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Olivier, prof soumis 8

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Lue : 9138 fois - Commentaire(s) : 3 - Histoire postée le 17/11/2011

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Mes préoccupations de la journée se résumèrent à deux obsessions : attendre le message de Jennifer qui devait préciser l'heure et le lieu de notre rendez-vous, et concocter un mensonge crédible pour Nicole pour justifier mon absence du soir. Je réalisai non sans ironie que je n'avais presque jamais laissé Nicole seule à la maison pour sortir le soir. Jamais de « petits pots entre potes » ou autres parties de bowling ou de poker viriles, entre copains. Chaque fois, Nicole avait été de sortie avec moi, ou c'est moi qui l'accompagnais. J'étais en somme un mari modèle… Aussi l'excuse de ma sortie du soir devait-elle être à la hauteur de ma réputation.

Lorsque le SMS de Jennifer tomba, peu avant midi, je n'avais toujours rien trouvé. Elle fixait le rendez-vous à 20 heures 30, en bas de chez elle. Elle devait m'envoyer un lien google-map. Son message ne disait rien d'autre. Pas d'encouragement, pas de questionnement sur ce qui me tracassait.

Étais-je si peu imaginatif ?… Il devenait pourtant impérieux que je trouve quelque chose ; les heures passaient, et pour rien au monde je ne voulais manquer ce premier rendez-vous avec Jennifer. J'en étais déjà trop excité. Je pensai alors à recourir à l'aide d'une collègue qui, si je me souvenais bien, avait divorcé à cause des trop nombreux coups de canif de son époux à leur contrat de mariage. L'alinéa « Adultère » était criblé de profondes entailles. Je décidai de la lâcher sur le sujet.
– Attends, mais il se faisait pas chier, si tu veux savoir ! Il m'appelait au dernier moment en me disant « salut cocotte » — cocotte, tu parles ! grosse gourde, oui ! — bref, en me disant « salut cocotte, je rentrerai tard ce soir. ». Et moi je devais me faire les ongles à la maison ! Tu imagines ça, toi ?

Voilà bien le genre d'excuse qui ne me serait pas d'une grande aide…
– Tu aurais préféré qu'il te dise quoi, toi, en fait ?

Elle tourna vers moi un regard suspicieux.
– Pourquoi ? Tu veux pas tromper Nicole, quand même…

Je me forçai à rire.
– Qu'est-ce que tu vas imaginer ! Ha ha… Tromper Nicole ? Non, c'est juste par curiosité, comme ça, pour savoir le genre d'excuse que les femmes aiment bien entendre.

Elle prit alors un air inspiré, la tête levé vers le plafond, sourire rêveur aux lèvres.
– Je sais pas… Si un mec me trompait, j'aimerais bien qu'il me dise… attends… Tiens ! Voilà ! J'aimerais qu'il me réveille en rentrant, même à trois quatre heures du mat, pas de problème, et qu'il m'embrasse partout dans le cou, sur le visage, en me disant que je lui avais trop manqué, que la soirée lui avait paru interminable sans moi.
– Soit. Mais avant de ne pas rentrer, qu'est-ce qu'il aurait pu te dire ?

Elle reprit son air inspiré. Je faisais mine de ne pas être plus intéressé que ça, me donnait une contenance en me resservant un café.
– Je sais, tiens ! S'il avait été plus malin, il m'aurait dit : « Ma chérie… Je veux te faire une belle surprise… Mais pour ça, j'ai besoin de la soirée… Alors ça me déchire le cœur de la passer loin de toi, cette soirée, mais je t'assure que tu ne le regretteras pas… ». Alors là, oui, je crois que je me serais pas méfié une seconde. Et je te raconte pas la soirée, à fantasmer sur la surprise en question !
– Soit, mais ensuite, la surprise, il faudrait quand même la faire. Et justifier que sa préparation ait nécessité toute une soirée…
– Oh ! Tu m'enquiquines avec tes questions ! T'as qu'à lui dire que tu t'es trompé de route en rentrant, que tu t'es retrouvé sur l'autoroute tu ne sais pas comment et que ça fait trois cent bornes que tu cherches une sortie !
– Comment ça « Je n'ai qu'à lui dire » ? Mais je n'ai rien à dire, c'était juste par curiosité.
– Oui, bien sûr, par curiosité.

Je reçus un nouveau message. C'était Jennifer.
– Excuse-moi, m'excusai-je.

Et je me poussai à l'écart, sous le regard suspicieux de ma collègue.

Jennifer changeait l'heure et le lieu du rendez-vous. Je devais maintenant l'attendre à 19 heures 30 sur le parking de l'administration du lycée. Là où quelques jours plus tôt elle était venue m'attendre, nue sous son manteau. 19 heures 30… Ça me faisait une heure de moins pour trouver une excuse !

Après ma seconde demi-journée de cours, lorsque je pénétrai à nouveau dans la salle des profs, j'étais profondément désespéré. Je n'avais toujours rien trouvé, pas la moindre petite excuse crédible. Toutes celles qui m'étaient venues, Nicole ne les avalerait jamais, c'était certain. J'étais abattu, déchiqueté, sur le point de renoncer, de rompre dès le premier jour le contrat passé avec Jennifer, la mort dans l'âme. Pour une malheureuse question d'excuse.

Dans la salle, deux collègues bavardaient un peu fort à côté de la machine à café.

– Et tu crois qu'il aurait appelé ?… Non, j'ai dû me coltiner ses élèves toute la journée !

– Sois indulgent, Fred, t'as bien vu que c'était pas la grande forme, depuis la rentrée. À croire qu'il a avalé un poulpe pendant les vacances.

– Tu parles, c'est son divorce qu'il n'arrive pas à avaler.

– De qui vous parlez, là ? m'aventurai-je à demander.

– De Bernardeau, le prof d'EPS. Il est pas venu de la journée, et il a même pas prévenu l'administration, le con.

Ce fut comme une révélation. Je me précipitai aussitôt dans le couloir en consultant l'heure, et en sortant mon mobile.

– Chérie ?… Oui, c'est moi. Écoute, je suis embêté… Tu te souviens de Bernardeau ?… Mais si, le prof de sport du lycée. Écoute, ça fait plusieurs jours, pour ne pas dire depuis la rentrée, que je vois bien qu'il tourne pas rond. La semaine dernière encore, il m'a parlé pendant plus d'une heure de sa femme. Enfin, de son ex-femme. Il se remet pas de leur rupture. Oui, c'est triste… Hé bien, c'était sa journée pleine, aujourd'hui, et figure-toi qu'il n'est pas venu, il n'a pas appelé, et il répond même pas au téléphone. Qu'est-ce que tu en penses ? Ça commence à m'inquiéter, tu sais.

J'attendis patiemment la réponse de Nicole, certain qu'elle allait savoir, comme à l'accoutumée, ce qu'il convenait de faire. Et avec un peu de chance, ce qu'il convenait de faire s'accorderait parfaitement à ma soirée.

– Chez lui ?… Tu crois ?… Bon, si tu penses que c'est bien. Mais je m'attarde pas, hein ? Je fais un saut chez lui et je rentre. Pardon ?

J'écoutai à nouveau, exultant intérieurement de cette solution miraculeuse qui m'avait été offerte, et affreusement honteux de ce mensonge que je doublais d'une sournoise manipulation. Mais j'avais en tête le corps de Jennifer, les seins de Jennifer, le cul de Jennifer, et surtout : l'autorité de Jennifer. J'y avais pensé toute la journée, et je n'allais pas renoncer si près du but.

– OK… Si tu penses que c'est mieux… J'espère simplement qu'il va pas passer toute la soirée à me parler de son ex… D'accord… OK… Je t'embrasse. À ce soir. Mais ne m'attends pas.

Et je raccrochai, jubilant, pris d'une brusque envie de retourner dans la salle des profs embrasser mes deux bons collègues qui venaient, sans le savoir, de sauver ma soirée. J'avais honte, terriblement honte, mais ce mensonge, je l'avais fait pour Jennifer, et j'en tirai, à regarder les choses en face, plus de fierté, plus d'excitation que de culpabilité.

Mais pour l'heure, il me fallait terminer la correction de mes copies du lendemain pour profiter pleinement de la soirée.

À 19h30 précise je me trouvais dans mon véhicule sur le parking de l'administration.

À 20h, la nuit commençait à tomber et j'attendais encore, devant faire mine de consulter des copies lorsque des administratifs ou des collègues quittaient le lycée.

À 20h30, Jennifer n'était toujours pas en vue. Me remémorant notre dernier rendez-vous manqué au gymnase du lycée, je commençai à penser qu'elle m'avait à nouveau posé un lapin.

Mais cette fois, j'en étais vraiment chagriné et déçu. J'avais passé une journée horrible, à me torturer l'esprit pour trouver une solution, tout en fantasmant sur cette première soirée avec ma… Maîtresse. Car oui, elle n'avait que 19 ans, mais elle était ma Maîtresse, et je m'étais soumis à elle par un acte paraphé.

Je me voyais déjà dire tristement à Nicole que Bernardeau n'allait pas si mal que ça, finalement, et que je ne m'étais pas attardé… Un mensonge gaspillé pour rien, moi qui en étais si économe jusqu'à aujourd'hui.

Il était 21 heures, j'allais prendre la décision de partir, lorsque la porte passager s'ouvrit brusquement. C'était Jennifer, elle était arrivée par l'arrière, je ne l'avais pas vue.

Elle s'assit sur le siège passager en m'accordant un large sourire, radieux, tout en remettant ses cheveux en place. Mon cœur se mit aussitôt à battre la chamade. Ce qui n'était jusque-là que pur virtualité devenait brusquement un rendez-vous, un vrai rendez-vous, bien concret.

– Ça n'a pas été trop long ?

– Ça va…

– Mieux que ça. Maintenant que nous avons un pacte, tu dois m'appeler « Maîtresse » en privé et « Madame » en public. Recommence s'il te plaît.

– Non, Maîtresse, ça n'a pas été trop long.

Par ces simples mots, je sentais déjà l'excitation monter en moi.

– Démarre, tu vas me conduire au centre ville. Comment tu me trouves ?

– Je vous trouve… ravissante… Maîtresse.

– Tu as envie de me baiser ? Tu as envie de baiser ton élève de Terminale ?

Je pris un temps avant de répondre, ne sachant s'il était dans les attributions d'un « soumis » d'avouer ce genre de chose.

– Réponds. As-tu envie de baiser ton élève ?

– Oui.

– Mieux que ça.

– Oui, Maîtresse, j'ai envie de vous baiser.

– C'est bien. Allez, roule ! Je connais un petit resto où on ne risque pas de croiser des profs du lycée. En tout cas pas ceux que je n'ai pas envie de rencontrer avec toi.

Je ne sais pourquoi, mais cette dernière réflexion me toucha. Jennifer l'avait dite avec dédain et autorité, mais j'y sentais néanmoins une espèce d'attention bienveillante. Jennifer devançait mes craintes, et semblait effectivement vouloir me protéger, comme le stipulait le contrat. Elle avait dit ça comme si elle y avait déjà mûrement réfléchi. Et j'en fus touché.

– Qu'est-ce que tu lui a raconté, à ta salope ?

– Ma salope ?

– Ta femme, crétin.

– Ah ! Que je devais prendre la soirée pour remonter le moral à un collègue déprimé, annonçai-je avec fierté.

– Et tu t'en vantes ? demanda-elle sèchement en retirant ses pieds de ses escarpins pour les masser un peu.

La question me désarçonna.

– Ça t'a excité, de lui mentir ?

– Oui, dus-je avouer.

– Tu le referas ?

– Je ne sais pas…

– Tu aimerais que je te redemande de le faire ?

– Oui. Oui, Madame.

Et soudain, de façon tout à fait inopinée, elle me flanqua une gifle. Je faillis faire un écart sur la route.

– Qu'est-ce que j'ai fait ?… Je n'aurais pas dû mentir ?… J'aurais dû dire « Maîtresse » ? demandai-je, désarçonné, en me frottant la joue.

– Abruti. Tu n'as rien remarqué ?

Je regardai autour de moi, sans quitter la route des yeux, décontenancé.

– Non… Je ne vois pas…

– Ça ne te dérange pas de rouler tranquillement pendant que ta maîtresse est obligée de se masser les pieds ? Non ? Ça ne te dérange pas ?

– Ah… désolé, balbutiai-je, sans trop savoir quoi faire.

– Gare-toi là-bas, ordonna-t-elle en désignant un chemin de terre, un peu plus loin, qui disparaissait sous les bois.

Dès que j'eus coupé le moteur, elle se tourna sur le fauteuil et me tendit son pied. Un pied magnifiquement galbé. Je me mis à le masser du mieux que je pouvais, alors que l'obscurité de la nuit s'était installée autour de nous.

Tout en massant, je longeais du regard ses jambes magnifiques de jeune fille. Elle me toisait dans l'obscurité du véhicule, le regard fixe, un sourire mignon aux lèvres. Quand mon regard osa remonter à la hauteur de sa jupe, Jennifer poussa le genoux un peu sur le côté, écartant ses cuisses. La culotte qu'elle portait devait être noire.

– Tu aimes mater entre les cuisses de tes élèves, vieux cochon ? Elle te plaît, ma petite culotte ?

– Oui… avouai-je.

– Je suis certaine qu'un vieux pervers comme toi aurait préféré une petite culotte blanche en coton. Pas vrai ?

– Non… Je la trouve très bien, celle-là.

– Alors prends-la. Retire ma culotte, et mets-toi la sur le visage, j'en ai marre de voir tes mimiques de prof excité.

Je m'exécutai, le plus délicatement possible, fit glisser la culotte le long de ses jambes, qu'elle avait redressées vers moi. Avant que j'aie eu le temps de la retirer complètement, elle me l'arracha des mains et la plaça d'un coup sur mon visage, prenant soin de placer son entrecuisse juste sous mes narines. Et elle se mit à pouffer de rire.

– Il est bien, comme ça ? le petit prof de français ?

Puis elle redevint aussitôt sérieuse.

– Pas de chance pour moi, je n'ai pas pu la garder sur moi toute la journée, celle-là. Et je sais que tu aimes ça, renifler mes « fluides », pas vrai ?

– Oui Maîtresse.

– Mieux que ça !

– Oui, Maîtresse, j'aime sentir vos fluides… votre urine.

Je ne me reconnaissais pas. Était-ce de sentir son odeur, si prenante, enivrante, chavirante ? J'aurais pu lui dire n'importe quoi. À travers le tissu, je ne pouvais plus rien voir dans l'obscurité, mais je continuai méticuleusement mon massage, n'osant faire le moindre geste pour changer la culotte de position. De loin en loin, des véhicules passaient sur la route toute proche, balayant l'habitacle d'un rai de lumière furtif et puissant.

– Tu peux la mettre mieux. Et tu pourras la garder, en souvenir de notre première soirée. J'ai encore mal aux pieds, ne t'arrête pas.

Je m'appliquai du mieux que je pouvais. Jennifer alluma alors le plafonnier et je pus découvrir qu'elle jouait sous sa jupe écartée, peut-être depuis un moment déjà, du bout des doigts, avec les lèvres de son sexe et son clitoris. Elle se touchait négligemment, comme elle aurait joué avec une mèche de cheveux, ne semblait même pas vouloir en tirer du plaisir.

– Au fait, merci pour le 18. Mais la prochaine fois, tu te branleras à l'intérieur de ma copie. C'est avec ton sperme de prof que je veux que tu me mettes tes notes.

– Bien, Maîtresse.

Je ne pouvais quitter du regard ses pieds, ses mollets fins, ses cuisses, son sexe qui devenait brillant sous la lumière plombante du plafonnier.

– Alors comme ça tu aimerais baiser ton élève-maîtresse ?

– Oui…

– Il faudra que tu sois patient. Tu dois le mériter. Et ça ne se fera pas en quelques jours, crois-moi. Tu as tout à apprendre. Pour le moment, tu as juste le droit de te branler sur moi. Et seulement quand je le décide. OK ?

– Oui Maîtresse.

Elle retroussa sa jupe jusque sous ses fesses.

– Tu as envie de te branler sur ton élève ?

– Oui, j'ai envie de me branler sur vous, Maîtresse.

– Est-ce que tu bandes, au moins ?

Oui, je bandais, ça ne faisait aucun doute. Et assis dans cette position inconfortable, sous le volant, mon sexe compressé dans mon pantalon commençait à me faire mal.

– Montre-moi ça.

J'étais trop heureux de pouvoir m'exécuter. J'ouvris donc mon pantalon, comme je pus, et tirais mon sexe de mon slip.

Jennifer se pencha vers moi et passa le pouce sur mon gland humide, déclenchant de nouvelles foudres dans ma colonne vertébrale.

– Tu vois, en bon soumis, tu dois te maintenir en permanence dans cet état d'excitation. En ma présence, et même quand tu es seul. Pour améliorer ta résistance et tes performances, je veux que tu te fasses bander le plus souvent possible, et que tu te caresses. Mais attention ! Interdiction formelle de te faire jouir sans permission, c'est compris ?

J'acquiesçai, mis au supplice — un supplice tellement agréable — par son pouce qui tournait doucement autour de mon gland.

– Je te rassure. T'as une belle queue. Pas immense non plus, mais je pense qu'on pourra en faire quelque chose. Elle te suce, ta salope ?

– Ça lui arrive…

– Elle t'offre son cul ?

– Ah non, ça, on n'a jamais essayé, répondis-je dans un ricanement, aussi gêné qu'excité par la question.

– Je vois… Pas folichon, quoi. On parie ? Dans trois mois, quand j'aurais fait un peu ton éducation, elle se mettra à quatre pattes, le cul en l'air, et elle réclamera ta queue dans son trou du cul.

Pour le coup, je trouvais Jennifer très ambitieuse… Mais j'avais envie d'imaginer ce qu'elle me préparait. Et j'étais même curieux de savoir comment elle pourrait y parvenir. Elle m'avait bien, moi, transformé en un soumis obéissant qui venait de signer un pacte avec elle, qui venait de mentir à sa femme, et cela en moins d'un mois.

– Je vais faire de toi un parfait soumis. Attention, hein, pas un soumis lobotomisé ! Et tu vas voir comme ta connasse de femme va adorer ça, sans le savoir. Mais tu vas devoir suivre un programme très strict.

Je ne l'écoutais déjà plus, trop concentré à maintenir mes molles pressions sur ses pieds tandis qu'elle faisait monter l'excitation en moi par de savantes petites rotations sur le bout de mon gland humide. Pas une fois elle n'avait pris mon sexe dans sa main, elle n'avait exercé aucun va-et-vient, et j'étais pourtant sur le point de jouir.

Le sentant venir sans doute, elle attrapa alors mon sexe à pleine main, et le comprima très fort, trop fort, jusqu'à me tirer un petit cri de douleur. Puis elle se remit en place comme si de rien n'était, face à la route, et renfila ses escarpins, tandis que mon sexe avait perdu de sa raideur.

– C'est bon, on y va. Reste la queue à l'air, je veux pouvoir la toucher quand ça me chante.

Je repris donc la route, la braguette ouverte, le pénis bavant, et la conduisit jusqu'au restaurant qu'elle avait choisi, dans le vieux centre. Nous nous installèrent à une table choisie par elle, dans le fond de la salle, évidemment.

– Assieds-toi là, ordonna-t-elle, assez fort pour que le serveur, encore à nos côtés, entende.

Ce n'est pas de la honte que je ressentais à cet instant, non, j'étais au contraire incroyablement fier. Une fierté inconnue. J'étais fier d'accompagner une jeune fille aussi altière, aussi dirigiste, autoritaire. Elle décidai de tout à ma place, et ça me ravissait. Elle choisit pour moi ce que j'allais manger, par chance des fruits de mer, elle choisit le vin, et elle me reprit plusieurs fois à l'ordre pour que je me tienne droit. Comme un homme, disait-elle. Mais elle m'interdisait de la regarder en face, de haut, comme le faisait un prof. Je devais toujours pencher la tête, la regarder d'en bas, la tête baissée. Ce furent les premières leçons qu'elle me distilla, et elles nous conduisirent sans que je m'en aperçoive vers la fin du plat de résistance.

– Tu vas me montrer comment tu te branles, annonça-t-elle après avoir choisi les desserts.

– Comment ça, ici ?!…

– Tu discutes mes ordres, maintenant ? Tu vas montrer à ton élève comme tu te tripotes en pensant à elle. Allez !

J'étais rouge de honte, mais terriblement excité par cette perspective. Je regardai autour de moi. La salle était presque déserte en ce début de semaine, deux couples assez jeunes, un homme seul à sa table, commercial en mission en Provinces sans doute. La lumière était tamisée, mais l'était-elle suffisamment ? Je compris en tout cas que Jennifer avait bien choisi ma place. Mon bras droit, du côté du mur, ne pouvait pas attirer l'attention, quel que soit le point de vue.

– Qu'est-ce que tu attends ? Tes boules de glace ?… Baisse ta braguette et branle-toi.

Je m'exécutai le plus discrètement possible, mort de trac. Je sortis mon sexe, et commençais à me masturber, d'un simple mouvement du poignet sous la table, en guettant les allées-venues du serveur qui, d'un moment à l'autre, viendrait nous apporter nos desserts.

Mais je sentais le plaisir monter, décuplé de voir Jennifer devant moi, qui me toisait avec un sourire intéressé, en glissant son verre de vin sur ses lèvres, se redressant légèrement de temps à autre pour mieux constater mon humiliante obéissance.

– Ta serviette.

– …?

– Ta serviette ! répéta-t-elle en me la tendant, ouverte.

Apercevant le serveur qui s'approchait, je plaçai aussitôt la serviette sur moi en me redressant. Mais ces précautions était tout à fait inutiles : en déposant les coupes devant nous, il n'avait d'yeux que pour le sourire ostensiblement enjôleur que Jennifer lui offrait, un sourire sans mièvrerie, mais sans équivoque. Le serveur repartit en me lançant furtivement un regard où je pus lire une espèce d'ironie, comme si deux cornes m'avaient soudainement poussé sur le crâne.

Alors que j'étais prêt à enfourner la première cuillère de dessert dans la bouche, Jennifer reposa la sienne et se leva.

– Suis-moi ! Et prends ta coupe de glace.

Elle partit aussitôt vers des escaliers qui descendaient au fond de la salle. Je m'essuyai la bouche rapidement, et la rattrapai dans les escaliers aussi vite que je pouvais en prenant garde de ne pas renverser mon dessert, me demandant bien ce que je devrais en faire.

Je pensai qu'elle me conduisait aux toilettes, mais c'est dans une petite cour en contrebas, à l'arrière du restaurant, que nous nous retrouvâmes. Une sorte de patio pavé, sur lequel donnait la fenêtre allumée des cuisines, seule source de lumière pour éclairer les lieux.

– Tu as été très obéissant, c'est bien. Ta Maîtresse Jennifer est fière de toi, me dit-elle, comme on félicite un petit chien.

Elle marchait autour de moi sur le pavé, faisant claquer ses escarpins sur le sol.

– Je vais t'autoriser à éjaculer. On est tranquille ici. Ne t'inquiète pas pour les cuisines, ils aiment bien mater, et ils en ont vu d'autres.

Je la regardais tourner autour de moi, excité par sa silhouette tellement gracieuse, déjà habitué à attendre ses ordres.

– Retire ton pantalon et ton slip. Et pose-les là, sur le pot en terre. Donne-moi ta coupe.

Je m'exécutais, sans vouloir réfléchir, et me retrouvai au milieu de la cour, en chemise, et tout le bas du corps à l'air.

– Écarte un peu les cuisses, je veux voir tes couilles qui pendent. Et branle-toi.

Je sentis la fraîcheur du soir sur mes testicules, et sur mes cuisses, et cela me provoqua une douce excitation. Je commençai à me caresser doucement. Jennifer poursuivait sa ronde, et lorsqu'elle se retrouvait en face de moi, elle prenait une cuillère de glace et me la tendait. J'ouvrais docilement la bouche, et tout en me donnant la bectée, elle passait l'autre main sous mes testicules, les frôlant délicatement en m'incitant à continuer de me branler. Je faisais alors fondre la glace lentement sur ma langue, avec un bonheur inconnu.

– Regardes-les, ces petits mateurs !

Je tournai le regard vers la fenêtres des cuisines, où deux hommes en blouse et en toque fumaient une cigarette en ricanant. J'eus un moment d'hésitation, la honte me saisit, j'étais prêt à me lancer sur le côté pour me cacher, mais Jennifer fut formelle.

– Ne t'arrête surtout pas. Avec un peu de chance, la note sera pour eux. On va leur en donner pour leur argent.

Jennifer se plaça alors devant moi, et commença à déboutonner bouton après bouton son gilet de laine. Elle n'avait rien dessous, et sa poitrine, ronde et d'une tenue magnifique, luisit dans la cour, éclairée par les lumières blafardes des cuisines.

– Branle-toi, mon cochon. Tu les aimes, mes seins ? Dis ? Tu les aimes ?

Il ne manquait plus que la musique de Delerue… Et sortant une brève seconde de ma contemplation extatique, je m'étonnai que cette élève médiocre connaisse ce vieux film de Godard.

– Et ma petit chatte d'étudiante, dis ? Tu l'aimes ma petite chatte d'étudiante ? demanda-t-elle en remontant sa jupe pour dévoiler le haut de ses superbes cuisses qu'elle se mit à caresser de sa main libre.

– Oui… Je l'aime beaucoup, Maîtresse.

Je n'en pouvais plus d'excitation. Mais je ralentis mes mouvements, j'aurais tout fait pour que ce moment dure l'éternité. Je me fichai complètement, à présent, de ces deux voyeurs qui se rinçaient l'œil, rejoints à présent par le jeune serveur. Au contraire, me sentir ainsi humilié m'excitait au plus haut point.

Jennifer se retourna dos à moi, et se pencha en avant, les cuisses écartées, me dévoilant ses fesses superbes, en feignant de gémir de désir. Elle me rendait folle.

– Rapproche-toi du petit cul de ton élève, vieux cochon. Viens juste caresser ma rondelle du bout de ta bite.

J'obéis. Le contact de mon gland sur sa peau infiniment douce me fit perdre la tête. Je sentais que j'étais sur le point de perdre tout contrôle.

– Tu l'aimes mon cul, hein ?

– Oh oui, Madame, je l'adore… Je l'adore…

– Mais est-ce que tu as le droit de rentrer ?

– Non, Maîtresse.

– Interdiction d'y entrer, tu as bien compris. Et c'est bien dommage, car elle est toute en chaleur, ta maîtresse. Tu le sens comme ton élève est en chaleur ? ajouta-t-elle en simulant quelques gémissements sans aucune pornographie.

– Oui, je le sens, Maîtresse.

– Je vais être obligée de me faire défoncer par ces deux cuisiniers, à cause de toi. Et par ce serveur cochon.

Elle se redressait déjà, prête à rejoindre la fenêtre, lorsque mon téléphone sonna, dans mon pantalon posé sur le gros pot de terre cuite. Jennifer attendit quelques secondes, et me voyant circonspect, elle me dit :

– Tu ne décroches pas ?

– Ça doit être… ma femme… balbutiai-je.

– Qui ça, tu dis ?

– Ma femme…

– Qui ça ?

– Ma salope de femme, compris-je enfin.

– Alors qu'est-ce que tu attends ? Décroche. Elle doit être morte d'inquiétude, la pauvre chérie. Dépêche-toi.

Contrarié, je me précipitai sur mon pantalon et sortis le téléphone.

– Oui ? demandais-je en tentant de reprendre mes esprits.

Tandis que j'écoutais, Jennifer se rapprocha lentement de moi, le sourire malicieux aux lèvres.

– Oui, t'avais raison, il ne va pas bien du tout, mentis-je.

Quand elle fut arrivé à ma hauteur, Jennifer attrapa ma queue qui avait brutalement désenflé, et commença à la caresser par de longs va-et-vient très amples. Je tentai de lui faire comprendre d'un regard et d'un mouvement de tête de ne surtout pas faire ça, mais elle poursuivit, imperturbable, en relevant le menton.

– Non, quand même pas, poursuivis-je au téléphone. Il n'en est pas à ce point-là, mais je m'inquiète quand même pour lui… Hein ?… Oui, je suis sorti sur… sur le balcon, pour être tranquille.

Jennifer me mettait au supplice, me branlant divinement de sa main douce de jeune fille. Je commençais à retenir des gémissements de plus en plus incontrôlables.

– Oui, ça va bien. Non, je n'ai rien. C'est juste que… que… que ça m'affecte un peu quand même.

Puis je vis Jennifer se mettre à genoux devant moi. J'étais terrorisé. Si elle me prenait dans sa bouche, je savais que ce serait la fin de toute tentative de contrôle.

Mais elle pose la coupe de glace sur le pavé et sortit de je ne sais où, peut-être d'une poche de son gilet ouvert sur sa poitrine, un gant de latex. Elle l'enfila à une de ses mains, et se remit à me branler de l'autre. Mon sexe avait raidi à nouveau, pointé vers elle, et il me faisait mal tellement j'avais envie d'exploser.

– Je ne sais pas… Peut-être une heure ou d…

Je dus couvrir brusquement le micro de la main, incapable de retenir le gémissement que les caresses de Jennifer m'arrachaient.

– Hein ?… Non… Enfin, oui, c'est ça… Oui, il pleure, je n'arrive pas à le calmer.

À genoux devant moi, Jennifer poussa alors, fort, sur mes chevilles, m'obligeant écarter plus les jambes. Quand mes pieds furent séparés d'un bon mètre, je sentis la main gantée de mon élève remonter le long de ma cuisse, lentement, jusque sur mes testicules, et glisser vers l'arrière, sur mes fesses, qu'elle comprima l'une après l'autre dans sa main. Je ne perçais presque plus rien des recommandations que me donnait Nicole.

Je sentis alors la main de Jennifer glisser le long de la raie de mes fesses, et, d'un doigt, elle se mit à tourner autour de mon anus, sans arrêter ses longs et lents va-et-vient sur mon sexe.

– Excell… excellente idée, oui… Quoi ?… Non, c'est juste que je suis… un peu… bousculé… Tu ferais quoi, tu dis ? réussis-je à prononcer entre mes dents serrés.

Mais je perdis tout à fait mes esprits lorsque Jennifer, redressant le regard vers moi, un grand sourire aux lèvres, enfonçant doucement son doigt ganté dans mon anus. Elle l'enfonça jusqu'au bout, puis se mit, au même rythme que sur ma queue, à entrer et sortir de mon trou qu'elle déflorait pour la première fois. Je ne pouvais m'empêcher d'accompagner son mouvement, venant chercher son doigt par l'arrière, poussant ma queue vers elle par l'avant. Son rythme était divin.

– Faut… que je te laisse… Oui, promis, je… je prends… soin de moi.

N'en pouvant plus, je raccrochai au nez de ma femme, coupant court à la recommandation qu'elle était à nouveau en train de me redonner.

À peine eus-je fermé le téléphone que je déchargeai sur Jennifer de longues salves de sperme, qui jaillirent sur sa poitrine magnifique alors qu'elle éclatait de rire. Pas un rire moqueur, non, plutôt quelque chose qui pouvait ressembler, étonnamment, à un rire de bonheur. Ce fut une libération puissante, et jamais je n'avais été traversé d'autant de soubresauts. Ils semblaient ne pas vouloir s'arrêter, alors que je sentais encore son doigt de latex tout au fond de mon anus.

Puis, avant que j'aie pu me remettre, je vis mon élève de Terminale sortir son doigt pour venir recueillir le sperme sur sa poitrine, s'assurant d'en mettre soigneusement tout le long de son index, en m'invitant, son autre main fermement accrochée à ma cuisse, à ne pas bouger.

Puis, sans que je m'y attende, elle repassa la main derrière moi, et renfonça d'un coup son doigt dans mon cul. L'effet fut immédiat, et je me mis à bander à nouveau, rapidement, alors que son index s'aventurait d'avant en arrière, de plus en plus vite entre mes fesses, comme dans un beurre fondu.

– Tu aimes ça, hein, petit pédé… Avoue.

– Oui… Oui maîtresse, lâchai-je en gémissant.

Elle poursuivit tout en donnant, de temps à autres, des coups de langue sur mon sexe à nouveau gonflé de sang.

– Ce soir, mon petit prof se dépucelle le cul lui même. Avec son propre sperme. Et il aime ça, n'est-ce pas ?

– Oui, Maîtresse, parvins-je à articuler.

Ses mots et ses va-et-vient déclenchèrent une nouvelle éjaculation qui, sans puissance, se contenta de couler le long de mon pénis et sur la main de Jennifer, en m'arrachant un long gémissement rauque.

Puis, alors que je me remettais lentement de toutes ces sensations nouvelles, elle alla demander quelques serviettes en papier aux cuisiniers et, après avoir parlé un peu avec eux en riant, elle revint me demander de m'essuyer et de me rhabiller.

Elle m'annonça qu'elle était fatiguée, qu'elle avait envie de rentrer. Je payai donc la note, mort de honte devant le sourire entendu du serveur, et nous reprîmes la voiture.

J'étais encore abasourdi, l'esprit comme dans du coton, essayant de me concentrer sur les consignes que me donnait Jennifer.

Elle voulait qu'en rentrant je baise Nicole. Ou plus exactement, que je la fasse jouir, en la caressant, car — dit-elle — je n'avais certainement plus assez « d'énergie dans l'engin » pour la satisfaire autrement. Et plus encore, Jennifer ne voulait pas que j'en tire du plaisir.

– Et si elle est déjà couchée ?

– Tu te débrouilles. Tu la réveilles en la doigtant.

Puis, stationné sur son parking, au pied de son immeuble, elle me rappela une fois encore les autres consignes qu'elle m'avait déjà données. À partir d'aujourd'hui, si je voulais être un bon soumis, je devais me maintenir le plus souvent possible en état d'excitation. Je devais également inciter ma femme, par tous les moyens que je trouverais, à rester dans le même état. Mais elle insista sur le fait qu'elle ne voulait pas qu'il y ait orgasme, ni d'un côté ni de l'autre. Jennifer me promettait une belle récompense pour la fin de la semaine si j'y parvenais.

C'est sur le chemin du retour, seul dans la voiture, que je me sentis le plus honteux. Honteux de ce que j'avais fait, mais plus honteux encore de n'en avoir aucun regret. J'aurais recommencé sur le champ, malgré l'heure avancée. D'ailleurs, quelle heure était-il ? Le compteur digital indiquait 3 heures.

Je me mis à réfléchir à ce que j'allais pouvoir dire à Nicole. En repensant à son appel, à ma réaction, j'étais convaincu qu'elle avait senti quelque chose. Et je n'aurais pas la nuit pour y réfléchir, puisque Jennifer m'avait donné l'ordre de la réveiller si elle dormait. Comment allait-elle réagir ? Comment allais-je m'y prendre pour justifier que je la réveillai pour la faire jouir, sans avoir l'énergie pour la pénétrer ? Car cette énergie, il était clair que je l'avais dépensée au-delà de mes réserves, pendant la soirée. Comment allait-elle prendre la chose ? Allais-je trouver le courage, en la voyant dormir paisiblement, de la réveiller ? Avec les risques que cela représentaient…
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Histoire de Olivier_prof_soumis

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Commentaires du récit : Olivier, prof soumis 8

Le 24/03/2012 - 03:07 par libertin59dk
Le n°8 est tres bon. Vivement le n°11
Le 22/11/2011 - 18:43 par hcaen
ce récit semble trop irréel mais qu'il est bien raconté

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