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Olivier, prof soumis 7

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Lue : 6490 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 02/11/2011

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C'est seulement le lendemain matin, samedi, premier jour du week-end, premier week-end du mois d'octobre, que me parvint le mail de Jennifer C. Elle avait utilisé une autre adresse électronique, mais il fut facile de reconnaître à sa « partie locale » mon élève de Terminale : maitresse.jenniferXXXX@XXX.

J'allais cliquer sur le titre du message, intitulé mystérieusement « Contrat », lorsque j'entendis la porte de la chambre s'ouvrir. Nicole se levait. Je dus fermer en vitesse mon lecteur de mails et double-cliquer sur la première icône de mon bureau qui se trouvât sous ma souris.
– Tu as déjeuné ?
– Je t'attendais, prétextais-je, gêné.
– Tu apprends ta déclaration d'impôt par cœur, mon petit chéri ? demanda-t-elle avec un petit sourire en jetant un coup d'œil à l'écran où le document finissait de s'ouvrir.
– C'est-à-dire… non… je… Je me suis trompé de document.
– Tu n'es bon à rien, le ventre vide. Descends avec moi si tu veux.

Nous descendîmes donc à la cuisine prendre notre café. Tandis que Nicole me racontait sa fin de semaine, je tentais de contenir de mon mieux l'impatience que j'avais à remonter dans notre bureau consulter l'énigmatique message de Jennifer, dont la teneur aurait dû, si j'avais un tant soit peu réfléchi, m'être révélée par son simple sujet et l'adresse d'expédition utilisée.

Par chance, Nicole devait sortir faire des emplettes, j'attendis patiemment qu'elle se douche, qu'elle s'habille, profitant de ce temps qui me sembla interminable pour mettre un peu d'ordre dans notre bureau. Mais avant même que la porte d'entrée ne se soit fermée sur Nicole, je me jetai sur l'ordinateur et rouvrai ma messagerie.

Le titre du message ne mentait pas, c'était effectivement un contrat. Pour être exact, un « contrat de soumission » en bonne et due forme, comme j'aurais dû m'en douter si j'avais été moins idiot. J'en pris connaissance, plus atterré à mesure que je faisais descendre l'ascenseur le long de la page.

« Olivier, il est temps à présent d'instituer un peu les choses entre nous. Voilà un contrat que tu dois lire et me remettre le plus rapidement possible daté et signé avec la mention “bon pour accord”.

PORTÉE DU-DIT CONTRAT

Par le présent contrat, je, soussigné Olivier T, ci-dessous désigné LE SOUMIS accepte, selon les termes définis par le-dit contrat, de se soumettre à son élève Jennifer C. ci-dessous désignée LA MAITRESSE.

Ce présent contrat prendra effet entre le SOUMIS et la MAITRESSE au moment même de sa signature par les deux parties, et deviendra caduc dès sa destruction par l'une ou l'autre des deux parties, par simple demande verbale.

RÉGLES INCONDITIONNELLES :

– Le SOUMIS admet que sa condition l'oblige à une attitude en toute circonstances respectueuse envers sa MAITRESSE. Notamment, toute marque d'obéissance du SOUMIS à sa MAITRESSE sera la bienvenue.

– La MAITRESSE dispose de toute autorité et de toute latitude pour faire progresser le SOUMIS vers son état de complète soumission, pour leur plus grand bien à l'un comme à l'autre, dans les limites fixées par le présent contrat.

– Par le présent, le SOUMIS accepte d'abdiquer à sa MAITRESSE tous les choix et toutes les décisions les concernant et les impliquant (habillement, conduite en public et en privé, etc.). Il est entendu ainsi que, dans le cadre de leur relation, le SOUMIS devra s'en remettre exclusivement aux décisions prises par sa MAITRESSE, ou toute tierce personne désignée par elle, et s'y conformer sans réserve.

– Le SOUMIS accepte par ce contrat de remettre entre les mains de sa MAITRESSE le contrôle exclusif et entier de son activité sexuelle, que cette activité concerne ses pratiques solitaires, qu'elle concerne la femme du SOUMIS ou toute autre personne désignée à le cas échéant par la MAITRESSE.

– De façon générale, le SOUMIS accepte de s'en remettre corps et âme à sa MAITRESSE, à qui il devra accorder une confiance absolue et respectueuse.

CONTREPARTIES

– En contrepartie, la MAITRESSE s'engage à veiller au plein épanouissement de son SOUMIS dans le rôle qui lui sera conféré.

– La MAITRESSE s'engage à ne rien tenter qui puisse porter atteinte à l'intégrité physique du SOUMIS.

– La MAITRESSE s'engage à ne rien faire ni même tenter qui puisse porter préjudice au couple du SOUMIS ou à sa famille, à commencer par ses enfants.

– De même, la MAITRESSE s'engage à ne rien tenter qui puisse porter atteinte ou préjudice à la vie professionnelle du SOUMIS, et tout risque pris dans ce domaine devra être pleinement et librement consenti et accepté par les deux parties.

– La MAITRESSE s'engage, ainsi, à ne jamais faire pression de quelque manière que ce soit, par chantage ou autre manœuvre délictueuse, sur le SOUMIS qui, en tout état de cause, accepte de faire vœu d'allégeance à sa MAITRESSE en toute liberté de choix et de conscience.


Il est entendu de part et d'autre que toute entorse du SOUMIS à ce contrat entraînera des punitions dont la sévérité sera laissée à la libre appréciation de la MAITRESSE, et auxquelles le SOUMIS devra se soumettre.

Enfin, il est entendu que le SOUMIS et la MAITRESSE se laissent la possibilité d'ajouter au présent contrat tout avenant permettant de mieux circonscrire la portée de leur relation.

Date et signature précédées de la mention « Bon pour accord” : »


Après une première lecture, mes réflexes de prof ne purent que me suggérer que ce texte n'avait pas été composé par Jennifer elle-même. Le style en était trop relevé pour la double-redoublante qu'elle était (en consultant sa fiche, j'avais pu effectivement constater que Jennifer n'était pas aussi jeune qu'il n'y paraissait ; elle venait d'avoir 19 ans). Elle avait sans aucun doute trouvé ce texte, approximatif et sans construction véritable, sur l’Internet.

Ma seconde réaction, en le relisant, fut d'en rire. Même si je devais l'avouer ses alinéas ne me laissaient pas sans effet, je ne pouvais que trouver la demande excessive, exagérée, à la limite du grotesque. Il était évident que j'étais allé trop loin avec Jennifer, j'avais accepté de me laisser humilier et manipuler d'une façon que je n'aurais jamais soupçonnée, mais je le mettais sur le compte de l'excitation de la rentrée, de l'aspect inattendu de son attitude, de ses réactions et de ses demandes. De là à signer un tel accord avec elle…

Je décidai de refermer le mail, sans même ouvrir la photo qu'elle joignait à son envoi, et de l'oublier en me consacrant aux autres messages que j'avais reçus.

Malgré mes efforts pourtant, le temps passait et je ne parvenais pas à me sortir ce contrat stupide de la tête. Il semblait agir lentement en moi, de façon sourde et sournoise, faisant monter une espèce de douce excitation, qui finit par m'agacer. Heureusement, Nicole était de retour, et je descendis aussitôt la retrouver au salon.
– Tu m'as l'air bien soucieux, toi, fit-elle sur un ton enjoué, visiblement ravie de sa matinée.
– C'est rien, laisse.
– J'ai envie de faire une folie, cet après-midi, poursuivit-elle, comme si je n'avais rien dit.
– Ah oui ?
– Oui… J'ai acheté une petite robe, ce matin. Attends, je te la montre. Elle est très courte, je te préviens. Et puis tu as vu cette belle journée ? C'est peut-être la dernière de l'année. Il fait un de ces temps !
– Où veux-tu en venir ? demandai-je en riant.

Elle sortit enfin la robe de ses paquets et l'appliqua contre elle.
– Je veux la mettre. Cet après-midi. Sans rien dessous. Et aller me promener en ville. Avec toi.
– Pardon ? hallucinai-je.

Elle se rapprocha alors de moi, tout prêt, câline.
– Tu n'as pas envie de mater le cul de ta petite femme, en plein magasin ?

Ses caresses et ses mots eurent un effet instantané, qu'elle put constater en se plaquant contre moi.
– Hum, je suis sûr que si. Alors va vite prendre ta douche. Je t'attends dans la voiture. On mangera un morceau dehors.

Quand j'arrivais dans le garage, Nicole était au volant. Elle avait revêtu la-dite robe et, pour m'assurer qu'elle avait tenu parole, dès que je fus assis sur le siège passager, elle la retroussa jusqu'au niveau de ses hanches, dévoilant son sexe nu, finement tondu, entre ses cuisses très légèrement écartées sous le volant. Puis elle repoussa la robe et démarra.
– C'est moi qui te conduit, mon petit chéri.

En chemin, tout en matant les cuisses dénudées de Nicole, qui me lançait des regards aguicheurs, je ne pouvais cependant avoir la tête tout à son jeu. Le contrat de Jennifer m'obsédait encore, dans un coin de mon ordinateur, et dans un coin de mon esprit. Je savais qu'il m'attendait, et je ne réussissais à penser à rien d'autre.
– Nous y voilà ! annonça Nicole en se garant dans le parking souterrain du complexe commercial de la ville.
– Tu ne veux pas voir comment je mouille déjà ?… Avec ton doigt…

Mon étonnement fut rapidement interrompu par Nicole, se penchant vers moi en avançant une cuisse, écartant un peu le col de sa robe pour dévoiler presque entièrement sa poitrine dénudée sous le strech.

Je lui souris, non sans étonnement, et m'exécutai en glissant ma main le long de sa cuisse posée sur le frein à main, jusque sous la robe. Effectivement, elle était déjà bien mouillée, mon doigt glissa en elle sans difficulté. J'en introduis même deux, mais elle interrompit aussitôt mes esquisses de va-et-vient en sortant du véhicule.
– J'y ai pensé toute la matinée en faisant mes courses.
– Vraiment ?
– Mon petit chéri, ça n'est quand même pas toi qui va me donner des leçons de morale, ajouta-t-elle en se lançant en direction des ascenseurs, remontant furtivement sa robe, dévoilant ses jolies fesses, et les re-voilant aussitôt avant de bipper les fermetures automatiques de la voiture.

Nous entrâmes dans l'ascenseur, mais d'autres clients se joignirent à nous au dernier moment, arrachant une moue à Nicole qui de toute évidence avait prévu un autre programme pour cette remontée vers la surface.
– Ça ne te dit pas de me mater ? me murmura-t-elle en sortant de l'ascenseur.
– Mais si voyons ! Tu es superbe comme ça.
– Merci ! ajouta-t-elle en me lâchant un petit baiser sur la joue. Où veux-tu aller ?

Je ne sus que répondre. Mais alors qu'elle prenait de l'avance sans attendre de réponse, tortillant des fesses plus que d'accoutumée, se formulait en moi, d'une façon de plus en plus intelligible, le désir profond que je m'évertuais à étouffer depuis le matin.
– Alors ? Tu as une idée ? Une envie… particulière ?

Oui, j'avais une envie particulière. Et elle se dessinait de façon de plus en plus nette, de plus en plus bruyante à mesure que j'écoutais les timides questions de Nicole. J'avais l'envie de plus en plus folle qu'elle se montre plus autoritaire, plus déterminée, plus autocrate, qu'elle attrape solidement les rennes et qu'elle me conduise là où elle le désirait. Oui, j'aurais voulu qu'elle me lâche un « tu vas mater le cul de ta salope de femme entre les rayons de DVD ! Et t'as intérêt à bien faire bander ta minable petite queue »…
– Tu voudrais pas faire quelque chose pour moi ?
– Quoi donc ? demandai-je, tiré de mes pensées.
– J'aimerais que tu restes à distance de moi, et que tu me suives, comme un gros cochon qui a repéré que je n'avais pas de culotte.

Et elle lâcha un petit rire. Je ne la reconnaissais plus.
– Tu veux bien ?
– Comme tu veux, répondis-je sans conviction.

De toute évidence, la situation l'émoustillait, la rendant aveugle à mon manque d'entrain, et elle se mit à lécher une des vitrines du complexe commercial, faisant lentement un pas après l'autre, prenant soin de laisser ses jambes écartées le plus longtemps possible, tirant sur le bas de sa robe, s'assurant par un furtif mouvement de tête que j'étais bien là, à proximité, à la mater.

Elle était sexy, à n'en pas douter, mais je réalisai à présent que l'emprise qu'elle voulait avoir sur moi n'était rien en comparaison de ce que je désirais secrètement. Elle l'avait frôlée l'autre jour, en me surprenant dans notre chambre à me masturber dans une de ses robes, mais ce souffle d'autorité dont elle s'était alors investi semblait s'être évaporé, ou tout du moins adouci.

Elle rentra dans le magasin, où je la suivis bientôt. Je la retrouvai entre deux portants, sortant un pull en cachemire et puis un autre. Puis, m'apercevant derrière elle, elle feint d'en laisser tomber un, et se pencha pour le ramasser, les jambes bien droites. Cela eu pour effet de remonter sa robe sur le bas de son dos, et je pus voir ses fesses, et les lèvres de son sexe entre ses jambes écartées. Ma femme, à n'en pas douter, était vraiment une belle femme. Ma salope de femme était vraiment une putain de belle femme, un canon… Devant cette vision de rêve, j'en oubliais un instant tout ce qui me préoccupait.

Elle mit un temps infini à se relever, sourire aux lèvres, passa à ma hauteur avec ses deux pulls et me glissa doucement :
– Ça t'a plu, vieux cochon ?

Je lui répondis d'un sourire. Mais j'aurais voulu lui crier qu'elle ne pouvait pas en rester là. Qu'elle ne devait pas en rester là. Pourquoi ne m'avait-elle pas contraint à m'approcher d'elle, tout contre le portant ? Pourquoi ne me contraignait-elle pas, sur le champ, à ouvrir mon pantalon et à me branler face à elle pendant que le rayon était désert ? au risque qu'un des clients présents nous surprenne ? Ce petit vieux, là, par exemple, qui attendait docilement que sa grosse femme ne ressorte de la cabine d'essayage.

J'avais soudain une furieuse envie que Nicole m'humilie, qu'elle me menace, même, d'offrir ses faveurs à un autre, si je ne m'en montrais pas digne. Et qu'elle le fasse, bien sûr ; qu'elle offre à ce petit vieux, là, une vue rêvée sur ses attributs, devant moi ; qu'elle lui dise qu'il pouvait la toucher, devant moi, qu'il pouvait même lui enfoncer un doigt s'il le voulait, devant moi, devant son minable mari et sa misérable queue.
– Olivier ?

Je me retournai vers Nicole, presque en sursaut. Elle avait tout à fait perdu son air enjoué.
– Tu n'es pas drôle, tu sais… Tu aurais pu au moins essayer de me rejoindre dans la cabine d'essayage.
– Oui, je sais, excuse-moi, répondis-je, un peu honteux.
– Quelque chose te préoccupe ? Tu veux en parler ?

Non, je ne me sentais pas la force de lui en parler. J'avais la conviction, au plus profond de moi, qu'elle ne pourrait que me juger, qu'elle ne pourrait que me dire que mes petites « incartades fantasmagoriques » étaient mignonnes c'était un mot à elle, ça, mais qu'aller plus loin, qu'instituer ces jeux, ça aurait relevé de la démence, voire de la pathologie.

Aussi décida-t-on d'acheter simplement une pizza et de rentrer. Sur le trajet du retour, elle ne prononça pas un mot, et à chaque carrefour je lui renouvelai mes excuses, prétextant un début d'année difficile. Chaque fois, elle redescendais sa robe vers ses genoux, comme un réflexe. J'aurais tellement désiré, pourtant, qu'elle passe outre ! Qu'elle fasse fi de mes « états d'âme » et qu'elle m'oblige, de force, à rentrer dans ses jeux ! En garant la voiture dans notre parking, je pris la ferme décision d'étudier sérieusement le contrat de Jennifer.

Le lendemain matin, j'en relus plusieurs fois les termes tandis que Nicole se reposait encore de notre coucher tardif. La veille au soir, alors que nous étions déjà couchés, je lui avais demandé de remettre sa petite robe. Peut-être pour me racheter. Et j'avais tenté de faire preuve de la plus grande imagination, la replongeant par mes mots dans ce complexe commercial, pour réaliser en fantasme ses envies de la journée. Cela sembla lui plaire, et les « encore » qu'elle lâchait, je le savais, visaient tout autant mes coups de reins que les situations que mes mots entretenaient sous ses paupières closes. Nous avions joui et elle s'était endormie paisiblement, la main sur mon sexe débandé.

Qu'aurais-je eu à craindre de ce contrat dont les règles semblaient tellement résonner avec mes désirs profonds ? Il était clair : pas de sévices physiques je déteste la souffrance, pas de chantage, pas d'ingérence dans la vie de mon couple ou de ma famille, rien qui pouvait mettre en péril ma situation professionnelle. Il offrait toutes les garanties, et je pouvais le rompre à tout moment, sans appel. Et ce, pour ne parler que des aspects « conflictuels » de cette relation. Car pour le reste, j'abondais pleinement dans le sens des attentes de cette maîtresse, c'était un euphémisme de le dire.

Quand Nicole se leva midi sonnait j'avais pris cette fois une résolution irrévocable, même si elle me paraissait aussi folle qu'excitante : j'allais signer ce contrat et je le renverrais docilement à Jennifer. Je voulais me soumettre à son autorité. Je voulais que son corps de rêve me dresse et m'éduque à la servir. Oui, je désirais plus que tout que cette nymphe de dix-neuf ans me soumette et me domine.

Mais il me fallut attendre le lendemain matin pour faire tourner l'imprimante et scanner le contrat. Nicole partait en cours une heure plus tôt que moi, ça me laissait tout le temps.
« Tout le temps » étant bien entendu une façon de parler, en matière d'imprimerie. Car, loi de Murphy oblige, c'est toujours au moment où l'on est pressé que ce genre de matériel vous laisse définitivement tomber… Il me fallut débourrer trois fois l'imprimante, changer deux cartouches couleurs allez savoir pourquoi la couleur est nécessaire pour imprimer un document noir et blanc !…, faire quatre contrôles d'alignement des têtes et réimprimer plusieurs fois certaines feuilles mal engagées… En définitive, il fallait bien admettre qu'une imprimante ne détestait rien autant que d'… imprimer. Rien de tel aussi pour vous faire perdre toute excitation. Scanner les documents signés fut en revanche un jeu d'enfant, et je pus enfin composer mon PDF.

J'ouvris une réponse au mail de Jennifer et y « draguai » le document en pièce jointe. Puis, sans réfléchir — je ne voulais plus réfléchir —, je cliquai aussitôt sur le bouton « Envoyer ». Toute cette activité m'avait en vérité plus excité que je ne le croyais et je fus étonné, en glissant la main dans mon jogging du matin, de trouver mon sexe dur, et mon slip presque trempé par endroit.

J'étais en train de ramasser et détruire les feuilles gâchées par mon combat — victorieux — avec l'imprimante lorsque le bip de ma messagerie retentit. Mon message était parti seulement quelques dizaines de minutes plus tôt mais Jennifer Maîtresse Jennifer… y répondait déjà. Je me précipitai sur le message, redoutant d'avoir commis un imper.
« Je suis heureuse de constater que tu as bien pris le week-end pour réfléchir. C'est cool. Je te renverrai notre contrat signé plus tard. Mais là, tu vas trouver une excuse pour rentrer très tard ce soir. Tu dois me payer le resto pour sceller notre pacte. Débrouille-toi comme tu veux. Et laisse-moi ton tél, je te donnerai les consignes par sms. »

Par ces simples mots, j'eus la confirmation de bien fondé de toutes mes tergiversations du week-end. J'aimais plus que tout son ton sans appel, ses injonctions sans discussion possible, cette autorité qui suintait de chacune de ses phrases.

Et je commençai déjà à me demander ce qu'elle allait bien pouvoir me réserver pour la fin de la journée. Mais avant ça, il me fallait trouver une bonne excuse de ne pas rentrer ce soir, en sachant qu'à l'Éducation Nationale, le prétexte du « surcroît de boulot au bureau » n'était pas dans l'arsenal des excuses du mari fugueur… Qu'allais-je bien pouvoir inventer pour m'absenter ce soir ? Et le plus terrible, c'est que je n'avais que la journée pour le découvrir.
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Commentaires du récit : Olivier, prof soumis 7

Le 03/11/2011 - 16:08 par gg85
Bravo pour tes récits ils sont supers,si cela est réel ce doit être à la fois très excitant et difficile à supporter car malgré qu' elle soit majeure elle est avant tout une élève parmi les autres et la sanction pourrait être lourde si cela arrivait à se savoir.Continues tes narrations qui sont vraiment bandantes

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