ACCUEIL > Voyeurisme > Récit : P'tite chienne partie 4

P'tite chienne partie 4

+4

Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 02/05/2023

Découvrez les filles coquines près de chez vous :

P'TITE CHIENNE
PARTIE 4
Le lendemain matin, Priscilla, comme à son habitude, s'était déjà éclipsée lorsque je me suis réveillé. Le souvenir des moments partagés, quasiment jusqu'à minuit, a gonflé ma queue de sang. S'y sont mélangés d'autres souvenirs aussi intenses, les images de la vidéo, et ce moment sur le quai. C'était véritablement curieux d'avoir envie de fourrer sa queue dans la bouche de son patron, surtout quand il venait de vous recruter, et que vous saviez que vous alliez travailler pour lui d'ici moins d'une semaine.
Arrivé à l'entreprise, j'ai pris l'ascenseur pour remonter à l'étage. Ma raison officielle, c'était de savoir quand je pourrais m'installer dans le bureau, j'avais quelques affaires personnelles, pas plus de deux cartons à poser, ma raison officieuse, c'était de revoir cette secrétaire dans la quarantaine qui me laissait tout sauf indifférent avec ses courbes voluptueuses et cette queue qui semblait demeurer toute la journée en érection.
Je ne suis pa monté à la même heure que la veille, mais là aussi, j'ai eu un coup de chance. Sa copine rousse était passée, qui avait apparemment aussi envie de sexe qu'elle, et c'était quasiment le même tableau que la veille. La secrétaire était calée devant elle dans son fauteuil, et elle caressait de la langue la verge dilatée de la ravissante rousse.
Semblable à la veille ? Il y a pourtant eu une différence majeure. Je ne suis pas resté dans la position de simple voyeur, mais je me suis glissé dans la pièce. Ni l'une ni l'autre n'a semblée surprise de mon irruption.
Je me suis glissé à genoux à côté des deux femmes et j'ai soulevé la robe que portait la secrétaire. Dessous, sans surprise, il y avait une paire de couilles et une bonne bite bien dure,gorgée de sang, qui était comme un appel aux caresses. Et je n'avais jamais su résister à un appel. Je me suis penché sur le membre, la faisant gémir quand ma langue s'est mise à tourner sur elle. Son méat était encore sec quand je suis venu dessus, deux secondes plus tard son liquide pré-sécrétif amer coulait dan ma bouche, comme une source que rien ne pouvait tarir. J'aimais cet attelage à trois, la voir, du coin de l'oeil, s'acharner sur la queue de la rousse, faisant aller et venir sa bouche sur le membre, dans un mouvement très vif, puis basculer au ralenti, dégager la queue pour voir si le gland avait encore gonflé, plus gros que la tige, gorgé de sang, et aussi suintant que celui que j'avais absorbé et qui coulait dans ma bouche dans un jaillissement continu. J'ai laché le gland pour venir balader ma langue sur les couilles gonflées.
--Si tu continues comme ça, elle a gémi, je ne vais pas tarder à jouir.
J'ai relâché la pression. J'avais envie de quelques minutes de plaisir suplémentaires. Je me suis dégrafé, et, pour relacher la pression, j'ai caressé ma queue, aussi dilatée que celles qui m'entouraient.
La rousse a gémi, et j'ai compris qu'elle allait jouir. Je me suis tourné, et j'ai bien fait. La secrétaire, bouche ouverte, a accueilli le premier jet de sperme, copieux, avant de diriger la queue vers ma bouche, que j'ai vite ouverte. Le second jet de sperme est parti au fond de ma gorge, abondant et amer. Donnant la mesure, la secrétaire a fait tourner la queue entre elle et moi, répartissant la semence qui sortait, copieuse. On a léché la queue pour avoir aussi les suppurements qui sont sortis après, comme pour n'importe quelle éjaculation.
La rousse est venue avec moi sur la queue de la blonde, tournant sur ses couilles pendant que je reprenais le gland pour le caresser. J'ai été surpris par le jaillissement de semence, qui a coulé au fond de ma gorge, allant rejoindre le sperme que j'avais déjà avalé. Un goût différent, mais le même plaisir. La rousse a délaissé les couilles de la blonde pour venir prendre ma queue. Elle l'a enveloppée au moment où la jouissance fondait sur moi. Elle et moi on a bu le sperme de notre partenaire, léchant bien le gland une fois les jaillissements terminés, pour ne pas perdre une seule goutte du précieux nectar.
Dans les jours qui ont suivi et jusqu'au week-end, j'ai pris l'habitude de suivre mon futur supérieur hiérarchique, il l'était déjà, mais différemment, captivé par le fait que le pouvais voir ses moments de plaisir aussi facilement, même si je devais me masquer. Le soir même, il est parti pour le centre ville, s'arrêtant devant une petite maison. Le premier et le deuxième étage bénéficiaient de baies vitrées, de la sorte, on pouvait tout voir, et encore plus parce que les pièces étaient illuminées. Je me suis calé dans la ruelle étroite qui séparait deux maisons et face et j'ai observé. Je n'ai pas été déçu.
Une belle brune, avec une longue chevelure brune, et un profil joliment dessiné, travaillait devant un ordi. Elle était en tailleur. Il a sans doute sonné. Elle s'est levée et a disparu de mon champ de vision pour quelques secondes, avant de réapparaitre en compagnie de 'P'tite chienne'. Collés l'un à l'autre, ils se sont embrassés...Elle s'est laissée retomber sur sa chaise et l'a défait pour mettre sa queue à nu et la caresser de la bouche, avec habileté. Il était déjà à moitié dur, il est très vite devenu long et raide, comme sur la vidéo dont j'avais pu bénéficier. Quand il a été aussi dur que long, elle a fait glisser la veste de son tailleur. Dessous elle avait un chemisier qu'elle a ouvert et fait tomber, et un soutien-gorge blanc qu'elle a dégrafé, mettant à nu deux seins volumineux et ronds. Elle a écarté ses seins, s'est penchée vers lui et, d'un mouvement habile, a avalé sa queue. Tenant ses deux seins, elle l'a caressé doucement. C'était hyper-troublant. Je ne me souvenais pas qu'une fille m'ait jamais fait ça.
Ca a été encore plus troublant quand elle a fait dépasser la queue gorgée de sang de son décolleté et qu'elle s'est mise à travailler le gros gland de sa langue. Elle y mettait tout son cœur, et j'aurais donné n'importe quoi pour être à la place de C..., et sentir cette bouche me caresser. Ma queue avait durci en quelques secondes et je n'aurais pas été dans la rue, je me serais caressé, moins pour jouir que pour me soulager.
Je dois bien avouer que je ne m'attendais pas à la suite. Je pensais qu'elle allait le faire jouir comme ça, mais il n'en a rien été. Elle l'a caressé longtemps avant qu'il ne se recule et ne fasse tomber son pantalon et son caleçon. Elle, elle s'est légèrement redressée, et elle a roulé sa jupe à sa taille. Dessous, elle avait juste une paire de bas et pas de slip, et, contrairement à ce que j'avais pu imaginer d'abord, ce n'étaient pas le dessin d'une chatte qui s'ouvrait dans ses chairs, mais une verge imposante, aussi gonflée que celle de son amant.
Il est venu se caler au-dessus d'elle et j'ai eu la vision de leurs deux queues, belles, longues et épaisses, qui m'ont fait envie l'une et l'autre. J'étais tellement excité que j'ai cru un instant que j'allais me jouir dessus, mais je me suis repris.
Il s'est laissé descendre sur elle, et le gland de la superbe brune est venu appuyer contre la muqueuse anale, avant de s'y enfoncer. Le membre, épais, a disparu centimètre par centimètre, jusqu'à être totalement invisible. Encore une preuve des capacités du corps humain. 'P'tite chienne' est resté un moment comme cela, pour profiter du plaisir de sentir le membre en lui, avant de se metttre à bouger, faisant réapparaitre le pieu de chair qui l'habitait provisoirement. La fille a entouré son torse, et est venue masturber la queue dilatée, qui s'est encore tendue.
J'avais plein d'envies...Et aucun moyen de les satisfaire. Monter les rejoindre, offrir ma queue roide à 'P'tite chienne' pour qu'il fasse coulisser sa bouche ou sa main sur ma tige sans doute aussi tendue que les leurs, venir prendre la brune pendant qu'elle fouillait C..., la pénétrer, fouiller ses chairs intimes, les laisser rentrer en moi, avoir la décision qu'il ou elle se glissait dans mon corps tout entier...Mais rien ne m'était accessible...
Je me suis dissous dans ce moment, qui s'est interrompu trop tôt, mais qui avait sans doute duré suffisamment longtemps pour qu'ils soient au bout de leur jouissance. La ravissante brune a retiré sa queue du fondement de son partenaire. A l'intérieur, elle avait encore gagné en longueur et en épaisseur, à force de frotter contre la muqueuse qui l'enveloppait. Dans un mouvement mutuel, de l'un vers l'autre, ils ont rapproché leurs queues , unies dans cette dilatation extrême, gorgées de sang à en exploser. La fille a posé la sienne contre celle de son amant et elle a encerclé leurs deux verges, sans apparemment en faire le tour. C'est ensemble qu'ils ont joui, leurs queues crachant leur sperme blanc, dans des jets qui semblaient ne jamais devoir finir. Arrosant mutuellement leurs corps et les tissus qui les couvraient encore.
J'ai été surpris de me rendre compte qu'au bout de mon excitation, un orgasme, me traversait...J'ai voulu le freiner, le faire disparaitre, mais il était déjà sur moi. J'ai rempli mon caleçon de sperme, en me disant qu'il aurait été mieux ailleurs. Une troisième queue jointe aux deux autres, qui aurait contribué à maculer leurs peaux, et aurait donné, à trois, plus de force à leur orgasme.
Je me suis éloigné dans la rue, vacillant, autant à caue du spectacle offert que de l'orgasme qui m'avait emporté.
4 vote(s)


Histoire de JamesB

Vous avez aimé ce récit érotique ? Tweeter

Nous luttons contre le plagiat afin de protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette histoire est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être copiée ou imprimée.

© Copyright : Nos histoires sont protégées par la loi. Un grand nombre d'écrivains nous ont donné l'exclusivité totale.


Commentaires du récit : P'tite chienne partie 4


Aucun commentaire pour le moment

Pour poster un commentaire ou faire un signalement, merci de vous inscrire ! Inscription rapide


Histoire précèdente <<<
>>> Histoire suivante



Retour en haut de la page

Libertinage et masturbation de jolies libertines en webcams totalement gratuites :