Charline et Justine (2nde partie)

Je passe la matinée dans le canapé. Après deux tentatives de série, je laisse tomber devant tant de médiocrité et je me mets sur la console. Je joue un moment a un jeu de courses de voitures, puis finis par laisser tomber ça aussi. En fait, je m’ennuie comme un rat mort.
Et puis, je me rappelle que nous avons un système de sécurité bien fait à la maison, voulu par Charline, car elle n’est pas rassurée quand elle est seule à la maison. Je ne m’y attarde jamais car je n’aime pas surveiller ma femme et je lui fais confiance comme elle avec moi. Je sais très bien qu’elle a des soirées parfois animées quand je ne suis pas là, mais pas plus que moi, voire certainement moins souvent que moi.
J’allume donc l’ordinateur de Stéphane et je me connecte sur mon serveur privé sécurisé. J’ai heureusement noté l’adresse dans mon bloc-note sur mon smartphone.
Il y a douze caméras dans l’appartement : une sur la terrasse, face à l’entrée, quatre dans le salon, une face à l’entrée, une autre face au canapé depuis un pot de fleur à côté de la télé, un troisième avec vue sur le canapé sous un autre angle et une quatrième avec vue sur la cuisine américaine, une sixième dans le couloir, deux dans notre chambre, la première avec une vue imprenable sur le lit conjugal depuis le plafond au-dessus de la porte et la seconde depuis la table de nuit de ma femme, une neuvième dans la chambre d’amis, face à la fenêtre et sans vue sur le lit, par discrétion, et trois dans le bureau, la première avec vue sur la fenêtre, la seconde sur le bureau et la troisième sous le bureau. Tout ça avec l’accord de ma chérie pour sa sécurité, comme elle aime le dire elle-même.
Je suis conscient qu’elle avait parlé de ça vraiment pour se rassurer mais aussi et surtout parce qu’elle, comme moi, aime bien mater un peu nos ébats de temps en temps. Le système ne garde en mémoire que vingt-quatre heures d’enregistrement. Mais nous pouvons modifier le réglage pour nos périodes de vacances. La capacité de stockage permet jusqu’à un mois d’absence. Là, je sais que le réglage est par défaut, donc je n’aurais pas ce qu’elle a fait pendant mon absence, mais ce n’est pas ce qui m’intéresse car, je le redis, je fais confiance à ma femme et nous nous disons tout.
Là, je voudrais juste mater un peu ce qu’elles font toutes les deux.
J’entre les codes d’accès à la session et j’ai enfin accès aux caméras de surveillance de notre appartement.
A l’ouverture du système, quatre caméras sont en fonction, l’entrée des deux côtés, le canapé et le bureau. Les deux femmes ne sont pas visibles. Je me dis alors qu’elles sont certainement sorties pour faire des courses ou même pour aller manger un bout, vu qu’il est bientôt midi.
Je bascule quand même sur d’autres vues et je vois alors Charline allongée nue sur notre lit. Pas contre, je ne vois pas Justine. Je garde cette vue active et je bascule sur les autres caméras pour essayer de trouver la collègue de ma femme. Je ne la vois nulle part. Elle est soit aux toilettes, soit dans la salle de bain. Je mets donc en deuxième écran le couloir pour voir d’où elle sort.
Effectivement, cinq minutes plus tard, je la vois sortir de la salle de bain, entièrement nue. Puis elle se retourne et s’entoure de sa serviette qu’elle récupère sur le porte-serviettes. Elle se dirige ensuite vers Charline, qui se redresse à l’entrée de sa complice.
Justine s’assoit alors sur le bord du lit et elles commencent à discuter, Charline restant nue. Je suis charmé une fois de plus par le corps de ma compagne. Ses seins se tiennent encore bien, même s’ils tombent un peu, son ventre légèrement rebondi est très sensuel et son bassin ferait chavirer un prêtre. Ma femme se rapproche imperceptiblement de Justine pendant qu’elles discutent et je vois enfin sa main se poser sur la cuisse de sa potentielle partenaire sexuelle. Justine ne repousse pas sa main et se laisse même caresser légèrement sa cuisse. Ma femme est assise à califourchon, ce qui permet à Justine de bien voir sa chatte que je devine complètement ouverte. Justine, elle, est assise sur le bord du lit, face à la table de nuit de ma femme, le pied gauche posé au sol, la jambe droite étant repliée, avec le pied appuyé contre sa cuisse gauche. Étant nue aussi sous sa serviette, sa chatte doit être dans le même état que celui de Charline. J’active la caméra qui se trouve sur la table de nuit tout en gardant la vue générale depuis le plafond.
Je fais un zoom sur les deux femmes depuis le plafond et je vois la main de ma femme qui se rapproche du haut de la cuisse de Justine, sans que celle-ci ne repousse sa main ou fasse le moindre geste pour se reculer. Charline se rapproche encore, prend Justine dans ses bras et vient coller ses lèvres contre celles de son hôte. Justine s’abandonne alors et vient poser ses deux bras autour du cou de ma femme. Elles se roulent alors un vrai pelle d’amoureuses. Dans le même temps, la main de Charline finit sa progression vers l’entre-jambe de sa partenaire. Je fais alors un zoom avec la deuxième caméra et je peux voir les doigts de ma femme en train de s’immiscer entre les grandes lèvres de la chatte de Justine, cette dernière semblant totalement consentante et absorbée par le traitement que lui inflige ma femme.
Charline prend alors le dessus, dans tous les sens du terme. Elle oblige Justine à s’allonger sur le lit et vient s’asseoir au niveau de son bassin. Elle se penche au-dessus de sa blonde, puis descend un peu pour prendre un sein en bouche, pendant qu’elle malaxe le second avec sa main. Justine semble encore apprécier la caresse et elle se dandine légèrement. Ma tendre moitié continue alors sa descente pour se retrouver face au pubis de sa partenaire. J’essaie de zoomer avec la caméra supérieure, mais je ne vois rien de ce que fait sa langue. Avec la seconde caméra, celle de la table de nuit, c’est un peu mieux et je peux ainsi voir que Charline a commencé de chahuter la moule de Justine avec sa langue. Cette dernière a relevé les jambes pour poser ses pieds sur les épaules de sa lécheuse et elle soulève son bassin pour venir au-devant de cette langue bienfaitrice. Charline continue le cunnilingus pendant au moins dix minutes, jusqu’à ce que Justine se tortille dans tous les sens en agrippant les cheveux de sa maîtresse pour attirer sa bouche au plus près de sa vulve. Je vois alors nettement un long jet de cyprine surgir de la chatte de Justine et venir éclabousser le visage de ma femme, qui semble très surprise par cette marque d’un orgasme extraordinaire pour Justine, mais qui ouvre encore plus grand la bouche pour recueillir le nectar du bonheur. Justine s’affale alors sur le lit, tandis que Charline se met à genoux à côté de la belle blonde.
Je donnerai cher pour entendre ce qu’elles se disent à ce moment, mais je n’ai pas activé le son sur le système. En tout cas, après quelques minutes, Justine de relève et se jette littéralement sur sa partenaire et l’embrasse fougueusement sur la bouche. A son tour, elle descend au niveau du ventre de ma moitié et commence à l’embrasser sur tout le corps, depuis les seins jusqu’aux cuisses, pour finir évidemment dans sa chatte. Dans leurs mouvements, Justine se retrouve pile dos à la caméra de la table de nuit, ce qui fait que j’ai une vue vraiment incomparable sur son cul. Je vois alors son sillon sui s’écarte suffisamment pour me permettre de voir sa rondelle que je trouve magnifiquement entretenue et légèrement plus dilatée qu’elle ne devrait l’être pour une femme vierge de ce côté. Je trouve cette femme de plus en plus surprenante.
Par moment, elle soulève son bassin et je peux également voir sa vulve, qui, elle, est grande ouverte et très brillante car superbement lubrifiée par le traitement que lui a infligé ma femme.
Je me surprends alors à rêver posséder ce cul magnifique. Je m’imagine en train de limer ce trou du cul qui m’a l’air tout à fait digne de s’y attarder et je me promets d’en parler à ma femme si jamais je devais participer à ce déluge de jouissance.
Toujours est-il qu’à observer le cul de Justine pendant qu’elle bouffe la chatte de ma femme me met dans un tel état que ma queue commence à être douloureusement enfermée dans mon caleçon. Je me décide à la sortir et je commence à jouer avec. D’abord tranquilles, mes mouvements se font plus précis. Je caresse mon pieu en jouant avec la peau pour décalotter le gland et le recouvrir ensuite. De mon autre main, je masse mes testicules et glisse un doigt jusqu’à mon anus que je masse délicatement. Je continue en même temps d’observer les deux femmes se donner du plaisir et je suis surpris de voir Charline se relever et venir se mettre face à Justine. Elles entrecroisent alors leurs jambes, se rapprochent jusqu’à ce que leurs vulves se touchent et s’allongent chacune d’un côté, tout en faisant des mouvements de va-et-vient pour que leurs clitoris s’échauffent mutuellement.
Cette vue est extrêmement excitante et ma masturbation ajoutée à l’érotisme de leur position finit par me faire jouir. Alors que je continue de me masturber, je sens le sperme monter le long de ma hampe, jaillir de mon gland et venir s’écraser sur mon ventre au niveau de ma poitrine pour le premier jet. Le second, plus intense, vient s’écraser sur mon visage, au niveau de la bouche et du nez. Après cet orgasme simple mais très appréciable, je décide d’aller prendre une douche et laisse les deux femmes dans leur relation saphique.
Sous la douche, je prends tout mon temps et apprécie les gels parfumés de Stéphane. Lui et sa femme ont vraiment du goût. Je me sèche ensuite et regagne le canapé avec la serviette autour de la taille pour voir où en sont les femmes.
Quand j’arrive devant l’écran, elles ne sont plus visibles. Je les cherche sur les autres caméras, mais rien à faire. J’en déduis qu’elles doivent être sous la douche. Dommage que je ne puisse pas faire le voyeur dans la salle de bain, car ça doit être cocasse. Je décide alors de laisser tomber un peu mon espionnage et de passer un peu le temps avec la console.
Je passe l’intégralité de l’après-midi à jouer, comme un gosse et c’est au moment où je commene à penser à mon dîner que mon téléphone sonne.
-Coucou mon chéri ! Comment tu vas ?
-Ça va bien ! Et vous deux ?
-On s’ennuie sans toi !
-C’est pas vrai ! Je vous ai vu, sur la vidéosurveillance ! J’ai repensé à ce système et j’en ai profité !
-Mon salaud ! Allez, rapplique, Justine a quelque chose à te proposer !
-Vous avez de quoi manger où je passe prendre des pizzas ?
-Non, c’est bon, y’a ce qu’il faut ! Ramène ton cul, mon chéri !
En fait, je suis bien content que ma femme me dise de revenir à la maison, car je suis certain que je me serais fait chier, tout seul, ici !
Je m’habille donc vite fait et je retourne chez moi.
Quand j’arrive à l’appartement, Charline m’accueille dans sa nuisette blanche en soie. Elle me prend illico dans ses bras et je sens qu’elle est nue sous son vêtement.
-Justine est partie ?
-Non, viens, elle est sur l’ordi, elle avait un truc à faire.
Je suis donc ma femme jusqu’au bureau. Justine est effectivement assise face à l’ordinateur. Elle porte une serviette en guise de paréo, noué au niveau de sa poitrine opulente.
-Luc, merci d’être venu. J’ai un souci avec ma déclaration d’impôts. Je ne comprends pas pourquoi le montant qu’ils ont indiqué n’est pas le même que celui que mon patron m’a communiqué !
-Oh, c’est souvent le cas ! Moi, je calcule à chaque fois celui qui est le mieux pour nous. Je fais des simulations avec chacun des montants et je vérifie que le plus élevé ne nous fait pas passer à la tranche supérieure. La plupart du temps, je laisse le montant pré-indiqué sur le formulaire en ligne. S’il n’est pas bon, les impôts ne pourront s’en prendre qu’à eux de toute façon !
-Oh, c’est si simple que ça ?
-Ben oui ! Il y a une grosse différence entre les deux montants ?
-Non, enfin si, quand même ! Il y a six cents euros à peu près !
-Retourne sur le formulaire de simulation, on va regarder ça.
Pendant une petite heure, je reste avec Justine dans le bureau pour lui résoudre son problème. Charline vient de temps en temps et me fait un bisou. On en profite pour faire plus ample connaissance et la belle quadra blonde m’explique ses soucis de couple. À aucun moment, je n’ai tenté quoi que ce soit, ni par geste, ni même par propos ambigus. Par contre, je ne me gêne pas pour mater ses belles cuisses, bien visibles avec la serviette en guise de simple vêtement. Et puis, à un moment, alors que nous rigolons au sujet de broutilles, je m’aperçois que la serviette s’est un peu ouverte au niveau de sa chatte. J’ai une vue directe sur sa fente, bien visible, bien que fermée car ses jambes sont serrées l’une contre l’autre. Mais je peux voir qu’elle n’a pas le moindre poil sur son mont de vénus et que sa peau est écarlate à ce niveau. Elle finit par s’en rendre compte et elle replace simplement le tissu, sans rien laisser paraître de sa gêne. Nous finissons notre tâche et j’entends Charline qui nous demande si on a bientôt fini.
-Oui, c’est fini ! On arrive !
-Merci Luc ! me lance Justine en se levant. Elle me prend alors dans ses bras et me fait un câlin en m’embrassant sur la joue.
Je sens sa poitrine contre mon torse. Elle est ferme. À croire qu’elle n’est pas naturelle. Je me promets de vérifier cela plus tard.