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Le chantage

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Lue : 9174 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 05/12/2015

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Je m'appelle Samuel, j'ai 28 ans et travaille depuis 3 mois dans une banque en région parisienne. J'ai des collègues sympas mais la responsable d'agence est une sale conne. C'est une femme de 45 ans, grande brune toujours coiffée avec un chignon qui durcit son visage. Elle est très autoritaire et il semble que je sois rapidement devenu sa tête de turc. Je me suis même demandé un moment si elle n'était pas raciste. Je suis en effet métis, malien par mon père et français par ma mère.

Bref, cette bonne femme ne me laisse pas de répit à l'agence. Tantôt à lui faire ses photocopies, tantôt à me parler sèchement parce que ma pause café à duré 30 secondes de trop.

Enfin, dès le samedi 17h, j'ai plaisir à m'évader et à vite aller me changer les idées. Je ne suis pas employé depuis longtemps et je me dis que cela va se tasser avec le temps.
Un samedi soir, je montais sur Paris retrouver mon cousin. Steeve est le fils du frère de ma mère. Son père tient, ce n'est pas banal, un club échangiste dans la capitale. J'y suis allé quelque fois pour me changer les idées, voir mon oncle et surtout mater un peu !!

Ce samedi là, on mangea un morceau avec Steeve et il me proposa de passer vite fait voir son père pour récupérer les clés de la voiture. Il voulait qu'on se fasse une virée en boîte après.
Il devait être à peine minuit et le club était peu rempli. On s'accouda quelques instants au bar et on prit un verre avec Bernard, mon oncle. J'observais un peu la salle où quelques couples étaient là à danser. Une femme était entreprise par deux hommes sur une banquette.
Un petit groupe venait de rentrer, je jetais un regard vers eux et reconnu immédiatement ma responsable... je n'en croyais pas mes yeux !!
Je me cachais sous le regard interloqués de mon oncle. Steeve me demanda ce que j'avais et je lui expliquais discrètement la situation. Il ria et il alla le dire à son père. Celui-ci surprit se marra.

J'observais discrètement le groupe. Ma chef était au milieu de 3 hommes, vêtue de cuir, les cheveux détachés. Elle portait une sorte de collier en cuir auquel était attachée une laisse. Un homme la tenait ainsi. Je n'en croyais pas mes yeux, ma chef, si autoritaire au quotidien, était en fait une femme soumise à un maître !!!
Mon oncle me dit que son maître était un habitué des lieux mais que c'était la première fois qu'il la voyait elle. Il savait par contre qu'elle était avec lui depuis quelques temps déjà car il s'était vanté d'avoir une nouvelle esclave sexuelle il y a quelques semaines.
Je sortis mon téléphone et prenais quelques clichés, en faisant attention de ne pas être vu.

Après de longues minutes, le petit groupe descendit au sous-sol, là où les choses devenaient vraiment plus sérieuses. Je suivis toujours aussi discrètement et trouvais un poste idéal pour mater. Ma chef était à genoux devant son maître qui ne se souciait pas d'elle mais embrassait goulûment une autre femme. Elle caressait ses cuisses et son entrejambe. J'observais son superbe postérieur dont j'avais une vue parfaite. A l'agence, je n'y avais jamais prêté attention mais elle était carrément bien roulée la salope !!

Un homme assis à côté d'elle tenait une cravache et il lui tapotait d'abord doucement le cul mais petit à petit, je vis que ses mouvements étaient plus incisifs et marquaient la peau. Elle semblait apprécié ce traitement car ses mains glissèrent vers l'entrejambe du type, à la recherche du sexe gonflé qu'elle se mit rapidement à branler.

Le troisième larron commença à lui enfoncer un plug dans l'anus, celui-ci était surmonté d'une crinière et on avait l'impression de voir un cheval à quatre pattes !

Le type qui se faisait branler la tira vers lui et écrasa son visage sur son bas-ventre. D'où j'étais, je ne voyais pas très bien mais je compris rapidement qu'elle le suçait. Le type continuait de lui gifler les fesses et elle ondulait du bassin comme pour mieux recevoir les coups, faisant balancer la crinière.

Son maître se leva enfin et après avoir retirer le plug, il s'enfonça d'un coup au plus profond d'elle. Il la sodomisa avec force, la saisissant par les épaules, s'agitant comme un fou contre son cul...
Elle continuait à sucer l'autre gars mais avait du mal tellement les coups de reins de son enculeur était puissants. Je repris quelques photos de la scène.
Leur partie de baise dura plus d'une heure, elle fut enculer par les trois types et ils lui jouirent sur le visage et les seins. Elle était complètement souillée mais gardait un sourire béat que je ne lui connaissais pas !

Je m'éclipsais avant de risquer d'être reconnu.

Le mardi, de retour au travail, je la croisais quelques minutes après l'ouverture de l'agence. Son ton glacial m'ordonna d'aller lui chercher des dossiers aux archives. Je restais un moment à la regarder et elle s'emporta en me gueulant carrément dessus. Je me dépêchais et obéissais.
En fin de matinée, de retour dans mon bureau au calme, je décidais de m'occuper de lui rendre la monnaie de sa pièce. J'étais son souffre douleur depuis 3 mois, elle allait devenir le mien pendant quelques temps.

J'avais pris soin de récupérer son adresse mail perso et décidais de lui envoyer anonymement une photo prise deux jours plus tôt. J'y ajoutais un texte, lui laissant penser que j'étais un client qui l'avait reconnu. Je la rassurais, lui écrivant que je n'avais nullement l'intention de la faire chanter pour de l'argent. Je n'en mis pas plus pour ce premier contact afin de la laisser réfléchir à tout cela.

Le soir même, je lui indiquais que j'étais un client régulier de l'agence et que j'étais souvent très déçu de la croiser très austère, les cheveux tirés en arrière et portant des vêtements trop stricts. Je lui ordonnais donc de désormais venir à la banque cheveux détachés.

Le lendemain, à la surprise générale et à mon grand contentement, je la vis cheveux détachés traverser le hall devant le regard médusé de mes collègues.
Je jubilais intérieurement mais cela ne l'empêcha pas de me parler sèchement.

Re-belote, le soir, je continuais d'avancer mes pions et lui ordonnais de changer quelque peu ses tenues pour venir travailler. Je souhaitais qu'elle mette davantage en valeur ce corps que j'avais découvert. Désormais, ses jupes devraient s'arrêter au dessus des genoux, ses chemisiers devraient être déboutonnés jusqu'à ce qu'on puisse deviner la naissance des seins. Pour simple réponse, j'eus droit ce soir là à des insultes. Je coupais tout contact, la laissant mariner.
Le lendemain, je la découvris transformé. Depuis mon bureau, je la vis rejoindre le sien, ses longs cheveux bruns léchant ses épaules, son chemisier blanc déboutonné et largement échancré et sa jupe arrivant quelques centimètres au dessus des genoux !! J'avais gagné une nouvelle manche et ses sarcasmes habituels me firent doucement rire à l'intérieur !

Durant les jours suivants, je fis le mort afin de ne pas éveiller ses soupçons et ce n'est que la semaine suivante, que je revins à la charge. Je voulais tester mon pouvoir sur elle et voir jusqu'où elle serait prête à aller pour étouffer ces clichés. Je savais qu'elle avait rendez-vous avec un collègue pour un dossier client. Clément, arrivé juste avant moi à l'agence avait 2 ans de moins que moi, de nature réservé, ce n'était pas le genre dragueur.
J'ordonnai donc à ma chef d'allumer la prochaine personne qui rentrerait dans son bureau. Mon bureau donnant sur le sien, je pourrais observer la scène.
A l'heure convenue, Clément entra dans le bureau. La chef était entrain de finir de trier des papiers. Elle lui fit signe de fermer la porte derrière lui. Je les devinais derrière les stores vénitiens. Clément s'était assis et elle se tenait à côté de lui. Elle lui dictait des choses qu'il prenait soigneusement en note. Elle s'était assise contre le coin du bureau et je voyais nettement sa jupe qui était remontée plus que la normale, dévoilant le haut de ses bas. Clément que je voyais de dos, était plongé dans ses feuilles mais je le voyais relever la tête très régulièrement. Elle fit tomber quelque chose par terre et se pencha pour le ramasser mais sans plier les jambes si bien qu'elle offrait le spectacle de la vue de ses fesses à Clément qui n'en loupa pas une miette !
Après plusieurs longues minutes, Clément sortit enfin du bureau, il était rouge écarlate et je lui fis signe de venir. Il me raconta tout dans les moindres détails, encore tout chamboulé parce qu'il venait de vivre !

Elle était désormais complètement soumise à mes ordres et j'étais bien décidé à en profiter complètement...
Quelques jours plus tard, je mis mon nouveau plan à exécution. Je lui envoyais un nouveau message où je lui donnais rendez-vous au pied d'un immeuble où j'avais passé ma jeunesse. J'y avais encore pas mal de potes qu'on pourrait identifier comme de la racaille. Momo, Youssef et Stan étaient comme d'habitude adossés au mur de l'immeuble et refaisaient le monde. Je les avais prévenus de l'arrivée de ma chef et du pouvoir que j'avais sur elle. Elle devait demander à parler à Henri ce qui était le signal pour mes trois potes. Moi, j'attendais dans l'appartement de Momo.
Je les entendis arriver. J'observais la scène par l'entrebaillement d'une porte. Mme B. entra, suivi de mes trois potes. Ils la laissèrent planter au milieu du salon tandis qu'ils se vautrèrent dans les canapés.
Momo rompa le silence.
- bon allez la bourgeoise, on nous a dit que tu avais de vrais talents cachés!! Tu vas commencer par te foutre à poil, qu'on voit un peu comment t'es foutue!
Mme B n'osait pas bouger, mais Momo s'énerva et lui ordonna sur un ton pas du tout amical de se foutre à poil. Elle obtempéra et retira sa veste puis dégrafa son chemisier, dévoilant un soutien-gorge en dentelle blanc. Les trois copains sifflèrent d'admiration lorsqu'elle dégrafa ce dernier, dévoilant une très belle poitrine.
Elle fit ensuite glisser sa jupe au sol et devant l'insistance de Momo, elle retira également son string. Elle était désormais nue au milieu du salon. Les choses allèrent ensuite très vite, Stan l'attrapa par le bras et la poussa sur le canapé. Elle ne protesta pas. Il se présenta derrière elle et sans autres préliminaires mais après avoir enfiler une capote, il s'enfonça en elle. Il la tenait fermement par les hanches et se mit à la pénétrer avec de grands coups de reins.
Les deux autres avaient également sortis leur queue et étaient venus les présenter à sa bouche afin qu'elle les suce. Elle ne se fit par prier. Ils la prirent ainsi à tour de rôle dans un premier temps puis en même temps. Momo en dessous, bien au chaud dans sa chatte trempée, Stan derrière elle enfoncé jusqu'aux couilles dans son cul. Youssef se faisait pomper pendant ce temps là. De mon côté, je bandais comme un cheval et j'avais sorti ma queue pour me branler. Stan se vida dans son préservatif en la traitant de pute et me fit signe de venir prendre sa place. Je me présentais alors devant son cul. Youssef lui tenait la tête pour ne pas qu'elle me voit. Je l'enculais d'un coup sec, sans capote, et elle cria de surprise. Je suis plutôt gâté par la nature et malgré son habitude et le passage de Stan, ma bite était comprimée dans son cul. Je me mis à la baiser avec force. Momo ne résista plus et se vida en beuglant. Je sentais les spasmes de son sexe contre le mien. Je me vidais à mon tour au fond de son cul.
Je me retirais et quittais rapidement la pièce. Youssef en profita pour se vider à son tour mais au fond de la gorge de ma chef.
Je quittais l'appart discrètement et tombais sur d'autres potes que Momo avait appelé en renfort. Il me raconta par la suite qu'elle était insatiable et qu'elle s'était faite baisée ce jour là par 12 gars différents pendant près de 5 heures!!Il l'avait finalement foutue dehors, elle tenait à peine debout
Le lendemain, elle était absente de l'agence et je me dis qu'on y était allé un peu fort peut être.
Elle resta en arrêt maladie trois jours et lors de son retour, elle me convoqua dans son bureau. Je m'enquis tout de suite de son état de santé et curieusement, elle fut douce avec moi, me remerciant de m'inquiéter pour elle. Alors que je ne m'y attendais pas, elle me demanda si je connaissais un certain Momo... je bafouillais et devins rouge écarlate. Elle me regardait fixement, droit dans les yeux... Je décidais malgré tout de reprendre tout de suite le dessus... Sa réaction fut inattendu. Elle s'approcha de moi et alors que j'étais assis, elle se saisit de mon sexe au travers de mon pantalon. Elle le serra à la limite de me faire mal et hocha la tête de contentement. Je me relevais et me retrouvais face à elle, à quelques centimètres de son visage. Je plongeais mon regard dans le sien.
Elle alla vers la porte, la verrouilla et baissa les stores. Elle revint vers moi et de nouveau se saisit de mon sexe. Ce dernier avait commencé à gonfler avec l'excitation. Elle le malaxa au travers du tissu, le sentant s'allonger. Elle dégrafa adroitement mon pantalon et en extirpa ma queue. Elle se mordit les lèvres et commença à doucement me branler. Mon regard avait plongé dans son décolleté et je me mis à la peloter, faisant bientôt sortir ses deux gros nichons de leur carcan.
Elle me laissa faire et rapidement, je lui dénudais le haut du corps. C'était une situation surréaliste de me faire branler par ma chef à moitié à poil sur mon lieu de travail. Je la poussais vers son bureau et elle y prit appuis, j'écartais ses jambes après avoir pris soin de lui remonter sa jupe. Je découvris sa chatte trempée, elle était venue bosser sans culotte ce matin!!
Je frottais mon gland sur ses petites lèvres et la pénétrais lentement afin de lui faire sentir toute la longueur de ma queue.
Elle observait la scène, appréciant chaque centimètre qui entrait en elle.
Je commençais alors de lents et profonds vas-et-viens et sentis rapidement son vagin se contracter. Elle eut un orgasme très flatteur pour moi. Je continuais sur le même rythme, Elle se laissa complètement s'allonger sur le bureau. Je profitais de sa chatte béante et trempée encore un bon moment puis ne pouvant plus me retenir, je lui annonçais l'éminence de ma jouissance.
Elle se redressa alors et me repoussa, Je me retrouvais debout avec ma queue à la main, prêt à exploser. Elle se jeta à mes pieds et m'engouffra directement dans sa bouche. Après seulement deux vas-et-viens, je me mis à gicler une quantité importante de sperme au fond de sa gorge. Elle but le tout et continua à me pomper pour complètement me nettoyer. Un régal!!!
A partir de ce jour, je devins son amant régulier. Je la baisais quotidiennement à l'agence, chez elle, dans sa voiture...
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