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Olivier, prof soumis 6

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Lue : 6347 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 02/11/2011

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Le lendemain, à la fin du cours que je donnais pour la Terminale de Jennifer, je lui demandai, avec le plus de naturel possible, de rester. J'avais soit disant à lui parler. Jennifer resta à sa table de classe, appuyée sur ses bras repliés, en attendant que les autres élèves quittent la salle.
– Tu ne t'approches pas ? lui demandai-je quand j'eus refermé la porte sur le dernier Terminal, après avoir avaler ma salive, en lui désignant d'un geste le bureau.
– Je suis très bien là. Qu'est-ce que tu veux ?

Je n'avais pas prévu cette réaction — mais avais-je seulement, depuis le début d'année, pu prévoir une seule des réactions de Jennifer ?… et je me laissai à nouveau désarçonner. Je ne savais même plus, d'ailleurs, comment je devais poursuivre. Elle sembla s'en délecter, et enchaîna d'elle-même.
– Vous avez respecté mes consignes ?

Je sautai sur la perche qu'elle me tendait.
– Oui, tout à fait.
– Ah oui ?… J'espère que tu en as les preuves, ajouta-t-elle d'un ton sceptique en tendant la main.

Je retournai alors rapidement à mon bureau, et sortis de mon cartable sa culotte soigneusement pliée.
– Dépêche-toi un peu.

Je déposai sa petite culotte sur son cahier encore grand ouvert devant elle.
– Tu t'es branlé combien de fois dessus ?
– Trois fois. Deux fois hier soir, et une fois ce matin.
– Et tu crois que tu peux t'en vanter ?!
– Hé bien… Je ne sais pas… balbutiai-je.

Elle étendit la culotte, cherchant peut-être la preuve de mes affirmations. Force était de constater que ces preuves, elle pouvait les voir sans ambiguïté.
– Tu l'as reniflée pour t'aider ? À ton âge, ça doit plus être trop évident de bander.

J'exécutai un timide oui de la tête.
– J'ai pas compris.
– Oui, je l'ai reniflée.
– Et ça t'a excité, cochon ?
– Oui… Beaucoup…
– Qu'est-ce que tu as senti ?

J'osai à peine répondre, tant je me faisais honte. Honte des réponses que je devrais lui donner, et plus effroyable encore, de l'excitation que j'en tirais.
– Réponds. Qu'est-ce que tu as senti ?
– Je ne sais pas… Un peu de votre fluide…

Elle eut un ricanement.
– De mon « fluide », oui… et quoi d'autre ?…
– Un peu de votre… urine, je crois… lâchai-je à contre-cœur.

Elle ne répondit pas immédiatement, me toisa, laissant tout le temps à ma gêne de s'installer.
– Et tu as aimé sentir mon urine de jeune élève ?…
– Oui…
– Dis-moi ça mieux !
– Oui, j'ai aimé sentir votre urine de jeune élève…
– Tu as bien senti, vieux cochon. Je ne m'étais pas essuyée une seule fois de la journée, en allant faire pipi, pour toi, pour te remettre une récompense digne de ce nom.

Elle retourna plusieurs fois la culotte sur son cahier, du bout des doigts.
– Et tu l'as léchée ?
– Oui…
– Montre-moi ça.

J'hésitai, me rappelant les jets de sperme qui, depuis la veille, avait corrompu la troublante odeur de Jennifer.
– Montre-moi, je te dis, insista-t-elle en écartant bien la culotte sur son cahier.
Je me baissai alors, incapable de résister au ridicule, et me penchai sur la culotte.
– Lèche, ordonna-t-elle doucement alors que je m'étais tout à fait penché pour porter sa culotte à mes narines.

Docilement, parcouru de frissons contradictoires, je me mis à lécher l'entrecuisse de la culotte que Jennifer écartait bien devant moi sur son cahier. Mon sperme du matin n'avait pas encore eu le temps de sécher, mais je sentis aussi l'arrière-goût piquant des « fluides » de Jennifer.
– C'est bien, continue.

Je savais à présent que j'avais franchis les limites du ridicule, et je pouvais, consciencieusement, répondre à l'injonction de ma jeune élève dont je sentais le regard posé sur moi, toujours aussi froid.
– Et ta salope de femme ?
– Je ne l'ai pas touchée, m'empressai-je de répondre en me redressant un peu.
– Ne t'arrête pas !

Je me remis à passer soigneusement la langue, de toute sa largeur et sa longueur, sur l'entrecuisse de la petite culotte qu'elle écartait devant moi sur sa table. Ma salive faisait se mélanger tous les fluides sur le tissu râpeux, en un cocktail inattendu, dont je n'aurais pu dire s'il était écœurant ou enivrant.
– En cours, vous nous apprenez à nous méfier des pronoms, pas vrai ? Alors redites-moi ça sans pronom.
– Je n'ai pas touchée ma femme.
– Quand tu parles d'elle devant moi, à partir d'aujourd'hui, ce sera « salope de femme », c'est compris ? Recommence.

– Oui, je n'ai pas touchée ma salope de femme, obéis-je, un frisson dans la gorge.

Cette fois, elle sembla tout à fait convaincue, et je crus même apercevoir en relevant le regard un léger sourire naître à la commissure de ses lèvres.
– C'est bon. Maintenant, ouvre ton pantalon, et baisse ton slip.

J'étais à un mètre d'elle, de l'autre côté de sa table. La demande me prit de court. Jusqu'où comptait-elle aller ?
– Allez ! Sur tes chevilles. Je veux m'assurer que tu t'es bien servi de ton engin.

Je m'exécutai, presque malgré moi et me retrouvai devant elle, ridicule, en pleine salle de cours, le pantalon et le slip sur les chevilles, le sexe tendu presque à l'horizontal devant mon élève. La gêne empourpra mes joues.

Elle contempla un moment, et sans marquer la moindre émotion, la chose qui se tendait sottement vers elle. Puis elle avança la main et, du bout de deux de ses doigts, calotta mon gland, puis le tira vers elle pour qu'il vienne se poser sur la culotte qu'elle approcha du bord de sa table en poussant son cahier.

Elle n'y avait mis que le bout de ses doigts, mais la sensation décupla la raideur de mon sexe. C'était la première fois que Jennifer me touchait, et jamais je n'aurais cru la sensation si douce et électrique à la fois. Elle était en tout cas magique. Elle roulait mon sexe, à présent, d'un doigt, sur sa culotte imprégnée de ma salive.
– C'est donc avec ça que tu la fourres ? demanda-t-elle en glissant presque comme par inadvertance le bulbe de son index sur mon gland humide.
– Oui.
– Réponds mieux que ça !
– Oui, c'est avec ça que je fourre ma femme.
– Mieux que ça, répéta-t-elle, un soupçon de lassitude dans la voix.
– C'est avec ça que je fourre ma salope de femme.
– Et l'autre jour, tu l'as fourrée en pensant à moi, comme je te l'ai demandé ?
– Oui, j'ai fourré ma salope de femme en pensant à vous, sous la douche.
– Tu commences à piger. Il serait temps.

Et elle se mit à jouer avec mon sexe, avec mes boules remontées, comme de façon distraite, comme elle le faisait avec ses stylos en cours quelques dizaines de minutes auparavant.
– À partir de maintenant, ce n'est plus toi qui décide quand je dois rester à la fin du cours. Je te ferai un signe pour que tu saches quand tu peux te le permettre. Ça va pour cette fois, puisque j'avais à te parler.

Ses tripotages me mettaient au supplice. J'avais une envie folle qu'elle m'entreprenne de façon plus directe, mais de toute évidence, elle n'avait que l'intention d'attiser mon exaspération.
– Ensuite, je veux que tu gardes tes lunettes sur le nez.

La demande me parut tout à fait saugrenue. Je ne chaussais mes lunettes que pour lire un texte, ou écrire au tableau, mais je ne comprenais pas ce que cette demande avait à voir avec la situation. J'allais lui en demander la raison lorsqu'elle ajouta :
– Tu as l'air beaucoup plus cochon, avec tes lunettes. Je veux que tu les gardes sur le nez en ma présence. Que tu n'oublies jamais ce que tu es.

Et elle attrapa soudainement mon sexe à pleine main, le serra, et lui appliqua très doucement quelques aller-retour qui provoquèrent une lente décharge le long de ma colonne vertébrale et m'arrachèrent un gémissement.

Je me fichais bien, à ce moment précis, que la porte ait pu s'ouvrir sur un élève, ou un collègue, ou même le directeur du lycée. Au fond de moi, je crois même que j'attendais cette humiliation sans excuse qui n'aurait eu pour effet que de décupler la sensation de jouissance que me prodiguait les doigts de Jennifer.

Elle poursuivit encore un peu, toujours sans marquer le moindre signe d'émotion, froidement, les bras appuyés de tout leur long sur son cahier, avant de lâcher brutalement mon membre au moment où il se gonflait tout à fait, prêt à exploser.
– Ta bite est ridicule. Je crois que je n'en voudrais même pas si je n'avais rien à me mettre entre les cuisses pendant des mois. Vraiment ridicule. Je n'ai pas raison ?
– Si, balbutiai-je désemparé.
– En rentrant, tu te branleras dans ta voiture, en imaginant que c'est ta petite élève de Terminale qui te finit entre ses doigts, sur son cahier, c'est compris ?

Elle poursuivit en s'essuyant les mains dans l'intérieur de sa jupe.
– Et ce soir, écoute bien, nouvelle interdiction formelle de te vider dans ta salope de femme. Même si elle te le demande en suppliant. De toute façon, tu auras trop à faire. Rhabille-toi maintenant, j'en ai marre de voir cette queue minable.
– Qu'est-ce que j'aurai à faire ce soir ? m'aventurai-je à demander.
– C'est moi qui pose les questions ! Puis elle reprit, plus doucement. Tu verras bien. Et il ne s'agira pas de te branler comme sur mes photos, vieux cochon. Ce sera du travail, pas de photos, et tu as intérêt à bien le faire. Guette ta boite mail.

Puis elle se leva pour rassembler ses affaires, et me jeta sa petite culotte.
– La prochaine fois, tu me la rendras propre.

Et elle attrapa son manteau et quitta la salle sans même se retourner pour m'accorder un regard.

Comme elle me l'avait demandé, je me branlai dans ma voiture, dans notre garage souterrain, en ayant pris soin d'étaler plusieurs Kleenex sur mes cuisses et ma chemise, avec la peur au ventre d'être découvert au pire moment par un voisin, une voisine, ou même ma femme qui rentrerait. Je me demandais vraiment ce que je faisais, ce qui m'arrivait… Mais avais-je seulement envie de le savoir ?

Et je remontai, enfin quelque peu soulagé de la tension que Jennifer avait fait à nouveau monter en moi, et obnubilé par cette seule pensée : quel mail avait-elle bien pu me concocter ?… De quel « travail » pouvait-il donc s'agir ?…
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