Pierre (3ème partie)

Charline arriva alors que Pierre était encore dans la salle de bain.
-Alors, Chéri, ça a été ta journée ?
-Oui, très bien et toi ?
-Oui, moi aussi ! Et Pierre ?
-Il est sous la douche. Et il a l'air de s'être éclaté à son séminaire !
-Tu lui as parlé ?
-Oui, t'inquiète ! et je lui murmurais à l'oreille : il m'a sucé et je lui ai rendu la pareille ! Mais il m'a demandé de ne pas te le dire !
-Oh ! elle me fit un clin d'oeil et au même moment, Pierre sortait de la salle d'eau, couvert de sa serviette uniquement.
-Salut Charlie !
-Salut Pit !
'Ah, tu te souviens de mon surnom de l'époque ?
-Ben oui, bien sûr ! Tout comme je me souviens bien de ton penchant pour le nudisme ou le fait que tu sois un bisexuel convaincu !
-Ben oui ! C'est comme ça !
Nous discutions de nos journées respectives mais ni Pierre, ni moi, n'avons évoqué nos ébats sexuels.
Pierre avait fini par passer un short pour finir la soirée et nous allâmes nous coucher vers vingt-deux heures.
Le lendemain matin, quand Pierre se leva et sortit de sa chambre, il portait un peignoir. Il vint prendre son petit-déjeuner furtivement puis fila sous la douche avant de partir. Il ne passa que dix minutes en notre présence, n’échangea presqu’aucun mot, si ce n’est quelques politesses.
Quand il revint vers quinze heures, j’étais allongé dans mon lit. J’avais l’intention de faire une petite sieste et cela faisait un nom que je luttais pour m’endormir, en vain.
Il frappa à ma porte et me demanda si j’étais souffrant.
-Non, j’étais juste un peu fatigué et je voulais me faire une petite sieste.
-Je peux te raconter ma journée ? dit-il en s’asseyant sur mon lit, juste à côté de moi.
Il me raconta qu’il avait discuté avec une femme qui habite près de Bordeaux et qui a, au final, les mêmes goûts que lui sur beaucoup de choses. Il m’expliqua comment ils avaient sympathisé, comment ils s’étaient rapprochés et comment ils avaient fini par se donner rendez-vous demain soir.
-Pourquoi pas ce soir ?
-Elle avait un truc de prévu avec ses parents. Bon, je vais aller me doucher.
J’allumais la télé de ma chambre. La pluie s’était invitée et il n’était pas question de prendre un bain. Je m’apprêtais donc à mater une série et je commençais à zapper parmi tout ce qui était proposé.
Je jetais mon dévolu sur une série de fiction et commençais à regarder quand Pierre arriva. Il était évidemment à poils et il s’installa dans mon lit, comme s’il était chez lui.
-Je peux regarder avec toi ?
En moi-même, je souris, car je compris tout de suite qu’il avait l’intention de baiser. Je laissais faire, car je voulais voir comment il allait y venir.
La série déroulait son action normalement et au bout d’un moment, Pierre se tourna vers moi.
-J’y comprends rien à ton truc, là !
-Normal, t’es pas concentré !
-Ah, parce qu’il faut se concentrer pour mater un film ! Ah non, moi, si je regarde quelque chose, c’est pour me détendre !
-Ben détends-toi alors !
-Ok !
Pierre s’écarta de moi et vint poser ta tête sur ma cuisse gauche. Je portais un short noir en coton assez ample et il ne tarda pas à commencer à faire glisser sa main sur ma cuisse et à la glisser sous le short. Très vite, il remonta sous le short et commença à frôler ma queue et mes testicules. Le contact furtif de ses doigts commençait à faire son effet et ma verge se durcissait. Il releva la tête vers moi et me sourit.
Il se releva, pris ma queue en main sous le short et débuta de longs mouvements lents de bas en haut. Cela faisait dix minutes qu’il était ressorti de la douche et il était déjà en train de me masturber !
Je m’abandonnais à la caresse en relevant la tête et en fermant les yeux. Il me tira vers le bas pour me faire m’allonger et il en profita pour me retirer mon short et mon slip, puis il se mit à me caresser le corps.
-J’aime ton corps ! J’adore ta peau, ton odeur et ton goût !
Il prit alors ma queue dans sa bouche et commença à me sucer pour me faire durcir encore et il y parvenait très bien.
Je ne voulais pas qu’il soit en reste, alors je le stoppais, le temps de me mettre en position pour pouvoir le sucer en même temps. Nous fîmes un 69 super agréable.
Je lui suçais la queue, le gland et je remontais jusqu’à son anus, que je titillais avec ma langue.
-Hum ! J’adore !
Alors je le fis se mettre à quatre pattes et je repris ses fesses dans mes mains. Il était super agréable à sucer car il était entièrement épilé de pas longtemps. Sa peau était douce et son anus était souple. Plus je le léchais, plus il s’ouvrait. Je pouvais y entrer ma langue de quelques centimètres et c’était super agréable.
Une fois son trou bien mouillé, j’y introduisis un doigt, puis deux sans difficulté. Je me relevais alors et présentais ma queue devant sa rondelle. Je poussais alors un peu et c’est sans aucune difficulté que je m’introduis dans son cul. J’enfonçais ma queue jusqu’au fond de son colon et je donnais quelques coups de rein en poussant fort.
Il donna quelques petits cris, plutôt des soupirs de satisfaction.
Pendant que je lui limais l’anus, j’attrapais sa queue que je branlais au même rythme que je baisais son cul. Sans ralentir, je continuais pendant cinq minutes à pilonner mon amant et il explosa alors dans une jouissance phénoménale. Son sperme se répandait sur mon drap par saccades à chaque fois que je donnais un coup de rein. Alors que je donnais une grande claque sur sa fesse droite, je sentis l'orgasme monter et j'éjaculais à mon tour. J'éjectais une très grande quantité de ma semence dans ses reins dans un moment d'extase totale, comme j'avais rarement connu.
Pierre s'affala sur le lit, les bras en croix. Je m'allongeais alors à ses côtés, sur le dos.
Après quelques minutes, Pierre se redressa et, tout en attrapant ma queue dans sa main droite, il me dit :
-Putain, Luc, t'es un sacré baiseur !
Je ne répondis rien, mais il prit alors ma queue dans sa bouche et me lécha le gland, les couilles la hampe et il reprenait ma bite entre ses lèvres. Je ne tardais pas à bander de nouveau.
Je me dégageais de sa bouche et me mis à quatre pattes. Je voulais sentir sa grosse queue dans mon anus, même si j'avais un peu peur d'avoir mal, vu sa taille.
Il se mit à lécher mon anus, avec des grands coups de langue, puis il essayait de me pénétrer avec son organe buccal. A chaque passage, il appuyait un peu plus avec sa langue que je sentais petit à petit progresser dans mon canal. Je me laissais totalement aller et je sentais que mon sphincter s'ouvrait sans grande difficulté. JE le sentis alors se redresser et son gland vint se poser sur ma rondelle.
Je voulais qu'il me défonce littéralement alors je poussais moi-même dans sa direction et je sentis son gland entrer entièrement dans mon cul. Après un instant de vive douleur, je sentais aussitôt la chaleur de sa queue dans mon anus et je trouvais ça très bon. JE comprenais ce que pouvaient sentir ma femme ou encore Noë, quand je les sodomisais et je trouvais cela de plus en plus délicieux.
Une fois Pierre totalement enfoncé dans mon cul, il resta un peu immobile, de crainte de me faire mal. Je bougeais alors moi-même pour faire coulisser sa bite en moi.
Il me claque alors les fesses et se mit à me donner des coups de reins.
-Tu aimes ça, espèce de petite tapette ! Tu aimes la bite dans ton cul, hein, espèce de salope !
-Oui, vas-y, ferme ta gueule et défonce-moi le cul !
-Tu aimes te faire enculer comme une tafiole, c'est ça ?
-Ferme-la ! Tu disais pas ça tout à l'heure, quand c'était moi qui avais ma queue dans ton cul de chienne !
-Putain, qu'est-ce que j'aime te baiser !
Comme il disait ça, il commençait à accélérer et me donnait maintenant des grands coups de bites jusqu'au fond de mon anus et je sentais le plaisir monter. Plus je sentais l'orgasme monter, plus je voyais ma queue se tendre droite le long de mon ventre. Elle était tendue comme elle ne l'avait jamais été.
Sous les coups de boutoir de mon amant, je m'affalais le haut du corps sur l'oreiller, tandis que mes fesses étaient encore en haut. Il me baisait fort et il prenait lui aussi beaucoup de plaisir vu les gémissements qu'il poussait.
Au bout d'un moment, je jouis bruyamment en poussant un râle puissant. Je sentis ma sève remonter mon canal de l'urètre et le premier jet jaillit pour venir s'écraser jusqu'à mon visage. J'ouvris la bouche en grand et j'eu le plaisir de recevoir le deuxième jet directement dans la bouche et sur la joue. Le troisième jet vint s'étaler sur le drap juste sous mon menton.
Je sentis alors Pierre se tendre et pousser une dernière fois mon bassin, comme s'il voulait entrer en moi, ce qui me fit tomber sur le côté. Pierre fut alors éjecté de mon anus et il commençait à éjaculer dans le vide. Je me retournais alors et pris sa queue dans ma bouche. Je récoltais finalement son sperme sur ma langue tout en gardant la bouche grande ouverte. Il attrapa mes cheveux et me fourra sa langue tout au fond du gosier pour y déverser les dernières gouttes de sa semence délicieuse, mais je n'avalais pas pour autant.
Une fois fini, je fis sortir sa bite de ma bouche, ouvris la bouche en grand et lui montra la grosse quantité de sperme que j'avais récupéré. Je refermais alors mes lèvres, comme le fond les actrices porno, et j'avalais entièrement le produit de son orgasme, avant d'ouvrir de nouveau la bouche en grand.