ACCUEIL > Divers > Récit : Petites anecdotes diverses

Petites anecdotes diverses

+208

Lue : 4172 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 27/11/2015

Découvrez les filles coquines près de chez vous :

Voici quelques petites anecdotes un léger soupçon érotiques qui me sont arrivées


1 - Promenade au bois (1993)

Un après-midi, au bois de Vincennes (vieux bois), mon mari devait me rejoindre. Comme il finissait plus d'une heure plus tard, je lui ai demandé de m’y rejoindre pour promener le chien et me ramener à la maison.

0n se promenait souvent au bois pour notre chien, on savait donc où se retrouver, à un endroit, il y avait des bancs doubles. J'avais un bouquin, j'aime bien lire à l'extérieur, il y a plus de lumière, j'étais en robe courte, sans bas.

Je ne mets des robes que l'été ou alors des robes de soirée, je marche un peu, puis pour lire, je me mets sur un banc double (dos à dos), derrière moi, un couple âgé se reposait, ils étaient face au chemin, moi face aux buissons.

Je bouquine et de temps à autre, je me repose les yeux en regardant autour de moi, et là sans y prêter attention, je vois un type rentrer furtivement dans le bois. Il a une chemise un peu couleur orange, c'est tout ce que je retiens.

Il n'y a presque pas de vent, il ne fait pas excessivement chaud, il fait bon, le soleil chauffe sans être violent, très peu de monde passe sur le chemin, contrairement au WE où il y a foule.

À un moment donné, j’entends du bruit derrière les buissons devant moi, bruit de feuilles, au début, je pense à un chien qui se promène, mais le bruitage des feuilles est plus lent, sans changer de position, au lieu de lire mon livre, je tends l'oreille, et j’entends bien des feuilles qu'on écrase du pied, mais au lieu d'être un bruit de pas.

Je m'aperçois que c'est quelqu'un qui se déplace en essayant de ne pas faire de bruit, le bruit se rapprochant, je me dis, ça s’est un "sadique" !

C'est le terme qu'on employait à l'époque pour ceux qui mataient les couples qui venaient se donner du bon temps à l'abri des regards, enfin pas tous, certains venaient aussi pour eux, J’entends le bruissement qui se rapproche et au bout d'un moment, quand il passe dans un des jours du feuillage, dans l'axe de ma vision, je découvre une couleur vue peu de temps avant, le type à la chemise orange, rentré auparavant dans le bois.

Quand il fait chaud, on aime bien aérer le dessous, j'avais les jambes tantôt croisées, et tantôt droites et écartées, j'entendais qu'il se rapprochait encore, mais le bruit était différent. Le type devait être accroupi ou à genoux, je n'ai rien fait pour me cacher, le couple âgé était là.

Par moment, une petite brise légère bougeait le feuillage, et je voyais la chemise couleur orange, il était à moins de trois mètres devant moi, je décroise les jambes, je lis un peu, la situation m'amusant, peu à peu, je regarde autour de moi et jambes un peu écartées, je remonte ma robe.

Jouant à l’innocente qui bronze. J'ai ainsi pu arriver, crescendo, à mettre mon string à la vue de ce type. Parfois, des promeneurs passaient, je remettais ma robe en place et dès qu'ils étaient partis, je la remontais un peu plus que précédemment de façon à ce qu'il se dise que je me remettais bien pour ceux qui passaient.

Cela a duré un bon quart d'heure, le type restait discret, peut être aussi à cause que je n'étais pas seule, il a ainsi largement eu le temps de se masturber, mais je n'ai rien vu.

Mon mari est enfin arrivé, ou plutôt le chien m'a trouvé et nous avons fait de la marche.

Fin



2 - visite d'une maison (2007)

Quand nous cherchions une maison, style maison de maitre, nous avions rendez-vous pour une visite, mon mari m'avait prise à la sortie du boulot, c’était en novembre, J'étais en tailleur jupe courte, bas noir, chemisier, chaussures à talon moyen, ma tenue de bureau habituelle à cette époque, sexy sans être vulgaire.

Nous visitons le RDC, puis nous montons l'escalier et visitons le 1er étage où il y avait les chambres et une salle de bains, les plafonds étaient très hauts, ils dépassaient les trois mètres.

Les combles étaient aménageables et de bonne hauteur, ça représentait la moitie de la surface de la maison en étant debout.

Le type de l'agence discute avec mon mari de cette possibilité, mais comme il n'y a pas d'escalier qui y mène, et qu'il faut monter à l'échelle pour atteindre la trappe, ma jupe serrée ne s'y prêtant pas, Je ne les suis pas et je retourne encore une fois, visiter les chambres du premier étage et la salle de bains.

Après avoir à nouveau tout regardé, je retourne vers l'échelle, ou je me dis qu'ils sont bavards, Je me dis que je vais quand même jeter un coup d'œil, sans monter sur le plancher, en restant juste sur l’échelle.

Pour se faire, Je remonte ma jupe complètement au-dessus de la taille et je monte à l'échelle, eu pratique avec mes chaussures, mais j'y arrive quand mémé.

Je passe ma tête par la trappe pour regarder, le grenier est séparé en deux parties par un mur porteur, et j’entends du bruit de l'autre côté de ce mur, mon mari et l'agent immobilier qui regardent quelque chose probablement, j’attends donc qu'ils reviennent.

Quelques minutes passent, mon mari revient, me disant, tu as vu, c'est grand quand même, je réponds " oui", arrivé à côté de moi, il me dit, "tu descends", je descends donc en pensant que l'autre est en train de refermer une quelconque ouverture.

En redescendant, à mis échelle, je sens une présence en bas et derrière, je vois l'agent immobilier qui était en train de se rincer l'œil en faisant celui qui ne regarde pas.
Son téléphone avait sonné, et il était descendu jusqu'à sa voiture pour parler plus tranquillement, pendant que je visitais l'étage, je ne l'avais pas vu sortir.

Je suis à mi l'échelle, la jupe sur la taille, comme si je n'étais qu'en string, Il était là, faisant celui qui ne regardait pas, bien trop tard pour faire la prude, je continue de descendre comme je suis, le type bien sûr, a fait celui qui avait tourné la tête.
Mon mari a compris la situation et c’est mis à rire, Le type en essayant de minimiser dit, "je viens juste d'arriver", je lui réponds, " oui, il y a environ cinq bonnes minutes", mon mari rigole encore, la situation n'est pas catastrophique non plus, je sourie, voyant que je le prends bien, il dit, "oui, je reconnais, mais le temps a passé tellement vite".

J’ai répondu, "bah, tant que vous n'en avez pas perdu la vue", il répond, « je dirais même que je vois mieux depuis".

Mon mari en profite pour dire, "comme ça, vous nous ferez un bon rabais", voyant que mon mari prenait cela a la rigolade, il répond avec humour, "si Mme remonte à l'échelle comme ça, pourquoi pas", nous n'avons pas fait affaire, car nous avons trouvé une autre propriété qui nous convenait mieux, les semaines suivantes.

Fin



3 - Ma première expérience d'escorte girl (1991)

Avant de travailler à temps plein, sur paris, je cherchais du boulot, mon second mari voulait que je sois autonome, mais ce n'était pas facile, alors en attendant, je faisais des petits boulots, garde d'enfants, cuisinière, enfin tout ce qui est occasionnelle, avec un salaire un peu plus fort que ceux salariés, mais minable quand même au niveau de la rémunération.

Une fois, un client à mon mari, la cinquantaine passé, lui demande comme cela en plaisantant,
s'il connaissait une escorte girl pour un diner d'affaires, avec un éventuel vendeur d'une société qu'il souhaitait acquérir, mon mari dit, "je vois, elle se laisse faire et le type signe le contrat".

Il répond, " non, ça ne marche pas comme ça, mais avec une femme, l'ambiance est plus détendue, et les affaires roulent mieux, j'aurais du y penser avant", mon mari en pensant à moi lui dit, "si ensuite, il n'y a pas la fin de soirée à l'horizontale, ça doit se trouver".

Il lui dit, "non, je vous assure, pas de coucherie, je ne veux que la compagnie à ce repas, même une débutante ferait l'affaire, si vous connaissez quelqu'un que ça intéresse, je lui donne deux mille francs pour la soirée, mais il faut qu'elle soit belle, souriante, et un peu cultivée".

Mon mari dit, "je vous appelle dans l'après midi", il me parle de ça et comme je connais l'appellation, je dis, hors de question", il me rassure et me dit, "non tu n'as rien à craindre, c'est un client, et il ne cherche juste qu'une présence féminine au restaurant".

Il me tarabuste à plusieurs reprises, et avec la carotte des deux mille francs, je finis par dire ok, je m'habille normale, et je vais voir ce client en fin d'après midi, emballé, il me dit oui aussitôt, que c'est ok pour ce soir en me donnant l'heure.

Me voila donc au soir, mon mari m'emmène dans la société, je suis en robe du soir, sexy, juste ce qu'il faut, ses vendeurs sont déjà là, le père et le fils qui lui doit avoir cinq ans de plus que moi,
en arrivant, je client me fait passer pour sa belle fille, ce qui m'arrange car vu notre différence d'âge.
Je monte dans la voiture du client, les vendeurs nous suivent, il me complimente sur tout, je suis en beauté, ma robe me va à ravir, enfin le baratin de base, au restaurant, j'ai des sourires des trois, je suis chouchoutée, je suis le centre d'intérêt, aucune parole, aucun regard n'est autre que sur moi.

J'évite de trop boire, car je ne supporte pas du tout, je mange avec plaisir, car le restaurant est un fruit de mer, la note est aussi salé que ce que l'on mange, je me régale et me goinfre presque, les trois me poussent pour que je reprenne un homard.
Je dis, " non, que ca ne serait pas raisonnable", de plus mon but n'est pas de me régaler, mais de détendre l'atmosphère, alors je réponds aux questions pas trop personnel, je sourie, j'avais mis une robe du soir courte, 10 cm au dessus des genoux, décolleté raisonnable, des bas noir DIM up et chaussures à talon, mais pas trop haut.

Les commentaires sur mon physique vont bon train, j'étais la plus belle fleur dans l'établissement, mon mari à beaucoup de chance, quand je riais, il émanait un rayonnement etc. etc. je laisse imaginer les paroles entendues de tous.

Quand je me levais pour allez au toilette, je pense que dans mon dos, on me regardait pareillement que quand je suis revenue à ma place, on me tenait ma chaise, et à table, on ne risquait pas de me voler mon collier tellement il était surveillé, mais cela me plaisait, me changeait.

Le repas se passe très bien, j'étais même contente d'être là, l'affaire se fait, les arguments de mon "patron" convainc les clients, on quitte le restaurant, ils se donnent rendez-vous le lendemain pour les signatures, baisemains pour moi avec des sourires, et on me remercie d'avoir égayée cette soirée d'affaires qui aurait été triste sans moi.

Les clients partent, mon "patron", m'ouvre sa voiture, je monte, et une fois à l'intérieur, il me remercie en m'attrapant le genou comme pour me remercier d'avoir tenue mon rôle, seulement voila, si sa main au début pouvais être une marque de contentement, elle devenait sans équivoque ensuite, je repousse poliment en disant, "attention, le contrat stipulait, repas uniquement, rien d'autre".

Sans me le dire ouvertement, il me sous entent que je mériterais une prime sous conditions, pour m'être montrée a la hauteur, je dis, " non, je ne suis venue que pour ce qui était prévu et que le reste ne m'intéressait pas", sa main revient à la charge, je lui repousse, mais il insiste avec force, je dis encore, "non, j'ai respectée ma part et c'est fini, roulez maintenant".

Il insiste à nouveau, et soulève ma robe, là, je le gifle en rouspétant, disant, " et comme ça, c'est plus clair", il descend de voiture et me demande de descendre, je dis, " non", il insiste en me menaçant, je descends, il remonte dans sa voiture et me plante là en disant vous n'avez qu'a rentrer en bus ou métro, et votre salaire, vous pouvez faire une croix dessus.

Dans les transports en commun, avec la tenue que j'avais, je me faisais violée de suite, la honte de retourner au restaurant téléphoner, je me dirige vers une station de taxi, peu pratique avec mes chaussures, j'ai froid, j'ai peur, j'arrive à en héler un, arrivée à la maison, je dis au chauffeur d'attendre.

A ce moment, mon mari qui m'attendait sort et me dit étonné, il ne t'a pas ramené, sans répondre, je lui dis, tu peux régler le taxi, il paie et voit que je suis à deux doigts de pleurer
je lui explique ensuite en disant qu'il n'a pas été vraiment violent, enfin je dis exactement les choses.

Le lendemain à la première heure, mon mari va voir ce client et me ramène deux mille cinq cent francs, je passerais ici les détails de sa méthode de persuasion utilisé, en sortant, il lui avait dit, qu'il y avait eu 500 francs de taxi qui n'était pas prévu, mon mari ensuite, bien évidement, l'a perdu comme client, il ne lui avait pas dit que j'étais sa femme, il m'avait fait passer pour une voisine, voila ma première et dernière expérience d'escorte girl avec des personnes que je ne connais pas et en dehors de mon travail.
208 vote(s)


Histoire de annizette

Vous avez aimé ce récit érotique ? Tweeter

Nous luttons contre le plagiat afin de protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette histoire est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être copiée ou imprimée.

© Copyright : Nos histoires sont protégées par la loi. Un grand nombre d'écrivains nous ont donné l'exclusivité totale.


Commentaires du récit : Petites anecdotes diverses

Le 07/07/2021 - 16:39 par sizaxe
Merci pour ces très belles histoires courtes et très érotiques. On dirait du Delerm ! J'adore

Pour poster un commentaire ou faire un signalement, merci de vous inscrire ! Inscription rapide


Histoire précèdente <<<
>>> Histoire suivante



Retour en haut de la page

Libertinage et masturbation de jolies libertines en webcams totalement gratuites :