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Olivier, prof soumis 10

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Lue : 10734 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 17/11/2011

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Cinq !

La porte s'ouvrit sur ma femme Nicole qui me découvrit au milieu de la salle de bain, en chemise et les fesses à l'air, en train de m'astiquer désespérément le membre.

– Il va falloir que tu te calmes, mon petit chéri, tu deviens sourd !

C'est sa voix, ce sont ses mots, qui m'infligèrent le coup de grâce. J'éjaculai, à sa grande surprise, et mon sperme gicla dans la salle de bains. Je crus même apercevoir quelques gouttes tomber sur sa robe.

– Désolé, m'obligeai-je à balbutier, tout en poursuivant mes mouvements de poignet, puisant jusque tout au fond du plaisir accumulé pendant la journée la semence libératrice.

– Tu te fais encore des câlins en cachette, fit Nicole, sur un ton qui feignait le reproche.

Et elle restait là, bouche ouverte, visiblement stupéfaite de la scène à laquelle elle venait d'assister en ouvrant la porte. Puis se remettant de sa surprise, elle vint s'appuyer contre le lavabo, en évitant ostensiblement les traînées visqueuses que j'avais laissées sur le sol carrelé et le tapis de sortie de douche.

– Il va vraiment falloir que tu me présentes cette petite élève brune qui te met dans un tel état. Tu l'as le mardi, c'est ça ? C'était bien un mercredi que je t'ai surpris, non ?

– Je… je ne sais plus, répondis-je en tentant de cacher ridiculement mon sexe dans le bas de ma chemise.

Puis elle poussa un petit ricanement.

– Et tu fais ça tous les mercredis depuis la rentrée ?

– Je te jure que non, m'empressai-je de répondre.

– Le pire, c'est que je suis certaine que ça lui plairait, à cette petite traînée, de savoir que son prof de français se masturbe sur elle après l'avoir eue en cours.

J'allais répondre lorsque, suivant une logique qui m'échappa, Nicole poursuivit en disant :

– Tu sais, je te l'ai pas dit, mais avant-hier, j'ai adoré ce que tu m'as fait.

– Ce que je t'ai fait ?…

– En rentrant… Me réveiller… Me mettre le doigt dans… dans le cul.

Ce n'était pas tant la réflexion de ma femme qui m'étonna, que le souvenir de ce que m'avait dit Jennifer. Elle m'avait juré, en forme de pari, que dans peu de temps ma femme Nicole se mettrait à quatre pattes par terre, me suppliant de la baiser par derrière. Or, ce dernier lundi, après mon premier rendez-vous avec ma Maîtresse, Nicole aurait été disposée à ce que je la prenne par les fesses, à ce que je la sodomise. Du moins ma femme en avait-elle effleuré la possibilité, en me le proposant, ce que je n'aurais jamais imaginé jusqu'à aujourd'hui.

Peut-être au bout du compte Jennifer n'était-elle pas trop ambitieuse. Mais d'où pouvait-elle tenir cette connaissance si profonde de la nature humaine ? Ça relevait de l'invraisemblable. Quoi qu'il en soit, ma Maîtresse Jennifer semblait avoir une nouvelle fois raison, l'avenir — proche — le dirait en tout cas. Ça me sidérait, et j'éprouvais même un semblant de fierté à être devenu, par contrat, son soumis.

Son soumis… C'est vrai, je n'y avais jamais songé avant, mais étais-je seulement son unique soumis ?

– Figure-toi que j'y ai pensé toute la journée, Olivier. Et hier aussi, ajouta-t-elle presque fièrement.

– Ah qui ? À Bernardeau ?… demandai-je pour la taquiner.

– Qui ça ?

– Bernardeau, le —

– Ah oui ! me coupa-t-elle. Ce Bernardeau-là. Non, je ne me souviens même pas qui il est.

– Pourtant, l'autre soir —

– L'autre soir j'étais à moitié endormie, tu m'as eue par surprise. J'aurais pu te dire n'importe quoi, tout ce que tu voulais entendre.

– Même pour… pour la sodomie ? me risquai-je, encore excité par cette journée.

Il minauda un peu.

– La sodomie, je ne sais pas… C'est à réfléchir. Nous ne sommes pas des bêtes, quand même.

Puis elle se redressa et quitta la salle de bain. Je l'entendis juste ajouter, depuis le couloir :

– Passe quand même un coup de serviette par terre. Et estime-toi heureux que je te fasse pas lécher tout ça !

Et elle s'éloigna en riant, satisfaite sans doute de sa bonne blague.

Lorsque je redescendis, elle était à la cuisine, en train de préparer le repas. Je l'embrassai, comme si elle venait tout juste de rentrer, et lui passai mine de rien la main sur les fesses. Toute la préparation du dîner fut ainsi entrecoupée de caresses furtives, sur les fesses, sur les hanches, sur la poitrine et le ventre, et je m'aventurai même, juste avant de passer à table, à lui glisser une main dans la culotte, sans trop marquer cependant de détermination.

– Arrête, me dit-elle, tu me mets au supplice. Mais tu ne perds rien pour attendre, toi… Attends un peu qu'on ait fini de manger !

Je réalisai que la consigne de Jennifer — maintenir ma femme en état d'excitation — ne serait pas une tâche aussi aisée à accomplir. Elle nécessitait en vérité tout un art que je ne possédais pas. Pas encore peut-être. Il était clair que j'avais été trop insistant ce soir, et que Nicole, à présent, ne comptait pas en rester là. Ça ne faisait aucun doute à sa façon de me jeter des coups d'œil aguicheurs, à se tortiller sur sa chaise, pendant tout le repas, tout en me racontant distraitement sa journée.

Je ne me trompais pas. Lorsqu'elle revint de la cuisine après avoir débarrassé la table, elle se plaça à côté de moi, et remonta sa robe.

– Je suis idiote… Figure-toi que j'ai mis ma petite culotte dans le lave-vaisselle avec nos assiettes, regarde.

Elle disait vrai. Elle était nue sous sa robe.

– Tu ne veux pas retirer ton pantalon et ton slip, et les poser là, comme tout à l'heure ?

Je m'exécutais docilement, sans réfléchir.

– Rassieds-toi à table, me demanda-t-elle, presque durement.

Je m'assis, docilement. Elle m'enjamba en retroussant complètement sa robe, resta sur les pointes le temps de se saisir de mon sexe et de le glisser dans le sien, puis se laissa tomber sur mes cuisses avec un long soupir.

– Je crois que je suis passé en mode « lavage rapide », fit-elle, toujours avec humour. Tu sens comme je suis trempée ? Toute trempée.

C'était vrai. J'avais glissé en elle d'un coup, sans le moindre frottement, et je sentais même déjà sa cyprine couler le long de mon sexe qui s'était redressé particulièrement vite alors que je retirai mon pantalon.

Nicole était follement excitée et produisait à elle seule tout l'effort, poussant sur ses cuisses écartées jusqu'à la limite de mon gland pour venir ensuite s'empaler de tout son poids sur mon membre raide. Lorsque je passai les bras pour la prendre par les hanches, elle les attrapa et les repoussa derrière la chaise.

– Accroche-toi au dossier, mon cochon. Tu vas voir ce que tu vas voir ! Je vais te la faire oublier, cette petite salope brune !

Et elle poursuivit ses montées et ses descentes le long de mon sexe, longtemps, haletante, ne s'interrompant que de temps à autre pour reprendre son souffle et me mordre l'oreille ou le cou, avant de reprendre avec plus d'entrain encore. Ma verge résistait malgré l'effort demandé pendant la journée, à mon grand étonnement, et l'envie de venir tardait à poindre. Et pour cause : ma dernière éjaculation ne remontait qu'à trois heures à peine.

Puis elle jouit sans pousser le moindre cri, sans gémir, s'agrippant à moi comme à un mât qui devait la sauver d'une hypothétique noyade, empêchant sans doute de laisser déborder l'orgasme intérieur qui la submergeait.

Nous finîmes la soirée devant un film sans intérêt, repus. Le lendemain matin, alors que j'étais sous la douche, je reçus un sms de Jennifer. J'avais déjà pris le réflexe d'emporter mon mobile partout où j'allais, même à la salle de bains, de le garder toujours proche de moi, surtout lorsque ma femme était présente. Jennifer m'informait qu'elle m'avait envoyé un mail et qu'il fallait que je le lise au plus vite. Je profitai du fait que Nicole soit en train de préparer le déjeuner pour le consulter rapidement.

Dans ce mail, ma jeune Maîtresse me demandait de lui faire le récit de ma fin d'après-midi, quand ma femme m'avait surprise. Et elle me rappelait les consignes : me maintenir en état d'excitation. Et ma « salope » aussi.

Je n'avais pas le temps ce matin de répondre au premier point, mais pour le second — maintenir ma salope de femme en état d'excitation —, j'avais encore envie de tenter ma chance.

Je rejoignis Nicole à la cuisine, qui était encore en peignoir et s'activait autour de la machine à café. Je vins par derrière lui faire un langoureux baiser dans le cou, en lui glissant, sans trop d'insistance, la main entre les cuisses par son peignoir légèrement entrouvert. Elle se laissa faire, levant même les bras pour me saisir la nuque et me presser les lèvres contre son cou.

– Tu tiens une de ces formes, toi ! fit-elle. Tu n'aurais pas été voir un toubib pour avoir des vitamines ?

– Qu'est-ce que tu racontes ? Mais non voyons, ris-je de bon cœur.

Elle ne me lâcha pas, m'obligeant même d'une main à poursuivre mes caresses, plus haut, sur ses seins. Puis, alors que la cafetière chuintait — pour nous avertir qu'elle avait achevé son filtrage —, Nicole se retourna vers moi en ouvrant complètement son peignoir.

– J'ai envie d'aller au collège avec ton sperme entre les cuisses…

Et elle vint s'asseoir sur la table de la cuisine, le peignoir largement ouvert, les cuisses écartées, en me tirant à elle. Elle dégrafa rapidement ma braguette, baissa juste ce qu'il faut de pantalon et de slip pour pouvoir sortir mon sexe déjà dur, et se l'enfila. Je n'en revenais pas ; elle était encore mouillée.

M'entourant les hanches de la ceinture de son peignoir, elle se mit à cadencer le rythme de mes déplacements, m'incitant même, par des fouettements donnés avec le bout de la ceinture de tissu, à accélérer la cadence. J'étais au moins aussi excité qu'elle, et nous vinrent en même temps, dans un orgasme synchrone, finissant cet ébat allongés sur la table déjà prête pour le déjeuner.

– Tu as vu l'heure ! lança-t-elle brusquement avant de quitter tout aussi brusquement la cuisine.

Elle redescendit quelques instants plus tard, habillée, et attrapa le mug de café que je lui tendais.

– Je prendrai une douche ce soir… Attends-moi bien sagement.

Et elle m'embrassa sur la joue en me glissant à l'oreille :

– Je te sens tout chaud entre mes cuisses…

Et elle disparut.

Je m'assis à la table de la cuisine, bizarrement triste, déçu. J'avais encore foiré. Oui, c'était ça, j'avais encore foiré. Encore une fois j'avais poussé Nicole trop loin. Au lieu de maintenir son désir, je l'avais assouvi. Et le mien par la même occasion. Double échec. Qui résonnait profondément en moi. Il me fallait admettre en effet que je ne connaissais rien, rien de rien, ni au « fonctionnement » des femmes en général, ni à celui de la mienne en particulier.

Ah ça, pour l'exciter grossièrement, à l'emporte-pièce, je m'y entendais, comme n'importe quel homme, dans sa rustrerie ! Mais qu'il s'agisse de faire preuve de mesure, de délicatesse, qu'il s'agisse de « maintenir un corps à pression constante » — comme le dirait mon collègue prof de physique —, qu'il s'agisse de maintenir une tension sexuelle à sa limite, sur le fil, sans lui laisser la possibilité de se libérer, de s'échapper, j'en étais tout bonnement incapable. Comme une allumette qui ne peut dompter le feu d'artifice qu'elle allume, je mesurais mon impuissance à avoir la moindre influence sur les orgasmes de ma femme.

Décidément il me faudrait beaucoup apprendre encore. Je remontai dans le bureau, décidé à profiter de l'heure qui me restait pour répondre au mail de Jennifer, et surtout lui faire une demande explicite et sans détour : apprenez-moi, Maîtresse, à maintenir ma salope de femme dans cet état d'excitation que vous exigez. Je n'y arrive pas. Je n'y arrive pas…

La réponse tomba sans tarder : « Aujourd'hui, tu as le droit de me demander de rester à la fin du cours. Mais ne mets pas de slip pour venir au lycée. Je veux que tu sois à poil sous ton pantalon, qu'on puisse te voir mouiller comme une petite salope. »

L'ordre me fit frissonner, mais je ne voyais pas comment m'y soustraire. Je n'avais d'autre choix que de lui obéir, même si ça me terrifiait. Mais la terreur n'était-elle pas à la hauteur de l'excitation qu'elle me procurait ?…

Juste avant d'éteindre mon ordinateur pour partir au lycée, je relus une dernière fois son mail, pour me donner du courage : « … qu'on puisse te voir mouiller comme une petite salope. ». Cette jeune fille qui n'avait pas encore vingt ans me menait par le bout du nez, et je ne pouvais faire autre chose que d'adorer ça, d'adorer tous les excès vers lesquels elle me poussait… Je partis donc pour le lycée, sans sous-vêtement sous mon velours, excité et angoissé tout en même temps d'imaginer ce qu'il allait pouvoir se passer au cours de la journée…
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Commentaires du récit : Olivier, prof soumis 10

Le 23/10/2014 - 20:06 par milouesclave
très jolie histoire a quand la suite ?

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