On en apprend tous les jours 2

Clarisse ne répond pas aux paroles de Maryse, elle baise les yeux. Maryse se fait câline, elle pose sa main sur ma cuisse de son amie et la caresse doucement, un grand frisson descend jusqu'au creux des reins de Clarisse. Justin et Louis se regardent, Justin fait un clin d'œil à Louis et lui murmure à l'oreille :


- Comme j'aimerais que ma femme se décoince, et la voir avec une autre personne, c'est un rêve pour moi !

Louis se penche et répond :

-Je crois que nous sommes de trop pour l'instant, laissons Maryse faire, elle arrive toujours à ses fins la coquine !


Les deux hommes se rendent à la cuisine, pour laisser seul les deux femmes. Les caresses de Maryse se font plus précises, la main passe sous la jupe de son amie, et s'insère entre les cuisses. Clarisse stoppe l'avancée de l'intruse en serrant les cuisses fortement. Elle saisit son verre, et avale plusieurs rasades de champagne. Maryse change de méthode. Elle enlace son amie et approche son visage du sien, les deux femmes se regardent droit dans les yeux, Maryse lui dit avec tendresse :


-Laisse-toi aller ma chérie, je sais que tu en as envie autant que moi !


Les yeux de Clarisse s'embuent, elle à beaucoup de mal à mettre un mot devant l'autre en répond en béguant un peu :

-Pour, toi, c'est, c'est facile, mais pour moi, c'est, c'est un pas impossible à franchir !


Maryse lui relève le menton avec deux doigts, dépose un baiser sur ses lèvres et dit :

-Le pas, je vais t'aider à le franchir, laisse-toi guider, tu me remercieras après, j'en suis certaine !


La phrase à peine terminée, elle serre très fort Clarisse dans ses bras et pose ses lèvres sur les siennes, sa langue cherche la sienne, aussi étrange que cela puisse paraitre, Clarisse répond au baiser de son amie en nouant sa langue à la sienne. Le baiser semble interminable, les soupirs résonnent dans le salon. Enfin les lèvres se séparent. Clarisse fébrile, déglutie bruyamment. Émue, elle regarde son amie et parvint à dire :


-Nous sommes folles Maryse !


En lui souriant, elle lui repond :


-Eh bien soyons folles, profitons de l'occasion ma chérie !

Elle lui deboutonne le chemisier très lentement, dégage les épaules du tissu, d'un geste habile fait sauter l'agrafe du soutien-gorge. Libérés de leur carcan, les seins jaillissent, les bouts larges et épais qui sont plantés au centre des taches brunes étonnent Maryse tellement ils sont charnus. Elle les agace un instant avant de les téter à tour de rôle. Clarisse ferme les yeux, soupire plusieurs fois, avant de basculer sa tête en arrière, pour geindre doucement. La bouche de son amie fait des miracles sur ses mamelons qui ne cessent de grossir. Maryse se redresse, soupèse les lobes, les pétris en enfonçant ses doigts dans la chair souple. Pour Clarisse, c'est le bonheur, elle ronronne comme un félin. Enfin Maryse passe à l'étape suivante.



Elle s'agenouille face à Clarisse, passe ses deux mains sous la jupe et les montent avec douceur le plus loin possible. Elle saisit la culotte et tire doucement. Lentement la culotte descend, Clarisse inconsciemment se tortille pour faciliter la descente de la culotte. Une fois la culotte retirée, Maryse constate que la culotte et très humide, elle la porte à son nez et hume fortement l'odeur de la cyprine qui mouille le tissu. Elle dit en souriant :

-C'est parfait ma chérie, tu mouilles, donc cela te plait !


Maryse lui retrousse la jupe, et pose ses mains sur les genoux. Elle tire doucement pour ouvrir les cuisses de Clarisse qui, réticente, résiste un instant, mais finit par céder. Maryse observe un moment la vulve suintant, avant de poser deux doigts sur les grandes lèvres bien dessinées. Elle les inserent dans le sillon et les montent jusqu'à la perle magique. Clarisse défaille au contacte des intrus sur sa protubérance charnue. Les doigts agiles de Maryse s'en emparent et la triturent avant de la branler doucement. Clarisse se cabre et garde la position tendue, jusqu'à la jouissance, avant de retomber dans le fauteuil. Les doigts de son amie sont trempés de jus visqueux, en regardant Clarisse dans les yeux, la coquine lèche un à un ses doigts. Elle replace ses doigts contre la vulve et les enfonce doucement pour en recueillir le jus précieux. Elle porte ses doigts enduit de nectar aux lèvres de Clarisse, qui imite son amie en donnant des coups de langues. Maryse en veut plus, elle enfonce ses deux doigts dans la bouche de Clarisse, qui n'a pas d'autre choix que de les sucer.


Vicieusement, Maryse fait quelques va-et-vient dans la bouche de Clarisse qui lui saisit la main et la maintient
fermement pour la sucer comme une affamée. Maryse, surprise, est ravi à la fois, que son amie se lâche enfin. Maryse attend le bon vouloir de Clarisse pour continuer. Enfin, elle libère les intrus qu'elle sucait. Maryse avance sa tête entre les cuisses ouverte et plaque sa bouche sur le puits et avale tout ce qui s'y échappe. Elle enfonce sa langue profondément dans le vagin brulant pour en fouiller chaque recoin. La tension monte encore d'un cran, le corps de Clarisse s'agite, elle sursaute en gémissant comme une bête blessée. Maryse vient de lui gober le clito et le dévore comme une forcée.


Les deux hommes, attirés par les gémissements féroces, entrent au salon. Justin écarquille les yeux, il est comme sur un nuage, sa femme se fait dévorer par une autre femme. Il n'aurait jamais imaginé cela avant ce soir
Sa verge se tend dans son pantalon, il regarde Louis en souriant et lui dit :


-Je crois qu'enfin ma femme va se donner totalement et que je pourrais lui faire des trucs qu'elle m'a toujours refusée !

Louis lui sourit et lui demande :

-Justin, je peux profiter de la situation ?

Justin répond :

-Oui, profite mon ami, c'est un peu grâce à vous que ma femme se décoince !


Clarisse s'agite, elle se cabre en jouissant, ses rugissements sont terribles. Louis s'avance du duo, sa verge et sortie du pantalon, elle parait dure comme du béton. Maryse continue de dévorer son amie, qui ne cesse d'agiter son bassin. Justin pour l'instant observe, il a peur que sa femme réagisse négativement. Louis présente aux lèvres pulpeuses de Clarisse son membre raide qui a pris soin de décalotter. Sans complexe, Clarisse le saisit et le gobe. Les succions qu'elle pratique sur le gland font tressaillir Louis qui regarde Justin et lui dit :


-Oh putain ce qu'elle suce bien ta femme, oh la vache, elle va me faire décharger, si elle continue comme ça !