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on piege le professeur de tennis

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 14/10/2025

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Moi, c’est Cyril, quarante-sept ans.
Ma femme, Minah, trente ans, métisse malgache. Une beauté rare : peau dorée, regard profond, corps à la fois sensuel et athlétique. Depuis que nous sommes ensemble, elle illumine ma vie et… nourrit mes fantasmes.

Je ne vais pas le cacher : j’ai toujours eu cette attirance pour le candaulisme. L’idée de voir ma femme plaire, d’imaginer d’autres hommes perdre le contrôle devant elle, et de rester moi-même le complice de cette séduction. Ce n’est pas de la jalousie, non. C’est une exaltation. Une excitation profonde qui me fait vibrer.

Et puis, il y a quelques mois, j’ai eu l’occasion de transformer ce fantasme en réalité.
Tout avait commencé sur ce court de tennis. Minah, en jupe de sport, les cheveux tirés en queue-de-cheval, rayonnait. Moi, je n’avais pas besoin d’être présent pour deviner l’effet qu’elle produisait sur Adam, son professeur. Blond, athlétique, marié, il devait garder son sérieux. Mais Minah me racontait tout le soir, et ses récits suffisaient à m’enflammer.

Au début, Adam jouait son rôle de coach appliqué : corriger ses gestes, se placer derrière elle pour guider sa raquette. Mais très vite, ses mains restaient une seconde de trop, son souffle se rapprochait trop près de sa nuque.

— Tu aurais vu sa tête, Cyril… dès que je me penchais pour ramasser une balle, ses yeux glissaient. Et quand je me relevais, il rougissait comme un gamin.

J’écoutais, avide. Chaque détail m’excitait.

Puis il y eut cette séance au crépuscule. Le court était vide, l’air chargé de chaleur. Adam s’approcha pour corriger son service, sa main se posa sur sa hanche. Cette fois, elle sentit la brûlure de son désir dans ce geste trop long. Il craqua, se pencha pour l’embrasser.

Minah recula, posant une main douce sur son torse.
— Non, Adam. Tu es marié… et moi aussi.

Il s’excusa, confus, honteux. Mais elle se rapprocha à nouveau, son regard planté dans le sien.
— Alors viens dîner chez nous. Avec ta femme. Moi, mon mari, toi, elle. Pas de secret.

Adam resta bouche bée. Le piège venait de se refermer.

🍷 Le dîner

Le soir venu, tout était préparé. J’avais sorti une bouteille de Saint-Joseph profonde et corsée. Minah avait cuisiné un plat malgache aux saveurs épicées, sucrées et salées à la fois.

Quand Adam arriva avec sa femme, Laetitia, je compris que la soirée dépasserait mes attentes. Elle était grande, brune, élégante, avec une poitrine généreuse que sa robe mettait subtilement en valeur. Une beauté différente de Minah, mais tout aussi troublante.

Nous nous installâmes. Le vin coulait, rouge sombre dans les verres, réchauffant les visages. Adam parlait trop vite, nerveux, incapable de cacher son trouble quand Minah lui souriait. Elle, malicieuse, jouait de chaque geste : se penchant pour resservir, laissant flotter son parfum, accrochant son regard puis le fuyant aussitôt.

Laetitia, polie mais observatrice, scrutait tout. Ses yeux allaient de Minah à Adam, puis à moi. Elle voyait qu’il se passait quelque chose, sans pouvoir mettre de mots dessus.

Puis Minah mit de la musique malgache. Elle se leva, commença à danser. Ses hanches ondulaient lentement, son corps bougeait comme une flamme. Adam en oublia son verre, hypnotisé. Et soudain, Laetitia la rejoignit. Deux femmes, l’une métisse, sensuelle, l’autre brune, élégante, dansant ensemble sous nos yeux.

Adam était au bord de l’explosion. Moi, je savourais chaque seconde.

🍴 Dans la cuisine

Le moment vint de débarrasser. Adam, trop empressé, insista pour aider Minah. Ils passèrent dans la cuisine, pièce fermée. Je retins Laetitia en lançant la conversation sur ses voyages, l’occupant, pendant que la porte se refermait derrière eux.

Là, Adam craqua. Sa main glissa sur les hanches de Minah, puis sur ses fesses. Elle se retourna, le regard intense, et l’embrassa. Un baiser long, dévorant, qui libéra des semaines de tension.

Adam gémit contre ses lèvres, ses mains tremblaient, son corps se colla au sien. Il était ivre de désir, incapable de réfléchir. Minah, elle, contrôlait tout. Elle le caressait à peine, juste assez pour l’embraser. Ses lèvres quittaient parfois les siennes pour murmurer à son oreille :
— Ta femme parle avec Cyril… elle ne remarque rien. Détends-toi.

Adam tremblait, son souffle haletant emplissait la cuisine. Ses mains agrippaient sa taille, comme s’il craignait qu’elle disparaisse. Minah le domina dans sa douceur, l’amenant au bord du gouffre. Ses yeux brillaient d’un plaisir cruel : elle l’avait totalement piégé. Elle lui fit une branlette tellememnt efficace qui jouia vite.

Puis, comme si de rien n’était, elle se détacha, remit une mèche de cheveux en place, nettoya vite le sperme dans la cuisine, pris le dessert.
— Viens… retournons au salon.

Adam était rouge, troublé, désorienté. Elle, parfaitement calme, maîtresse du jeu.

🍷 Le retour

Quand ils revinrent, Adam s’assit, la tête baissée, encore brûlant. Minah, rayonnante, reprit sa place à mes côtés, sereine.

Et c’est là que Laetitia, avec son sourire sincère, lança la phrase qui me fit presque éclater de rire :
— Vraiment Adam, tu as de la chance d’avoir des amis aussi cultivés et sympathiques.

Si elle savait.

🌙 L’invitation

Alors que la soirée touchait à sa fin, Laetitia posa son verre, ses yeux brillants.
— Vous savez… ça faisait longtemps que nous n’avions pas passé un si bon moment. Ça vous dirait qu’on se revoie ? Pourquoi pas un week-end ensemble ?

Adam resta muet, surpris. Minah et moi nous échangeâmes un regard complice.

Je répondis, d’une voix calme, comme si tout était déjà écrit :
— Avec grand plaisir, Laetitia. Ce n’est que le début…

💡 Fin du premier acte : Adam est sous l’emprise de Minah, Laetitia s’ouvre d’elle-même à une suite, et moi, je savoure mon rôle de metteur en scène invisible.
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Histoire de minsk07

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