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Olivier, prof soumis 9

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Lue : 6033 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 17/11/2011

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Je me remémorais les consignes très strictes de Jennifer : je devais réveiller ma femme Nicole en la caressant, et, la faire jouir, quelle que puisse être l'heure. J'étais là, debout en veste devant le lit, contemplant ma femme qui dormait paisiblement, dans sa nuisette légèrement déboutonnée, la couette repoussée sur son ventre, ses petits seins à peine dissimulés sous quelques replis, les bras le long du corps, comme offerte dans toute sa simplicité.

Après une douche rapide, froide, je traversai le couloir, nu et encore un peu humide, et je vins m'allonger sur le côté le long de son corps, appuyant ma tête dans la paume de ma main, le coude replié sur l'oreiller. Puis, non sans un soupir de lassitude — mais c'était les ordres de Ma Maîtresse —, je glissai la main sur le ventre de ma femme et la passai sous la couette, jusqu'à sa toison que je devinais sans la voir, tant je la connaissais.

Je me mis, lentement, sans pression d'abord, à m'attarder sur son mont de Vénus finement poilu. Nicole avait les cuisses légèrement ouvertes et je pus glisser la main, en m'appuyant à peine, sur la longueur de ses lèvres sèches et repliées. Je caressai aussi l'intérieur de ses cuisses de ma paume grande ouverte, m'attardant sur cette surface de cuisse, juste sous la fesse, d'une douceur qu'aucun mot ne saurait décrire. Une douceur qui tenait tout autant de la mollesse du muscle que de la fermeté de l'épiderme, contraste que l'âge ne parvenait pas à atténuer, et qui pouvait raisonnablement pousser le désir à la déraison.

Nicole se mit bientôt à remuer légèrement, et je vis ses globes oculaires se mettre à rouler un peu sous ses paupières. Ma femme était assurément en train de passer par le sas du rêve qui s'ouvre sur le réveil. Je sentais aussi les lèvres de son sexe s'humidifier indiciblement, et ses cuisses, tout aussi indiciblement, s'écarter comme pour s'offrir de leur propre volonté aux caresses de mes mains.

Je réalisai que c'était la première fois que je pouvais voir, à l'insu même de ma femme, tout le travail que son corps entreprenait dans la préparation du plaisir. Il n'y avait pas que son sexe, dont je pus sentir la température augmenter au bout de mes doigts, il y avait aussi ses petits seins, qu'il me fut possible de voir, pour la première fois, comme dans un ralenti — ou un accéléré, je n'avais plus les idées très claires — quitter lentement leur état de pesant repos, pour s'enfler peu à peu, comme tirés vers le ciel par ses tétons fins qui se redressaient fièrement, jusqu'à devenir rigides, en changeant imperceptiblement de couleur sous la faible lueur de l'abat-jour. Toute sa peau elle-même, celle de son ventre, celle entre ses seins, celle de sa nuque, semblait modifier sa texture, se faire plus brillante, plus magnétique.

Mais n'était-ce pas moi, simplement, qui commençai à me prendre au jeu ? Mon sexe avait retrouvé je ne sais comment de l'entrain. Mais il me faisait mal, tant je m'étais masturbé avec Jennifer. Mais je me rappelai les ordres de Ma Maîtresse, stricts : je devais faire jouir Nicole, mais en aucun cas prendre moi-même du plaisir.

Ma femme Nicole finit par entrouvrir à peine les yeux. Elle eut comme un petit sursaut, incommodée par la lumière. Elle mit quelques secondes à réaliser où elle était, ce qu'on lui faisait, et qui lui faisait.

– Tu es rentrée, mon chéri ? Quelle heure il est ? demanda-t-elle sans prêter plus d'attention à mes caresses.

– 4 heures. Presque 4 heures.

– C'est plus une B.A., c'est un sacerdoce.

Encore un de ces mots qu'elle aimait employer « à rebrousse-poil ». Elle devait parler de mon dévouement tardif à ce pauvre Bernardeau.

– Comment ça s'est passé ? Raconte-moi.

Je n'avais aucune envie de lui raconter quoi que ce soit. Je n'avais plus la force du mensonge, et devoir inventer une soirée hypothétique en cet instant me semblait relever de l'effort de Titan. Aussi décidai-je — c'était de toute façon la consigne —, de renforcer plutôt les miens, d'efforts, sur son corps à elle.

Je passai maintenant un doigt, puis un autre, sans ambiguïté, entre les lèvres devenues humides de sa chatte, lèvres que je sentais se décoller sous la pression.

– Qu'est-ce que tu fais ?… Raconte-moi, il va mieux ?

– Oui oui.

– Tu as réussi à le convaincre de reprendre le travail, comme je t'avais dit ? Faut surtout pas qu'il reste enfermé chez lui.

– Oui, oui, ajoutai-je négligemment, rentrant cette fois une phalange majeure, sans brutalité mais avec décision, à l'intérieur de son vagin. Elle ne put s'empêcher de lâcher un petit gémissement en se cambrant à peine.

– Arrête… je veux savoir, fit-elle sans conviction, à moitié endormie, ne pouvant s'empêcher de fermer les yeux et de venir croiser les bras sur l'oreiller, au-dessus de sa tête, avec un long soupir. Je veux savoir…

Je me mis à aller et venir entre ses lèvres de plus en plus humides, me risquai même, la sentant prête, à rentrer deux doigts de concert.

– Arrête… Tu lui as dit qu'il retrouverait vite quelqu'un ? Il est encore beau gosse.

L'excitation de la voir ainsi offerte me donnait des ailes.

– Tu le trouves beau gosse ?…

– Oui, pas mal, répondit-elle en s'étirant avec langueur.

Elle s'abandonnait de plus en plus, augmentant la courbe de ses cambrures.

– Tu en voudrais, toi ? osai-je lui demander, la tête toujours appuyée sur la paume de ma main, le coude planté dans l'oreiller.

– Je dirais pas non, avoua-t-elle avec malice. Puis elle s'empressa d'ajouter : si je n'étais pas une femme mariée respectable, bien sûr.

– Et tu aimerais qu'il te baise, alors ? Si tu n'étais pas une femme mariée respectable, bien sûr.

Sa respiration commençait à suivre le rythme de mes doigts qui s'accéléraient entre ses cuisses.

– Là tout de suite, comme ça, je… han…

– Pas compris.

– J'aimerais qu'il me baise, oui.

Excité au plus haut point, je me redressai et me mis à genoux à ses côtés, libérant mon autre main. Je dégageai sans brusquerie la couette, complètement, exposant entièrement son corps nu à la liberté de mes caresses. Et je me mis à la parcourir de ma main libre, tandis que l'autre augmentait encore la cadence entre ses cuisses.

Nicole, s'offrant un peu plus de se savoir ainsi nue à la merci de mes regards — c'est du moins ce que je ressentais —, ne put bientôt plus retenir ses gémissements, ses cambrures.

Tournant la tête vers moi, elle vit mon sexe, tendu vers elle.

– Surtout s'il en a une belle comme toi.

Dans un geste généreux sans doute, elle le prit dans sa main pour la masturber, mais je l'empêchai aussitôt, sans brutalité et malgré la terrible envie qu'elle le fasse, et lui posai la main sur le ventre, l'invitant d'une caresse à rejoindre la mienne entre ses cuisses. Ce qu'elle fit. Et, m'arrêtant quelques secondes, j'appuyai ma paume, entre ses cuisses, sur sa main, dont je sentais l'index se mettre à tourner autour de son clitoris.

Elle fixait toujours mon sexe en souriant, les yeux mi-clos et j'aurais parié, en cet instant, qu'elle pensait à celui de Bernardeau. Cela m'excita un peu plus, malgré moi, et je vins alors passer le bulbe de mon index sur mon gland humecté qu'elle ne quittait pas des yeux, puis l'aventurai ostensiblement sous ses fesses, me mettant à exciter son anus, en tablant sur sa demi-conscience pour qu'elle n'ait pas de réaction intempestive.

Au contraire, elle bascula légèrement les fesses pour m'en faciliter l'accès et ses gémissements se précisèrent, me convaincant que mes vagabondages étaient loin de la laisser indifférente. Ses mouvements de bassin me laissèrent même à penser qu'elle en demandait plus.

Alors, après avoir à nouveau recouvert mon doigt, sous son regard, de mon premier fluide, je l'aventurai à l'intérieur de son anus, en me penchant sur son oreille, me rappelant ce que Jennifer, le soir-même, m'avait murmuré : « tu t'es dépucelé le cul avec ton propre sperme ». J'avais une envie folle, à l'instant, de plonger le doigt dans le vagin de ma femme avant de lui enfoncer dans l'anus, et de transcrire pour elle ces félicitations : « ma chérie, je vais te dépuceler le cul avec ton propre fluide et mon sperme mêlés ».

– Ça nous permettrait d'être deux pour s'occuper de toi, lui murmurai-je pudiquement.

Le « hum » qui accueillit ma proposition sonnait comme une autorisation, une injonction même, et j'enfonçais d'abord juste l'extrémité de mon doigt humide, tout doucement, puis je glissai bientôt une phalange entière, tout en poursuivant l'assaut tranquille de sa chatte par de vives rotations sur le clitoris qu'elle avait abandonné. Les deux mouvements semblèrent la faire chavirer, sa bouche s'ouvrit largement, comme elle aurait voulu peut-être que s'ouvrissent ses fesses sur mon doigt. J'aurais tellement voulu, alors, lui glisser un autre de mes membres entre les lèvres…

Elle semblait en tout cas avoir définitivement renoncé à savoir quoi que ce soit de la soirée et je m'en réjouissais. Je décidai même de la taquiner.

– Tu veux que je te raconte, alors ?

– Non, non, s'il te plaît, continue, continuez, haleta-t-elle.

Alors j'enfonçai avec décision tout le doigt, et commençai à alterner, devant comme derrière, les va-et-vient. Son excitation atteint un nouvel extrême dont je ne connaissais pas la couleur, la voyant pousser des gémissements stridents à chacune de mes entrées en elle, dans un trou puis dans l'autre, en se mettant à danser du bassin sur un rythme insensé sous mes mains.

– Tu veux venir en moi ? demanda-t-elle alors, le souffle court. Dans mon… cul ?…

Oh oui, j'en mourrais d'envie. Comment pourrais-je résister à cette occasion qu'elle m'offrait, pour la toute première fois de notre vie conjugale ?… Mais j'imaginais Jennifer, les bras croisés au bout du lit, nous observant, m'observant, avec son petit sourire qui semblait tout connaître des hommes. Non, je ne pouvais pas. Je ne le devais pas. Ma Maîtresse Jennifer, mon élève, me l'avait formellement interdit.

Heureusement, je compris rapidement que c'était plus par principe que par désir — et peut-être par jouissance de prononcer la chose — que Nicole m'avait fait cette invitation ; je le compris lorsque l'absence de réponse ne fut suivi d'aucune insistance de sa part. Et c'était une chance, car malgré l'excitation, je ne me sentais pas en mesure d'accomplir un acte qui, je devais l'avouer, m'effrayait un peu.

Et puis ça n'était plus sexuellement que j'étais excité. J'étais excité du seul fait de respecter à la lettre les consignes de mon élève. De l'imaginer là, contrôlant chacun de mes gestes, m'incitant de son regard à baiser ma « salope de femme », à la garder à ma merci, dominée par seulement deux de mes doigts, par deux de ses trous, aussi « froidement » que je le pouvais, de la manière la plus détachée possible en tout cas.

Puis, le souffle de Nicole s'accéléra brutalement, ainsi que ses gémissements, et elle tourna la tête pour étouffer un long cri contre son oreiller, se cambrant, crispée sur mes doigts qui restèrent enfoncés profondément, quelques secondes, tout au fond d'elle.

C'était, je pense, un orgasme.

Elle se relâcha alors complètement sur le lit, passa la langue sur ses lèvres gonflées, comme le fait un enfant. Et les yeux clos, elle tira la couette sur elle en se tournant sur le côté.

– Vous avez mangé des fruits de mer ?…

Ce furent ses dernières paroles avant de replonger dans un profond sommeil comblé. Je la rejoignis bientôt, encore remué par ces dix dernières heures, mais définitivement exténué par toutes les émotions que ces heures m'avait réservées.

Le lendemain fut une journée ordinaire entrecoupée de sms de Jennifer qui me demandait où j'étais et ce que je faisais. J'étais en cours, et je donnais des cours. La triste banalité du quotidien d'un prof sans véritable vocation. J'avais terriblement envie de la voir. Je me faisais l'effet d'un adolescent. Mais elle ne se montra pas de la journée, et ne manifesta aucun désir de me voir, ce qui m'attrista un peu.

J'étais en train, le jour suivant, de corriger à la maison un paquet de copies de 5e, d'un niveau affligeant, lorsque je reçus mon premier sms de la journée. Jennifer me posait la même question que la veille : où étais-je, que faisais-je ? Mais aujourd'hui, ma réponse différente reçut aussitôt une contre-réponse.

--- est-ce ke tu respectes
--- les consignes ?

« Lesquels ? » répondis-je innocemment. Son message ne tarda pas à tomber.

--- l entretien de ta keu
--- et ton état d excitation.

Je tapais aussitôt, en voulant respecter dignement les capitales et l'orthographe : « Je suis en train de corriger des copies. J'en ai pour la journée. »

--- je m en fous. Retire ton pantalon. et
--- branle-toi.

… qui fut aussitôt suivi du sobre et explicite message :

--- c un ordre

En vérité, je n'attendais que ça. Je savais que ce n'était vraiment pas le jour, que j'avais encore un travail considérable et ennuyeux, mais je n'attendais que les ordres de ma jeune Maîtresse. Je décidai donc de lui obéir, mais, comme pour couper la poire en deux, de me faire venir assez rapidement pour reprendre au plus vite le sérieux de mon travail.

C'était compter sans le message suivant. Il disait explicitement, une fois transcrit en français correct : « Et rappelle-toi : tu ne te fais pas éjaculer, petite salope. Tu te maintiens en état. Et seulement quand je te le dirai, tu auras une minute, et une minute seulement, pour te faire jouir. Je ne sais pas quand ce sera. Dans la journée. ».

Le sms suivant précisait : « N'essaie même pas de tricher. Tu me feras une photo, avec ta queue pleine de sperme et ta montre à côté. Que je puisse contrôler l'heure. »

La photo impossible à préparer d'avance… Cette fois, j'étais coincé. Mais au fond de moi, cela m'excitait plus que je ne l'aurais voulu. Je retirai donc mon pantalon et mon slip au milieu du salon où j'avais l'habitude de corriger mes copies quand Nicole n'était pas là, et je me rassis à la grande table en bois, face à la grande baie vitrée de notre troisième étage, le stylo dans une main, et la verge dans l'autre, les fesses à l'air sur le cuir de la chaise. Je n'avais jamais corrigé de copies dans une telle position.

J'œuvrai ainsi toute la matinée, recevant toutes les heures des messages de Jennifer qui voulait s'assurer de mon obéissance. Parfois, mon membre, au milieu d'une copie, devenait si tendu, si gonflé de désir, que je passai à deux doigts d'enfreindre la consigne pour mettre fin au supplice. Je lâchai alors mon membre, le laissai perdre un peu de sa raideur, puis je reprenais les lents va-et-vient sous la table, penché sur mes copies que je corrigeai plus distraitement que d'habitude — était-il nécessaire de le préciser ? —, mes pensées ne semblant vouloir que se diriger vers le souvenir du corps de Jennifer, de son cul, de ses seins, de sa moule qu'elle ouvrait de deux doigts sous sa jupe, entre ses cuisses, sur le siège passager de ma voiture.

Ajoutant même du zèle aux consignes, lorsque je me déplaçai les fesses à l'air, pour aller chercher un verre d'eau, pour aller aux toilettes, pour préparer mon repas, je continuai docilement de me branler.

J'avais pensé au sexe toute la journée. J'avais eu le mien, toute la journée, entre les mains. J'avais une terrifiante envie de jouir, et j'essayais de ne pas penser au cul de Jennifer. J'étais venu je ne savais comment à bout de mes copies, tout était pour le mieux. Sauf que je voyais poindre l'heure où ma femme Nicole allait rentrer, et Jennifer ne me libérait toujours pas. Je me mis à guetter de plus en plus souvent par la fenêtre de la cuisine la route qu'elle empruntait pour rentrer, en continuant de me branler à la fenêtre. Jennifer ne m'envoyait toujours pas l'ordre de me soulager. M'aurait-elle oublié ?…

La voiture rouge de Nicole finit par arriver sur la longue route entre les maisons. Les fesses à l'air, je sautai alors précipitamment sur mon portable, affolé, pour envoyer un sms alarmé à ma Maîtresse. Elle mit une éternité à répondre.

--- laisse la te surprendre et fé ce ke
--- tu ve apres avec elle.

Suivi de :

--- oublie pas : elle aussi elle doit en avoir

Je ne pus que deviner la fin de la phrase, claire sans doute pour Jennifer, et qui signifiait peut-être l'autre consigne qu'elle m'avait donnée lors de notre premier rendez-vous : celui de maintenir, comme pour moi, l'état d'excitation de ma « salope de femme ».

La proposition de Jennifer — me laisser surprendre —, même si elle me paraissait insensée, augmenta d'un coup mon excitation. Prenant à peine le temps de réfléchir, je décidai de laisser mon pantalon et mon slip dans le salon, et d'aller m'enfermer — sans fermer à clé — dans la salle de bain.

Quelques minutes plus tard, alors que j'étais en train d'entreprendre mon membre qui commençait à fatiguer quelque peu des efforts qu'on lui avait demandés tout au long de la journée, j'entendis Nicole rentrer en m'appelant, sur le ton chantant des jours de bonne humeur. Je décidai de ne pas répondre.

Elle dut tourner un peu dans le salon, peut-être découvrir mon pantalon et mon slip posés sur une chaise, à côté des copies, puis je pus suivre ses pas dans les escaliers, puis dans le couloir, tout autant excité que terrifié par le fait qu'elle me découvre m'adonner, pour la seconde fois depuis la rentrée, à des pratiques solitaires. J'avais honte, terriblement peur, mais je n'avais qu'une envie : éjaculer devant elle. Et le plaisir pourrait être plus grand encore si je le faisais au moment même où elle franchirait le seuil de la salle de bains.

Je guettais ses pas, en accélérant frénétiquement mes allées-venues sur ma verge gonflée, le souffle profond. Quand Nicole eut fait le tour du bureau et de la chambre, m'appelant toujours de loin en loin, je l'entendis repasser devant la porte de la salle de bains et s'arrêter.

Il était impossible qu'elle ne rentrât pas. Nous ne fermions jamais cette porte depuis que les enfants n'habitaient plus la maison. J'étais certain que c'était exactement, là, devant la porte dans le couloir, la réflexion que se faisait aussi Nicole.

Et j'accélérai encore les mouvements sur mon membre qui n'en pouvait plus, sentant la jouissance monter, incoercible, tentant follement de m'auto-suggérer, comme une hypnose, que le moment précis où la porte s'ouvrirait devrait déclencher la libération du plaisir accumulé dans la journée. Il fallait que je compte jusqu'à trois. Non, jusqu'à cinq. À cinq, ma femme ouvrirait la porte, et j'éjaculerais devant elle, rouge de honte, par longues secousses qui jailliraient sur le sol de la salle de bain. Je n'en pouvais plus. Et je me foutais pas mal, en cet instant précis, des conséquences de ce geste complètement insensé.

Je comptais intérieurement : un… deux… trois… quatre…
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