Un probleme de robe

Bonjour, ce samedi je me flâne à Auchan Roncq, il est 10h30 du matin.
Habillée en talon, et en robe longue pastel échancrée devant jusqu'à mon nombril.
Je décide d'aller ranger toutes mes courses dans mon coffre.
Je pousse avec difficulté ce caddie remplie de courses en tout genre, fruits et légumes, yahourts, plats préparés, des glaces,des bouteilles,etc...
De quoi tenir tout le mois,
Je parviens à mon véhicule stationné sur le coin du Quick juste là, où se trouve, quelques buissons, qui me dissimulent suffisamment.
Je ne prête pas attention aux usagers et remplis mon coffre.
Je me penche loin dans mon coffre pour d'abord ranger mes packs de bouteille d'eau.
Un premier.
Un deuxième.

CLAC, une main vient de me fesser les fesses, je me redresse.
- Ah Jules comment ça va?

Si vous voulez savoir qui est Jules lisez mes histoires.

- Bien et toi Julie, que fais tu?
- Comme tu le vois je range mes courses.
- Attends je vais te filer un coup de main.
Et Jules, ce black costaud, qui m'a déjà prise dans un photomaton en pleine gare de Lille,se hâte de ranger mon coffre.
- Tu es livreur ou quoi? Tout est nickel, franchement merci.
Je replace un plastique qui dépasse et m'apprête à fermer le coffre de mon véhicule quand Jules m'attrape la main sur le coffre.
- Tu pourrais me remercier au moins?
- Je viens de te dire merci.
- Tu sais très bien de quoi je parle, il m'attrape, en me demandant de m'appuyer sur le coffre de la voiture ouverte.
- T'aimes bien faire ça devant tout le monde toi!!
- Sans me répondre, il attrape les bords de ma robe autour de mes seins et la déchire littéralement.
- Arrête je n'ai que ça sur moi!
- Maintenant elle est plus échancrée c'est devenu un imper en tissu.
Il me retourne vers lui, m'appuie sur l'épaule droite avec une main, afin que je me mette accroupie.
De là, il me sort sa trompe molle et me demande de le sucer.
Je ne me fais pas prier, j'adore les bonnes grosses queues de black.

Sur ce parking d'Auchan, vers 10h45, j'entame une fellation sur cet anaconda noir qui au fur et à mesure se dresse en javelot noir, je lèche ses bourses, je le lèche sur toute la longueur de son sexe, puis de l'autre côté, jusqu'à arriver à l'autre boules, je la prend en bouche la mordille, relâche ma prise, retourne à la base du gland et donne de très légers coups de langue sur ce sexe énorme en train de grossir à vue d'oeil.
J'ouvre ma bouche en O, et très doucement fait disparaître son gland dans ma bouche, j'avance peu à peu, en serrant et deserrant ma prise tel un poisson.
Je suis super délicate, je fais ça très doucement,ce qui a pour effet de l'exciter jusqu'à sa taille maximale.
Ne tenant plus attendre de me baiser, il me prit les cheveux et s'enfonçea loin en moi,ressortit d'un coup, pour me la remettre de suite encore un peu plus loin,quand j'ai 20 bons centimètres de sa bite dans ma bouche il maintient ma tête par les cheveux et me baise la bouche à une allure folle.
Il ressort me laisse respirer, 10 secondes, et s'enfonce encore une fois, je sens son sexe toucher mes amygdales et suis impressionné par sa taille quand je me dis que j'ai bien 20 centimètres en bouche et que je ne parviens pas à tout prendre en bouche.
Il me retient la tête et me libère, en même temps qu'un grand filet de bave qu'il attrape et s'étale sur la bite.
- Je suis chaud, tourne-toi.

Avec sa force et la taille de ses mains j'ai l'impression d'être son jouet, il m'appuie sur mon coffre ouvert, me donne ses doigts à lécher, je me régale de ses doigts qu'il m'enfonce pour que je mouille bien ses doigts.
Pendant que je m'occupe d'une de ses mains l'autre en profite pour faufiler un doigt, deux doigts , et bientôt quatres doigts dans ma chatte déjà bien humide par l'excitation de cette gorge profonde.
Je m'appuie sur mes mains bras tendues dans le coffre, sa main ne quitte plus ma chatte qui s'ouvre de plus en plus sous l'effet de ses doigts qui visitent tous les recoins de mon intérieur.

Son autre main, trempée de bave sort de ma bouche, déchire un plastique de course au hasard.
Il jette un rapide coup d'oeil et attrape carrément la caisse de fruits et légumes et la rapproche de nous le plus possible.
Je sens que sa main quitte ma chatte, pour la tenir écartée, afin que sa langue rose puisse me visiter à son tour.
Cette langue, un vrai vibromasseur, à chaque coups de langue, je tremble tellement la sensation est bonne.
Il tourne sa langue longuement, dans mon sexe, en fait tout le tour, s'amuse à laper mon clitoris, m'embrasse le vagin.
Je suis en appuie tendu sur mes bras et gemie à chacun de ses coups de langue qui m'inonde de plaisir.
Tellement excitée, j'attrape un concombre dans mon coffre et me met à le lécher sur tout son long, je le rentre même dans ma bouche, j'imite un deuxième sexe avec le concombre que je suce sensuellement.

Pendant qu'il me goute, une de ses main fouille et attrape, dans le plastique qu'il vient de craquer, mon tube de dentifrice.
- Tu fais quoi là?
Plusieurs véhicules passent à moins d'un mètre de nous sans nous voir.
Sans me répondre il se redresse de son mètre 90 ouvre le dentifrice, appuie dessus comme un dingue, au dessus de sa queue, il se recouvre le sexe de dentifrice à la menthe, et avant que je n'ai eu le temps de poser une question s' immisce enfin dans ma chatte encore toute trempée de sa bave et de cyprine suite à son cunnilingus.

La sensation fut bizarre à la première pénétration, tout le dentifrice s'est écrasé contre mes paroies vaginales, appuyée toujours sur le coffre ouvert il me prend le sexe très délicatement en avançant de plus en plus loin.
Il doit à la moitié de son sexe quand il s'enfonce d'un coup et ne bouge plus.
- Aaaaaaaahahhhahhahah lançai-je surprise par cette pénétration brutale inattendue.
- Qu'est ce qui t'arrives?
- Tais-toi un véhicule de sécurité s'est arrêté juste derrière le buisson de l'autre côté.
Il s'appuie à son tour sur le coffre et place son autre main sur ma bouche pour que je ne fasse plus aucun bruit.
Pendant quasiment une minute, on ne fait plus aucun geste.
Je sens son sexe ramollir en moi, comme-ci j'avais un ver.

.......

.......

Il recommence très légèrement à onduler d'avant en arrière, son sexe retrouve vite sa rigueur.
- Il est parti.
- Tu es prête bébé, je vais t'enculer maintenant.
- Oui prend-moi et vas-y profond.
- Tu es une vraie cochonne, tiens j'ai une idée.
Il abaisse mon corps, accroupie, au niveau du coffre et m'avance au maximum dans le coffre.
Je sens une forme toute ronde entrait dans mon sexe, je ne fais pas attention pensant à son gland.
Je sens que ses trois plus gros doigts visitent rapidement mon anus, il l'écarte de ses doigts puissants et commence à me sodomiser.
- Attends.
- Qu'est ce qu'il y a?Tu m'encules?
- Oui t'aimes pas?
- Si, j'adore mais attends je comprend pas j'ai quoi dans la chatte?
Il ne me laisse pas me retourner et me dis juste.
- C'est rien c'est juste la boule de remorquage, tiens lèche mes doigts ils sortent de ton cul.
- Ah oui donne, je suce ses doigts lentement pour l'exciter encore plus, encore plus doucement en tirant la langue.
Je lâche sa main, qui maintenant me tient la taille pour faciliter sa sodomie.
Il s'enfonce dans mon petit trou, ne pouvant plus bouger, je crie de plaisir, plus il avance au plus je gemis, n'en pouvant plus et pour éviter de trop nous faire repérer je me remet à sucer le concombre.
Il me plie les jambes, son sexe trouve un bon angle et gagne encore de la profondeur, ce qui provoque aussi que la boule de remorquage s'enfonce encore plus en moi.
- Jules, Aaaaaa oui vas-y, mon Dieu c'est bon, encore transperce-moi le cul.
Il accélère ses à coups encore et encore il va vite et fort, me bourrine l'anus.
Je le chambre encore, tu es sûre que tu m'encules, je sens rien.
Il redouble de puissance dans ses coups de reins, toute la voiture bouge.
Je suis secouée comme pas possible, mes seins balancent fort, ma robe déchirée encore sur moi, ne me cache plus du tout.
- Ouiiiiji, comme ça c'est bon, vas-y baise moi le cul.
- Tu veux que je jouisse dedans?
- Tu jouiiiis ou tu veux pour l'instant défonce moi!!

A ce moment là, je perd le contrôle, et gémit très fort,un concombre enfoncé dans la bouche, ce gémissement se change en orgasme, je jouis de bonheur.
C'est appuyée, sur les montants de mon coffre que je jouis comme rarement je l'ai fais dans cet orgasme bucco-rectal-vaginal.
Tout le temps de mon orgasme qui dure bien une minute, il me mitraille l'anus de sa bite infatigeable, il tient le rythme et arrive même à accélérer encore quelques fois.
Je sens la dernière contracture il va venir.
Je me libère de son engin, pivote avec la boule de remorquage qui reste en moi, je m'abaisse encore dessus pour l'exciter une dernière fois.
Et face à lui, reçois tous ses bons jets de sperme puissants en plein visage, sur la langue et mes seins.

Après avoir jouis sur moi, il ne bouge plus et me laisse rincer cette bite souillée de sperme, de cyprine, de dentifrice, de mon cul, je me régale de tout ce petit mélange et avale devant lui en tirant la langue.
Je me lèche les seins pour les nettoyer, racle les quelques restes de sperme sur mon corps avec mes doigts et me délecte en suçant mes doigts langoureusement, telle une actrice de film x.
- Jules??
- Oui poupée?
- Tu as aimé?
- Trop, en public en pleine journée sur un parking c'est l'extase, je recharge et je te remet un coup.
- Comment je fais pour ma robe tu l'as déchirée et j'ai que ça sur moi?
- Je sais pas, par contre tu m'excuses mais je dois partir.
- Quoi?Tu te fous de ma gueule, tu viens te me baises tu déchires ma robe et je dois rien dire.
- Aller arrête, gamine, tu vas faire quoi?Tu as vu mon physique, tu vas t'interposer?
- Connard, casse-toi je suis sympa je me donne à toi, tu m'encules tu me jouis à la gueule et la tu vas te casser en me laissant seule à poil, sur ce parking sans aucune aide.
- C'est la vie ma petite salope adorée, bonne journée.
Et ce connard est parti.
Me laissant seule, avec une robe déchirée, qui ne ferme pas.
En fait c'est comme-ci j'avais un peignoir mais avec des bretelles mais sans ceinture, donc même si j'essaie de la mettre on voit tout que faire?


Il est 11h40, après avoir bien cogité, nue, dans ma voiture, je trouve une solution à mon problème pour ne pas me faire remarquer.
Déjà j'ai faim, je remet ma robe qui couvre quand même le profil de mon corps et passe au Quick Drive.
Je fais ma commande.
- Bonjour, vous désirez commander?
- Bonjour, je vais prendre la nouveauté en poulet, s'il vous plait en format XL, avec un Pepsi Max.
- Merci de vous avancer jusqu'à la prochaine cabine.
Bref.
J'ai avancé, juste sentit un long moment le regard fixe de la serveuse sur ma poitrine à l'air, qui s'est contenté d'un.
"En vous remerciant madame passez une bonne journée"
Je l'ai salué et suis partie me garer dans un coin du parking pour savourer mon repas.
Je mange mon burger et j'avoue je me suis fait une petite folie, j'ai trempé mes tétons dans la sauce frite et j'ai laissé comme ça.
En mangeant je chercher une solution pour ma robe.

Il est 13h30 qu'en j'ai finis mon repas, et après avoir bien réfléchis je me dis que je n'ai qu'à aller à Kiabi juste à côté pour en acheter une.
Le problème est comment aller jusqu'au magasin sans s'exhiber devant tout le monde.
Je noue le côté le plus décolleté à l'autre et la met en cape, elle me recouvre intégralement, sauf sur les côtés ou l'on peut apercevoir ma nudité.
Dans cette tenue de fortune, je rentre dans le magasin que déjà pas mal de regard se focalisent sur moi.
Je les ignore et vais vers la boutique Kiabi.
Je passe les portiques, pas d'agent de sécurité j'ai du bol, je me hâte et choisis rapidement une robe bleue qui m'arrive aux genous.
Elle est à bretelles mais me convient bien.
Je me dirige vers les cabines.
Fière de ma bonne idée, je suis en cabine, je n'ai plus qu'à enfiler cette robe, payer et partir.
Mais un problème va se passer quand je vais passer en caisse mais je ne le sais pas encore.
Je l'essaie, me regarde dans le miroir, tourne sur moi même, je l'essaie sans mes talons.
Je remet mes talons et me décide.
Je récupère mon sac, mes affaires et avec la robe sur moi me dirige en caisse.
En passant je croise une poubelle et y jette mon ancienne robe en morceau.

Trois clients avant moi je patiente, je regarde mes mails sur mon smartphone, je prépare ma carte du magasin, ma carte bleue.
Tout est nickel.
- Bonjour vos articles svp.
- C'est la robe que j'ai sur moi.
- Enlevez-là et donner la moi, je dois la scanner.
- Je peux pas l'enlever j'ai rien en dessous.
- Pardon madame, il me faut la robe pour la passer en caisse, allez-y scannez là, mais je ne peux pas l'enlever.

Des personnes arrivent derrière moi, un couple avec une adolescente, elle doit avoir 16ans.
Cette caissière, mégère ne pense qu'à son chiffre et snob totalement ses clients.
- Bon cette robe vous la voulez ou pas?
Me dit-elle en haussant le ton.
- Oui mais scannez-là je la paie et je m'en vais, je ne peux pas l'enlever je suis nue en dessous.
- Arrêtez vos conneries.
Bon vous me prenez pour une conne.
Elle fait signe à l'agent de sécurité.

- Madame ne veut pas me donner la robe pour que je la bippe.
- Vous avez mal compris je veux payer mais je ne peux pas l'enlever je suis nue en dessous.
Le black, moins impressionnant que Jules.
- Madame arrêtez votre comédie et enlevait cette robe, la caissière la scanne vous payez et vous partez.
- Ok, moi je veux bien mais je vous préviens va y avoir des plaintes, je vous le dis je suis nue en dessous.
- MADAME, me lance-t-il.
- Ok, c'est bon, c'est bon je vais l'enlever.

Avant de l'enlever je me retourne regarde la dizaine de personnes qui attend et dit.
- Je suis désolé mais Mr insiste vous êtes tous témoin, et en passant mes bras par les bretelles, ma robe tombe au sol, et ma nudité totale apparaît devant tous les clients en caisse et du magasin.
Je me penche pour ramasser ma robe au sol, offrant à tous les mecs présents une vue implacable sur mes orifices.
La jeune de 16ans.
- Euh vous, la caissière vous pouvez pas vous grouillez?
En me prêtant rapidement sa veste pour me dissimuler un minimum.
Je suis bien restée intégralement nue, sous cette veste qui n'est pas à moi, au moins trois minutes cela est scandaleux.
L'agent de sécurité honteux s'éloigne un peu, quand le père de la jeune l'interpelle.

- Hé, vous là-bas, appelez moi le directeur je veux lui parler de votre manque de professionnalisme, et du manque de discernement.
Je suis pompier et ce sont des choses qui ne se font pas, où est la dignité de la personne là.
Pendant ce temps l'autre greluche à biper ma robe et annonce imperturbable 34,99€ svp en mastiquant bruyemment un chewing-gum.
Le père excèdait s'isole avec l'agent de sécurité.

De mon côté, j'ai acheté ma robe, et rejoins mon véhicule et rentre chez moi sans aucun souci et les laisse débattre de leurs préjugés en laissant cet acte d'exhibition imposée sur la conscience de l'agent de sécurité et de cette caissière.
Sur ma route je repense à cette exhib et en rigole car au fond de moi j'en fais un plat.
Mais quand j'y pense, combien de fois me suis-je exhibée totalement nue et totalement gratuitement devant d'autres personnes?
Oups.