Pas si bête que ça 3

Dans son lit, Hortense se remémore sa journée de délire, elle ressent encore dans ses chairs la bite monstrueuse de Thomas qui l'a fait jouir plusieurs fois comme une malade. Son sang se remet à bouillir. Pour dormir, elle ne porte qu'une chemise de nuit qu'elle retrousse et commence à se caresser la vulve, elle passe aussi sa main sur son anus qui est encore douloureux et qui ne s'est pas totalement refermé. Elle y ose enfoncer trois doigts, c'est en grimaçant qu'elle cherche à se faire jouir du cul. Mais pour y parvenir, il faut qu'elle se travaille le cul plus profondément. Soudain, elle se cabre et se souvient des godes. Lestement, elle saute du lit, mais manque de chance Victor son mari ce réveil, il la questionne :


-Tu vas où ma chérie !


Elle repond :

-Chercher des jouets, je t'expliquerai plus tard attends, je reviens !


Hortense revient, elle tient en main les objets de plaisir qu'elle desir tant. Son mari a allumé la lumière, il se redresse et écarquille les yeux et interroge :



-Mais c'est quoi, ces engins ma chérie !


En riant, Hortense répond :

-C'est pour me défoncer !


Victor lui demande :

-Pourquoi le major d'homme ne te suffit pas !


Hortense réplique en riant toujours :


-Oh mon chéri, j'ai trouvé mieux que le major d'homme, Thomas, il a une bite fabuleuse, il m'a fait découvrir aussi la sodomie, regarde comme il m'a arrangé le cul le salaud !


Elle se penche en avant et présente ses fesses qu'elle ecarte le plus possible, Victor reste sans voix un moment puis réagit :

- Tu t'es faite, enculée, Oh mon Dieu ton cul est encore ouvert ma chérie, tu as dû souffrir !


Elle repond :

-Au début, c'est terrible, mais après, que du bonheur et des jouissances extraordinaires, j'ignorais que l'on pouvait jouir du cul, mais maintenant, je ne m'en priverai plus, je dois dire merci Thomas !


Elle remonte sur le lit, repousse sa chemise de nuit, et dit, je suis tellement excitée qu'il faut que je me fasse jouir, et toi Victor, tu vas m'aider !


Elle lui passe le vibro et lui dit :

— Pendant que je me fouillerai la chatte, tu m'écraseras le clito avec ça, mets le en action mon chéri !


Victor teste toutes les vitesses de l'engin, et dit :

-Allons-y, je vais te broyer le clito ma cochonne !


Hortense s'enfonce le gros gode dans la chatte et commence à faire un va-et-vient rapide. Son mari entre en action et applique le vibro sur le clito qui rapidement enfle. Hortense s'agite en même temps qu'elle se ramone la chatte. Il ne faut pas attendre longtemps pour qu'elle explose. Elle halete, en disant :

-Oh comme c'est bon mon chéri, maintenant, je vais m'enculer !


Elle s'enfonce profondément le gode dans le rectum en grimaçant, elle dit en serre les dents :

-Oh putain, je l'ai tout en moi, regarde mon chéri, mets la vibration à fond et appuie fort, oh putain comme c'est violent, j'adore !


Pendant plus de deux heures, Hortense se fait jouir, puis épuisée, s'écoule les bras en croix et s'endort avec le gode planté dans le cul. Son réveil fut douloureux, après une douche réparatrice, elle dut s'enduire le cul de pommade apaisante, tellement, elle avait mal. Il est l'heure que ses gents prennent le travaille. Thomas est ponctuel, il regarde Hortense, la salue et dit, dans une heure, je veux voir le major d'homme et ton mari dans le salon et tous à poils, j'ai acheté un engin formidable, qui tu vas tester ma pute :

Hortense est deja excitée, elle repond en béguant :

-Oui, oui, mon chéri, dans une heure, va prendre un café à la cuisine en attendant !


L'heure passe, Thomas entre dans le salon, il sourit, les trois sont nus. Il pose la boite qu'il a amenée avec lui et dit en regardant Victor :


Toi, comme tu ne bandes plus, tu vas préparer ta vieille peau, je veux qu'elle mouille comme une fontaine, la salope, toi le major d'homme, tu t'appelle comment :


-Moi, je me prénomme Jacques !


-Bien, pendant que le vieux dévore sa vieille, toi, tu te branles, il faut que tu sois prêts à mon signal !

Jacques sourit et répond, je le serai monsieur Thomas !


Hortense prend place sur la table basse comme la dernière fois. Thomas ôte ses habiles, et exhibe le monstre qu'il a entre les jambes. Jacques et Victor restent éberlués, devant l'engin monstrueux qui arrive à mi-cuisses au repos. Il commande Victor :


-Aller Victor, bouffe la chatte à ta pouffiasse !


Le vieil homme se place entre les cuisses ouvertes de sa femme et plaque sa bouche sur la vulve, le bougre sait se servir de sa langue. Dès les premiers coups de langue, Hortense se met à geindre, rapidement sa chatte se noie de cyprine. La langue s'enfonce dans le vagin pour en fouiller chaque recoin, Hortense semble sur un nuage, elle couine de bonheur.