petits biscuits pour agrémenter notre petit déjeuner.
-Ça t’a plu ?
-Waouh, carrément, tu es une sacrée suceuse, mine de rien ! Tes mecs doivent être contents quand tu leur fais des trucs comme ça !
-J’ai jamais fait ça ! C’était la première fois ! Aucun ne méritait que je me dépasse comme je le fais avec toi, Daddy Sky !
-Merci ma Grande ! Tu es une merveille, tu sais ! Qu’est-ce que les jeunes peuvent être cons !
-Comme tu dis !
-Je veux que tu restes nue quand on est tous les deux chez toi !
-Mais, je suis pas belle avec mes gros seins qui sont flasques !
-Tu veux rire ? Ils sont pleins et lourds, donc c’est normal qu’ils paraissent tomber un peu ! Mais ils sont fermes et bien accrochés ! Tu as une poitrine très généreuse et nombre de filles de ton âge aimeraient en avoir autant et d’aussi belle forme !
-Et mon gros cul ?
-Ton cul est juste comme je les aime ! Très attirant, qu’on a envie de claquer un peu, qu’on peut écarter les fesses pour atteindre le petit trou plein de sensations ! Alors arrête de faire ta mijaurée et obéis-moi !
-D’accord, Papa ! dit-elle en explosant de rire.
Presque jamais elle ne m’appelait comme ça, sauf en présence de sa mère ! En tout cas, quand on était tous les deux, et surtout depuis qu’on avait cette relation, c’était la première fois qu’elle m’appelait ainsi et ça me gênait un peu, mais je ne dis rien.
Une série se jouait devant nous à la télé, mais nous discutions beaucoup de choses et d’autres, de son travail, de ses souhaits d’avenir, de l’acceptation de sa mère par rapport à notre relation. Ma belle-fille était une jeune femme très mature pour certains de ses côtés, mais elle pouvait être aussi très naïve pour d’autres choses.
Subitement, Noë se leva et disparu dans sa chambre. Elle revint quelques instants plus tard avec un petit colis dans les mains.
-Qu’est-ce que c’est ? demandais-je
-Un petit cadeau, que je nous fais !
Elle me tendit le paquet que j’ouvris rapidement. Je voulais savoir ce qu’elle avait imaginé.
Quelle ne fût pas ma surprise de découvrir un godemichet noir de taille moyenne. Il devait bien mesurer seize centimètres de long pour un diamètre d’environ quatre ou cinq centimètres.
-Eh ben dis donc ! Tu as peur de manquer de moi ou tu trouves que ma queue est trop petite ?
-Ni l’un ni l’autre ! Je veux ta queue et le gode ! Je veux les deux en même temps !
-Chérie ! Tu veux du charme et de la tendresse et tu dis que tu veux une double pénétration ! C’est pas vraiment compatible, ça !
-Si c’est toi qui le fais, je suis sûr que je vais y trouver tout ce que je cherche !
-D’accord ! Alors viens, on va essayer ça !
Nous nous sommes installés dans sa chambre et je découvris qu’elle avait maintenant un lit King Size à baldaquins.
-Ben dis-donc, tu as changé de lit ?
-Oui, j’avais envie ! me dit-elle alors que nous avancions vers la couche et qu’elle me tournait le dos.
Je la poussais alors un coup sec et la plaquais sur le ventre sur son grand lit. Elle se retrouvait les bras en croix et cela ne la perturbait pas du tout. Elle riait même. Je me plaçais alors à califourchon sur ses cuisses et lui malaxais les fesses en les écartant généreusement. Je pouvais ainsi admirer sa rondelle que je trouvais très attirante, elle le savait bien et elle en jouait en écartant au maximum ses fesses.
Je bavais alors exprès un long filet de salive directement sur son petit trou et commençait à le dilater. Mais je voulais surtout qu’elle soit très excitée, car elle m’avait demandé une double pénétration et elle allait être servie.
Pendant que je titillais son anus et que je faisais rentrer mon index de plus en plus loin, avec mon autre main je commençais à caresser sa vulve et son clitoris.
Pour faciliter la manœuvre, je la fis se mettre sur ses genoux, la tête toujours reposée sur le matelas. J’avais ainsi une merveilleuse vue sur ses parties intimes et un accès aisé à ses trous.
Quand sa chatte commença à suinter, j’introduisis un puis deux doigts et commençais des va-et-viens lents, mais profonds. A ce moment-là, mon autre doigt était entré dans son anus jusqu’à la deuxième phalange et je pouvais sentir chacun de mes doigts à travers la paroi fine qui sépare les deux orifices.
Noëla commençait à ronronner de plaisir et ses gémissements trahissaient son plaisir.
Alors qu’un orgasme semblait monter tout doucement, je sortis mes doigts de son vagin et y introduis le gode. Il ne peina pas à entrer et je l’enfonçais jusqu’à ce que les fausses couilles viennent frapper son clitoris. Elle aimait visiblement être pénétrée par ce gros engin, qui je reconnais était plus gros que ma queue. Mes aller-retours commençaient à lui procurer des bonnes sensations et elle poussait de longs râles qui semblaient venir du fond de ses entrailles.
Tout en gardant une main sur le gode pour qu’il ne ressorte pas de sa chatte, je la fis s’allonger sur le dos, tout en lui maintenant les deux jambes bien relevées. Je positionnais alors ses mollets sur mes épaules, vint placer ma queue juste face à son anus et, tout en faisant jouer le gode dans sa chatte, je poussais pour faire entrer ma queue dans son cul.
Elle eut un petit moment de douleur, car je vis ses sourcils froncer, mais très vite, ses yeux s’ouvrirent de nouveau et, le regard dans le vague, elle se mit à gémir de plus en plus fort.
Je sentais, dans son canal anal, ma queue frotter contre le gode que je continuais d’activer dans sa chatte. La sensation était très agréable pour moi et je devinais, à ses gémissements, que ma belle-fille appréciait cela aussi.
-Oui, vas-y, Daddy Sky, défonce-moi ! C’est tellement bon ! Continue ! Encore, encore ! Plus fort !
Je donnais des grands coups de reins dans son cul et la base du gode était plaquée contre mon pubis, ce qui faisait que le gode suivait maintenant mes mouvements de bassin. Avec mes mains, je malaxais ses seins lourds qui ballottaient au rythme de mes coups de boutoir.
Je sentais mon plaisir monter en même temps que les gémissements de ma petite salope de belle-fille augmentaient et dans une explosion simultanée, nous avons joui tous les deux en même temps. Plusieurs jets de sperme allèrent s’écraser dans son anus pendant que sa chatte m’éclaboussait le ventre de sa cyprine qu’elle expulsait au rythme du gode et de mes derniers coups de rein.
Je sortis de son cul, retirais le jouet de son vagin et vint lécher sa vulve détrempée. Sa liqueur était délicieuse et je voulais en goutter un maximum. J’adorais ce goût sucré de cannelle citronnée unique et très différent de celui de sa mère. Une fois la source tarie, je me relevais et vins m’allonger à côté de ma douce maîtresse.
Nous restâmes ainsi un long moment avant de parler.
-Waouh ! Je me sens vidée ! Mais c’était tellement bon ! Tu es un dieu ! Tu m’as fais jouir comme jamais je n’avais joui ! Jamais je ne retrouverai ça !
-Pourquoi ? Tu sais comment faire maintenant, il ne te reste qu’à trouver le partenaire et à lui faire faire ce que je t’ai fait !
-Non, il n’y aura jamais la même relation que nous avons ! C’est unique !
-C’est pas faux ! Mais en même temps, on peut toujours le refaire de temps en temps ! Enfin si tu es d’accord !
-J’aimerais tellement ! Mais est-ce que maman acceptera ?
-Ah, ça, c’est le mystère !
-Mais en fait, qu’est-ce qui a fait que maman a accepté ?
-Je pense qu’elle culpabilise de ne pas avoir envie de faire l’amour souvent avec moi.
-Oui, elle a raison de culpabiliser ! Qu’est-ce qu’elle perd !
-Tu sais, elle ne le fait pas exprès !
-Peut-être qu’elle n’a plus envie avec toi, mais qu’elle a quelqu’un d’autre !
-Je ne crois pas !
-D’accord !
Il y eut un long silence. Je ne pensais à rien en particulier.
-Qu’est-ce qui te manque, sexuellement parlant ?
-De l’attention ! J’aime quand tu t’occupes de moi, quand tu me suces, quand tu me caresses ! C’est pareil avec ta mère, sauf que c’est pas souvent ! Pendant, elle me faisait des massages, mais c’est loin, ça !
-Je ne sais pas masser, sinon, je le ferais !
-Il n’y a pas besoin de savoir. Un bon massage est celui qui donne du plaisir, pas besoin qu’il soit relaxant, ou dynamique, ou physique. Il suffit que la personne qui le reçoit se sente bien.
-D’accord ! Quoi d’autre ?
-J’aimerais tenter une fois d’avoir un rapport à trois ! Deux femmes avec moi ou un homme et une femme avec moi !
-Tu es bi ?
-Ça me tente … enfin, je crois ! Toi, tu as déjà essayé avec une femme ?
-Oui, je l’ai fait plusieurs fois quand j’étais encore ado ! Tu te souviens de Nathalie ? et de Louise ? Toutes les deux sont passées dans mon lit ! Mais je n’ai jamais fait à trois !
Nouveau silence qui dura quelques minutes, puis, au moment où j’allais reprendre la parole pour savoir si ma belle-fille avait faim, je remarquais qu’elle s’était endormie. Je me levais alors doucement et me dirigeais vers la salle de bain pour prendre une bonne douche.
Quand je revins dans la chambre, Noë dormait encore apparemment. Je la laissais tranquille et retournais dans le salon.
Je m’installais dans le salon devant des vidéos et finis par m’endormir moi aussi.
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