Pas si bête que ça 2

Hortense revient de ses courses, avec deux godes de tailles différentes et un vibro. Elle rjoint son amant qui l'attend de pied ferme dans le salon. Elle déballe les engins et les exhibe devant Thomas qui lui ordonne :



-Bon maintenant vieille peau à poil, tu vas te goder avec le moins gros jusqu'à ce que tu jouisses, et ensuite rapidement, tu t'enfonces le gros et même punition jusqu'à la jouissance, aller pouffiasse au boulot, je me charge du vibro !



Hortense retire ses vêtements et s'allonge sur la table basse que Thomas a pris soin de débarrasser, sous ses conseils, elle replie les jambes sur son ventre pour mettre en évidence ses trous. Thomas appuie contre son clito le vibro et actionne la vibration qu'il module selon son désir. Hortense se cabre, la vibration la fait, sursauter, ses sens rapidement s'éveillent, la soumise pousse un long soupir, et lentement enfonce le gode dans son ventre en feu. Le ramonage, lent au début, prend de la vitesse. Hortense gémit de plus en plus fort. Thomas avec art agresse le clito d'Hortense avec son engin vibrant. La femme mûre se cabre et explose, Thomas lui crie :


-L'autre maintenant, prends l'autre vite et vas bien à fond salope !



C'est en tremblant que la jouisseuse change de gode, elle grimace, car le second est bien plus imposant que le premier. Mais l'abondante cyprine que secrète sa chatte, facilite l'introduction de la bite factice. Elle commence un va-et-vient, qui la fait gémir, Thomas augmente la vibration du vibro et l'appuie plus fort sur la boule sensible, qui est devenue méconnaissable. Les râles d'Hortense sont rauques et prolongés. Sa respiration s'accélère, son souffle devient bruyant. Thomas lui dit en grognant :



-Je t'ai dit bien fond salope alors fais-le !



À chaque enfoncement de l'engin de silicone dans son ventre, Hortense pousse un gémissement. Elle pousse plus fort sur le gode, Le gland factice bute contre le col de son utérus comme pour le pénétrer, Hortense grince des dents, elle est au bord du coma, elle hurle :

-Mon Dieu, c'est trop bon, oh, je vais jouir, oui, oui, ça vient !


Thomas met la vibration au maximum, Hortense se cambre, son anus se met à palpiter, sa chatte est un volcan en éruption, elle pousse un grognement de bête blessée et jouit affreusement. Elle dit faiblement :


-Thomas, tu me fais mourir de plaisir, mon chéri, je suis ta chose, baise-moi, baise-moi !



Il plonge sa bite tendue dans la fournaise et la pilonne jusqu'à ce qu'Hortense jouisse à nouveau. Elle dit en béguant :

-oh mon chéri, tu me défonces mieux que le major d'homme, encore Thomas s'il te plait baise-moi encore !




Thomas la regarde, et lui dit :


-Pas encore, ton cul de truie n'a pas eu sa ration, tu t'es deja fais enculer vieille pute !


Hortense semble gênée, elle repond :

-Hem non jamais, il faut que je m'enfonce les godes avant mon chéri pour m'assouplir le cul ?


Thomas la toise et lui répond :

-Oh que non pas encore les godes, la bite du débile va te déflorer le cul et à sec, vieille salope, je vais t'éclater le cul !


Thomas n'a pas encore digéré d'avoir été traité de débile par la vieille femme, donc il se venge en l'humiliant. Il lui dit :


-Reste sur le dos, je veux voir ta gueule, lorsque que tu auras ma bite dans le cul, relèves bien les jambes sur ton ventre et ouvre-les bien, tu vas comprend ce que peut faire un débile à un cul de vieille pute !


Thomas pose sa bite raide contre l'anus craintif qui se contracte, et saisit les hanches de son amante. Il pousse. Hortense prend une grande aspiration, ses yeux sont presque exorbités, sa bouche est grande ouverte. L'anneau ridé cède et avale lentement le monstre de chair. Hortense croit que son rectum va se déchirer, elle sent dans sa gaine anale les pulsations de la bite grandement veinée. La douleur est atroce, Hortense se dit que jamais, qu'elle n'en sortira pas vivante de cette sodomie monstrueuse. Progressivement, le membre gorgé de sang s'avance dans son fondement de plus en plus profondément. Hortense halète comme une bête en fin de vie. Elle tire sur ses cuisses pour s'ouvrir encore plus. Enfin, la bite hors norme atteint son but. Les couilles velues viennent en contact avec son fessier, Thomas pousse encore pour qu'Hortense sente bien contre son cul ses couilles remplies à ras bord de sperme.


Il ne fait plus aucun mouvement, Hortense croit mourir, distendue au maximum, elle serre les dents. Elle grimace lorsque Thomas commence un très, très long va-et-vient. Hortense souffle comme un taureau, elle ressent comme une brulure intense dans ses entrailles, qui s'amenuise au fur et à mesure que Thomas fait coulisser sa bite dans la gaine anale dilatée. la vitesse augmente, Hortense geint comme une agonisante. Thomas lui dit en la narguant :

-Alors la défonce du débile est à ton gout, vieille pouffiasse, avant de traiter une personne de débile, regarde à deux fois vieille peau !


Hortense en grimaçant répond :


-Je te demande pardon mon chéri, mes paroles en dépassées ma pensée, vas-y venge-toi, éclate-moi, je ne mérite que ça !


Thomas commence un va-et-vient dévastateur, les gémissements d'Hortense sont terribles, mais l'homme, offensé, ne l'écoute pas, il lui travaille le cul bestialement. Plus les minutes passent, plus Hortense gémit, mais plus de douleur, c'est de plaisir. Thomas lâche les chevaux, ses coups de reins brutaux font grimacer la vieille sodomisée, il lui dit :

- Tu la sent bien ma bite dans ton cul, hein, tu en veux encore !


Hortense répond entre deux souffles :

Oui, oui, oh, je vais jouir du cul, vas-y, vas-y défonce-moi plus fort, frappe mon cul mon chéri !

Hortense en poussant un cri explose de jouissance, elle dit en giclant :


-Oh putain mon chéri, tu me casse le cul, c'est douloureux, mais merveilleux à la fois, pourquoi que mon major d'homme, ne m'a jamais enculé le con !


Thomas réplique :

-Ne t'inquiète pas, maintenant, il t'enculera très souvent, tu peux me croire la vieille !
Mais au fait et ton vieux, lui, qu'est-ce qu'il te fait, oh putain, je décharge ?


Thomas se raidit, donne un grand coup de boutoir pour bien empaler Hortense, elle s'accroche à lui en jouissant une seconde fois de cul, elle hurle :

-Mon Dieu Thomas, c'est merveilleux, oh, bourre-moi encore, oui encore !


Thomas l'apostrophe :

-Je t'ai posé une question sur ton vieux, j'attends la réponse salope !


Elle repond tout en se faisant défoncer le cul allègrement par Thomas :

-Oh lui, n'est plus bon à rien, qu'à me sucer et me branler, il ne bande plus le pauvre !
Il assiste lorsque le major d'homme me baise, mais avant, il me branle et me suce, cela le fait couiner de bonheur !


Thomas retire son engin du cul de la soumise, il sourit en regardant les dégâts qu'il a causé, il dit :


-Je t'ai bien ouverte le cul ma salope, maintenant que le passage est fait cela sera moins douloureux pour toi, mais j'ai des projets pour toi vieille peau, je vais faire participer ton mari et le major d'homme, là ma pute, tu seras gavée de sperme !

Hortense écarquille les yeux et répond :

-Oh oui mon chéri, si c'est toi qui même la danse, j'accepte tout !