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Pari fou à Milan

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Lue : 16875 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 31/03/2012

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Oui un pari fou comme en font les supporters du foot italien. Quand ils sont excités, ils parient n’importe quoi, des repas, de l’argent, pire encore, vous allez vous en apercevoir si vous lisez la suite.


J’étais parmi eux en cette veille de match décisif entre l’inter et Marseille et les paris allaient bon train. Les femmes n’étaient pas les moins acharnées et je remarquais Francesca une Italienne fabuleuse avec son mari Marto, elle n’était pas la dernière à faire monter les enchères.


J’ai toujours adoré les vedettes italiennes et par conséquence je suis fou de toutes les italiennes ; Francesca avait tout ce qui m’attire et m’excite en elles ; grande, brune, des seins bien fermes, des fesses bien rondes, une taille bien cambrée, un regard de feu. Elle avait une manière bien à elle de me regarder de me détailler, un regard à faire sauter les boutons de braguettes comme on dit.
Marto un peu éméché était tellement sur de la victoire de l’Inter qu’il prenait des risques en un pari osé, insensé même.

« Si Milan perd j’offre ma femme au Marseillais qui prend le pari……. »

« Je suis partant » dis-je en m’avançant vers le couple. Francesca soutenait mon regard un sourire imperceptible aux lèvres.

« Et si Milan gagne ? » lui dis je

« Je me tape la tienne, elle est belle au moins ? »

« Oui très belle et très chaude, mais je ne peux m’engager pour elle d’ailleurs elle est en Angleterre en ce moment »

« Bon ! Alors tu nous offriras un bon dîner au Cracco tu connais ? »


Oui je connaissais ce restaurant étoilé du centre et je trouvais le pari équitable. N’importe comment j’étais prêt à tous les risques pour baiser Francesca.

« Je prends le pari…..mais Francesca elle en pense quoi ? »

« Marto doit être sur de la victoire de l’Inter pour prendre un tel risque sans prendre mon avis ! » minauda Francesca partagée par cette perspective.

« On n’est jamais sur, je commence à regretter mon audace…..on pourrait peut-être annuler ? »

« Il n’en ai pas question, un pari est un pari…..mais Marto tu as si peu confiance en notre équipe pour hésiter ? »

« On peut arrêter « dis je compréhensif

« Non, mais on peut transiger, si Marseille gagne Pierre ne me baise pas….il se contentera de mon petit cul…..vous êtes d’accord ? »


Marto sembla moins réticent, l’enjeu moins important. Quand à moi le cul de Francesca me plaisait horriblement et je m’imaginais déjà ma verge plantée entre les somptueuses fesses de cette beauté italienne ; mais pour cela il fallait que Marseille gagne, à Milan c’était problématique.


Avant de nous séparer, sans attirer l’attention de Marto, je fis une petite caresse à Francesca sur ses fesses rebondies. Il aurait été inconvenant de ne pas faire ce geste, anodin en Italie, une sorte d’hommage à la beauté féminine. Ici personne ne s’offusque de cette caresse furtive et Francesca me fit un petit sourire complice, manifestement je lui plaisais.
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Je passais la nuit d’avant match dans un hôtel proche du stade. Mon sommeil agité par les évènements à venir. Dans la nuit je me réveillais en sursaut, j’étais en sueur, l’instant d’avant dans mon rêve, aucun doute je baisais le cul de Francesca, ce rêve si fort si proche de la réalité comme cela nous arrive quand un fantasme nous inonde.


Avec ma main je vérifiais mon état au travers de la soie de mon boxer, ma verge était bandée à l’extrême, décalottée, plaquée sur mon ventre et sensible à mes caresses. A demi réveillé je me palpais doucement, comme j’aime, par-dessus le tissus de mon slip, faisant virevolter l’étoffe sur mon sexe, agaçant mes couilles avant de faire jouer mon prépuce sur mon gland.


Je me caressais longuement les yeux fermés en oubliant que c’était ma main qui me donnait du plaisir mais j’imaginais d’autres mains plus fines, plus douces : les mains de Francesca.


J’avais soif d’un coup et je me levais pour aller dans la salle d’eau. Quand je suis excité j’adore cet endroit, j’adore sa chaleur humide, ses glaces qui nous renvoient notre image. Combien de fois j’ai joui en contemplant mes fesses nues qui s’agitent, mes couilles bien en appui sur la porcelaine bien lisse au bord du lavabo, ma verge branlée par une main savonneuse, la gauche de préférence, la moins habile mais la meilleure pour me surprendre.


La salle d’eau de l’hôtel avait tout cela pour me plaire et devant les glaces je me mis complètement nu. J’adore me regarder, je suis fier de mon corps délié, lisse , musclé sans excès, mon ventre plat, ma queue dressée, j’adore mes fesses et je comprends l’attrait des femmes qui peuvent les tripoter.


Je bandais toujours et j’entrepris de me masturber, mon envie de jouir était devenue insupportable. Quand on est seul cet expédiant en vaut bien d’autres en attendant mieux. Je commençais par m’enduire le sexe, les parties, la raie des fesses d’une mousse odorante avec la savonnette tout en me caressant. Ma verge me faisait mal tant elle était bandée, gorgée de sang par le désir ; elle se dressait et avec la main qui glissait onctueusement sur sa hampe je la décollais de mon ventre. Je me sentis mieux, les couilles en pamoison.


Avant de me branler je sacrifiais à un rite qui renforce mon plaisir, avec délicatesse le présentais le manche de ma brosse à dents entre mes fesses et je n’eus aucun mal à l’enfoncer profondément dans mon anus, les picots ajoutant à la sensation et je la laissais en place.


Mon cul ainsi garni et serré sur ce petit membre je pus m’occuper du mien, énorme lui ; je fermais ma main gauche, laissant entre le pouce et l’index repliés comme l’entrée tourmentée d’une grotte profonde, tapissée en arrière par mes autres doigts. Avec la main droite serrée sur ma verge au ras de mon ventre, je présentais mon gland décalotté à ce qui à mes yeux était l’entrée d’un cul ou d’une chatte selon le bon vouloir de mon imagination.


Je vous assure que la sensation est forte si l’on sait transposer, s’imaginer baiser ou sodomiser cet avatar de cul ou de chatte. Dans le miroir au dessus du lavabo je lisais sur mon visage le plaisir de ces pénétrations, lentes ou rapides ; superficielles ou profondes. En jouant avec ma main, en la serrant où en l’ouvrant elle peut mimer un cul bien serré ou une chatte béante ; et si en plus en s’agitant on peut presser ses roubignoles sur le bord bien lisse et froid du lavabo, en fermant les yeux on baise vraiment, on sodomise à fond et il ne tient qu’à nous d’exploser en une jouissance infinie.


Ce soir là je ne résistais pas longtemps et je me mis à jouir rapidement entre mes doigts, en longs jets nacrés dans la cuvette du lavabo. Mais ce plaisir me laissa insatisfait, je pensais à Francesca, c’est elle que je venais de baiser mais cette première pénétration ne pouvait dans mon esprit la satisfaire, elle voulait jouir encore et moi aussi je la voulais, ma verge ne débandait pas.


Alors et c’est un peu personnel de vous l’avouer j’usais d’un autre artifice. Quand je voyage j’ai toujours au fond de mon sac ce que les revues spécialisés appelle une vaginette de poche, de valise dirons nous plutôt, car ce qu’elle représente est assez réaliste ; je la sortis pour l’installer bien à plat sur une tablette qui me sembla à bonne hauteur pour la baiser en tout confort, sans avoir à plier les jambes ni se hisser sur la pointes des pieds, ce détail est très important.


Vous avez déjà du l’observer; l’objet en matière malléable de couleur chair mime une paire de fesses bien ouvertes qui laisse voir deux entrées, l’une étroite et ronde mime un anus serré et au dessous avec un réalisme confondant les lèvres d’une belle chatte que l’on imagine profonde et tortueuse ; je le sais maintenant pour l’avoir souvent pratiqué durant des soirées solitaires.


Je présentais donc mon gland à l’entrée de ce vagin artificiel qui s’ouvrit sur lui en résistant ce qu’il faut pour nous donner l’envie de s’enfoncer davantage. Ahhhhhh que c’était bon. Mon ventre plat, la longueur de ma verge me permettent de tout voir de cette pénétration jouissive.


Comme à l’habitude je m’enfonçais doucement ma queue savonnée dans ce cloaque accueillant et lubrifié, le gland d’abord seulement, je l’entrais et le sortais entre ces lèvres écartelées, il trouvait sa place, ressortait encapuchonné avant de se dépuceler en forçant les petites lèvres de cette chatte factice mais au combien efficace pour les sensations qu’elle procure.


Face au miroir mon regard partagé entre l’émotion de mon visage et cette queue qui maintenant s’agitait plantée à demi emmanchée dans la vulve ouverte j’accélérais mes pénétrations de plus en plus rapidement, de plus en plus profondes.


J’étais emmanché jusqu’au ventre, me branlant de toute la longueur de ma verge, je commençais à râler, mes mains libres empoignant fermement les fesses, je perdais pieds, dans mes couilles c’était le bordel.


Je baisais cette chatte à fond, par brusques saccades comme quand on baise vraiment, quand on va jouir de concert avec son amante dans sa chatte ou dans son cul…….oui son cul……celui de Francesca……il était là ….au dessus…..il me narguait comme l’œil du Cyclope.


J’allais jouir, le sperme montait comme la lave d’un volcan de mes parties vers ma hampe, il allait éclater…….J’étais tendu comme un arc, les cuisses raidies, debout sur la pointe des pieds, le ventre dur comme de la pierre. Dans un cri je me retirais et avant d’exploser j’eus le temps de présenter mon gland à l’entrée de l’étroit conduit, de m’y enfoncer brutalement et de m’agiter au plus profond de cette porte de l’enfer. Alors le plaisir me submergea, le souffle court, le visage rayonnant, perdu, je me vidais en puissantes giclées tout le temps de ma jouissance.


Satisfait, calmé je me retirais, je me lavais, j’étais bien. Durant mon orgasme la brosse à dents était tombée ; je la savonnais elle aussi. Je pouvais attendre jusqu’au lendemain. Je me couchais nu et là le sommeil m’enveloppa dans ses voiles jusqu’au petit jour.
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C’était le grand jour, nous étions tous au stade, nous n’avions pu acheter que des virages ; debout dans la foule des supporters, tassés comme des sardines nous étions heureux malgré tout d’assister de loin à ce match mémorable mais que moi j’espérais inoubliable vu les enjeux. Depuis mes débordements de la nuit les fesses de Francesca hantaient mon esprit et je n’étais calmé en rien.
Le match commençait, j’étais au milieu des copains de Marto, nous étions serrés les uns contre les autres. Francesca devant moi, contre moi, agitée comme à son habitude, elle ne faisait rien pour s’éloigner de moi et par moment mon ventre frôlait ses fesses.


Le tissu léger de sa robe ne gâtait pas le contact, elle devait sentir ma verge entre ses miches, elle profitait de chaque occasion de but pour se trémousser, je sentais l’arrière de ses cuisses contre les miennes, je frottais mon ventre contre ses fesses mais c’est quand passant sa main droite en arrière elle me prit les roubignoles par dessous que le compris sa complicité, son envie de moi égale à la mienne.


C’est Milan qui marqua en premier, le stade était en délire, les supporters déchaînés, moi je voyais s’éloigner l’occasion de prendre le cul de Francesca. Pourtant il était là épanoui contre moi. Alors désespéré je pris ce que je pouvais, j’enfonçais ma verge dressée entre ses fesses et de ma main droite passée par devant je lui pris sa chatte en malaxant ses grosses lèvres que je trouvais charnue à souhait au travers de sa robe.


Personne ne remarqua la remontée de l’étoffe et je crus défaillir quand en remontant après ses bas je sentis la douceur de l’intérieur de ses cuisses nues. Seul le frêle rempart de son string faisait obstacle à mes caresses. Francesca d’un coup sérieuse s’ouvrit légèrement laissant le passage de la paume de ma main dans la raie de son cul, le pouce à hauteur de son clito.


Francesca se referma sur ma main et durant la fin du match je pus faire varier les caresses de mes doigts tout en écrasant ma verge entre ses fesses.
Mais le foot est bizarre, en fin de match Marseille égalisa, puis sur pénalty Milan repris l’avantage. Bilan Milan avait gagné deux à un mais c’est Marseille qui était qualifié. J’étais désespéré, Marto partagé, Francesca me regardait drôlement, elle aussi avait peut être rêvé de moi cette nuit .
On décida que le pari ne tenait plus et qu’on allait boire un bon coup ensemble au bistro. Dans la cohue tout le groupe se dirigea vers les issues. Adieu tous mes beaux rêves, adieu le cul de Francesca, triste elle aussi elle me tenait la main en la serrant tendrement.


C’est elle qui nous retarda, qui nous fit perdre le contact avec le groupe, avec ce monde s’était plausible, ce qui l’était moins c’est qu’au lieu de monter vers la sortie elle m’entraîna dans une allée de traverse. N’osant comprendre je la suivais, fiévreux…..là une porte à droite…..fermée…..l’autre ouverte

« Viens ! mon Pierre….oui viens chéri » me dit elle dans un souffle

Nous étions dans un immense couloir désert, à gauche une porte : Vestiaire des juniors…..ouverte ……..vide ….on entre furtivement……un verrou…..Francesca le ferme….nous sommes seuls tremblants d’émotion, elle se tourne vers moi et nous plongeons dans les bras l’un de l’autre, nos visages sont proches, elle me tend ses lèvres, nous nous embrassons….enfin… je n’ose y croire.

« Mon cul est à toi Pierre, occupe-toi bien de lui, cette nuit j’ai rêvé de toi, tu me rendais folle fais moi bien jouir, j’ai toujours voulu baiser avec un Français, c’est mon fantasme….mais tu es là…..pour moi….tu es mieux que dans mes rêves les plus fous….installons nous au mieux »


Il faisait bon dans ce vestiaire, des bancs étroits garnis de molesquine devaient permettre aux joueurs de se reposer. Francesca s’installa à genoux sur l’un d’eux, penchée en avant en position de levrette. Je m’approchais.

« Retrousse ma robe et regarde….dis moi si je te plais si je te fais bander ? »


Bandé je l’étais depuis longtemps mais ce que je découvris en relevant sa robe restera gravé éternellement dans ma mémoire. Imaginez une magnifique paire de fesses nues qui tangue, qui ondule, qui s’offre, des cuisses de reine gainées de bas couleur chair serrés à mi cuisses et retenus par des jarretelles noires épousant les hanches graciles et l’avant des cuisses.


Mais en regardant mieux, ne masquant rien un adorable cache sexe, un string couleur argent liseré de noir émergeant en triangle à la commissure en haut des fesses et réapparaissant après s’être noyé dans la raie du cul dans l’entrecuisse et tapissant une chatte fruit, charnue, fendue.


« Laisse-moi t’exciter » me susurra Francesca
Excité en avais-je besoin ? Mais le spectacle qui suivi me cloua sur place. Cette paire de fesses tendues vers moi se mit à onduler à s’ouvrir. Par moment elle cessait sa danse pour me laisser admirer ces merveilleux volumes, bien ronds bien fermes et puis la valse reprenait frénétique ou lente sous mon regard stupéfié.


Quand elle démoula ses merveilles en prenant sa ceinture à deux mains et qu’elle dégagea délicatement la ficelle de la raie de ses fesses elle écarta les deux lobes divins et pour la première fois je vis son anus, il était mignon, tout rose, froncé, légèrement entre ouvert. Je vis sa chatte aussi masqué en partie par son string masquant le bas de ses fesses, elle me sembla comme j’avais pu m’en rendre compte, charnue et ouverte. Pas de poils, le clitoris caché.


Avant de remettre sa culotte en place elle s’en servit pour agiter ses fesses et en tiraillant son string vers le haut elle encastra le tissu entre les grosses lèvres de sa chatte et se branla avec. De temps à autre tournant son visage vers moi elle me gratifiait d’une mimique enjôleuse et ouvrant sa robe par devant je découvris ses seins, bien ronds, bien fermes, des bouts roses bien formés au centre d’aréoles normales un peu plus sombres.


Quand elle me regardait elle ouvrait sa bouche montrant ses lèvres pulpeuses carminées et suçait son doigt d’un air langoureux. Inutile de vous dire dans quel état elle m’avait mit. De nouveau elle agita ses fesses puis quitta son string complètement le laissant sur ses jambes, je vis alors la longue balafre de son sexe, ses grosses lèvres bien fermées et quand de nouveau avec ses mains elle s’ouvrit son sexe s’écartela dévoilant ses petites lèvres rose et l’antre d’un clitoris bien développé.


C’est alors qu’enfin elle m’invita à la fête, elle me demanda de me mettre nu devant elle, j’eus tôt fait de me mettre à poil ; je me tournais pour qu’elle voit bien mes fesses car je sais qu’elles font de l’effet; elle fut surprise de me voir équipé d’un jockstrap éponge marine ES, sorte de suspensoirs qui me calaient bien le sexe et qui ne cachaient rien de mes fesses à part les lanières qui les soutenaient par-dessous.


Quand je le quittais et que ma verge jaillit longue, très longue et dure, dressée elle poussa une sorte de gémissement. Je sais l’effet qu’elle fait surtout quand on la met dans cet état, elle devait déjà s’imaginer perforée par mon énorme membre.
Elle sortit un petit flacon qu’elle me confia en me demandant de bien lui mouiller la raie, cela commençait à me plaire, le jet d’huile inonda ses fesses et la raie de son cul

« Excite toi, excite moi, prends ton temps…..approche…..oui ta verge dans ma raie……oui…..bouge »


Debout derrière elle ma verge verticale je la plaçais entre ses fesses lubrifiées et contrairement à mes intentions c’est elle qui bougea. Je tenais ma verge à la main et c’est Francesca qui se vautra sur moi, en agitant son cul de haut en bas ou en ondulant de la croupe.


Mon sexe enduit d’huile glissait comme une truite entre les merveilleux lobes, une main sur chaque fesse avec mes deux pouces je n’avais qu’à enfoncer mon membre bien au fond de sa raie. Jamais branlage ne m’avait fait cette effet, mon sexe englouti dans ce canyon enchanteur, chaud, lisse, humide, parfumé.


Ce fut pire quand Francesca par d’imperceptibles reptations s’approcha de moi, ma verge prisonnière entre ses fesses entre ouvertes et mon ventre . Le rythme s’accéléra, Francesca devait être bien elle aussi. Par l’ampleur des va et viens et la nervosité de ses coups de boutoirs , mon gland devaient ravager la raie de ses fesses il pressait son anus à chaque passage, le cylindre de ma verge écartelant les grosses lèvres en pressant le capuchon de son clitoris.


Mes baloches même étaient maltraitées par cette danse satanique .J’avais les mains libres alors me penchant et les passant sous Francesca je lui pris un sein dans chaque main, ils étaient durs, leur pointes bandées et sensibles si j’en crois l’intensité de ses gémissements.


Quel spectacle, cette croupe, avec mon gland et le bout de ma queue qui sortaient à chaque descente dans la commissure de ses fesses en furie en s’agitant comme un diable sortant de sa boîte. Heureusement que je m’étais soulagé la nuit car j’aurais joui tant la situation était délicieuse. Francesca elle s’abandonna en remuant d’une certaine façon elle s’arrangeait pour que mon gland rentre, juste un peu dans son cul et cela suffit à la faire jouir. Ce fut comme un cataclysme, elle hurlait, son corps révulsé tordu par la jouissance et moi j’étais témoin de son plaisir en attendant de prendre le mien.


Sans savoir d’où il venait, sa main passée en arrière elle me tendit un plug de bonne dimension, orange en matière très souple, il était conique, le petit bout arrondi, je dis petit bout, au moins trois centimètre quand même , l’autre bout, le plus gros devait faire au moins cinq centimètres.


A genoux entre les jambes de Francesca je fis jouer à cet objet ce pourquoi il est fait ; Avant j’envoyais une bonne rasade d’huile parfumée entre ses fesses et quand le ruisselet argenté inonda son anus et la fissure de sa chatte je fis ce qu’elle attendait de moi.
Le plug en main je le faisais aller et venir en écartelant bien ses fesses le bout arrondi bien lubrifié pointé vers le haut s’attardait sur son petit gouffre, le pressait en commençant à l’amadouer à le préparer, à l’ouvrir. Le plug avait remplacé ma verge, il s’agitait comme un fou au fond de la raie lubrifiée en conjuguant sa pression avec l’agitation de cette croupe magnifique avec ses ondulations désordonnées.


Manifestement cela plaisait à Francesca et quand pointant l’objet vers le bas j’écartais les grosses lèvres de sa chatte elle me pria de rester sur son cul. Son cul, sa mise dans le pari fou que nous avions conclu avec Martio son mari peu jaloux.


Alors je me centrais sur son petit puits qui commençait à s’ouvrir, je fis pression sur lui avec douceur, la matière souple du plug facilitait l’effraction, il entrait sans forcer au début, mais bientôt ce fut plus délicat. Francesca y mettait du sien en s’ouvrant, moi j’agissais avec l’engin comme on le fait avec un plantoir. Encore quelques centimètres et les muscles annulaires puissants se refermeront dans l’étranglement final et emprisonner le plug en la remplissant.


C’était fait seule la base dépassait calée entres les lobes ouvert des fesses. J’étais pantois, Francesca habituée sans doute à ce forçage roulait des fesses pour m’hypnotiser , cela réussissait car mon regard ne pouvait se détacher de ses splendeurs jumelles.

« Pierre, encule moi maintenant, tu me le dois, tu as parié, allez viens »


Je n’avais aucune envie de ne pas le faire, son cul m’attirait comme un tourbillon attire ce qui l’entoure, j’étais perplexe c’est tout.

« Laisse le plug et viens chéri ! »


Alors je m’approchais flamberge au vent, je lui retirais sa culotte qui était restée sur ses jambes, et je la fis s’ouvrir en écartant sa jambe droite son pied par terre. Je pris ma verge en main pour présenter mon gland sous le plug emmanché. L’huile favorisait mon initiative, la souplesse de l’anus de Francesca aussi habitué sans doute à de telles effractions.


Une fois le gland entré ce fut facile et mes mains sur ces hanches je commençais à pistonner le cul de Francesca, j’étais bien, serré plus que de coutume dans mes sodomisations antérieures et cela ajoutait à mon plaisir. Quand à Francesca je compris pourquoi elle avait offert son cul plutôt que sa chatte. Elle partit directement dans un orgasme puissant, ses gémissements devinrent des cris et ses fesses s’agitaient d’avant en arrière pour que ma queue aille au plus profond de ses entrailles

« viens ! viens ! » me criait elle

Alors lui reprenant ses seins et en m’activant j’explosais moi aussi dans son cul ;

« Retire le plug et encule moi encore ! » criait ma belle


Ce que je fis, ma queue à l’aise maintenant dans son puits dilaté qui peu à peu se referma sur moi. J’avoue que cette situation me parut meilleure, plus naturelle et sans rejouir j’étais très bien ma queue serrée dans ce cul qui se resserrait sur moi
Manifestement elle aimait la sodomie et je comprenais mieux son sourire quand lors du pari elle avait proposé ses fesses au lieu de sa chatte.


Je m’activais donc pour lui faire plaisir, en contrechant elle avait passé une main entre ses cuisses pour me caresser les couilles qui frappaient ses fesses à chaque assaut, j’étais bien, sans plus mais je continuais pour faire honneur à la réputation française qu’elle avait en la plus haute estime.


A un moment, au recul, mon gland dérapa et ma queue se retrouva fichée dans sa chatte et elle y resta. Francesca ne protesta pas au contraire elle sembla apprécier mes pénétrations endiablées et profondes. Elle s’était remise à genoux sur l’étroite banquette avec moi derrière elle entre ses cuisses écartées. Je l’attirais sur moi en la prenant par les hanches, elle gémissait heureuse de cette position nouvelle et je n’allais pas tarder à la rejoindre dans l’orgasme, quand d’un coup par une porte dérobée un jeune homme fit irruption dans la pièce.


Comprenant la situation en nous voyant l’un dans l’autre nous l’entendîmes dire « Pardon, excusez-moi… »

Apparemment gêné il allait s’éclipser pour nous laisser tranquille quand Francesca hurla :
« Non, non, restez……venez »


Apparemment c’était un jeune Marseillais qui venait de finir un match et qui se trompait de vestiaire. Il referma la porte sur lui et s’approcha conscient de la chance qui s’offrait à lui.


« Fermez le verrou et approchez jeune homme…. nous ne vous faisons pas peur ?......mettez-vous devant moi…..oui….baissez votre short….bigre quel queue »


A cet âge, la verge réagit au quart de tour et le temps d’aller de la porte vers nous elle se dressait décalottée. Elle n’avait pas encore la grosseur d’un vieux mâle mais il était bien monté, sa verge était assez longue mais surtout elle avait la douceur d’une peau de bébé.


« Tu sens la sueur ! » minauda Francesca « j’adore ! viens dans ma bouche….humm c’est bon …..c’est doux …..c’est chaud…..tu aimes ?»


En équilibre sur un bras , toujours à genoux avec moi qui lui pistonnais la chatte, avec sa main elle lui tripota ses bourses. A chaque coup de boutoir sa bouche engamait la jeune et vigoureuse verge et cela ne se fit pas attendre. Peu habitué à ce genre de gâterie dans un cri le jeune éphèbe se répandit en jets puissants dans la bouche qui n’attendait que cela.


« Comment t’appelles- tu ? Lui c’est Pierre, moi c’est Francesca ……jacques ! tu as aimé ? »

« oui beaucoup, merci mais j’aimerais te baiser….si monsieur veut ? »

Jacques me regardait interrogatif

« Je veux que tu veuilles Pierre, baiser avec deux Français c’est mon fantasme suprême, jamais une telle occasion ne se présentera…..aller soit gentil »
Gentil je le suis, excité je l’étais au plus haut point, je me retirais pour lui laisser la place

« Oui…..oui.. dans mon cul jacques….dans mon cul »


Les jeunes sont doués à présent il s’approcha toujours raide et s’empala dans le cloaque entre ouvert, heureux stupéfait de sa chance, il sortait sa queue pour mieux enfiler ce trou accueillant, il tenait Francesca aux hanches pour mieux la fourrer ; les yeux dans le vague.


Francesca aux anges me saisit la verge au passage et me donna du plaisir dans sa bouche. Ma verge était d’un autre calibre et elle eut du mal à la gober. Bouche grande ouverte elle en prit une bonne partie en aspirant la faisant bander davantage, gorgée de sang elle devenait énorme presque monstrueuse.

Francesca hurlait « Mets la moi….mets la moi…je t’en prie… je la veux ! »


Alors je m’allongeais sur la banquette en passant sous elle qui écrasa sa poitrine sur la mienne, mes jambes mêlées à celles du Marseillais qui l’enculait, ma queue entre les cuisses ouvertes de Francesca, ma verge dressée trouva son chemin entre les grosses lèvres écartelées et mon gland malin trouva l’entrée de sa vulve. La suite fut facile pour la baiser bien à fond en m’agitant comme un diable.


Le plaisir nous saisit tous les trois, le jeune grognait il avait jouit plusieurs fois déjà, Francesca hurlait ces deux trous investis par deux bites énergiques et moi je cédais et j’éclatais dans cette chatte Italienne pleine de foutre, du mien et de celui qui ruisselais de l’étage au-dessus.


Quand nous nous remirent debout ivres de ce que nous venions de vivre, nous nous embrassèrent contents les uns des autres et vive Milan et vive Marseille. Le jeunot parti raconter son aventure aux copains qui ne le croiraient pas sans doute et Francesca me pressa en me disant

« Dépêchons nous Marto va s’inquiéter »

Heureux Marto qui pouvait se taper une telle nana.
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C’est Francesca une lectrice qui en Français dans un langage fleuri pour une Italienne m’a envoyé un message dont je vous cite quelques extraits ?

Comme quoi il faut peu de chose pour l’inspiration .

Vous pouvez lire son histoire : sexe français dans mon cul italien : francesca_italien sur ce site

Message

Mon fantasme est de répéter cette expérience. C'est, en prendre plein le cul par un homme française (qui est beaucoup plus jeune »de plus que moi). Le plus grand fantasme serait de le faire avec deux hommes français

ou vous aimez écrire quelque chose sur moi? ;)


Bonjour Pierre,

peut-être la semaine prochaine je peux mettre en pratique l'un de mes plus grand fantasme.
Mon mari est un fan de l'Inter et l'équipe nationale italienne. Temps il y a nous avons eu une conversation avec un collègue français de Marseille. La conversation était devenue un pari sur l'Inter-Marseille.


Je suis intervenu dans la discussion de prendre part à la mise. Son collègue a voulu parier que si le Marseille me qualifie le mettre dans le cul sur la soirée du même jeu (il sera à Milan pour le travail). Mon mari était sur le point de dire non, mais je l'ai dit "calme amour que vous avez rien à craindre, la victoire de l'Inter, vous ne voudriez pas faire croire à votre collègue qui ne croit pas dans votre équipe? "


Et il a donc dû accepter. Je regarde et j'espère que les étapes de la tour des champions Marseille et de son collègue français me mette dans le cul (et mon Marto sauront cette fois;))


Ce fut ma fantaisie année, il prendra dans le cul par quelqu'un en concurrence avec mon mari et maintenant j'ai vraiment réalisé qu'il est ;)
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Histoire de Pierre le Grand

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